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Métapo infos - Page 982

  • Feu sur la désinformation... (106)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Théorie du genre ? « Fantasme » pour les médias
      Fantasme du genre ! Le 2 octobre 2016, le pape a dénoncé les manuels scolaires qui diffusent la théorie du genre. Scandale dans les médias : Pour eux, la théorie du genre n’existe pas, le pape s’est fait intoxiqué, ce sont des fantasmes !
    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 :  Orban approuvé à 98 % ! C’est un désaveu pour les médias !
      Référendum antimigrants en Hongrie : 98 % des hongrois refusent l’accueil des migrants imposés par l’Europe ! Le référendum ne pourra pas être validé, car seul 40 % des inscrits ont votés.
      Pour les médias c’est un désaveu de la politique du premier ministre hongrois, Pourtant, jamais en Hongrie, un homme politique n’a obtenu autant de voix en sa faveur.
      I-média décrypte
    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : « Sans Tabou » de Bernard de La Villardière à Sevran, la cité interdite
      « Sans Tabou », le documentaire de Bernard de La Villardière sur l’islam en France fait scandale : Ce serait une émission de propagande islamophobe. Pendant le tournage, le journaliste s’est fait agressé dans la ville de Sevran en Seine Saint Denis  : Pour les médias la parole des agresseurs compte plus que la parole de l’agressé.
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  • Quelle guerre ? Quelle victoire ?...

    Nous vous signalons a parution du numéro 49 de Médium (octobre-décembre 2016), la revue dirigée par Régis Debray. Ce numéro, coordonné par François-Bernard Huyghe, questionne la guerre dans laquelle nous sommes censés être plongés...

     

    Medium 49.jpg

    " Notre époque adore voir les vainqueurs - les performants, les populaires, les séduisants, les efficients- ; elle communie dans l'émotion : gagner, c'est vibrer. Mais aimons nous vraiment la victoire, celle qui se remporte après atroce résistance, celle qui brise l'ennemi pour forcer sa volonté, celle qui s'inscrit dans l'Histoire ? Et pouvons nous ?

    Nous sommes, paraît-il, en guerre. D'intérêt et pas de religion dit le pape. Contre le terrorisme dit le président. Contre la barbarie dit le premier ministre. Contre Daesh précisent ceux qui aiment que l'ennemi ait un nom et une adresse (Monsieur al Baghdadi, Califat, pays de Cham, Entre Syrie et Irak). Contre l'extrémisme violent disent les Américains.

    Notre armée intervient au Mali, en Centre Afrique, en Libye et ailleurs. Et ne parlons pas de l'Amérique d'Obama (opérations militaires en Afghanistan, Irak, Syrie, Libye, Yemen, Somalie, Pakistan pour ce prix Nobel de la paix). Tous ces drones, tous ces bombardiers, ces interventions au sol, peut-être, quel triomphe annoncent-ils ? Qu'écrirons-nous dans les manuels et quels monuments pour quelles commémorations ? Ou voulons-nous simplement qu'ils nous fichent la paix, cessent leurs attentats et décapitations en ligne et nous laissent retourner à notre vivre plus ou moins ensemble et à notre mondialisation plus ou moins heureuse ?

    Le djihadisme avec qui nous sommes sensés être en guerre, ne peut ni gagner (pas d'émirat futur à Washington), ni perdre (si chaque kamikaze recrute ses successeurs pour le venger). Plus généralement, nous, occidentaux, malgré notre supériorité technique, ne gagnons plus de guerres tant nos bienveillantes interventions militaires suscitent de nouvelles hostilités.

    Du coup, les médiologues (et quelques praticiens) s'interrogent sur la notion de victoire : il faut savoir la définir et définir l'ennemi, il faut y croire, y faire croire (surtout en persuader le vaincu) ; il gagner la bataille pour la mémoire des peuples. Ce qui nous amène aussi à réfléchir sur la relativité historique de l'idée de guerre victorieuse donc de paix, ou plutôt aux variations de ses représentations. "

    Sommaire :

    Ouverture
    Régis Debray, F.B. Huyghe : La faiblesse des armes

    Vaincre et convaincre
    François-Bernard Huygue : Clausewitz, réveille-toi !
    Paul Soriano : Notre djihad
    Philippe-Joseph Salazar : L'éloquence du massacre
    Margaux Chouraqui : La contamination par l'image
    P.-M. de Biasi et C. Schmelck : Les réseaux du chaos
    Jacques Billard : L’école de la guerre

    La victoire incertaine
    Général V. Desportes : La guerre au sein des populations
    Olivier Kempf : Quand la victoire se défile
    Nicolas Mazzucchi : Le meurtre pour les nuls
    Émeric Lhuisset : Théâtres de guerre
    Pierre Conesa : L’histoire jugera

    Mémoires de guerres
    Monique Sicard :Déboulonnades
    Robert Dumas : Réduire au silence
    Jacques Lecarme : 1918 : quelle victoire ?
    Clément Sigalas : 1940 : quelle guerre ?

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  • Faire disparaître le père...

    Le projet ultime de notre cycle moderne est-il de supprimer la figure du Père ? Alain de Benoist répond aux questions de Sylvain Durain, réalisateur et écrivain, auteur d'un film documentaire intitulé Le sang du père - Un meurtre universel (Cinequaprod, 2016)...

     


    Entretien complet Alain de Benoist pour "Le... par cinequaprod

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  • Une fin du monde sans importance...

    Les éditions Krisis viennent de publier Une fin du monde sans importance, un recueil des chroniques de Xavier Eman. Outre les textes que les lecteurs d'Eléments ont déjà pu savourer, on peut y trouver une sélection de billets tout aussi mordants publiés sur A moy que chault !, le blog de l'auteur. A lire d'urgence !

    Xavier Eman dédicacera son ouvrage le samedi 15 octobre de 14h30 à 18h à la librairie Facta (4, rue de Clichy Paris IXe).

     

    Fin du monde_Eman.jpg

    " Pas de doute : le monde moderne est absurde, maussade, désenchantée. Il ressemble à un chapitre de Michel Houellebecq réécrit par Philippe Muray. Tellement las et désenchanté que même sa progressive disparition ne suscite aucune réaction. Lente euthanasie volontaire pour une humanité fatiguée. C’est cette apocalypse désespérément molle qu’aborde Xavier Eman dans les chroniques, à la fois drôles et grinçantes, réunies ici. Le ton est corrosif, le tableau réaliste, l’humour irrésistible.

    Mais, malgré tout, François, l’anti héros récurrent des textes rassemblés dans ce volume, résiste. À sa façon. Malgré lui, parfois. Malgré les éléments contraires. Malgré le cynisme et les déconvenues. Malgré la dérision.

    Des couloirs du métro aux terrasses des cafés en passant par l’intimité des alcôves et des lambris des appartement parisiens, décrire le monde tel qu’il ne va pas, non pas pour s’en repaître, mais pour le secouer et déchirer le voile des faux semblants qui en obture le sens et les issues. Et laisser filtrer un filer de lumière, promesse d’un idéal de vie bonne. "

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  • Immigration : quand l'UE est sourde à la révolte des peuples européens...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 4 octobre 2016 et consacrée à la réaction des peuples européens contre la politique d'accueil des migrants imposée par l'Union européenne.

    Eric Zemmour vient de publier chez Albin Michel un recueil de ses chroniques des années 2013-2016 intitulé Un quinquennat pour rien et précédé par un longue préface intitulée « La France au défi de l'islam ».

     

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  • Éloge du polythéisme...

    Les éditions des Belles Lettres viennent de publier un court essai de Maurizio Bettini intitulé Éloge du polythéisme - Ce que peuvent nous apprendre les religions antiques. L'auteur enseigne la philologie classique à l'université de Sienne, où il a fondé le Centre « Anthropologie et Monde antique ». On pourra lire avec profit l'entretien qu'il a donné au site La vie des classiques à l'occasion de la parution de cet essai.

     

    Eloge du polythéisme_Bettini.jpg

    " Deux mille ans de monothéisme nous ont habitués à croire que Dieu ne pouvait être qu'unique, exclusif, vrai. En revanche, les polythéismes antiques envisageaient la possibilité de faire correspondre entre eux dieux et déesses provenant de différentes cultures (l'Artémis grecque et la Diane romaine, l’Égyptienne Isis et la Grecque Déméter), ou même d'accueillir des divinités étrangères dans leur propre panthéon. Cette disposition à l'ouverture a fait que le monde antique, même s'il a connu les conflits, voire les carnages, est resté étranger à la violence de nature religieuse qui a, au contraire, ensanglanté les cultures monothéistes et continue de le faire. Serait-il possible aujourd'hui de puiser aux ressources du polythéisme pour rendre plus faciles et sereines les relations entre les différentes religions ? Si l'on part du principe que les dieux sont nombreux, il n'est plus nécessaire d'affirmer que ceux des autres sont de faux dieux ou des démons... On peut dès lors se demander si l'adoption de certains cadres mentaux propres au polythéisme ne contribuerait pas à réduire, au sein de nos sociétés, le taux de conflictualité entre les diverses religions monothéistes et entre leurs subdivisions internes. "

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