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  • Tour d'horizon... (285)

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    Au sommaire :

    - sur Youtube, un entretien filmé et en français de Julius Evola par Dominique de Roux...

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    - sur Cairn, un article de Pierre-André Taguieff consacré à Georges Vacher de Lapouge...

    Racisme aryaniste, socialisme et eugénisme chez Georges Vacher de Lapouge (1854-1936)

    Vacher de Lapouge.jpg

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  • Feu sur la désinformation... (517) : Les Frères musulmans, l’infiltration silencieuse depuis plus de 40 ans !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                                

                                           

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  Roumanie, le scandale des élections sous ingérences. Pavel Durov, le directeur de Telegram, accuse la France et l’UE de soutenir un candidat pro-européen contre la volonté populaire.

    Dossier du jour :  Les Frères musulmans, l’infiltration silencieuse depuis plus de 40 ans ! Un rapport alarmant de 77 pages déclassifiées vient de sortir dans la presse pour expliquer comment l’islam politique s’implante en France. Un problème qui ne date absolument pas d’hier et qui arrive dans les mains de la presse juste après l'élection de Bruno Retailleau à la tête des Républicains.

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    Pastilles de l’info:

    • Eurovision 2025 : la polémique des votes "influencés par la géopolitique"
    • Mathieu Kassovitz à Cannes : "Il n’y a plus de Français de souche"
    • Pierre-Edouard Stérin vs la commission d’enquête : le milliardaire en guerre contre les clowns
    • Bernard Arnault tacle Le Monde : "Un journal pro-LFI"
    • RATP : la chasse aux "usagers qui payent" et la dérive sécuritaire
    • Apolline de Malherbe “mal à l’aise” face à une victime de l’insécurité

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Dominique Reynié, directeur général de Fondapol

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  • Haut les têtes !...

    Les éditions Intervalles viennent de publier le premier roman de Gabriel Saillard intitulé Haut les têtes. Gabriel Saillard est avocat.

     

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    " Paul est avocat dans un grand cabinet parisien. Féru d'histoire, il s'est lancé dans l'écriture d'un livre sur Georges Clemenceau et Winston Churchill. Pendant ce temps, à l'Assemblée nationale, l'avancement posthume d'Alfred Dreyfus au grade de général de division fait bondir les extrêmes de tous bords et embrase le débat public. Et si le projet littéraire de Paul s'avérait plus délicat que prévu? Haut les têtes est un roman mordant et enlevé sur la liberté d'expression à l'heure de l'affaissement culturel. Dans une époque minée par les dérives identitaires et les ravages du conformisme, le personnage de Paul, bercé par un imaginaire fait de Krak des chevaliers et de cadets de Gascogne, nous plonge dans la folie d'un monde où même les hussards les plus hardis peinent à garder la tête haute. "

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  • Poutine : derrière les négociations, une stratégie de long terme...

    Pour son émission sur TV Libertés, Chocs  du monde, Edouard Chanot reçoit Raphaëlle Auclert pour évoquer avec lui les stratégies de puissance russes et américaines dans les négociations autour du conflit en Ukraine.

    Raphaëlle Auclert est enseignante-chercheuse. Elle est l'auteur d'une trentaine d'articles et intervient régulièrement dans des médias français, russes et anglo-saxons. Avec le colonel  Peer de Jong, elle a publié Poutine, Lord of war (Mareuil, 2024).

     

                                           

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  • Ukraine : Géostratégie d'une guerre moderne...

    Les éditions Armand Colin viennent de publier un essai de Philippe Boulanger intitulé Ukraine - Géostratégie d'une guerre moderne. Professeur de géographie à Sorbonne-Université, Philippe Boulanger est déjà l'auteur de La géographie reine des batailles (Perrin, 2020).

    Boulanger_Ukraine - Géostratégie d'une guerre moderne.jpg

    " Depuis le 24 février 2022, la guerre en Ukraine a mis en lumière l'importance cruciale de maîtriser les espaces physiques — terre, mer, air. Les Ukrainiens, résolus à défendre leur territoire, se concentrent sur la reconquête du Donbass, tandis que les Russes cherchent à contrôler ces régions stratégiques pour imposer leur domination et renverser le régime de Kiev. Chaque action militaire est guidée par la nécessité de contrôler ces zones clés.
    Un conflit qui se joue également sur des nœuds géostratégiques. Flux logistiques et énergétiques, batailles urbaines, ou espaces immatériels comme le cyberespace, sont autant de points cruciaux qui influencent la planification et l'exécution des stratégies de chaque camp.
    À travers une analyse géostratégique inédite, cet ouvrage dévoile comment ces éléments géographiques et immatériels façonnent les stratégies militaires et orientent l'évolution du conflit.
    Une lecture essentielle pour comprendre les enjeux majeurs de cette guerre et ses conséquences pour l'avenir de l'Europe. "

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  • La remigration : légitimité, nécessité, possibilité...

    Nous reproduisons ci-dessous l'intervention de Jean-Yves Le Gallou au Sommet européen pour la remigration, organisé par Martin Sellner, qui s'est tenu le 17 mai.

    Remigration_Sellner_Sommet.jpg

    La remigration : légitimité, nécessité, possibilité

    I. Légitimité

    Une identité européenne ancrée dans l’histoire et la génétique

    L’Europe est le continent des Européens. Le peuplement de l’Europe remonte à 40 000 ans avec l’expansion des peuples de chasseurs-cueilleurs. Nous, Européens contemporains, portons les mêmes gènes que les artistes pariétaux des grottes de Lascaux en France, d’Altamira en Espagne, de Hohle Fels en Allemagne ou de Fumane en Italie. Ce peuplement initial a été partiellement modifié, en particulier dans le sud de l’Europe, par l’arrivée d’agriculteurs anatoliens il y a 8 000 ans. Puis il a été complété par l’expansion des Yamnayas, un peuple de chasseurs-cueilleurs venu des steppes pontiques, il y a 5 000 ans. Une migration apportant les langues indo-européennes que nous parlons encore aujourd’hui à travers les rameaux grecs, romains, celtiques, germaniques ou slaves ; ainsi qu’une cosmogonie et une organisation sociale, la tripartition, qui n’a cessé d’irriguer la civilisation européenne, y compris après la christianisation (oratores, bellatores, laboratores).

    Si je rappelle cela – fort brièvement – c’est pour réaffirmer cette évidence : la grande ancienneté du peuplement de l’Europe par les Européens : 40 000 ans pour l’essentiel du substrat génétique, 5 000 ans pour le cœur de l’identité culturelle, 2 000 ans pour l’appartenance religieuse.

    Un peuple premier menacé

    C’est essentiel. Au moment où les conventions internationales protègent les « peuples premiers », Indiens d’Amazonie, Mélanésiens ou Wallisiens du Pacifique, il est enfin temps de défendre le droit des Européens – peuple premier d’Europe – à défendre leur droit sur leurs terres ancestrales. Le droit à défendre leur identité ethnique et civilisationnelle, le droit à refuser l’invasion de populations venues d’ailleurs. Oui, la déclaration des Nations unies (2007) sur les droits des peuples autochtones doit aussi s’appliquer aux Européens menacés par une envahissante colonisation de peuplement.

    II. Nécessité

    Une submersion démographique en cours

    À ce titre, la remigration est légitime. Elle est aussi indispensable. Tout simplement pour prévenir la submersion, éviter le devenir minoritaire des Européens sur leur propre terre.
    En France, nous avons longtemps disposé d’un indicateur de la proportion des populations extra-européennes parmi les naissances : le dépistage des nouveau-nés à la drépanocytose, une maladie génétique rare qui peut toucher les populations venues d’Afrique, du Maghreb, des Caraïbes, d’Amérique latine, d’Asie du Sud. En 2000, 20 % des naissances étaient dépistées pour cette maladie en France métropolitaine. 40 % en 2022. Et 100 % en 2024… parce que le gouvernement a décidé de casser le thermomètre et de dépister tout le monde pour éviter – je cite – les « stigmatisations » ! Reste que si les tendances actuelles se poursuivent, les nouveau-nés européens de souche seront minoritaires dans les maternités françaises en 2035 ou 2040.

    Projections inquiétantes

    Pour évaluer l’impact de l’immigration, on peut utiliser d’autres calculs et extrapoler la progression de la part de la population d’origine étrangère extra-européenne dans les différents pays d’Europe de l’Ouest. Et constater qu’à données inchangées, les Européens seront minoritaires dans certains pays à partir de 2060, en Suède par exemple.
    Ce phénomène s’explique de deux manières :
    • L’entrée d’étrangers extra-européens toujours plus nombreux ;
    • Des taux de fécondité beaucoup plus élevés chez les femmes non européennes, en particulier chez les primo-arrivantes.
    Il est à noter que même sans entrées nouvelles, les populations étrangères extra-européennes ont vocation à croître par simple dynamique interne.

    Si l’on veut que les Européens – peuple premier de l’Europe – restent maîtres de leur destin, il n’y a donc pas d’autre option que la remigration.

    III. Possibilité

    Fermeté et progressivité

    Légitime et indispensable, la remigration est possible, contrairement à ce qu’affirment les artisans du malheur de l’extrême gauche ou les modérés intimidés.
    Comment ? En procédant de manière progressive.
    Ex. : expulsant d’abord les clandestins et les délinquants. Pourquoi est-ce essentiel de commencer par eux ? Parce que, comme l’a bien vu l’écrivain français Renaud Camus, l’homme du constat du Grand Remplacement, les délinquants sont le bras armé du colonisateur. Si on les met hors d’état de nuire et qu’on les expulse, tout devient possible.
    Ensuite, il faut renvoyer ceux qui ne vivent que d’aides sociales et d’allocations. Cela fait du monde dans nos pays à l’État-providence généreux. Rien n’interdit non plus de ne pas renouveler à leur expiration – voire d’interrompre – les titres de séjour imprudemment attribués à certains ressortissants des nationalités les moins désirables.

    Restera un dernier problème, le plus sensible : que faire des non-Européens présents depuis deux ou trois générations sur notre sol ? La question est plus délicate, d’autant que dans de nombreux pays – la France, la Belgique, la Grande-Bretagne, mais aussi l’Allemagne – certains ont pu acquérir la nationalité du pays d’accueil.

    Il faut, me semble-t-il, distinguer trois catégories :
    • Ceux qui ne sont pas assimilés et qui développent une attitude hostile au pays qui les a accueillis ;
    • Ceux qui, sans être assimilés, respectent les mœurs et les hommes et les femmes du pays d’accueil ;
    • Ceux qui sont assimilés.

    Le renvoi des hostiles – y compris en leur retirant une nationalité qu’ils usurpent – doit être une priorité. Car leur hostilité en fait, là aussi, les soldats du colonisateur. Un colonisateur qu’il faut désarmer par une répression sans faille de ses délinquants. Et ce, quelle que soit leur nationalité.
    À contrario, les descendants d’étrangers pleinement assimilés méritent la nationalité qu’eux et leurs parents ont acquise.

    Voilà quelles me paraissent être les grandes lignes d’une politique de reconquête de l’Europe par les Européens.

    IV. L’Union européenne et la souveraineté

    Identitaires européens, unissez-vous

    Un dernier point mérite d’être abordé. C’est celui de l’Union européenne. Beaucoup d’entre nous ont, c’est bien légitime, un tropisme souverainiste. Mais ce serait une erreur de croire que l’Union européenne est seule responsable. Comme si Macron valait mieux que Delors, ou Merkel et Merz mieux que Von der Leyen. Idéologiquement, ce sont les mêmes !

    Des pays comme la France, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne ont engagé des politiques immigrationnistes bien avant que l’Union européenne ne s’en mêle, dès les années 1970, alors même que l’Union européenne n’a acquis la compétence sur l’immigration que dans les années 2000/2010. L’Union européenne peut être un accélérateur, elle n’est pas la cause. D’ailleurs, la Suisse, la Norvège et l’Islande ont des problèmes d’immigration comparables sans être dans l’Union européenne. Et le Brexit n’a pas amélioré, bien au contraire, la situation de la Grande-Bretagne.

    Tout simplement parce que dans tous nos pays, les juges – avec ou sans l’Union européenne – ont pris le pouvoir. C’est ainsi qu’au nom de principes généraux, de conventions internationales et d’inventions jurisprudentielles, nos pays sont passés d’un droit de l’immigration à un droit à l’immigration. D’un droit de l’immigration qui faisait prévaloir l’intérêt général du pays à un droit à l’immigration qui se place exclusivement du point de vue de l’intérêt du migrant : on l’a vu avec le changement de la nature de Frontex, passé d’organisme de protection des frontières à celui d’accueil des migrants.

    Il faut changer de logiciel, rendre aux citoyens leur souveraineté, rétablir le droit des peuples européens à préserver leur identité, reprendre le pouvoir aux juges et fonder un droit de la remigration.
    Ne nous y trompons pas : une telle entreprise ne sera pas possible dans un seul pays. Elle ne sera possible que si un mouvement de fond traverse le continent. Les Européens doivent réacquérir leur identité. C’est un combat essentiel, mené en France par l’Institut Iliade, en Italie par l’Institut Enéide, en Espagne par l’Institut Charles Quint. Cette réappropriation est essentielle. Identitaires européens, unissez-vous !

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 17 mai 2025)

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