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Livres - Page 169

  • Abécédaire de la déconstruction...

    Les éditions Ovadia viennent de publier un Abécédaire de la déconstruction de Baptiste Rappin

    Philosophe, Baptiste Rappin a concentré sa réflexion sur les implications de la révolution managériale dans nos sociétés contemporaine et a publié plusieurs essais sur le sujet, dont De l'exception permanente (Ovadia, 2018). Il a également publié des articles dans les revues Krisis et Nouvelle Ecole.

     

     

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    " Jacques Derrida, Gilles Deleuze, Michel Foucault : tels sont certainement des noms qui résonnent à l’oreille de nos contemporains. Et il s’agit, en effet, des philosophes les plus connus d’un courant de pensée que l’on peut raisonnablement qualifier de « déconstruction ». Toutefois, loin de se limiter à l’étude de ces trois figures, cet Abécédaire de la déconstruction aborde également les idées et les concepts développés par Maurice Blanchot, Roland Barthes, Jacques Rancière, Jean-Luc Nancy, Giorgio Agamben, Judith Butler et par bien d’autres encore. C’est le succès rencontré par la déconstruction dans les milieux intellectuels, tant à l’Université que dans la sphère politico-médiatique, qui se trouve à l’origine de cet ouvrage. "

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  • Le putsch d'Alger...

    Les éditions Odile Jacob viennent de publier un essai de Maurice Vaïsse intitulé Le putsch d'Alger.

    Professeur émérite d’histoire des relations internationales à Sciences Po, Maurice Vaïsse est notamment l'auteur de La Grandeur - Politique étrangère du général de Gaulle (Fayard, 2014) et Diplomatie et outil militaire - Politique étrangère de la France 1871-2015 (Seuil, 2015).

     

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    " Radio-Alger, 22 avril 1961 : « Ici Radio-France. L’armée a pris le contrôle de l’Algérie et du Sahara… » C’est le début du putsch des généraux, et du récit palpitant qu’en fait dans ce livre Maurice Vaïsse. L’événement est bref : quatre jours, cinq nuits. Mais il renvoie à un temps plus long : celui de la crise qui couve dans l’armée et conduit à cet épisode saillant de la guerre d’Algérie, celui, aussi, de ses conséquences.
    Après 1940, la distinction entre le militaire et le politique se brouille : la Seconde Guerre mondiale et les conflits de décolonisation inversent les rapports, à la suite de crises à répétition opposant l’armée à la nation, jusqu’au putsch. Pourquoi cet échec ? Quelles en sont les séquelles ? L’ambition de cet ouvrage est de prendre la mesure de l’événement et de le replacer dans l’histoire, française et internationale.
    Maurice Vaïsse renouvelle ici une enquête inaugurée il y a quarante ans, cette fois avec la ressource d’archives alors inaccessibles. Il y a dans son livre les faits et la rigueur de l’analyse. On y perçoit aussi l’émotion d’un homme à qui l’Algérie n’est pas étrangère − il y est né et s’y trouvait en 1961 − et dont on sent la gorge nouée devant ce drame.
    De documents en témoignages, il restitue la dimension humaine du putsch, constamment présente : dans l’attitude et les propos du général de Gaulle, les attentes des populations, les motivations et le comportement des officiers généraux − avec la dimension presque tragique du conflit des devoirs et des fidélités, et les désarrois de l’« honneur ».
    Un livre de référence sur le putsch et sur de Gaulle. "

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  • Drôles de funérailles...

    Les éditions Alba Leone viennent de publier un roman de Romain Guérin intitulé Drôles de funérailles. On lira avec beaucoup de plaisir cette farce grinçante et pleine de verve sur fond d'obsèques et de règlement de compte familial.

    Écrivain, chanteur et poète, Romain Guérin, qui est aussi titulaire d'un Master en philosophie politique de l’université de la Sorbonne, est déjà l'auteur du Journal d'Anne-France (Alba Leone, 2020), ouvrage que Jean Raspail a qualifié de chef d’œuvre.

     

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    " Le Farfelu, avec le kilt au vent et l’agilité d’un macaque, se contorsionnait entre les caveaux et les tombes pour trouver le meilleur angle possible pour ses photos. Manifestement, le Baron ne portait pas de slip. Avec un professionnalisme étonnant, il s’accroupissait, se relevait, se penchait à droite, puis à gauche, et bousculait les gens comme s’ils n’étaient que de simples badauds qui gênaient son travail de grand reporter. L’immobilité de l’objet photographié, c’est-à-dire le cercueil, contrastait avec les gesticulations avinées du photographe fou. L’Original frétillait comme un jeune puceau chinois quand il passe sous la jupe de la tour Eiffel ou devant le décolleté de la Joconde. C’était très drôle. Alors que l’homme d’église faisait signe aux croquemorts pour qu’ils introduisent Colette dans son terrier, Michel accourut pour les arrêter net. Il voulait que le curé prenne la pose. Avec le cercueil. Il voulait des gros plans. Le gourmand. L’avide. Le fumier. "

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  • Julius Evola – Mircea Eliade : un bilan culturel...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier Julius Evola – Mircea Eliade : un bilan culturel, un ouvrage regroupant une part de la correspondance entre les deux auteurs traditionalistes, avec une présentation de Claudio Mutti, le philologue italien, directeur de la revue Eurasia.

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    " De 1930 à 1963, Mircea Eliade et Julius Evola échangèrent une correspondance plus ou moins fournie selon les années. De celle-ci, vingt-quatre lettres ont survécu. Présentées ici par Claudio Mutti, elles nous apprennent beaucoup de choses sur Mircea Eliade et il faut bien dire qu’elles ne plaident guère pour lui puisque l’homme, très soucieux de sa carrière universitaire, oublie son passé et se tait sur ceux qui l’ont inspiré tels Evola et Guénon. Ces lettres nous apprennent de même bien des choses sur Julius Evola, sur son désir fugace de se rendre en Inde, sur sa volonté de faire connaître l’œuvre d’Eliade aux Italiens et la sienne aux Français, sur sa mansuétude face aux bassesses de son correspondant. "

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  • A qui profite le djihad ?...

    Les éditions du Cerf viennent de publier un essai de Xavier Raufer intitulé A qui profite le djihad ?

    Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a publié ces dernières années Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et, tout récemment, Le crime mondialisé (Cerf, 2019).

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    " Aurions-nous terrassé Al-Qaïda, vaincu Daech, mis fin à la Terreur islamiste ? Certainement pas, analyse le criminologue Xavier Raufer. Comme hier, notre savoir reste limité et périmé. Mais comment anticiper ? Voici la vérité sur le djihad nouveau qui va arriver. Un livre de révélations et de conscientisation. Indispensable.

    Le terrorisme serait-il le seul crime qui ne profite à personne ? La mondialisation aurait-elle aboli l'instrumentalisation dont il était hier l'objet ? La nébuleuse qu'il forme au Proche-Orient, dans le Caucase, en Asie, en Afrique, en Europe, pourrait-elle fonctionner sans alliance ou sans assistance ? Et le djihad ne se prête-t-il pas à masquer des rapports de force classiques, des conflits récurrents ?
    C'est le rôle des États qui emploient la terreur comme une arme d'agression ou de dissuasion que révèle ce livre fondé sur des documents inédits émanant des services secrets. Décryptant les faits passés, les risques futurs et les menaces actuelles, Xavier Raufer montre en quoi nous restons démunis : nous ressassons ce que nous croyons savoir là où il nous faudrait décrypter ce que nous ignorons.
    Un tableau saisissant des guerres clandestines à l'échelle planétaire.
    Une illustration exemplaire des deux piliers du décèlement que sont prévoir et prévenir.
    Un bilan indispensable de nos forces et de nos faiblesses.
    Une leçon de clairvoyance. "

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  • La mission...

    On avait bien compris à la lecture des deux premiers volumes de la série Tann que Julian Tannhäuser, le héros de Victor d'Usclat, n'était pas près de prendre sa retraite. Il revient donc avec La mission, pour des aventures qui vont le conduire loin de France...

    Comme les deux premiers volumes, La mission est en vente sur la plateforme Amazon, et devrait l'être prochainement dans les bonnes librairies.

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    " Après avoir travaillé pour une société de sécurité privée dans les zones de conflit en Asie et au Moyen-Orient, et suite à une mauvaise expérience, Julian Tannhäuser regagne la France. Ne pouvant se résoudre à vivre une vie normale, il découvre par ailleurs la réalité des attentats terroristes. Bientôt, il devient Thanatos, l’ange exterminateur, exécuteur de djihadistes.
    Mais aussi ennemi numéro un pour la République légaliste.
    ... Sauf quand elle se résout à faire de lui le bras armé d'affaires très particulières et qui doivent rester secrètes.

    Après la disparition d'un correspondant de l'Aquarium, Tann se trouve propulsé en Asie centrale, non loin des régions où il exerçait avant son tonitruant retour en France.
    Une mission de tous les dangers dans les vallées oubliées, au cœur des montagnes d'une ancienne république soviétique, aux frontières de la Chine.

    Au programme : des djihadistes, des transfuges, des traitres, des otages, de la poudre et du sang. "

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