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occupation

  • L’État français sert-il encore à quelque chose ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh-Info et consacré à la transformation de l'Etat français en machine bureaucratique sans âme qui oppresse le peuple...

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    L’État français ne sert plus à rien… sauf à nous détruire

    L’État. Ce grand mot qui résonnait jadis comme une évidence. L’État, protecteur, organisateur, garant du bien commun. Celui qui éduquait, soignait, défendait, construisait. Celui qui incarnait la puissance publique, l’autorité, la continuité de la nation artificielle (ou plutôt politique) constituée en hexagone. Aujourd’hui ? Une gigantesque farce. Une mascarade bureaucratique. Un monstre impuissant qui ne sait plus faire que deux choses : lever l’impôt et réprimer ses propres citoyens.

    Car regardons froidement les faits, sans détours. L’État n’assure plus notre sécurité. Nos villes se transforment en zones de non-droit, la campagne n’est plus épargnée, et les Français vivent sous la menace permanente de la criminalité, de la drogue, des violences importées. La police ? Débordée, découragée, muselée par une justice plus compatissante avec les agresseurs qu’avec les victimes.

    L’État n’assure plus notre prospérité. Il étrangle par les taxes, ponctionne jusqu’au dernier centime, détruit les entreprises par une bureaucratie délirante, et ruine les classes moyennes qui triment. La France, jadis pays des ingénieurs, des bâtisseurs et des artisans, se transforme en hospice fiscal pour les assistés et les copains du système.

    L’État n’assure plus l’éducation. Nos écoles ne transmettent plus le savoir, mais l’idéologie. Des générations entières sortent illettrées, incapables de distinguer l’histoire de leur propre pays d’un TikTok woke. Pendant que l’on remplace le calcul et la grammaire par des cours de « vivre-ensemble », la Chine et l’Inde forment des armées d’ingénieurs.

    L’État n’assure plus la santé. Nos hôpitaux s’effondrent. Des mois pour un rendez-vous, des heures d’attente aux urgences, des déserts médicaux partout. Le médecin de famille disparaît, remplacé par des plateformes numériques. Pendant ce temps, la ministre de la Santé se pavane en expliquant que « tout va bien ».

    L’État n’assure plus nos frontières. Ou plutôt si : il les laisse grandes ouvertes. Les flux migratoires explosent, l’immigration illégale est organisée, encouragée, financée. L’étranger en situation irrégulière a plus de droits que le Français qui a travaillé toute sa vie. La frontière ? Un concept fasciste, voyons !

    L’État n’assure plus notre démographie. Il subventionne les familles nombreuses… mais pas les nôtres. Les berceaux se vident pour les Français de souche, pendant que les chiffres explosent dans les banlieues où la « Nouvelle France » chère à LFI, ne se pose pas les mêmes questions que nous. La République, jadis nataliste, a choisi son peuple de remplacement.

    Alors, posons la question sans fard : à quoi sert donc l’État français ?

    La réponse est brutale : il ne sert plus à rien pour nous. Il ne sert qu’à nous contrôler, à nous pressurer, à nous culpabiliser. Il est devenu une machine d’aliénation, une annexe de Bruxelles et de Washington, un guichet d’aides sociales pour le monde entier, un guet-apens fiscal pour ses propres enfants.

    Nous sommes face à un paradoxe tragique : plus l’État s’effondre dans ses fonctions régaliennes, plus il se renforce dans ses fonctions de surveillance. Caméras, radars, QR codes, contrôles, procès pour « opinions déviantes ». La répression, oui. La protection, jamais.

    Guillaume Faye écrivait déjà que nous entrions dans l’ère de l’État zombie : il ne gouverne plus, il parasite. Il ne défend plus, il punit. Il ne construit plus, il déconstruit. C’est une machine bureaucratique sans âme, gérée par des technocrates hors-sol qui n’ont qu’une obsession : maintenir l’illusion de leur pouvoir.

    Alors, que faire ?

    Il ne s’agit pas de pleurnicher ou d’attendre que « ça change ». Non : il faut se préparer à la reconquête. Cela commence par le refus. Refuser la culpabilité. Refuser la propagande. Refuser la dissolution de notre identité. Ensuite, reconstruire nos propres solidarités locales, nos réseaux, nos communautés de destin. Enfin, exiger – et imposer – un État qui revienne à sa mission première : protéger son peuple, sa terre, son avenir. Y compris si il faut en revenir à des Etats plus locaux, donc plus proches de la population et de leurs attentes. Un État qui n’assure plus ni sécurité, ni prospérité, ni éducation, ni santé, ni frontières, ni démographie… ce n’est plus un État. C’est une administration occupante.

    Et comme toutes les occupations, elle ne dure que jusqu’au jour où le peuple décide de la balayer.

    Julien Dir (Breizh-Info, 29 août 2025)

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  • L'écrou mystérieux...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier, dans leur collection de polars du "Lys noir" un court roman policier de A. C. Duchaux intitulé L'écrou mystérieux. Un roman datant de 1943, écrit sous pseudonyme, pour une collection comptant Henry Coston parmi ses auteurs : une curiosité, donc !

     

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    " Un matin, dans une belle maison berrichonne de La Châtre, on retrouve l’inventeur Darminier pendu à l’espagnolette d’une fenêtre. La Police conclut rapidement au suicide vu qu’il n’y a aucune trace d’infraction. Mais tel n’est pas l’avis de sa fille et de son époux.

    Le commissaire Moreau décide alors d’y regarder de plus près, et il comprend bientôt que la victime n’avait aucune raison de se suicider puisqu’il était aimé de ses proches, et heureux en affaire avec son usine de pièces automobiles. Dès lors, qui a bien pu commettre cet assassinat via cette macabre mise en scène ?

    Enraciné dans l’Indre et se déroulant sous l’Occupation, ce roman policier de A.C. Duchaux parut dans la collection « Rouge Gorge », série de romans policiers à la tonalité collaborationniste où le mauvais rôle était invariablement tenu par des francs-maçons, des gaullistes, des Anglais… "

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  • Un cœur français...

    Les éditions Tallandier viennent de rééditer au format poche Arletty - « Si mon cœur est français... », l'ouvrage que David Alliot a consacré à l'interprète de Garance dans Les enfants du Paradis.

    Spécialiste de l’œuvre de Céline, David Alliot est l'auteur de plusieurs livres ou recueils consacrés à cet auteur, comme D'un Céline l'autre (Robert Laffont, 2011), Mots, propos et aphorismes de Louis-Ferdinand Céline (Horay, 2016), Le Paris de Céline (Alexandrine, 2017) ou Madame Céline (Tallandier, 2018).

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    " Arletty ! Immédiatement, on pense à sa célèbre réplique : « Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? » Et que dire de « Si mon cœur est français, mon cul est international », répondant ainsi aux accusations de collaboration pendant l’Occupation ?

    De 1940 à 1944, Arletty a été l’actrice française la plus populaire, invitée dans les salons les plus huppés de Paris et amoureuse à la folie d’un bel officier allemand. Pourtant, a-t-elle objectivement collaboré ?

    Preuves à l’appui, David Alliot montre que l’Occupation a été la période la plus intense de la vie de l’actrice. Il brosse le portrait de la belle et insolente Garance des Enfants du paradis, avec son accent des faubourgs, ses répliques cinglantes et son anticonformisme, qui paiera cher sa passion pour un « boche ».

    Avec subtilité, David Alliot retrace la vie d’Arletty, qui côtoya Jacques Prévert, Jean-Louis Barrault ou encore Sacha Guitry, et qui fut l’une des actrices mythiques du cinéma français. "

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  • Le triangle qui tue...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un roman policier de Rudy Cantel intitulé Le triangle qui tue. Ancien marin et journaliste à L’Illustration et à La Gerbe, le journal d’Alphonse de Chateaubriant, Rudy Cantel a notamment publié ses souvenirs de marin (De babord à tribord) et son témoignage sur l'attaque de la flotte française par les Anglais à Mers el-Kébir où il était présent (L’Attentat de Mers el-Kébir). Une curiosité à découvrir !

     

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    " Le commissaire Lortal reçoit un appel anonyme lui signalant que, ce soir dans Paris, il y aura un triple crime. Commence ainsi une série de meurtres signés par un triangle d’étamine rouge déposé, à chaque fois, près du cadavre des victimes. Voilà le maigre indice que la Police a pour relier ces meurtres qui affolent Paris par leur écho dans la presse.

    Avec Le Triangle qui tue, Rudy Cantel signe l’un des tout meilleurs polars de la collection Rouge-Gorge qui publia, sous l’Occupation (précisément de 1942 à 1944), quatorze romans antimaçonniques et anti-anglais. "

     

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  • La gauche collabo : une histoire gênante ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le nouveau numéro de la Revue d'Histoire Européenne, dirigée par Laurent Berrafato. Ce trimestre le lecteur trouvera un dossier consacré à la gauche collaborationniste, des articles variés et les rubriques régulières : actualités, interview, mémoire des lieux, portrait, l’autopsie d’une bataille, l’histoire dans l’art,… 

    Il est possible de se procurer la revue en kiosque ou en ligne sur le site de la Librairie du collectionneur.

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    EXPOSITION

    L'HISTOIRE EN ACTUALITÉ

    MÉMOIRE DES LIEUX
    La cathédrale de Beauvais

    DE L'HISTOIRE 
    Georges Duby, l'historien total

    ENTRETIEN 
    Paul-Georges Sansonetti, historien de la Tradition primordiale

    DOSSIER
    La gauche collabo

    LES CHANTS DE L’ARMÉE FRANÇAISE
    Des origines "maudites"

    LE 14e RCP EN ALGÉRIE 
    Des doutes à la révolte

    AULD ALLIANCE
    Une alliance multiséculaire entre la France et l’Écosse

    AUTOPSIE D'UNE BATAILLE
    29 août 1914 : La bataille de Guise

    UN TABLEAU, UNE HISTOIRE
    Le couronnement de Charles Quint

    CINÉMA 
    Le Napoléon de Ridley Scott

    CONSEILS DE LECTURE

     

     

     

     

     

     

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  • L'exil des collabos...

    Les éditions du Cerf viennent de publier une étude historique d'Yves Pourcher intitulée L'exil des collabos 1944-1989. Historien, professeur des universités à l'IEP de Toulouse, Yves Pourcher est l'auteur de plusieurs ouvrages consacrés à la période de l'occupation.

     

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    " Ministres à Vichy, chefs de police, patrons de presse, speakers de radio, acteurs de cinéma ou simples quidams, ils sont partis au mois d'août 1944 dans les wagons de l'ennemi, puis ils se sont cachés. Leur exil a duré 45 ans pour certains ! Yves Pourcher nous offre ici une galerie de naufragés de l'histoire.

    Août 1944. La veille encore, ils étaient ministres, chefs de police, patrons de presse ou vedettes de cinéma. Mais les voilà qui fuient. Ils quittent la France dans les wagons de l'ennemi. Les uns mourront en exil. Les autres reviendront pour chercher refuge dans l'oubli. Certains finiront traqués et jugés. Leurs noms ? Abellio, Bonnard, Déat, Céline, Darquier de Pellepoix... Leurs fautes ? La glorification de Hitler, l'administration de Vichy, la formation des miliciens, la répression des résistants, la déportation des Juifs. Leurs lieux de fuite ? L'Allemagne écrasée et, de là, la Suisse neutre, l'Espagne franquiste, l'Argentine péroniste mais aussi les couvents retirés des Alpes.
    Il fallait Yves Pourcher pour exhumer les archives, les témoignages, les correspondances qui dévoilent l'après-guerre des collabos, les chefs et les seconds couteaux, les célébrités et les anonymes. Dans cette galerie des naufragés de l'histoire, où se mêlent le déshonneur et la nostalgie, le reniement et l'endurcissement, les ultras côtoient les lâches et les profiteurs acharnés, les fascistes incurables. Qu'ils se fassent précepteur des riches, marchand d'huîtres, maître-nageur, rubricard de presse, auteur de science-fiction ou écrivain maudit, ils fuient devant le rouleau de l'opprobre, connaissent la malédiction des vaincus, ruminent leur passé, redoutent l'heure de leur condamnation. Autant d'existences pathétiques à la mesure d'autant de complicités
    criminelles.
    Une enquête inédite et totale. Un livre magistral. Une grande leçon d'histoire sur la France d'hier. "

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