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  • Le coup d'état des médias...

    Pour ce numéro spécial de l'émission I-Média sur TV libertés, Jules Blaiseau reçoit Martial Bild, pour évoquer avec lui la caste médiatique à l'occasion de la publication de l'ouvrage Défaire le parti des médias (Dualpha, 2022) qu'il a écrit avec Philippe Milliau...

     

                                                 

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  • La gauche, ce n'était pas mieux avant !...

    Foin de la nostalgie ! La gauche, ce n'était pas mieux avant, comme nous le rappelle avec brio Thaïs d'Escufon dans cette nouvelle mise au point.

    Porte-parole talentueuse et courageuse du mouvement Génération identitaire, Thaïs d'Escufon développe désormais avec brio une activité de publiciste sur les réseaux sociaux.

     

                                                  

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  • Patrick Chauvel, reporter intrépide...

    Le trente-huitième numéro de la revue Livr'arbitres, dirigée par Patrick Wagner et Xavier Eman, est en vente, avec un dossier consacré aux écrivains d'Occitanie et un autre à l'Ukraine, ainsi qu'un long entretien avec Patrick Chauvel...

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Nouveautés

    Frédéric Beigbeder

    René de Ceccatty

    Eric Holder

    Dossier

    Écrivains d'Occitanie

    Ukraine, une nation écartelée

    Entretien

    Patrick Chauvel

    Alexandre Goodarzy

    Frédéric Vitoux

    Jacqueline Blancart-Cassou

    Louis-Egoïne de Large

    Yann Vallerie

    Portrait

    Elysée reclus

    Marie Gevers

    Gustave Thibon

    Jean Mabire

    Alain Finkielkraut

    Andreï Makine

    Inédit

    Paul Gadenne

    Réédition

    Antoine Blondin

    Domaine étranger

    Maurice Maeterlinck

    Sandor Maraï

    Polar

    Pierric Guittaut

    Essai

    Stephano Boni

    Thierry Bouclier

    Eudes Gannat

    Rémi Soulié

    Histoire-panorama

    Conseils de Condorcet

    Critique du nationalisme

    Du côté de Céline

    In Memoriam

    Molière

    Proust

    Zaborov

    Cinéma

    Sacha Guitry

    Illusions perdues

    Jacques Aumont

    Revue Prime Cut

    Littérature jeunesse

    Anne-Laure Blanc / Clotilde Jannin

    Bande dessinée

    Jehanne d'Arc / La terre vagabonde

    Carrefour de la poésie

    Entretien avec Kiril Kaddiiski

    Réflexion

    Peinture en prose

    Poème en prose

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  • Feu et destin : Manifeste du Prométhéisme...

    Nous reproduisons ci-dessous le "Manifeste du Prométhéisme" de Prometheica, revue italienne d'études sur le surhumanisme, la technique et l'identité européenne, qui compte parmi ses animateurs, notamment, Adriano Scianca et Carlomanno Adinolfi.

     

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    Feu et Destin :
    Manifeste du Prométhéisme

    1 L’ASSAUT AU CIEL

    Le feu de la technique est aujourd’hui dérobé par un système de pouvoir qui se dit progressiste mais qui est en réalité bigot, superstitieux et stagnant. Par technique, nous entendons non seulement l’ensemble des pratiques et des savoirs liés à la science, mais aussi tout l’assortiment des actes politiques, esthétiques, religieux, sociaux avec lesquels l’homme a historiquement compris et transformé le monde, l’œuvre générale de mobilisation totale de la réalité aujourd’hui méconnue, omise et condamnée. Dans cet Olympe décadent, les dieux exténués de la civilisation humaniste, égalitariste, libérale conservent une flamme sans en avoir conscience, une flamme dont ils ne soutiennent même plus la vue. L’assaut contre ce ciel de plomb pour la libération du feu est ce que nous appelons la Révolution Prométhéenne.

    2 EUROPE AVANT-GARDE

    La technique a une portée à la fois universelle et particulière. Cette étincelle d’innovation et de création accompagne l’homme depuis toujours et en tout lieu, elle est même ce que l’être humain a de spécifique par rapport aux animaux. Cette portée a cependant été déclinée de manières très différentes dans les diverses cultures : certaines, bien que ne pouvant empêcher l’usage de la technique, l’ont entourée d’interdits, de tabous, de condamnations morales et de narrations inhibitrices. D’autres, au contraire, en ont fièrement relevé le défi. Le nom de la terre où le feu de la technique a brûlé avec le plus d’éclat est : Europe. Le prométhéisme reconnaît et revendique ce trait culturel, sans pour autant fonder sur lui aucune prétendue hiérarchie morale universellement valable.

    3 ACCÉLÉRER POUR NE PAS POURRIR

    Résolument révolutionnaire, le prométhéisme rejette toute tentation réactionnaire ou conservatrice, toute critique de l’esprit du temps qui parte de l’esprit du temps tout juste passé, tout refuge dans des valeurs et des institutions données. Le réactionnaire n’est que l’agent régulateur du subversif, celui qui défend les subversions d’hier. Ce n’est pas en retardant les processus en cours que l’on échappe à leurs aspects perturbateurs, mais en les accélérant à une vitesse telle, qu’elle en fasse ressortir l’impensé. Ne pas se retirer du processus, donc, mais aller plus loin, accélérer le processus.

    4 POUR LA SURHUMANITÉ

    Pour le prométhéisme, l’homme, comme abstraction autant éthique que biologique, est quelque chose qui doit être dépassé. Ontologiquement propulsé vers l’avant tel un projectile, l’homme est réellement fidèle à lui-même quand il dépasse ses propres limites. Il ne se retrouve pas dans une essence façonnée à l’image et à la ressemblance d’un être transcendant ou d’une charte des droits, mais dans un nombre incalculable de transformations, imitations, hybridations, relations, connexions ; il se prolonge dans la machine, s’identifie à l’animal, il se répand dans l’ordinateur, se projette dans les dieux. L’homme est sa propre expérimentation. Si cette tension vers “l’ultérieurité” accompagne l’homme dès l’hominisation, aujourd’hui elle devient consciente. Le défi pour la post-humanité devient un défi incontournable, qui peut, bien entendu, conduire à l’inhumain comme au surhumain. Le conflit fondamental – qui caractérisera l’avenir et dans lequel le prométhéisme prend part avec un lucide fanatisme – est la bataille entre les éleveurs d’un homme rétréci et les éleveurs d’un homme renforcé.

    5 POUR UNE POLITIQUE PROMÉTHÉISTE

    Le prométhéisme refuse de se cristalliser en une formule sociale spécifique déduite de la politique politicienne et admet en son intérieur des sensibilités et des provenances différentes. Il ne peut cependant s’accorder avec des positions humanistes, kantiennes, réformistes, hédonistes, réactionnaires, conservatrices, technophobes, cléricales, libérales ou politiquement correctes. Par conséquent, le cercle se resserre.

    6 SOUVERAINETÉ TECHNOLOGIQUE TOTALE

    Le thème de la souveraineté technologique s’impose avec une telle évidence que même les agendas politiques des sociétés occidentales en font de plus en plus souvent mention. Ces préoccupations sont cependant réduites à néant par les utopies mondialistes, les tabous technophobes et la perte constante de souveraineté générale que l’on constate à tous les niveaux dans nombre de ces sociétés. Le prométhéisme exige une souveraineté technologique totale, pour laquelle sera sûrement nécessaire un « saut quantique » dans la manière globale de se référer à la politique et à la technologie. La souveraineté technologique totale implique – puis elle alimentera – la souveraineté politique et la disponibilité de moyens technologiques à la hauteur, c’est-à-dire la liberté et la possibilité concrète d’adopter certaines stratégies. Ce « saut quantique » n’est donc concevable qu’à l’échelle de la grande politique, qui est forcément celle du grand espace de civilisation européen.

    7 L’AUTODÉTERMINATION BIOCOMUNAUTAIRE

    Le développement des biotechnologies et des anthropotechniques met aujourd’hui l’homme face à des décisions pour lesquelles il en ira de la quantité et de la qualité de sa descendance. Le perfectionnement des techniques de diagnostic et de soins prénataux, de procréation artificielle, d’édition génomique, de clonage change radicalement la perspective dans laquelle nous concevons aujourd’hui les questions démographiques ainsi que ce nœud de problèmes mêlés de tabous brûlants qui porte le nom d’eugénisme. Mais, que nous décidons d’utiliser pleinement toutes les techniques à notre disposition, ou que nous décidons d’y fixer des limites, nous sommes, de toute façon, pleinement responsables de la direction que nous avons choisi d’entreprendre. L’interdit bioéthique est lui aussi un choix interventionniste, culturel, auto évolutif. Le prométhéisme vise à relever de manière créative ce défi en vue d’une autodétermination biocommunautaire.

    8 UNE ÉCOLOGIE FUTURISTE

    Contrairement aux apparences, le prométhéisme est aujourd’hui la seule vision du monde qui puisse aboutir à une pratique écologique couronnée de succès. L’environnementalisme petit-bourgeois des « petits gestes quotidiens », celui nihiliste et extincteur, la temporisation suicidaire de la décroissance, le green washing hypocrite des multinationales – tout cela relève d’une idéologie anti-humaine, anti-politique et anti-européenne qui n’a, par ailleurs, le moindre espoir d’influencer les dynamiques écologiques. La seule écologie authentique est celle qui intervient sur la nature, avec plus et non avec moins de technique, et qui décide comment modeler l’environnement selon des paramètres culturels donnés. Bases pour une écologie prométhéenne : géo-ingénierie, nanotechnologie, intelligence artificielle, nucléaire, génie génétique, recherche de nouvelles ressources, de nouvelles techniques de stockage et de recyclage.

    9 DU CÔTÉ DES ROBOTS

    Depuis plus d’un siècle, la figure du robot perturbe le sommeil de la modernité, qui y entrevoit le profil d’un nouveau golem. En présence du robot, l’homme moderne fait l’expérience de la honte que l’on ressent face à la grandeur humiliante de son propre produit, qui « a vu des choses que nous, humains, ne pouvons même pas imaginer ». Mais les plaintes moralisatrices sur l’homme dépossédé de son âme par les robots négligent une donnée fondamentale : l’outil en obsidienne des premiers hominidés et la puce en silicium ont été forgés par le même feu prométhéen. C’est en « s’aliénant » dans l’artificiel que l’homme est devenu lui-même depuis la nuit des temps. Dans le robot – même dans la version la plus réaliste des super-ordinateurs et de l’IA – le prométhéisme voit le miroir de l’homme, sa volonté de dépassement, un allié au-delà du bien et du mal.

    10 ÉPIQUE DE L’ESPACE

    Dans un monde toujours plus petit, l’espace devient la dernière frontière de conquête. En plus d’être un formidable vecteur de recherche et de développement pour des technologies utiles ici sur Terre, l’exploration spatiale garantit l’accès à des matières premières rares et la consolidation de la souveraineté satellitaire. Mais c’est surtout, dans son aspect radical de découverte, de colonisation et de terraformation d’autres planètes, une source inépuisable de merveilleux. Peut-être que le prochain ver sacrum se produira en direction d’un destin stellaire. Quant aux éventuelles rencontres avec des civilisations extraterrestres, le prométhéisme n’a pas de préjugés positifs ou négatifs, tout en faisant l’éloge de la pluralité du vivant, de l’altérité radicale, de formes multiples de l’être et du devenir, de ce qui nous pousse au-delà, plus loin, plus haut, au-delà des universalismes et des anthropocentrismes judéo-chrétiens plus ou moins sécularisés.

    11 PHILOSOPHIE DE LA VOLONTÉ

    Le prométhéisme n’est pas un messianisme. Il n’annonce pas plus un nouvel âge d’or où des machines à l’intelligence semi-divine conduiront les hommes hors de l’histoire, que l’avènement d’un monde parfait où des citoyens sans défauts ne connaîtront ni maladie ni mort. Le prométhéisme est, au contraire, une philosophie inspirée du sens tragique de la vie et du volontarisme. Non prédiction fataliste de ce qui, certainement, sera, mais exhortation de ce que nous voulons être. La simple reconnaissance d’un destin déjà écrit est déjà un acte anti-prométhéiste. Prométhée est la divinité de la décision et de la volonté. À la lumière de son feu resplendit un monde façonné par notre plus authentique liberté.

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  • OPA sur la bienpensance...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°197, août - septembre 2022) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à la récupération du wokisme par le capitalisme, on découvrira l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés, des entretiens, notamment avec l'écrivain Pierre Jourde, le spécialiste suisse du renseignement Jacques Baud, le scandinaviste François-Xavier Dillmann, le cinéaste Jean Becker ou le publicitaire Jacques Séguela (!)...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Nicolas Gauthier, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli et de Slobodan Despot ainsi que l'enquête de Daoud Boughezala...

     

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    L’identité, encore. Par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien

    Pierre Jourde à Notre-Dame des woke : le retour de l’ordre moral. Propos recueillis par Olivier François

    Cartouches

    L’objet disparu : l’album photo. Par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance. Par Xavier Eman

    L’économie contre le marché. Par Hervé Juvin

    Cinéma : Michel Hazanavicius ou l’art du second degré. Par Nicolas Gauthier

    Champs de bataille : Gustave II Adolphe à la guerre de Trente Ans. Par Laurent Schang

    L’intermiteuse. Par Bruno Lafourcade

    Économie. Par Guillaume Travers

    Brice Couturier est-il devenu fou ? Le regard d’Olivier François

    Bestiaire : la pharmacie du dauphin. Par Yves Christen

    Sciences. Par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    L’analyse décapante du colonel Jacques Baud sur l’Ukraine. Propos recueillis par Laurent Schang

    Énergie : comment Bruxelles organise la pénurie. Par Charles Thimon

    Général Jean-Yves Lauzier : les illusions du projet européen. Propos recueillis par Laurent Schang

    Poubelle la vie ! Le marché mondial des déchets. Par Guillaume Travers

    Yves Lepesqueur, éloge de l’orientalisme : pour en finir avec Edward Saïd ! Propos recueillis par Olivier François

    Entretien avec François-Xavier Dillmann : la saga d’Olaf, saint patron de la Norvège. Propos recueillis par Henri Levavasseur

    Jeux vidéo, mangas et cinéma : pourquoi la mythologie arthurienne ne meurt jamais. Par Camille-Apollonia Narducci

    Le grand roman de la Révolution française : pour un été contre-révolutionnaire ! Par David L’Épée

    Parlez-vous le néo-barbare ? La fabrique du crétin sans langage. Par Violaine Malleterre

    La bibliothèque celtique de Jean Picollec, éditeur contre vents et marées. Par Alain Lefebvre

    La Maman et la Putain, paroisse Saint-Jean-Eustache. Par Christophe A. Maxime

    Entretien avec Jean Becker : « Je suis un cinéaste terrien ». Par Arnaud Guyot-Jeannin

    Dossier

    Pourquoi le wokisme est soluble dans le capitalisme

    Esprit du capitalisme, es-tu là ? Métaphysique du capital. Par François Bousquet

    Un libéral-libertaire à la question : entretien avec Jacques Séguéla. Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Woke in progress dans la pub : enquête sur la fabrique du conformisme. Par Daoud Boughezala

    Anne de Guigné : quand le capitalisme lance une OPA sur la bien-pensance. Propos recueillis par Thomas Hennetier

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Canicules. Par Slobodan Despot

    L’esprit des lieux. Par Anne-Laure Blanc

    Un païen dans l’Église : Belle de Mai à la cathédrale Saint-Étienne d’Auxerre. Par Bernard Rio

    C’était dans Éléments : la voix de l’Amérique. Par Alain de Benoist

    Éphémérides

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  • L’union des droites est morte, vive l’union des populistes ?...

    Le 12 juillet dernier, Nicolas Vidal recevait François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments, sur Putsch, pour évoquer avec lui la situation politique au sortir des élections législatives et les perspectives politiques et sociales d'une rentrée qui s'annonce chaude...

    Journaliste et polémiste, François Bousquet a notamment publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020) et Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

                                             

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