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  • L'honneur au-dessus de la vie...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier un essai polémique de Bernard Lugan intitulé Éloge du duel - L'honneur au-dessus de la vie.

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018), Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020) et dernièrement Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021).

    Il est également l'auteur de deux romans avec Arnaud de Lagrange, Le safari du Kaiser (La Table ronde, 1987) et Les volontaires du Roi (réédition : Balland, 2020) ainsi que d'un récit satirique, Le Banquet des Soudards (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

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    " Une société qui sait se tenir ne craint pas de recourir aux armes pour régler ses différends, d’homme à homme. La nôtre l’a oublié, au bénéfice des couards, qui n’ont plus à payer le prix de leur impudence, sinon en frais de justice. Il y a fort à parier que certains journalistes ravaleraient leurs provocations et montreraient une salutaire prudence si leurs écrits les engageaient sur le pré… L’Éloge du duel, loin de célébrer la force brute, est tout au contraire une invitation à revenir à une civilisation réglée par le code de l’honneur, faite d’hommes trempés comme l’acier et de femmes qui se battent seins nus. Universitaire et mousquetaire dans l’âme, Bernard Lugan retrace l’histoire de cette noble institution et défend les valeurs viriles contre les velléités castratrices du wokisme. "

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  • L'intelligence artificielle : la puissance ou la mort...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Laurent Ozon à Géopolitique profonde dans lequel il évoque la question de l'intelligence artificielle. 

    Essayiste et analyste politique, tenant d'une écologie localiste et identitaire, premier promoteur de l'idée de remigration, Laurent Ozon est l'auteur de l'excellent essai intitulé France, années décisives (Bios, 2015).

     

                                           

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  • Histoire des soldats libres...

    Les éditions Dualpha viennent de rééditer une étude historique de François-Xavier Sidos intitulé Histoires des soldats libres - De l'Antiquité à l'an 2000

    Consultant en sûreté, officier honoraire de l'Armée de l'air, François-Xavier Sidos a été un des lieutenants de Bob denard aux Comores.

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    " Qui sont les mercenaires ? À quoi servent-ils ? Faut-il les condamner ?

    L’époque est à la « privatisation de la guerre », mais les mercenaires restent très méconnus.

    Ce livre sans équivalent fait le point sur la passionnante tradition historique dont ils sont issus. Il sera utile à tous ceux qui souhaitent comprendre le phénomène mercenaire sans sacrifier à la facilité de idées reçues. L’histoire des soldats libres est une formidable aventure, qui traverse les siècles en conservant toujours une actualité surprenante. Elle est ici traitée au travers des principales personnalités qui l’ont façonnée. Soldats de fortune et d’infortune, ils ont jalonné l’histoire par leurs aventures et par leurs sacrifices. De Xénophon à Bob Denard, ce sont près de vingt-cinq siècles d’engagements, de combats et de rêves vécus qui sont ici racontés.

    Trop d’erreurs, d’approximations, souvent même de calom­nies ont été écrites, recopiées et colportées sur le mercenariat, à tel point que son sens actuel dans le langage commun est à peu près à l’opposé de son véritable contenu historique. Notre objet n’est pas tant de réhabiliter le terme – il suffit d’en utiliser un autre en cas de besoin – que de témoigner de la réalité du mercenariat à travers l’histoire.

    Il y a une réalité mercenaire, loin des mythes et des jugements péremptoires. C’est cette réalité-là qu’il faut cerner, comprendre et, pourquoi pas, vivre. "

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  • Allemagne : des antifas camouflés en journalistes...

    Nous reproduisons ci-dessous un article de l'hebdomadaire Junge Freiheit cueilli sur le site de l'Observatoire du journalisme et consacré au phénomène des antifas détenteurs de cartes de presse qui fabriquent des "dossiers d'objectif" sur les militants de droite en Allemagne...

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    Allemagne : des antifas camouflés en journalistes

    Les extrémistes de gauche veulent détruire leurs opposants. Et, pour un antifa, est opposant toute personne qui n’est pas antifa. Visites à domicile, menaces, atteintes corporelles sont leur pain quotidien. Ils l’affichent sur Internet. Mais comment les autonomistes violents obtiennent-ils donc les données personnelles de leurs victimes ?

    Entre autres, sous le camouflage de journalistes. Car la liberté de la presse a un statut constitutionnel dans l’État qu’ils combattent. Et sous cette protection, il est possible de prendre de magnifiques photos, d’espionner et de dénoncer en passant presque inaperçu.

    Pour un antifa, « tout cela n’est pas si difficile »

    « Une fois qu’on s’y met vraiment, ce n’est pas si difficile de faire des recherches », déclarait une certaine Clara au journaliste Emil Larson du journal nd-aktuell (anciennement Neues Deutschland – Journal appartenant à Die Linke, parti politique d’extrême gauche. Neues Deutschland était l’organe officiel du parti communiste de la RDA. N.d.t.). Son article sur les « groupes de recherche antifascistes » date de trois ans, mais plusieurs affirmations restent intéressantes. Les antifas, expliquait Clara, exercent différentes professions dans leur vie civile.

    Ils sont entre autres employés de banque, menuisiers et étudiants. En raison de leur parcours professionnel, ils disposent d’un excellent accès aux données personnelles, bien au-delà des adresses enregistrées, ou, du fait de leurs études, ils possèdent « certaines compétences informatiques ».

    Techniques du ministère de la Sécurité de l’État de la RDA

    Les antifas connaissent, en partie grâce à leur expérience personnelle, la situation financière et familiale de la personne surveillée par les extrémistes de gauche. Le motif de leurs actions, ainsi qu’ils l’affirment, est d’attirer l’attention sur les victimes afin de les exclure de la société et ainsi de les mettre en insécurité. Ils sont heureux que ceux qu’ils ont dénoncés, ostracisés, ne puissent même plus commander une tasse de café.

    Cette incertitude amènerait alors leurs victimes à abandonner leur travail politique. Reste à savoir s’il s’agit d’un vœu pieux de la part des extrémistes de gauche ou si cela correspond à la réalité : il s’agit en fait de la mise en œuvre de la directive 1/76 du ministère de la Sécurité de l’État de l’ex-RDA.

    Effet haut-parleur des annonces sur Internet

    Ces sbires de la violence antifa utilisent une méthode en deux étapes. Vient tout d’abord le « targeting ». Le mot anglais : target , la cible ; le « targeting » équivaut donc à prendre pour cible, à marquer et cibler une victime. Des extrémistes de gauche déguisés en journalistes photographient les personnes qui attirent leur attention lors de manifestations, d’événements ou à des stands de campagnes électorales. Les photos sont alors publiées sur Internet avec une demande d’identification des personnes.

    Vient ensuite la touche finale, le « doxing ». Un autre terme anglais. Docs signifie documents, familièrement, « dox ». Le « doxing » désigne la collecte de données personnelles sur Internet. Ces données sont ensuite publiées sans le consentement de la personne concernée.

    Les antifa disposent d’un « réseau très uni de partisans »

    Comme l’explique le rapport de l’Office de protection de la Constitution du Land de Saxe-Anhalt pour 2020, à la page 161 : « Dans le contexte de l’antifascisme, les extrémistes violents de gauche n’agissent pas en vase clos, mais peuvent s’appuyer sur un réseau de soutien très uni. En conséquence, les attaques d’extrême gauche sont devenues de plus en plus violentes et personnelles ces dernières années. Les victimes sont spécifiquement recherchées afin d’être attaquées dans leur environnement personnel. »

    Condition préalable à cela, avant tout : les « recherches antifascistes ». Il s’agit de campagnes d’espionnage qui permettent notamment de rechercher l’adresse, l’employeur et les conditions de vie d’extrémistes de droite présumés ou avérés, puis de les publier à des fins de stigmatisation.

    Les antifa évoluent à la limite de la légalité

    Ces « équipes de recherche » agissent principalement sur Internet, utilisant néanmoins également des méthodes d’observation classiques. « Les actions de ces équipes sont à la limite de la légalité, car il n’est pas rare que l’opposant politique soit espionné lors d’activités sous couvert de « documentation ».

    Les « équipes de recherche » photographient à la fois les participants et leurs plaques d’immatriculation, et les publient ensuite à des « fins de documentation » sur des blogs créés spécialement à cet effet, comme par exemple sur le portail de la scène extrémiste de gauche de la ville de Halle, le « Portail d’information antifa Baisse ton pantalon ». À l’aide de portraits détaillés, les participants doivent être identifiés. Ils sont ensuite « démasqués » publiquement, par le biais d’affiches ou sur Internet.

    L’importance des connaissances informatiques pour le travail des extrémistes de gauche se constate sur la « plate-forme de recherches EXIF », d’extrême gauche : «  Les données EXIF sont des métadonnées telles que la date, l’heure, le temps d’exposition ou les coordonnées géographiques qui sont automatiquement stockées en images numériques. En bref : EXIF met l’image en texte. L’un des éléments constitutifs les plus importants de la recherche antifasciste est la collecte et l’évaluation d’images. Les manifestations, réunions, rencontres etc. sont analysées et liées aux informations existantes. »

    Les cartes de presse donnent un accès rapide

    Afin d’obtenir des portraits nets des victimes et de les identifier, le photographe doit se rapprocher — ce qui peut être difficile lors des manifestations. Une carte de presse facilite grandement le travail, permettant d’aller de manifestants à contre-manifestants, en passant et repassant par les barrières de police. Ils doivent montrer leur carte de presse aux agents.

    S’agit-il de cartes de presse véritables ? On en trouve sur Internet pour un peu moins de 25 euros, comme articles de farces et attrapes, destinés uniquement à un usage privé. Le porte-parole de l’Association allemande des journalistes (DJV), Hendrik Zörner, a déclaré à Junge Freiheit qu’il ignorait complètement l’utilisation abusive de la carte de presse nationale par des extrémistes. « Je ne suis au courant d’aucun cas » a t-il déclaré au téléphone. En outre, les policiers seraient formés pour reconnaître les faux papiers.

    Un commentaire de février 2019 dresse un tableau différent. Le même Zörner y critique l’utilisation abusive de la carte de presse – à droite. Les nazis utiliseraient de faux papiers lors des manifestations pour pénétrer dans les zones barrées et tabasser les gauchistes. De plus, la police serait souvent incapable de reconnaître les fausses cartes de presse.

    Selon les informations de Junge Freiheit cependant, il y aurait eu au moins un soit-disant journaliste muni d’une fausse carte de presse lors de la manifestation du 1er mai à Berlin cette année.

    Financement grâce à des fondations et des subventions du gouvernement fédéral

    Ces antifas camouflés en journalistes ont aussi une autre tâche. Ils sont censés fournir des photos « choc » des manifestations. Rien de plus simple pour eux puisqu’ils peuvent photographier en toute sécurité, en direct, faisant partie eux-même des manifestants. Les images sont ensuite publiées sur différents blogs sur Internet, ces collections de photos idéalisant la manifestation. Un marketing intelligent en soi. Bien entendu, toutes les personnes photographiées sont rendues méconnaissables.

    Et les médias grand public eux aussi aiment fouiller dans ces collections, à la recherche de matériel iconographique.

    Les antifas bénéficient également de la formation continue. La Linke Medienakademie (LiMA)/L’Académie des médias de gauche, propose des cours et des conférences : « Notre objectif est de promouvoir des perspectives critiques et émancipatrices dans les médias. » Interviennent des conférenciers et des interlocuteurs de renom tels que Emily Laquer, devenue célèbre comme porte-parole des participants aux émeutes frisant la guerre civile lors du sommet du G20 à Hambourg en 2017.

    Emily Laquer appartient à la « Gauche interventionniste (IL) post-autonome et orientée vers la violence », selon un rapport des Affaires intérieures de Hambourg. Il y est dit à propos de ce mouvement : « Grâce à un travail d’alliance tactique et stratégique ciblé avec des non-extrémistes, par exemple sur la question du G20, ils assurent la mise en contact de l’agitation extrémiste de gauche au-delà des structures extrémistes de gauche. » Par ailleurs, la LiMA/Académie des médias de gauche a été financée en 2022 par la Fondation Rosa-Luxemburg à hauteur de 60.000 euros, recevant par ailleurs 22.000 euros du Fonds Socio-culturel, ce dernier étant à son tour financé par la commissaire du gouvernement fédéral à la culture et aux médias

    Observatoire du journalisme (Ojim, 21 septembre 2023)

    Source : Junge Freiheit, 20/08/2023. Traduction : AC

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  • Raisonnablement sexiste...

    Les éditions Magnus viennent de publier un nouvel essai de Laurent Obertone intitulé Raisonnablement sexiste - Remettre les hommes et les femmes à leur place.

    Journaliste, Laurent Obertone est l'auteur de trois enquêtes essentielles, La France Orange mécanique (Ring, 2013), La France Big Brother (Ring, 2015) et La France interdite (Ring, 2018), qui ont contribué à fissurer l'édifice du politiquement correct, ainsi que du récit Utøya (Ring, 2013). Il a publié récemment un essai intitulé Game over - La révolution antipolitique (Magnus, 2022).

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    " Jamais les hommes et les femmes n’ont été à ce point malmenés, niés, séparés les uns des autres, par une époque qui semble jurer leur perte. Une relation déjà difficile, chaque jour un peu plus empoisonnée. D’un côté les salauds qu’il faut déconstruire, de l’autre les malheureuses oppressées, victimes du patriarcat sexiste. 

    Féminisme Netflix, wokisme « non binaire », théorie du genre dans les écoles… L’évolution des rapports amoureux, de la sexualité, des familles et des couples s’avère catastrophique. 

    Il est temps de renverser la vapeur. 

    Spécialiste des vérités qui dérangent, Laurent Obertone rompt une nouvelle fois avec le dogme, pulvérise les tabous, et nous plonge dans un bain de réel. 

    Comprendre les hommes et les femmes, les ramener à leurs particularités et aspirations fondamentales, pour mieux les réconcilier, les unir et les accomplir. Lecteurs et lectrices, voici l’heure du bilan sans concession, et du traitement de choc. Dans cette tragédie dont nous sommes les héros, vous seuls pouvez remettre les choses à l’endroit. 

    Tel est l’objet de ce livre décapant. 

    Tel sera le tombeau du politiquement correct. "

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  • Sobriété, déconsommateurs : cache-misère des gouvernements ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Jean-Marc Jancovici à Thinkerview, consacré à la question de la décroissance et à celle de l'énergie.

    Polytechnicien, spécialiste des questions énergétiques, Jean-Marc Jancovici est l'auteur ou le co-auteur de plusieurs essais sur le sujet, dont "Dormez tranquille jusqu'en 2100", et autres malentendus sur le climat et l'énergie (Odile Jacob, 2017).

     

                                               

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