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Métapo infos - Page 634

  • « Notre pays n'est pas en paix à l'intérieur »...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Xavier Raufer à Jean-Baptiste Mendes pour Sputnik France, à l'occasion de la sortie de son livre Le crime mondialisé (Cerf, 2019). Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a publié ces dernières années Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et a également coordonné l'ouvrage collectif intitulé La première cyber-guerre mondiale ? (Eska, 2015).

     

                                          

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  • Jean Fontenoy, entre aventure et écriture...

    Les éditions du Lore viennent de rééditer sous se titre d’Écrits des audaces baroques, trois livres de Jean Fontenoy, L’Ecole de Renégat, Shanghaï secret et Le Songe du Voyageur, publié dans les années 30 et depuis difficilement trouvables. Journaliste, aventurier et écrivain, passé du communisme au fascisme, Jean Fontenoy est mort à Berlin le 27 avril 1945. Gérard Guégan et Philippe Vilgier ont chacun consacré une biographie à ce personnage hors-norme.

    Fontenoy_Ecrits des audaces baroques.jpg

    " Rédigés entre sa trente-sixième et quarantième année, ces trois livres insolites (L’Ecole de Renégat, Shanghaï secret, Le Songe du Voyageur), se situant entre le récit et le pamphlet, font incontestablement de Jean Fontenoy (1899-1945) un écrivain, un vrai.

    Véritable écrivain donc mais aussi soldat politique, passé du communisme au fascisme, Fontenoy mourut à la fin du mois d’avril 1945 dans un Berlin en ruines.

    Notons également chez cet homme aux multiples talents, celui de journaliste qui le conduisit entre autres à diriger Le Journal de Shanghaï dès 1927.

    Deux biographies de Jean Fontenoy ayant été publiées ces dernières années (celle de Gérard Guégan en 2011, éd. Stock, et celle de Philippe Vilgier en 2012, éd. Via Romana), il nous a paru opportun de faire découvrir à notre lectorat une partie de l’œuvre de l’homme pour qui cette citation de L.-F. Céline semble convenir : « Voyager c’est bien utile, ça fait travailler l’imagination. » "

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  • Plaidoyer contre le « vivre ensemble »...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir, cueilli sur Breizh info et consacré à la question du vivre-ensemble.

     

    Vivre-ensemble.jpg

    Scène de vivre-ensemble dans le secteur de la station Stalingrad à Paris (2016)

     

    Immigration et gauchisme mental. Plaidoyer contre le « vivre ensemble »

    Je ne veux pas vivre avec les immigrés qui arrivent en Europe. Je n’en peux plus du gauchisme mental qui gangrène l’intégralité de nos sociétés occidentales. Je ne veux pas « vivre ensemble » et je veux permettre à mes enfants de vivre avec leurs semblables, ceux qui partagent nos valeurs ancestrales, dans la paix et dans la sécurité. Point barre. Cela ne vous plaît pas ? C’est encore mon droit le plus profond, et je me battrai de toutes mes forces pour le faire respecter, quoi qu’il en coûte.

    C’est ainsi qu’il faut parler à ces prêcheurs de vivre ensemble (qu’on devrait plutôt renommer « mourir côte à côte ») qui pullulent sur les plateaux de TV, dans les journaux, dans votre vie quotidienne dans laquelle ils prennent de plus en plus de place. Je n’ai pas connu la vie en Union soviétique, je ne me permettrai pas de comparaison. Mais malgré nos libertés apparentes et quotidiennes, nous sommes bien dans une société totalitaire d’une perversité, d’une monstruosité sans nom.

    Combien sont-ils en France, en Europe de l’Ouest, qui apprécient ou apprécieraient de vivre au quotidien entourés d’une majorité d’Africains ? Combien changent leurs enfants d’école dans les arrondissements parisiens pour fuir le vivre ensemble qu’ils prônent pourtant, électoralement comme en société ? Pourquoi le font-ils ?

    Mais surtout, pourquoi refusent-ils d’exposer publiquement ce qui les pousse à ne pas vouloir, eux non plus « vivre ensemble » ? Car en plus d’être hypocrites, ils ont surtout peur du flicage généralisé.

    L’idéologie du vivre ensemble ne survit que par le contrôle social généralisé

    En effet, outre les flics qui nous sanctionnent sur les routes ou dans nos vies quotidiennes pour un excès de vitesse ou trois verres au lieu de deux, le tout pour un salaire de misère, le vrai agent de la société totalitaire, c’est votre voisin. C’est l’autre.

    C’est son jugement moraliste à deux balles. « Je n’ai pas envie que mes enfants grandissent entourés majoritairement par des extra-Européens. Je n’ai rien contre ces gens, mais je n’ai pas envie qu’ils vivent avec eux, qui plus est dans un pays que mes ancêtres, et pas les leurs, ont construit depuis des siècles et des siècles ». Certains d’entre vous le pensent fortement, mais ont peur de le dire, c’est tout. Le contrôle social généralisé. La peur d’être dénoncé, d’être stigmatisé, d’être lynché médiatiquement et politiquement, d’être mis à l’écart, de perdre votre travail, et même vos amis. Quand le refus du « vivre ensemble » vous range dans la catégorie du raciste que vous n’êtes pourtant pas, et pire encore, placardisation suprême, d’Hitler et des nazis.

    Contrôle social, mais aussi contrôle judiciaire. Les mots, les écrits, peuvent désormais vous envoyer sous les verrous, certains blogueurs et internautes en ont déjà fait les frais. On qualifie désormais « d’incitation à la haine raciale » tout et n’importe quoi, y compris le simple fait de ne pas vouloir, à titre individuel et sans forcer les autres, « vivre ensemble ». Y compris si de la haine, vous n’en avez aucune, si ce n’est contre les institutions et ceux à leurs têtes qui sabrent votre monde. Il n’est sans doute plus très loin le temps où ces États totalitaires vous enlèveront vos enfants parce que vous pensez mal. Parce que vous refusez de les éduquer conformément à la doxa de l’époque.

    Vous pensez que j’exagère ? Que je vais trop loin ? Mais alors pourquoi les Blancs fuient-ils les banlieues colonisées par de nombreux extra-Européens ? Pourquoi dans les villes du Sud de la France, fortement touchées par l’immigration, les partis anti-immigration captent sans doute une large majorité de l’électorat blanc, qui a refusé de partir ? Pourquoi en Bretagne, préférez vous vivre à Cesson-Sévigné ou à La Baule (et voter Macron) plutôt que dans la Zup Sud de Rennes ou qu’à côté d’un foyer pour migrants à Nantes ?

    Vous vous gavez de séries sur Netflix, à la Black Mirror, ou à la Handmaid’s tales, qui décrivent parfaitement (et avec brio) le fonctionnement des sociétés totalitaires dans lesquelles nous évoluons (tout en piratant bien évidemment le message pour le rendre féministe, pro LGBT, pro minorités, etc). Mais rendez-vous compte désormais que les victimes de ces sociétés totalitaires c’est vous ! La télévision, la radio, les puissances économiques qui nous dirigent vous imposent chaque jour Bilal Hassani, Black M, Booba, la tristesse des migrants et le grand méchant Trump,  Et vous applaudissez ! Tout en apprenant dès l’école à vous détester vous-même, à vous mépriser parce que vous êtes un Blanc, un colonisateur, un esclavagiste, un criminel de guerre presque. Le bien, c’est l’autre, le mal, c’est vous. 

    Quitter le marasme ou résister envers et contre tous

    Il y en a beaucoup, parmi nos compatriotes, qui s’adaptent parfaitement à cet état de fait. Qui vous disent adorer « manger un bon poulet Yassa » avec les voisins venus du Mali, d’autres, plus militants, qui militent associativement pour accueillir les migrants et nous les imposer. Et tous ces « innocentes et innocents » qui se trémoussent dans les boîtes de nuit en dansant sur de la musique avec laquelle ils n’ont pourtant rien en commun. Et qui applaudissent à chaque grande messe du vivre ensemble. « Allez les Bleus, tous ensemble, quelles que soient nos différences ». C’est le principe de la société totalitaire. Permettre à la masse, devenue esclave, de se penser libre et rebelle. Le combo ultime du Soviet 3.0. Mais après tout, notre histoire y compris récente n’est-elle pas faite de collaboration massive avec celui qui, à un moment donné, paraissait être le plus fort ?

    Face à un tel torrent, face à cette hygiène de destruction massive que l’on appelle « vivre ensemble », il paraît difficile de convaincre la majorité, la masse, de changer de paradigme. Certains y croient électoralement, et se heurtent à un plafond de verre, et bientôt à des désillusions démographiques.

    Ne reste désormais que deux solutions, à ceux qui sont conscients des choses. À ceux qui refusent toute fatalité, et tout fantasme réactionnaire d’un pays qui n’existe plus. Se tenir debout, vivre et transmettre selon ses propres valeurs. Faire face autant que possible au rouleau compresseur qui détruit tout sur son passage dans nos sociétés occidentales. Distiller ce plaidoyer contre le vivre ensemble, et pour la grande séparation.

    Pour avoir le droit de choisir ses voisins et ceux de ses enfants. Son cadre de vie, et surtout, ceux avec qui on ne souhaite pas vivre. Affronter férocement ceux qui voudraient nous empêcher, y compris à titre individuel, de vivre tel que nous le voulons.

    Ou bien finalement partir, là où l’herbe est plus verte, non pas pour soi, mais pour ses enfants, pour notre descendance. Sortir du marasme pour mieux rester dans la civilisation européenne, que la France, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne, sont en train de quitter chaque jour un peu plus.

    Vivre ensemble ? Oui, mais avec les miens et uniquement les miens. Envers, et contre tous !

    Julien Dir (Breizh info, 09 juin 2019)

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  • Jacques Doriot et le PPF...

    Les éditions Synthèse viennent de rééditer n recueil de textes et de témoignage établi par Bernard-Henry Lejeune et intitulé Jacques Doriot et le PPF. L'auteur a été militant dans les organisations de jeunesses du Parti populaire fran­çais.

     

    Lejeune_Jacques Doriot et le PPF.jpg

    " Initialement publié en 1977 par le Cercle d’études politiques et sociales, association nationaliste qui était très active à cette époque en Picardie, la première partie de cet ouvrage fut sans doute le premier livre consacré à Jacques Doriot et, de surcroît, réalisé par un Doriotiste. En effet, Bernard-Henry Lejeune, à qui nous devons cet « historisme », pour reprendre le terme consacré, est resté toute sa vie fidèle à son premier engagement militant à la fin des années 30 dans les organisations de jeunesses du Parti populaire français... 

    Je me souviens avoir acheté ce livre au moment de sa parution lors d’une réunion du Parti des Forces nouvelles à Paris. Il faut rappeler qu’à cette époque l’édition d’un livre dans notre famille politique était un événement qu’il ne fallait pas manquer. Le numérique n’existait pas encore… C’est ainsi que de nombreux militants de ma génération découvrir de manière sereine la vie et l’engagement de Jacques Doriot à travers les textes réunis dans ce livre. Nous étions aux antipodes des carcans idéologiques imposés par les vainqueurs de 1945 au sujet de ce chef de parti tant décrié et poursuivi par la haine tenace et hypocrite des communistes alors encore tout puissants.

    Bernard-Henry Lejeune avait veillé à ce que son historisme soit diffusé dans un grand nombre de bibliothèques universitaires tant en France qu’à travers le monde. C’était un acte militant car il jugeait, à juste titre, préférable que les étudiants en quête de renseignements sur le fondateur du PPF lisent ce livre plutôt qu’un autre écrit par des gens mal intentionnés dont l’objectivité resterait discutable. 

    Puis, dans les années 80 et 90, d’autres ouvrages furent consacrés à Doriot... Cet « historisme », lui, fut vite épuisé et la disparition de son auteur empêcha la publication de sa seconde partie.

    Au mois de juin dernier, lors d’une visite à Lille, j’ai eu le plaisir de revoir Didier Lejeune, le fils de Bernard-Henry Lejeune. Nous finîmes bien sûr par parler du livre de son père et c’est ainsi qu’il fut décidé, dans le cadre des Bouquins de Synthèse nationale, de le rééditer. Je pensais qu’il était dommage que ce livre tombe totalement dans l’oubli… et qu’il était encore plus dommage que la seconde partie ne soit jamais éditée. Didier fut sensible à mes arguments et je tiens à l’en remercier sincèrement.

    Cette seconde partie, qui traite de la période correspondant à la Seconde Guerre mondiale, a finalement été éditée en 2014 sous la forme d’un Cahier d’Histoire du nationalisme (le n°3).

    Ces deux livres étant à nouveau épuisés (comme quoi Jacques Doriot et le PPF continuent à susciter l’intérêt), nous avons décidé de les rééditer en un seul volume regroupant tous les textes.

    Ainsi, plus de 80 ans après le rendez-vous de Saint Denis, le 28 juin 1936, qui donna naissance au plus grand parti nationaliste des années 30 et 40, et près de 40 ans après la première édition de la première partie de cet « historisme », vous avez entre les mains un ensemble de documents, qu’il convient certes de remettre dans le contexte de l’époque, mais qui vous permettront de mieux connaître le vrai Doriot…

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale "

     

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  • Olivier Maulin, du romancier au bretteur populiste...

    Le 4 juin 2019, Martial Bild recevait, sur TV libertés, Olivier Maulin, à l'occasion de la publication de son recueil de chroniques intitulé Le populisme ou la mort (Via Romana, 2019). Anar de droite, tendance Rabelais, critique littéraire à Valeurs actuelles, alsacien et roi de Montmartre, Olivier Maulin est l'auteur de plusieurs romans truculents et païens, comme En attendant le roi du monde (L'esprit des péninsules, 2006), Les évangiles du lac (L'esprit des péninsules, 2008), Petit monarque et catacombes (L'esprit des péninsules, 2009), Les Lumières du ciel (Balland, 2011),  Le Bocage à la nage (Balland, 2013), Gueule de bois (Denoël, 2014) ou La fête est finie (Denoël, 2016).

     

                                     

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  • Idiocratie, la revue !...

    Nous vous signalons la parution des deux premiers numéros de la revue Idiocratie, liée au site du même nom. Très bien réalisés, superbement illustrés, ces deux numéros de plus de 80 pages ont un contenu particulièrement riche. On peut se les procurer en ligne à partir du site Idiocratie ou dans quelques librairies parisiennes, dont la Nouvelle Librairie, ainsi que chez un bouquiniste rennais.

     

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    Au sommaire du numéro 0 :

    Antimanifeste des idiots, par Les idiots

    Dossier : Critiques de la modernité

    Fiume à l'avant-garde de l'histoire, par Laurent Gayard

    Politique(s) des Modernes, par David Bisson

    Entretien avec Mathieu-Bock-Côté

    Dossier : Les perdants radicaux

    Merah-Breivik, les perdants radicaux, par Laurent Cantamessi

    Islamisme 2.0, la fantômisation du monde, par Alexis Michequine

    Contre-cultures

    Les  perdants magnifiques

    Cinéma

    Musique

    Fiction

    Varia

    Poésies

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    Au sommaire du numéro -1

    Memento mori

    L'empire du management

    Le management de soi, une religion du bien-être pour le XXIe siècle, par David Bisson

    Entretien avec Baptiste Rappin

    Management des radicalités, par Laurent Gayard

    Théodore Kaczynski : unabomber, par Robert Sabotage

    Management du terrorisme, par Jean de Juganville

    Managers, par Emile Boutefeu

    L'unique et sa destinée

    Stirner & Nietzsche. L'Unique en son royaume, par Laurent Gayard

    Anarchie et esprit : la vie en commun, par Alexis Michequine

    Entretien avec Edouard Jourdain

    Entretien avec Luc-Olivier d'Algange

    Contre-cultures

    Les perdants magnifiques

    Notoirement méconnus

    Saines lectures

    Audio Prestige

    Fictions

    Poésies

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