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Livres - Page 149

  • La découverte de l'amérique par les Vikings...

    Les éditions Arkhe viennent de publier un récit de Régis Boyer intitulé Islande, Groenland, Vinland. Spécialiste des Vikings et de l'Islande, professeur à la Sorbonne, Régis Boyer a écrit de nombreux ouvrages sur le monde nordique et a également traduit un grand nombre de sagas islandaises, danoises ou norvégiennes...

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    " Si vous croyez que l’Amérique a été découverte en 1492 par Christophe Colomb, détrompez-vous. Les Scandinaves ont peuplé l’Islande dès les années 870. De là, ils ont colonisé le Groenland et débarqué sur les côtes sauvages de Terre-Neuve ou les rivages isolés du Labrador, de l’autre côté de l’océan. Ils sont alors les premiers découvreurs du Nouveau Monde, le tout avant l’an mille.
    Des étonnantes richesses de l’Islande à la chute des colonies glaciales du Groenland, Régis Boyer nous livre le récit extraordinaire d’une histoire oubliée, celle d’une prodigieuse migration des peuples du Nord vers l’Ouest.
    En compagnie d’Adam de Brême, d’Eiríkr le Rouge ou de Leifr Eiríksson, ce livre nous entraîne au cœur des mystères de la découverte du Vinland: « Cette île, au-delà de laquelle il n’y a dans l’Océan plus aucune terre habitable. Et où tout est recouvert de glaces infranchissables et de ténèbres infinies. » "

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  • Le savoir grec...

    Les éditions Flammarion viennent de rééditer un ouvrage collectif intitulé Le savoir grec, publié initialement en 2011. Cette nouvelle édition a été coordonnée par Pierre Pellegrin, qui est chercheur émérite au CNRS et spécialiste d'Aristote.

     

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    " L'immense aventure du savoir grec est encore aujourd'hui la source essentielle à laquelle puise et revient sans cesse notre civilisation. L'ambition de ce livre, élaboré par les plus éminents spécialistes de l'Antiquité et traduit en plusieurs langues depuis sa parution initiale, est de mesurer ce que les Grecs savaient, ce qu'ils croyaient savoir, ce qu'ils ont inventé ; d'analyser le regard qu'ils ont porté sur leur civilisation et sur leurs propres entreprises intellectuelles. Il y est ainsi moins question de leur histoire que de leurs historiens, de leur poésie que de leur poétique, de leur musique que de leur harmonique, car l'originalité des Grecs n'est pas tant d'avoir su beaucoup de choses que d'avoir exigé d'eux-mêmes de savoir ce qu'ils savaient, ce qu'ils disaient, ce qu'ils faisaient, ce qu'ils voulaient... Revue et augmentée, cette nouvelle édition comprend :

    - plusieurs dizaines de contributions, réalisées par une équipe internationale de chercheurs ;

    - des bibliographies mises à jour ;

    - deux index. "

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  • Nicolás Gómez Dávila, penseur de l'antimodernité...

    Les éditions l'Harmattan ont récemment publié un essai de Michaël Rabier intitulé Nicolás Gómez Dávila, penseur de l'antimodernité - Vie, œuvre et philosophie.  Docteur en philosophie et membre associé du Laboratoire Hannah Arendt de l'Université Paris XII, Michaël Rabier, après avoir été journaliste, enseigne aujourd'hui la philosophie.

     

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    " Le philosophe colombien Nicolás Gómez Dávila (1913-1994) a tardivement développé, à l'écart de l'Université, une oeuvre constituée principalement de cinq volumes d'aphorismes réunis sous le nom énigmatique de Scholies à un texte implicite. Malgré leur dispersion thématique, c'est en fait une seule œuvre continue, presque une suite au sens musical du terme, composée de courtes variations sur des problèmes récurrents de la philosophie occidentale, mais développant surtout une interrogation sur les conséquences du progrès et une critique des fondements de la Modernité. Cet ouvrage replace la pensée du « Nietzsche colombien » dans le fil de la philosophia perennis et permet de comprendre pourquoi il fut admiré de García Márquez, Mutis, Jünger ou Simon Leys. "

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  • Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance...

    Sous couvert de sa revue L'Afrique réelle, Bernard Lugan vient de publier un essai de combat intitulé Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance.

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, comme  Osons dire la vérité à l'Afrique (Rocher, 2015), Heia Safari ! - Général von Lettow-Vorbeck (L'Afrique réelle, 2017), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018) et Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020), mais aussi deux romans avec Arnaud de Lagrange, dont Les volontaires du Roi (réédition, Balland, 2020) et un récit satirique, Le Banquet des Soudards (La Nouvelle Librairie, 2020).

    L'ouvrage est disponible sur le site de L'Afrique réelle ou sur le site de La Nouvelle Librairie.

     

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    " Alliés à l’islamo-gauchisme, les « décoloniaux » ont entrepris de déconstruire la France au moyen d’un terrorisme médiatique et intellectuel sans précédent. Ce n’est pas de « séparatisme » qu’il s’agit. Ils ne veulent en effet pas faire sécession. Ils bénéficient de tant d’avantages dans cette France qui les accueille, les nourrit, les loge, les soigne, les éduque… et qu’ils haïssent… À l’image d’Hafsa Askar, vice-présidente du syndicat étudiant UNEF, qui, le 15 avril 2019, jour de l’incendie de la cathédrale, a écrit : « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris, car je m’en fiche de l’Histoire de France… Wallah… on s’en balek [traduction : on s’en bat les c…], objectivement, c’est votre délire de petits blancs. »
     
    Leur but est d’invertir la France. Pour ensuite la soumettre en lui imposant des normes raciales, philosophiques, culturelles, sociales, politiques, historiques, alimentaires, vestimentaires, artistiques, sexuelles et religieuses qui, toutes, vont à l’encontre de sa nature profonde.
     
    En pleine déroute intellectuelle, acculés dans l’impasse idéologique des « droits de l’homme », du « vivre ensemble », du « pas d’amalgame » et du sépulcre phraséologique de  la « laïcité », les  dirigeants français  sont désarmés face à cette entreprise de subversion et de conquête, unique dans l’Histoire millénaire de ce pays.
     
    Quant aux indigènes français, sommés de débaptiser leurs rues, de dépouiller leurs musées, de renier leur Histoire, d’abattre leurs statues, et, quasiment, de devoir s’excuser d’exister, ils ont le choix entre la « soumission » et la réaction.
     
    Or, cette dernière passe par la totale remise en question du corpus idéologique dominant, terreau sur lequel se développent et prospèrent les pensées invasives qui veulent faire de la France autre chose que la France… "
     

    Table des matières :

    I) Ces trois gauches qui ont enfanté les « décoloniaux »
    - La gauche coloniale et son universalisme dévastateur
    - La gauche tiers-mondiste, son dolorisme, son misérabilisme et son christiano-marxisme
    - La gauche universitaire, ses errances scientifiques et son aveuglement idéologique
    II) La francophobie des « décoloniaux », un produit de la gauche « morale »
    - La France et le « pillage » de l’Afrique
    - Le franc CFA, une « danseuse » entretenue, pas une « vache à lait »…
    - La guerre d’Algérie ou l’ethno-masochisme de gauche
    III) Le corpus idéologique des « décoloniaux », entre postulats et terrorisme intellectuel
    - La « primauté créatrice » de la « négritude », un transfert psychanalytique valorisant
    - Le courant « décolonial », un racisme noir assumé
    - De la concurrence des mémoires victimaires au cas d’école de Madame le député Obono
    IV) Remettre ordre et cohérence dans l’esprit des « décoloniaux »
    - Ce n’est pas la colonisation qui a provoqué la catastrophe africaine, mais la décolonisation
    - Ce n’est pas la France qui a pillé l’Algérie, mais les dirigeants algériens
    - Ce n’est pas l’apartheid qui a ruiné l’Afrique du Sud, mais l’ANC de Nelson Mandela
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  • Histoire antique, histoire ancienne ?...

    Les éditions Passés composés viennent de publier un essai de François Lefèvre intitulé Histoire antique, histoire ancienne ?. Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de Lettres classiques et ancien membre de l’École française d’Athènes, François Lefèvre est professeur d’histoire grecque à la Sorbonne. Il est l’auteur d’une Histoire du Monde grec antique traduite dans plusieurs langues.

     

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    " L’Antiquité reste-elle d’actualité ? C’est la question à laquelle un de ses plus éminents spécialistes répond dans ce livre. En une succession de courts chapitres, il montre la proximité entre les civilisations grecque et romaine et la nôtre. À bien des égards, nos problèmes les plus contemporains furent également les leurs. Brexit, enseignants mal payés, déserts médicaux, sport business, technocratie, manifestations de rue : ce qui nous apparaît comme « l’enfer » de la modernité n’est qu’une forme de répétition de l’Antiquité classique. Ainsi découvrira-t-on que Donald Trump n’est pas l’inventeur des fake news, mais que l’Athénien Thémistocle ou Philippe II de Macédoine y ont eu recours bien avant lui, en dignes héritiers d’Ulysse ; qu’avant Notre-Dame, un autre lieu de culte illustre, le temple d’Apollon à Delphes, périt dans les flammes et provoqua un émoi international ; Delphes où bien avant l’ONU, une instance supranationale siégeait, l’Amphictionie.

    À travers ces exemples riches en anecdotes, curiosités et révélations, François Lefèvre fait revivre d’une plume alerte le monde antique et nous invite à réfléchir sur le nôtre, tant il est vrai que le passé, fût-il aussi reculé, éclaire le présent. "

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  • Pour Napoléon !...

    Les éditions Perrin viennent de publier un essai de Thierry Lentz intitulé Pour Napoléon. Historien, directeur de la Fondation Napoléon, Thierry Lentz est l'auteur de nombreux ouvrage sur l'Empereur et le 1er Empire. Mais, on lui doit également une enquête passionnante sur l'assassinat du président des Etats-Unis John Kennedy ainsi qu'une étude intitulée Le diable sur la montagne - Hitler au Berghof 1922-1944 (Perrin, 2017)...

     

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    " Exaspéré par les polémiques qui surgissent à tout bout de champ sur Napoléon, relatives particulièrement à l’esclavage, au patriarcat, à sa dictature ou aux guerres que l’empereur a menées, Thierry Lentz y répond dans cet essai argumenté, au ton vif et personnel. Vingt chapitres très enlevés pulvérisent les faux procès, fondés pour la plupart sur l’ignorance et l’anachronisme, parfois sur l’aveuglement idéologique et la bien-pensance, voire la haine de la France et de son histoire, devant laquelle les politiques se courbent trop souvent. Surtout, l’historien impeccable, sans défendre systématiquement Napoléon, rappelle le rôle décisif et pérenne tenu par le Consulat et l’Empire dans la construction de la France contemporaine, jusque dans notre présent et notre intimité. Oui, Napoléon vit en nous, et les Français, dans leur ensemble, ne s’y trompent pas, qui reconnaissent en lui un héros national, avant et à côté de Charles de Gaulle. "

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