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macron - Page 19

  • Feu sur la désinformation... (333)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Emmanuel Macron a invité à l’Elysée les deux Youtubeurs McFly et Carlito pour un improbable concours d’anecdotes. Une vidéo dérangeante qui pose question...
    • 2 : L’énorme bobard des médias sur l’origine du Covid-19
      Pendant des mois, les médias nous l’avaient assurés d’un ton docte : le virus Sars-Cov-2, à l’origine du Covid-19, n’était pas sorti du laboratoire de virologie de Wuhan. Finalement, tous les médias reviennent aujourd’hui sur leurs affirmations et admettent que cette hypothèse reste une possibilité.
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Les aides à la presse : pluie d’argent public sur les médias en 2019
      La Lettre A a mis la main sur les données des aides publiques à la presse en 2019. Analyse de cette pluie de subventions pour un montant total minimal de 225 millions d’euros.

                                                  

     

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  • Feu sur la désinformation... (331)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias, présentée cette semaine par Michel Geoffroy et Nicolas Faure.

    Au sommaire:

    • 1 : L’image de la semaine
      À Avignon, un émouvant hommage a eu lieu pour saluer la mémoire d’Éric Masson, tué par un délinquant extra-européen. Et il se pourrait bien que cet hommage soit le point de départ d’une véritable révolte policière.
    • 2 : Délitement : militaires et policiers brisent l’omerta
      Militaires, gendarmes, policiers… Ils ont tous multiplié les appels à sauver la France ces derniers jours. Les médias et les politiciens de gauche, affolés, tentent de diaboliser ces lanceurs d’alerte.
      Mais il se pourrait bien que la libération de la parole à laquelle nous assistons soit massive.
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Silence médiatique sur la déconstruction de l’État
      Dans un incroyable silence des journalistes, Emmanuel Macron poursuit son œuvre de déconstruction de la grandeur de la France. De nombreuses institutions sont en effet réformées en catimini.

     

                                      

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  • Les snipers de la semaine... (216)

    Incorruptibles.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - sur Figaro Vox, Arnaud Benedetti allume Marlène Schiappa, symbole de la déliquescence de la politique...

    «Marlène Schiappa est le symbole de la société du divertissement»

    Schiappa-Hanouna.jpg

     

    - sur Hashtable, H16 dézingue les déclarations de Macron sur la sécurité...

    La sécurité selon Macron : un désir de vie paisible…

    Macron_Sécurité.jpg

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  • Feu sur la désinformation... (328)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Comme de nombreuses villes françaises, Tourcoing est secouée par des nuits d’émeutes contre la police dans les quartiers « sensibles ». Une drôle d’image pour Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur qui est l’ancien maire de la ville et qui reste conseiller municipal.
    • 2 : Sécurité. Le coup de com’ de Macron
      Entretien axé sur la sécurité dans Le Figaro, déplacement auprès des policiers à Montpellier… Emmanuel Macron semble décidé à faire de la sécurité un axe de sa campagne présidentielle pour 2022. Mais derrière les effets de manche, la réalité est cruelle. L’État français n’arrive pas à juguler la délinquance.
    • 3 : Revue de presse
    • 4 : Derek Chauvin, victime sacrificielle ?
      Aux États-Unis, le jury chargé de juger la culpabilité ou non de Derek Chauvin, accusé du meurtre de George Floyd, a rendu son verdict. Le policier de Minneapolis a été déclaré coupable. Nous reviendrons sur les éléments qui remettent en cause ce verdict.

     

                                                 

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  • Algérie, Rwanda... : l'impossible pacification des mémoires...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Lugan cueilli sur son blog et consacré à la naïveté de la politique française de "pacification des mémoires" face à l'Algérie et au Rwanda.

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018) et Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020).

     

    Guerre mémorielle.jpg

    Pourquoi il est illusoire de s’obstiner à continuer de croire qu’une « pacification des mémoires » avec l’Algérie et le Rwanda est possible

    Emmanuel Macron s’obstine à refuser de voir que la France, l’Algérie et le Rwanda ne parlent pas de la même chose quand est évoquée la question mémorielle. Pour Paris, l’histoire est une science permettant de connaître et comprendre le passé. Pour Alger et pour Kigali, il s’agit d’un moyen servant à légitimer les régimes en place à travers une histoire « arrangée ». L’incommunicabilité étant totale, les dés sont donc pipés dès le départ. D'où le naufrage du « Rapport Stora » et du « Rapport Duclert ».

    L’Algérie et le Rwanda ne veulent en effet pas d’une « pacification des mémoires » au sens où l’entend la France puisque toute normalisation passerait obligatoirement par des concessions mémorielles qui feraient exploser les fausses histoires sur lesquelles reposent les « légitimités » des deux régimes. Le président algérien Tebboune l’a d’ailleurs plus que clairement reconnu quand il a déclaré que « la mémoire nationale ne saurait faire l’objet de renonciation, ni de marchandage ».
    En définitive, la France recherche une paix mémorielle fondée sur une connaissance scientifique des évènements du passé quand l’Algérie et le Rwanda exigent son alignement sur leurs propres histoires fabriquées.

    Avant de se lancer d’une manière évaporée dans le processus de mise à plat des mémoires, Emmanuel Macron aurait peut-être pu entrevoir la considérable différence d’approche des pays concernés, ce qui lui aurait alors permis de comprendre que sa démarche était vouée à l’échec. Mais, pour cela, il lui aurait fallu demander conseil aux véritables spécialistes de l’histoire de l’Algérie et du Rwanda, aux connaisseurs des mentalités leurs dirigeants. Or, et tout au contraire, pour le dossier algérien le président français a choisi de s’adresser à un historien militant signataire d’une pétition de soutien aux dérives islamo-gauchistes de l'UNEF, et, pour le dossier rwandais, à un historien totalement incompétent en la matière. Benjamin Stora s’inscrit dans la ligne de l’histoire officielle algérienne écrite par le FLN quand la thèse de Vincent Duclert portant sur « L’engagement des savants dans l’affaire Dreyfus », ne fait pas de lui un connaisseur de la complexe alchimie ethno-historique du Rwanda… et ne l’autorise pas à oser parler, contre toute la culture régionale, d' « absence d’antagonismes ethniques dans la société traditionnelle rwandaise » (!!!).

    Comment Emmanuel Macron pouvait-il d’ailleurs attendre une « avancée » de la part du « Système » vampirique pompant la substance de l’Algérie depuis 1962 quand celui-ci veille avec un soin plus que jaloux à ce que l’histoire légitimant sa domination sur le pays ne soit pas remise en question ? Il en va en effet de sa survie. L’homologue algérien de Benjamin Stora n’a ainsi fait aucune proposition de révision historique, laissant au chef d’état-major de l’armée, le général Saïd Chengriha, le soin de faire monter les enchères avec la France en évoquant, contre l’état des connaissances, des « millions de martyrs  de la guerre d’indépendance »… D'une phrase, la pauvre tentative élyséenne de rapprocher les points de vue entre la France et l’Algérie était ainsi pulvérisée. De plus, tout en dynamitant la relation de confiance établie entre les présidents Macron et Tebboune, le général Chengriha montrait clairement que le président algérien n’est qu’une marionnette et que c’est l’institution militaire qui gouverne et  impose sa loi.

    Maîtres du temps, les généraux algériens vont maintenant faire pression sur Emmanuel Macron, exigeant de lui qu’il livre ou qu’il expulse quelques grandes figures de l’opposition actuellement réfugiées en France… L’éthérée et idéologique recherche d’un consensus historique aura donc abouti à une déroute française.

    Dans le cas du Rwanda la situation est carrément caricaturale car le « Rapport Duclert » va encore plus loin que le « Rapport Stora » dans la mesure où il s’aligne quasi intégralement sur les positions de Kigali, légitimant ainsi la fausse histoire sur laquelle repose la « légitimité » du régime du général Kagamé. Une histoire ancrée sur trois principaux postulats :
    - La France a aveuglement soutenu le régime du président Habyarimana.
    - Ce furent des Hutu qui, le 6 avril 1994, abattirent en vol l’avion du président Habyrarimana afin de faire un coup d’Etat permettant de déclencher le génocide.
    - Le génocide des Tutsi était programmé.

    Or, tout au contraire :

    - Alors que la tragédie du Rwanda fut provoquée par l’attaque lancée depuis l’Ouganda au mois d’octobre 1990 par des Tutsi réfugiés ou déserteurs de l’armée ougandaise, le « Rapport Duclert » affirme, comme le fait Kigali, qu’entre 1990 et 1993, la France a aveuglement soutenu le régime  du Rwanda. Or, chaque intervention militaire française fut subordonnée à une avancée obtenue du président Habyarimana dans le partage du pouvoir avec ceux qui lui avaient déclaré la guerre au mois d’octobre 1990… La différence est de taille.

    - Tournant le dos à l’état des connaissances et s’alignant là encore sur la thèse officielle de Kigali, le « Rapport Duclert » laisse entendre que ce seraient ses propres partisans qui, le 6 avril 1994, auraient abattu l’avion du président Habyarimana. Une hypothèse que même les juges Jean-Marc Herbaut et Nathalie Poux, en charge de l’affaire de l’attentat, ont estimé n’être étayée par aucun des éléments du dossier. De plus, s’ils avaient pris la peine de s’intéresser véritablement aux travaux du TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda), et non d’en parler à travers des lectures de seconde ou de troisième main, les auteurs du « Rapport Duclert » auraient appris que ce tribunal qui a travaillé plus de vingt ans sur la question, a clairement écarté toute responsabilité des Hutu dans l’attentat déclencheur du génocide.

    - Pour les rédacteurs du « Rapport Duclert », tout cela n’a d’ailleurs pas d’importance car, selon eux, et toujours ainsi que le soutient Kigali, comme le génocide était programmé, il aurait eu lieu de toutes les façons, même sans l’attentat… Or, et une fois encore, il a été plus que clairement établi devant le TPIR que le génocide était la conséquence de l’assassinat du président Habyarimana…

    Grâce au « Rapport Duclert», voilà donc désormais Kigali en position de force  pour exiger de la France des excuses officielles qui devront être soutenues par le versement d’espèces « sonnantes et trébuchantes »… Et si Paris se montrait indocile, comme le « Rapport Duclert » a, contre toute vérité historique, reconnu une part de responsabilité française dans la genèse du génocide, conseillé par l’un ou l’autre cabinet juridique d’Outre-Atlantique, le Rwanda pourrait alors décider de poursuivre la France devant un tribunal international… Un nouveau chantage pourrait donc s’annoncer. Résultat de la faiblesse française et de la volonté du président Macron de mettre à plat le contentieux avec le Rwanda, c’est désormais la France qui est à plat ventre…

    Bernard Lugan (Blog de Bernard Lugan, 9 avril 2021)

     

    Bibliographie
    - Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle de l’Algérie popularisée en France par Benjamin Stora, on se reportera à mon livre Algérie, l’Histoire à l’endroit.
    - Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle du génocide du Rwanda reprise dans le « Rapport Duclert », on se reportera à mon livre Rwanda, un génocide en questions et à mes rapports d’expertise devant le TPIR intitulés Dix ans d’expertises devant le Tribunal Pénal international pour le Rwanda (TPIR)

    - Pour tout ce qui concerne la repentance en général, on se reportera à mon livre Répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance.

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  • Les snipers de la semaine... (215)

    Mortimer_Espadon.jpg

     

    A sommaire cette semaine :

    - sur le site de le revue Éléments, Lionel Rondouin allume les chantres des bienfaits de l'immigration qui découvrent, maintenant, avec stupéfaction la réalité de l'ensauvagement de la France...

    Bernard Tapie, ou de l’utilité de ne pas pisser face au vent…

    Tapie_Le Pen.jpg

     

    - sur La pompe à phynance, Frédéric Lordon dézingue le monde "gorafisé" de Macron et ses sbires...

    Critique de la raison gorafique

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