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hitler - Page 11

  • Comment naissent les révolutions ?

    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n°55, juillet - août 2011).

    Le dossier central est consacré au phénomène révolutionnaire. On peut y lire, notamment, des articles de  Charles Vaugeois ("1789, la seule grande révolution", "Hitler prend le pouvoir", "Sociologie du fascisme et sociologie de la révolution), de Philippe Conrad ("1848 : le printemps de peuples", "Les révolutions de 1848 en Europe"), de Dominique Venner ("Quand la révolution devient religion") et de Jean-Michel Baldassari ("L'actualité troublante de "La révolte des masses"").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un entretien avec Guy Rachet, un article de Philippe Alméras sur Céline ("Céline : les énigmes persistent") et un point de vue de Bernard Lugan sur la crise libyenne.

     

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  • "J'aurais défendu Hitler... et même Bush !"

    Nous vous conseillons de vous procurer en kiosque le dernier numéro de la revue Médias (n°29, été 2011), dirigée par Robert Ménard. Vous y trouverez, notamment, un excellent entretien avec Jacques Vergès (l'homme qui aurait défendu Hitler ... et même Bush!), un entretien avec Elisabeth Lévy, la directrice de Causeur, un excellent article de Bertrand Laurier, "Les journalistes embeded dans les cercles du pouvoir" et le carnet de Philippe Bilger. Que du bon !

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  • L'alliance Staline Hitler...

    Editeur, diplômé de l'institut d'etudes politiques de paris et auteur de plusieurs essais non-coformistes, Jean-Gilles Malliarakis vient de publier aux éditions du Trident une étude historique consacrée au pacte germano-soviétique et intitulée L'alliance Staline Hitler. L'ouvrage est complété par plus de 95 documents diplomatiques, en particulier allemands et soviétiques pour éclairer cet accord dont les détails sont souvent pudiquement laissés dans l'ombre par l'Histoire officielle...

     

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    "Le 23 août 1939 fut signé à Moscou un prétendu pacte de non-agression. Il était signé par Joachim von Ribbentrop, qui sera pendu à Nuremberg en 1946 et le commissaire du peuple Viatcheslav Mikhaïlovitch Molotov. Celui-ci dirigera encore la diplomatie de son pays après la guerre et mourra dans son lit en 1986. Il se nouait alors une véritable alliance officielle entre Hitler et Staline. Le premier était resté à Berlin, alors que le second se congratulait avec le ministre des affaires étrangères du Reich. Elle ne fut aucunement rompue par Moscou mais par l'Allemagne. Staline le soulignera encore dans son discours du 3 juillet 1941. Le "génial" dictateur communiste figure hilare sur la photo de famille prise à Moscou pendant que son ministre paraphe le traité. Pendant la nuit était convenu un protocole (alors) secret, précisant le partage non seulement de la Pologne mais de toute l'Europe à l'est de la Vistule. Ce document sera complété et aggravé par l'entrée en guerre effective de la l'URSS contre sa malheureuse voisine le 17 septembre, la jonction historique de la Wehrmacht et de l'Armée rouge, "scellant dans le sang", l'expression est de Staline lui-même, la complicité des deux agresseurs.

    C’est bien Staline qui prit la décision et l’initiative d’approcher ce dangereux allié.
    Les 95 documents de la Wilhelmstrasse publiés dans ce livre se trouvent parfaitement éclairés par le rapport Staline au XVIIIe congrès du parti bolchevik. Ce discours de mars 1939, précède, théorise et explique la suite des événements : les intrigues d’avril, mai et juin et les accords négociés pendant l’été, il nous a paru naturel d’inviter le lecteur à les revisiter.

    La trame en devient parfaitement claire.

    Elle accable à la fois Staline et l’aveuglement des dirigeants français."

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  • Naissances du totalitarisme...

    Les éditions du Cerf, dans leur collection Politique, viennent de publier un ouvrage collectif consacré au totalitarisme, intitulé Naissance du totalitarisme, sous la direction de Philippe de Lara, maître de conférence à Paris II en philosophie et sciences politiques, avec des contributions, notamment, de Bernard Bruneteau, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, et Emilo Gentile, spécialiste italien du fascisme.

     

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    "La question totalitaire n'est pas close. Les révolutions communiste, fasciste et nazie forment un phénomène unitaire. Le fait est désormais à peu près accepté, mais il reste encore à le dompter dans la pensée. Philosophes et historiens se livrent ici ensemble à ce travail.

    Le totalitarisme ne se limite pas aux systèmes stalinien et nazi dans leur maturité. Dès les premiers pas du bolchevisme et du fascisme apparaît une combinaison inédite de violence politique et de foi révolutionnaire. Des observateurs lucides en eurent l'intuition dès les années trente (Bernard Bruneteau). Emilio Gentile montre le totalitarisme originaire du fascisme, dès la naissance du « parti milice » de Mussolini en 1919. Ce mélange de terreur et de ferveur défie les notions habituelles d'idéologie et de tyrannie. L'idéologie est-elle le cœur des régimes totalitaires ? La question divise toujours les historiens. Révolution du nihilisme, religion politique, contre-religion : Thierry Gontier, Philippe Raynaud et Paul Thibaud discutent ces interprétations.

    Pourquoi la Russie, pourquoi l'Italie, pourquoi l'Allemagne ? L'anthropologie renouvelle la question des origines : le totalitarisme est une réaction extrême à la modernisation, dans des pays où elle a été tardive et brutale (Philippe de Lara). À la fois réactions passéistes et surenchères futuristes, les totalitarismes sont partie intégrante de la modernité."

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  • D'un totalitarisme l'autre...

    Le numéro 60 de Flash, le journal gentil et intelligent, nous propose un dossier consacré au néo-totalitarisme et à son hyper-classe dominatrice et corrompue. On pourra lire des articles de Pierre le Vigan, Christian Bouchet et Nicolas Gauthier, et on retrouvera le bloc-note d'Alain Soral !...

     

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    Au sommaire :

    D’UN TOTALITARISME L’AUTRE… L’hyper-classe des voleurs, des menteurs et des parasites !

    • Pierre Le Vigan : Staline, Hitler, Mussolini, Pol Pot : “Hier, ils voulaient changer l’homme”

    • Christian Bouchet  : Ben Ali, Moubarak, Kadhafi : “Aujourd’hui, ils en profitent !”

    • Nicolas Gauthier : Sarkozy, Bruni : “Et nous, quand est-ce qu’on les vire ?”

    • Alain Soral s’indigne contre Sarkozy, le dîner du CRIF et “les nouvelles racines juives de la France”

    • Jean-Claude Lauret se penche sur la vie de Dashiell Hammett : “Au temps de la prohibition, les années folles du roman noir”

    • Topoline est allée voir le paquebot France au musée de la Marine, l’ancien et le nouveau, pour sauver l’honneur national…

    • Mondialisation : “Les dangers de la planche à billets”, encore un vieux truc pour nous couler !

    • Rugby : Sonny Bill Williams, notre nouveau champion ?

    Pour vous abonner en ligne et en toute sécurité : http://www.flashmagazine.fr/abonnement/

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  • Un héros trahi par les alliés...

    Les éditions Perrin viennent de rééditer dans leur collection de poche Tempus, Mihailovic - Héros trahi par les Alliés, une biographie du général serbe écrite par Jean-Christophe Buisson. Ce dernier, journaliste au Figaro Magazine et spécialiste des Balkans, est aussi l'auteur d'un ouvrage consacré au général Vlassov, autre figure tragique de la deuxième guerre mondiale...

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    "Le 17 juillet 1946, le général Draza Mihailovic est fusillé par les communistes yougoslaves au terme d'une parodie de procès. Avec sa mort disparaît le chef de la résistance monarchiste anti-allemande, dernier obstacle à la conquête de la Yougoslavie par Tito. Né en 1893 au coeur de la vieille Serbie, décoré à de multiples reprises durant les deux guerres balkaniques (1912-1913) et la Première Guerre mondiale, Mihailovic intègre ensuite l'état-major de l'armée yougoslave. Après un séjour de quelques mois en France, il est nommé attaché militaire à Sofia puis à Prague. Ses
    avertissements contre le danger allemand ne sont pas entendus : la Yougoslavie est balayée en quelques jours par l'offensive du IIIe Reich d'avril 1941. Refusant la défaite, il rejoint le plateau de Ravna Gora où il crée la première guérilla de résistance en Europe occupée. En quelques mois, des dizaines de milliers d'hommes se rangent derrière lui, pour une Yougoslavie libre et royale. Depuis Londres, le roi Pierre II le nomme ministre de la Guerre du gouvernement yougoslave en exil. Après l'entrée en résistance des partisans de Tito en juillet 1941 et l'échec d'une action commune contre l'ennemi nazi, les troupes de Mihailovic doivent combattre sur plusieurs fronts : contre les Allemands, contre les oustachi croates alliés de Hitler, enfin contre les communistes. D'abord considéré comme le héros du monde libre par les Alliés, « le Chouan de Serbie » est abandonné par ceux-ci après des tractations entre Churchill et Staline. Les titistes ne parviennent à s'emparer de lui qu'en mars 1946 alors qu'il est encore à la tête d'une armée de plusieurs dizaines de milliers d'hommes. Draza Mihailovic fut autant victime de l'infiltration des services d'espionnage alliés par
    les agents communistes que par le cynisme et la lâcheté de l'Occident. Surtout, son destin tragique incarne celui de nombreux peuples européens, victimes successives de deux totalitarismes du XXe siècle."

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