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Livres - Page 147

  • A qui profite le djihad ?...

    Les éditions du Cerf viennent de publier un essai de Xavier Raufer intitulé A qui profite le djihad ?

    Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a publié ces dernières années Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et, tout récemment, Le crime mondialisé (Cerf, 2019).

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    " Aurions-nous terrassé Al-Qaïda, vaincu Daech, mis fin à la Terreur islamiste ? Certainement pas, analyse le criminologue Xavier Raufer. Comme hier, notre savoir reste limité et périmé. Mais comment anticiper ? Voici la vérité sur le djihad nouveau qui va arriver. Un livre de révélations et de conscientisation. Indispensable.

    Le terrorisme serait-il le seul crime qui ne profite à personne ? La mondialisation aurait-elle aboli l'instrumentalisation dont il était hier l'objet ? La nébuleuse qu'il forme au Proche-Orient, dans le Caucase, en Asie, en Afrique, en Europe, pourrait-elle fonctionner sans alliance ou sans assistance ? Et le djihad ne se prête-t-il pas à masquer des rapports de force classiques, des conflits récurrents ?
    C'est le rôle des États qui emploient la terreur comme une arme d'agression ou de dissuasion que révèle ce livre fondé sur des documents inédits émanant des services secrets. Décryptant les faits passés, les risques futurs et les menaces actuelles, Xavier Raufer montre en quoi nous restons démunis : nous ressassons ce que nous croyons savoir là où il nous faudrait décrypter ce que nous ignorons.
    Un tableau saisissant des guerres clandestines à l'échelle planétaire.
    Une illustration exemplaire des deux piliers du décèlement que sont prévoir et prévenir.
    Un bilan indispensable de nos forces et de nos faiblesses.
    Une leçon de clairvoyance. "

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  • La mission...

    On avait bien compris à la lecture des deux premiers volumes de la série Tann que Julian Tannhäuser, le héros de Victor d'Usclat, n'était pas près de prendre sa retraite. Il revient donc avec La mission, pour des aventures qui vont le conduire loin de France...

    Comme les deux premiers volumes, La mission est en vente sur la plateforme Amazon, et devrait l'être prochainement dans les bonnes librairies.

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    " Après avoir travaillé pour une société de sécurité privée dans les zones de conflit en Asie et au Moyen-Orient, et suite à une mauvaise expérience, Julian Tannhäuser regagne la France. Ne pouvant se résoudre à vivre une vie normale, il découvre par ailleurs la réalité des attentats terroristes. Bientôt, il devient Thanatos, l’ange exterminateur, exécuteur de djihadistes.
    Mais aussi ennemi numéro un pour la République légaliste.
    ... Sauf quand elle se résout à faire de lui le bras armé d'affaires très particulières et qui doivent rester secrètes.

    Après la disparition d'un correspondant de l'Aquarium, Tann se trouve propulsé en Asie centrale, non loin des régions où il exerçait avant son tonitruant retour en France.
    Une mission de tous les dangers dans les vallées oubliées, au cœur des montagnes d'une ancienne république soviétique, aux frontières de la Chine.

    Au programme : des djihadistes, des transfuges, des traitres, des otages, de la poudre et du sang. "

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  • Les Perón, l’Argentine, le Justicialisme...

    Les éditions Synthèse viennent de publier dans leur collection des Cahiers du nationalisme, Les Perón, l’Argentine, le Justicialisme, un ouvrage collectif ditrigé par Jean-Claude Rolinat. Documentaliste, journaliste et élu local, Jean-Claude Rolinat est l'auteur notamment de plusieurs  biographies, dont celles de Juan Perón (Pardès, 2013) et de Ian Smith (Pardès, 2014), ainsi que d'un essai, La Bombe africaine et ses fragmentations (Dualpha, 2018).

     

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    " Cette 21e édition des Cahiers d’histoire du nationalisme nous emmène dans les années d’après-guerre en Amérique latine, plus précisément en Argentine, pays qui fut le théâtre d’une expérience politique originale : le Justicialisme. Surtout, le pays des gauchos et de la pampa fut le décor exotique d’une saga qui n’en finit pas de faire parler d’elle, celle des Perón.

    Dans cette nouvelle édition revue et augmentée, qui reprend une partie des deux ouvrages publiés précédemment, Perón, dans la collection « Qui suis-je ? » aux éditions Pardès, et Evita, la reine sans couronne des descamisados aux éditions Dualpha, nous revisitons l’extraordinaire ascension d’une petite « Cosette de la pampa », qui s’est hissée au rang des plus grandes stars mondiales. En sa compagnie, nous assistons à l’émergence d’une doctrine politique originale, tentant de concilier le « national » et le « social », le justicialisme, incarné par son mari le général-président Perón.

    Dans ce Cahier, l’auteur, Jean-Claude Rolinat, nous montre comment dans sa conquête des cœurs des « sans chemises » et dans la mise en œuvre de cette politique, l’inoubliable Eva Duarte illumina d’une lueur fulgurante les huit années passées aux côtés de son président de mari, avant qu’une cruelle maladie ne l’arrache à l’affection de ses millions d’afficionados, tragique événement qui allait plonger l’Argentine dans le malheur pour plusieurs années.

    Idole des descamisados, ce couple mythique a traversé l’histoire et, un peu comme le Gaullisme en France, reste une sorte de référence à ses lointains héritiers, lesquels, libéraux ou démocrates-socialistes, n’en finissent pas de trahir l’esprit d’origine du justicialisme. Affublé du qualificatif de « fasciste » par ses adversaires, cette doctrine politique s’en écartait par le côté plutôt débonnaire de son inspirateur, même si les grandes messes populaires convoquées devant la Casa rosada, pouvaient ressembler à celles du Duce place de Venise…

    Toujours imité, rarement égalé, le Péronisme inspira d’autres caudillos. Getulio Vargas au Brésil, comme Hugo Chavez au Venezuela dont parle également cet ouvrage, incarnèrent à leur manière  une sorte de « péronisme de gauche », avec les échecs qu’on leur connait.  Que la lecture commence … "

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  • L'Île aux trente cercueils...

    En réponse à la plateforme Netflix, qui a détourné l’œuvre de Maurice Leblanc pour l'adapter en une série dont le héros est joué par Omar Sy (...), les éditions de La Nouvelle Libraire rééditent L'île aux trente cercueils, une aventure bretonne d'Arsène Lupin, gentleman cambrioleur et anarchiste de droite...

     

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    " Arsène Lupin est de retour, mais au prix d’une contrefaçon grossière ! Notre gentleman-cambrioleur national s’est fait filouter par une plateforme américaine qui a falsifié l’œuvre de Maurice Leblanc. On n’y reconnaît plus l’original, qui a été escamoté selon les nouveaux rituels de la « cancel culture ». C’est lui que nous retrouvons ici, dans L’Île aux trente cercueils, l’une de ses aventures majeures, parue en 1919. 

    Le choix de ce titre n’est pas dû au hasard. C’est une œuvre à part dans le paysage lupinien, qui convoque une mythologie provinciale, merveilleusement enracinée. Dieux et vivants se meuvent dans une nature sacrée, tout de granit, d’embruns, de falaises escarpées et d’arbres séculaires… Un roman à la confluence des genres, entre le fantastique et le policier, qui nous renvoie aux origines celtiques de notre Histoire. 

    L’île bretonne de Sarek est habitée par les dieux, et les dieux réclament un sacrifice selon les rites anciens. C’est du moins ce que pensent les habitants, dont les légendes présagent depuis longtemps l’arrivée d’un drame : « Pour les trente cercueils, trente victimes, et quatre femmes en croix. » Superstition ou effroyable prophétie ? Nul ne sait. Mais pour la jeune Véronique, qui n’a jamais mis les pieds en Bretagne, quelle stupeur de se voir représentée sur un dessin au premier rang des crucifiées ! Cette découverte, faite au hasard d’un mystérieux jeu de piste, ravivera un passé violent et douloureux et la confrontera à d’invisibles forces surnaturelles… Sera-t-elle en mesure de conjurer le passé et d’échapper à son destin ? "

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  • Comprendre l'époque...

    Les éditions Kontre Kulture viennent de publier le nouvel essai d'Alain Soral intitulé Comprendre l'époque - Pourquoi l'égalité ?.

    Essayiste, polémiste et pamphlétaire, fondateur du mouvement Égalité & Réconciliation, Alain Soral est notamment l'auteur de Vers la féminisation (Blanche, 1999), de Jusqu’où va-t-on descendre ? - Abécédaire de la bêtise ambiante (Blanche, 2002), de Socrate à Saint Tropez (Blanche, 2003) et de Comprendre l'empire (Blanche, 2010).

     

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    " « Dix ans que je me creuse la tête, malgré les menaces, les persécutions et les risques pour écrire une suite à Comprendre l’Empire, une suite qui ne soit pas une redite.
    Dix ans que j’accumule les faits, les idées et que je cherche un plan. […] Dans Comprendre l’Empire, je partais de la Révolution française, de la succession Ancien Régime, République, de l’opposition Religion et Raison, y démontrant notamment tout ce que ce régime théocratique avait de raisonnable sur le plan pratique et tout ce que cette raison politique avait de fanatique et de déraisonnable dans les actes et les faits. J’y montrais aussi comment s’y déployait une logique, une logique politique de pouvoir et de domination…
    Mais de domination au nom de quoi ?
    C’est tellement évident, tellement devant nous et en nous, qu’on finit par ne plus le voir.
    Cette nouvelle domination des uns sur les autres, de la démocratie républicaine sur la monarchie théocratique, puis même de la république démocratique sur la démocratie républicaine s’est faite au nom d’un nom magique, d’une idée parfaitement séductrice : l’égalité !
    L’épopée moderniste, la grande idée, le concept au coeur de la dynamique du cycle c’est ça : le pouvoir au nom de l’égalité.
    Et une égalité de plus en plus totale, soit, en bonne logique, de plus en plus formelle et abstraite, ce qui se traduit le plus souvent dans la pratique en absurdité, voire en son contraire !
    Énorme paradoxe !
    Le voilà le coup de génie qui embrasse toute l’époque, la suprême arnaque comme sortie de la tête même du diable : l’inégalité au nom de l’égalité ! »

    Ainsi commence Comprendre l’Époque : pourquoi l’Égalité ? qui de la Tradition à Marx, de la logique formelle à la complexité du réel, de la parole du Christ à la loi du nombre et du Marché, nous fait cheminer jusqu’à ce futur qui se déploie sous nos yeux, entre surveillance de masse, censure et dictature à venir du grand reset. "

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  • Le Hussard porte le shako !...

    Avec Le Hussard porte le shako, les éditions Auda Isarn nous livrent une nouvelle aventure de Julien Ardant, dit le Hussard, cette fois-ci sous la plume de Jean-Claude Sacerdot. Ancien policier, journaliste, parachutiste, Jean-Claude Sacerdot est déjà l'auteur de plusieurs polars gouailleurs dont  La cuisse racée de Potemkine (Erick Bonnier, 2018).

     

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    " Le Hussard ? Si je connais… C’est moi ! Lieutenant-colonel de réserve, Julien Ardant, heureux propriétaire des Décombres, la librairie de l’élite, la vraie ! Il m’arrive de laisser mes merveilles gutembergiennes, pour répondre aux appels de ma sœur, une tête pensante des « Services ». Un phénomène, ma frangine ! Trois cerveaux, archi-diplômée, gueule d’ange, carrosserie à laisser sur le carreau Chapron, Pininfarina et Bertone, à croire qu’ils n’ont produit que des caisses à savon avec roues de roller au rabais. Alice est de plus conseiller près le PR (Président de la République). Je n’ai rien à lui refuser. À son appel je quitte la péniche, ma cagna flottante et aussi Héloïse ma douceur. Vous mordez le tableau ? Tout ça pour dire qu’une rouquine, à foutre le feu à un élevage de séminaristes, débarque aux Décombres avant fermeture pour m’apprendre que Charogne est à l’agonie ! Inimaginable… Après une nuit sur laquelle je ne m’étendrai pas, ma rouquemoute disparaît ; le drame ! Je saute dans Arletty, ma Facel-Vega et voilà Don Quiyoyote de la touffe sur la piste de la rouquine. Ce qui m’attend me fait frémir, alors vous… Mieux vaut n’y pas penser ! "

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