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Livres - Page 421

  • Chronique d'un fauve dans la jungle alimentaire....

    Les éditions Winterfields viennent de publier une enquête de Gilles Lartigot intitulée Eat - Chroniques d'un fauve dans la jungle alimentaire. Évoluant dans le milieu du Heavy Metal, Gilles Lartigot se passionne depuis de longues années pour les questions de nutrition. Son livre a été chaudement recommandé par Piero San Giorgio, l'auteur de Survivre à l'effondrement économique (Le Retour aux Sources, 2011).

     

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    " « Nous vivons dans une société toxique pour notre santé. La nourriture industrielle nous rend malade. La pollution, le stress et les produits chimiques font partie de notre quotidien. Ce sont des faits… Mais il est encore temps d’en réchapper. »

    Écrit au Québec à Saint-Élie-de-Caxton, cet ouvrage original dans la forme comme dans le fond délivre un constat brut des dangers de notre alimentation moderne et de l’impact sur le développement des cancers, des AVC et des maladies chroniques, fléaux de notre société. Nos choix alimentaires définissent notre santé et conditionnent l’avenir de nos enfants.

    Deux années d’investigations en France et au Québec, des chroniques sans langue de bois, ponctuées par des entrevues avec des personnes conscientisées et complétées de recettes originales qui cassent les préjugés, Gilles LARTIGOT s’impose comme un auteur original à la carrure imposante.

    Un livre fort. Un livre qui dérange. Un livre qui côtoie ombres et lumière dans la jungle alimentaire. "

     

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  • Dominique Venner, soldat politique...

    Les éditions des Bouquins de Synthèse nationale viennent de publier Dominique Venner, soldat politique, un essai biographique de Basile Cerialis...

     

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    " Le geste fatal de Dominique Venner avait une dimension politique…  Il avait une dimension politique parce que Venner est resté toute sa vie un soldat politique.

    Bien sûr son engagement prit des formes différentes au cours des années. Mais l’idéal est toujours resté le même. Venner savait que la fidélité en politique ne consiste pas à toujours faire la même chose, mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.

    Dans cet essais fort bien documenté, Basile Cerialis, étudiant passionné par les idées nationalistes et identitaires, analyse l’engagement politique de Dominique Venner de Jeune Nation, au milieu des années 50, jusqu’à son ultime message du 21 mai 2013, jour de sa mort.

    Visionnaire dans bien des domaines, le fondateur d’Europe Action mérite que son combat ne retombe pas dans l’oubli. C’est ce à quoi Basile Cerialis s’est attaché dans cet ouvrage. "

     

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  • Sous les bombes...

    Les éditions Flammarion viennent de publier Sous les bombes - Nouvelle histoire de la guerre aérienne 1939-1945, un livre de Richard Overy. Spécialiste de l'histoire moderne, et tout spécialement de la seconde guerre mondiale, Richard Overy est un des rares historien anglo-saxon à avoir défendu le livre de Jörg Friedrich, L'incendie, sur la guerre aérienne des Alliés contre l'Allemagne.

     

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    " Les chiffres sont ahurissants : au cours de la Seconde Guerre mondiale, 600 000 civils européens trouvèrent la mort lors des bombardements et plus d'un million d'autres furent grièvement blessés. Dans cette sombre comptabilité, la France, où l'on dénombre le plus fort tonnage de bombes larguées, occupe une place particulière. Des villes entières furent dévastées sous les bombes alliées, parfois même rasées à l'instar de Vire, Saint-Lô, Lisieux, Coutances mais aussi Royan ou encore Le Havre. La terre semblait en éruption, selon le mot d'un pilote de la RAF qui avait bombardé Caen... Puis le silence retomba durant des années. Le souvenir aussi était tabou. Tant de questions restaient en suspens, parmi lesquelles, la plus cruciale : fallait-il bombarder l'Europe ? Pour y répondre, l'historien Richard Overy a mené des recherches dans tous les pays des anciens belligérants. Dans un travail inédit et résolument neuf, il s'interroge sur les commandements militaires, les stratégies, les différents raids (le Blitz, Hambourg, Dresde, Monte Cassino). Si les bombardements, comme il le souligne, étaient soumis aux impératifs politiques (Churchill en était partisan) et militaires, ils ne furent jamais un moyen de gagner la guerre. L'historien raconte le quotidien terrifiant des aviateurs sous pression maximale, rappelle les grandes heures de la défense passive, l'héroïsme des civils face à la précision approximative des bombardiers. Pourtant les attaques meurtrières échouèrent à détruire l'économie ennemie, plus encore à déprimer les civils. Ce constat de l'échec se double de la question morale des frappes contre les populations. La destruction à l'aveugle, l'acharnement manifeste à tuer lors de certains bombardements sont au cœur de cette histoire que l'auteur a voulu, de bout en bout, très humaine. "

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  • L'imposture économique...

    Les éditions de l'Atelier viennent de publier L'imposture économique, un essai de Steve Keen. Directeur du département Économie, Histoire et Politique de l'université de Kingston à Londres, Steve Keen est australien. Il a été reconnu par ses pairs comme l'économiste «qui a, le premier et le plus clairement, prévu et donné l'alerte sur l'effondrement de la finance mondiale».

     

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    L'imposture économique est la traduction du livre «coup de poing» de l'économiste australien Steve Keen paru sous le titre Debunking Economies.
    Figure de proue du New Economic Thinking («une nouvelle manière de penser l'économie»), Steve Keen développe dans son ouvrage une critique systématique de la pensée économique néoclassique dominante. Loin de se contenter d'en dénoncer l'irréalisme ou les biais idéologiques, il dévoile de l'intérieur les graves incohérences des fondements logiques de l'économie orthodoxe, montrant que celle-ci ne parvient à se perpétuer que parce que les étudiants en économie sont maintenus dans l'ignorance des lacunes de leur discipline.
    Cet ouvrage, «fondateur» pour l'économiste Gaël Giraud (qui a assuré la direction scientifique de la traduction et en signe la préface), démonte une à une les grandes pièces de l'édifice dogmatique : aucune des théories qui composent le «dur» de l'économie universitaire depuis la fin du XIXe siècle ne résiste à l'analyse, depuis la microéconomie du consommateur jusqu'à la théorie néokeynésienne de la déflation, en passant par l'efficience des marchés financiers et la théorie du capital. Et, sur les ruines de l'orthodoxie défaite, Steve Keen jette les bases solides d'une «autre économie», suggérant d'autres manières, beaucoup plus cohérentes et scientifiques, de penser l'économie.
    Le livre a suscité de nombreux débats lors de sa publication en anglais : il répond aux questions que chacun se pose sur la pertinence des arguments économiques exposés depuis la crise des subprimes, et invite à engager une réforme profonde de l'enseignement et de la recherche en économie dans le monde.

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  • Art et dictature...

    Les éditions Place des victoires viennent de publier un ouvrage de Maria Adriana Giusti intitulé Art et dictature. Maria Adriana Giusti est architecte et enseigne à la faculté de Turin.

     

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    " Le XX e siècle, marqué par deux conflits mondiaux sanglants, mais aussi par la période de " paix " de l'entre-deux-guerres, a vu naître trois dictateurs puissants et funestes : Mussolini en Italie, Hitler en Allemagne et Staline en Union soviétique. Ces despotes, aux idéologies fondées sur le racisme ou la délation, se sont tous trois appuyés sur des campagnes de propagande massives, sans précédent dans l'histoire de l'humanité, et ont ainsi détourné l'art à leurs propres fins : Mussolini a séduit puis menacé un large éventail d'intellectuels, avant de jeter en prison les plus récalcitrants d'entre eux ; Hitler n'a utilisé qu'un architecte et un photographe, condamnant les protestataires au mieux à la fuite et l'exil, au pire à un sort horrible dans ses camps de la mort. Staline, quant à lui, n'a souffert aucune concession, préférant déporter les dissidents en Sibérie ou les éliminer en masse. L'iconographie exceptionnelle et encore méconnue de cet ouvrage – plus de 200 " œuvres " –, laisse percevoir au lecteur, par son caractère officiel et son rôle d'endoctrinement, une violence physique et morale inouïe. Elle évoque ainsi les grands noms de l'architecture de cette période, tels que Piacentini, Speer et Chtchoussev, des artistes comme Sironi et Deïneka, ou encore des photographes tels que Riefenstahl ou Rodtchenko. Un témoignage historico-artistique saisissant et grave, qui donne à réfléchir, encore aujourd'hui ! "

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  • Années de plomb et semelles de vent...

    Les éditions des Bouquins de Synthèse nationale viennent de publier Années de plomb et semelles de vent, les mémoires corsaires de Gabriele Adinolfi. Figure marquante de la mouvance nationaliste-révolutionnaire italienne, dont il est une des têtes pensantes, Gabriele Adinolfi est l'auteur de plusieurs livres, dont trois ont déjà été traduits en français Nos belles années de plomb (L'Æncre, 2004), Pensées corsaires - Abécédaire de lutte et de victoire (Edition du Lore, 2008) et Orchestre rouge (Avatar, 2013).

     

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    " Gabriele Adinolfi est une figure incontournable du néofascisme italien. Au cours de ce qu’il est convenu d’appeler « les années de plomb », c'est-à-dire les années 70, un véritable climat insurrectionnel régnait en Italie. Le pouvoir démocrate chrétien, lié à la maffia et aux intérêts américains, était englué dans une multitude de scandales. Les terroristes communistes des Brigades rouges multipliaient les actions violentes et pour beaucoup la nostalgie de la glorieuse époque mussolinienne commençait à se faire ressentir. Afin d’éviter leur chute les pourris au pouvoir imaginèrent de fomenter des attentats meurtriers et de les mettre sur le dos des organisations nationales-révolutionnaires. Le plus spectaculaire d’entre eux fit plus de 80 morts et 200 blessés le 2 août 1980 dans la gare de Bologne.

    S’en suivit une vaque de répression inouïe contre les milieux néofasciste, en particulier contre le mouvement Terza posizione qu’animait entre autres Gabriele Adinolfi. Pourtant, jamais sa culpabilité, ni l’implication de son mouvement, furent prouvées. Trente cinq ans plus tard, plus aucune charge ne pèse contre eux. Il n’empêche que pour des dizaines de militants ce fut la prison ou l’exile. Ainsi Adinolfi passa près de vingt ans dans la clandestinité à Paris. C’est ce qu’il nous relate dans ce livre captivant, bourré de rebondissement, de rencontres inattendues et d’anecdotes truculentes.

    Aujourd’hui l’auteur vit à Rome, il anime l’Institut Polaris et est l’un des inspirateurs de la Casapound, le mouvement qui se revendique fièrement du fascisme du XXIe siècle. Gabriele Adinolfi a gardé de nombreux contacts en France où il revient régulièrement. Ce livre est aussi une galerie de portraits des militants et responsables nationalistes français qu’il rencontra au cours de sa longue cavale. "

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