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xavier eman - Page 4

  • Demain la guerre civile ?...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°210, octobre 2024 - novembre 2024) est en kiosque!

    A côté du dossier consacré à la guerre civile qui vient, on découvrira l'éditorial, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec Troy Olson, Louis Furiet, Driss Ghali, Eric Werner et Bernard Wicht...

    Et on retrouvera également les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, de Nicolas Gauthier, d'Aristide Leucate, de David L'Epée, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, d'Ego Non, de Slobodan Despot, de Michel Marmin et de Julien Rochedy...

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    Au sommaire :

    Éditorial
    Les enfants terribles, par Alain de Benoist

    Agenda, actualités

    L’entretien
    Troy Olson : « Trump a brisé le consensus antipopuliste des élites »
    Propos recueillis par Daoud Boughezala

    Cartouches
    L’objet disparu : le slow, par Nicolas Gauthier

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéma fantastique à la française ? par Nicolas Gauthier

    Un homme, une revue : Louis Furiet présente « Écrits de Rome », propos recueillis par Xavier Eman

    Curiosa Erotica : grisettes, cousettes et midinettes, l’érotisme de la femme du peuple, par David L’Épée

    Champs de bataille : la petite guerre dans la Grande, par Laurent Schang

    Uranie, les nuisibles en rut (2), par Bruno Lafourcade

    Le droit à l’endroit : état civil et identité, par Aristide Leucate

    Économie, par Guillaume Travers

    Les châteaux d’Annie Le Brun, le regard d’Olivier François

    Bestiaire : cultures partagées, au-delà du vivre-ensemble, par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées
    Les duellistes : Delon & Belmondo, ou les deux corps du roi, par Laurent Schang et Christophe A. Maxime

    Le RN a-t-il achevé sa mue « nationale-libérale » ? Par David L’Épée

    Comment éviter la guerre des mondes avec Driss Ghali, propos recueillis par François Bousquet

    La vérité interdite : notre enquête sur le racisme antiblanc à l’école, par François Bousquet

    Qu’est-ce que l’économie comportementale ? Par Guillaume Travers

    Allemagne : droite patriote (AfD) et gauche anti-immigration (BSW), par Lionel Baland

    Le divers décroît : vers un monde unidimensionnel, par François Bousquet

    Pour une dynamique du réveil : la stratégie de l’électrochoc, par Hubert Calmettes

    Renaud Camus, de près : la géographie du grand écrivain, par Quentin Verwaerde

    Rentrée littéraire, les choix de la rédaction, par Daoud Boughezala, Xavier Eman et Anthony Marinier

    Le miracle Virginia Woolf : quand le féminisme avait du génie, par François Bousquet

    Dossier
    Notre avant-guerre civile

    « La fièvre » ou la guerre civile portée à l’écran, par François Bousquet

    La Nouvelle-Calédonie à feu et à sang, par François Bousquet

    Éric Werner et Bernard Wicht : l’avant-guerre civile dans une Europe Mad Max ? Propos recueillis par Gabriel Rivière

    La tectonique des peuples : meutes et émeutes au Royaume-Uni, par Pierre Saint-Servant

    Police partout, justice nulle part : les forces de l’ordre contre le peuple, par Xavier Eman

    L’extrême gauche face à la lutte armée, par Laurent Vergniaud

    États-Unis, bannière éclatée : la séparation plutôt que la sécession , par Lionel Rondouin

    « Civil War » d’Alex Garland : la guerre sans commentaire, par Thomas Gerber

    Panorama
    L’œil, de Slobodan Despot

    Reconquête : le salut par le rock, par Slobodan Despot

    La leçon de philo politique : les fables philosophiques d’Isaiah Berlin, par Ego Non

    Un païen dans l’Église : Saint-Étienne de Launois-sur-Vence, par Bernard Rio

    Anachronique littéraire : un Voltaire de poche, par Michel Marmin

    Rochedytorial : l’après-demain ou rien, par Julien Rochedy

    Éphémérides

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  • Jeux Paralympiques : la fausse inclusivité et la propagande indigeste de la gauche morale...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique de Xavier Eman dans l'émission Ligne Droite sur Radio Courtoisie, datée du 30 août 2024, dans laquelle il évoque la propagande lourdement hypocrite pour l'inclusivité qui nous est servie pendant les jeux paralympiques...

    Rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et rédacteur en chef adjoint de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulés Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019), d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019) et, dernièrement, d'Hécatombe - Pensées éparses pour un monde en miettes (La Nouvelle Librairie, 2021).

     

                                                

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  • Les quartiers d'été de Zentromag...

    Zentromag, le journal d'expression non-conforme, dirigé par Xavier Eman, vient de publier pour l'été son numéro 19. Il est disponible dans les bonnes librairies (notamment la Librairie Vincent à Paris) ou par abonnement (contact sur la page Facebook de Zentromag).

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    Au sommaire :

    Éditorial

    A table avec Chard et Jean-Eudes Gannat

    Mikis Mantakas et les salauds impunis

    Une nouvelle inédite d'Oswald Spengler : Le vainqueur

    Stand Watie, le dernier général sudiste

    Kulturkampf

    Les maths ou la vie

    Cinémascope : cinq films à voir ou à revoir sur la lutte des travailleurs

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  • L'inclassable et paradoxal Raymond Abellio...

    Le quarante-sixième numéro de la revue Livr'arbitres, dirigée par Patrick Wagner et Xavier Eman, est en vente, avec un premier dossier consacré à Raymond Abellio, un deuxième à la marche et au voyage comme quête de soi et un troisième aux écrivains d'Île-de-France...

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel.

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Coups de cœur

    Bernard Leconte

    Paloma Hermina Hidalgo

    Gilles de Juganville

    Philippe Murray

    Nouveautés

    Francis Navarre

    Cécile Villaumé

    Thomas Desmond

    Coups de projecteur

    Olivier Griette

    François Jonquères

    François Cérésa

    Portrait

    Raymond Abellio

    Dossiers

    Marche, voyage et mystique en littérature

    Écrivains d'Île-de-France

    Entretien

    Jean Guenot

    Marc Menant

    Michel Mourlet

    Eric Naulleau

    Domaine étranger

    Chesterton

    Thomas Wolfe

    Polar

    Alexis Legayet

    Alain Paucard

    Histoire - Panorama

    Souvenirs en dessins de l'épuration

    In Memoriam

    Milan Kundera

    Emmanuel Leroy-Ladurie

    Alfred Eibel

    Cinéma

    Hélène Merrick et Cléopâtre

    Carrefour de la poésie

    Peinture en prose

    Poème en en prose

    Emmanuel Godo

    Pierre Personne

    Guy Goffette

    Littérature jeunesse

    Sabine Boccador, Séraphine Menu, Laurence Paix-Rusterholtz et Chris Lavaquerie-Klein

    Bande-dessinée

    La Route, Joseph Kessel l'indomptable

    Nouvelle

    Tendre souvenir

    Carnet de voyage

    La patrouille des éléphants

     

     

     

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  • Meurtre de Matisse : les loutres face aux barbares...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Eman cueilli sur le site de la revue Éléments et consacré aux réactions à l'assassinat du jeune Matisse par un migrant afghan.

    Rédacteur en chef de la revue Livr'arbitres et rédacteur en chef adjoint de la revue Éléments, Xavier Eman est l'auteur de deux recueils de chroniques intitulés Une fin du monde sans importance (Krisis, 2016 et la Nouvelle Librairie, 2019), d'un polar, Terminus pour le Hussard (Auda Isarn, 2019) et, dernièrement, d'Hécatombe - Pensées éparses pour un monde en miettes (La Nouvelle Librairie, 2021).

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    Meurtre de Matisse : les loutres face aux barbares

    À la suite de l’abominable massacre du jeune Matisse, à Châteauroux, par un migrant afghan, on apprenait, dans les médias, que des photos de loutres avaient été affichées dans les vitrines des commerces de la ville, « en solidarité avec les parents de Matisse », le père de l'adolescent surnommant son fils martyr «ma grosse loutre ». À la colère et à la peine succède donc la consternation. Car si certaines âmes puériles trouveront peut-être cette initiative « touchante », voire « émouvante », elle est en réalité accablante d’asthénie et désespérante de niaiserie.

    Il ne s’agit évidemment pas d’attendre ou de souhaiter des appels à la vendetta ou des incitations aux « représailles », mais l’acharnement à se complaire dans la nigauderie larmoyante face à la multiplication de crimes d’autant plus odieux qu’ils auraient été évitables est devenu absolument insupportable. Depuis l’attentat islamiste du Bataclan (au moins), la population française, cornaquée par des médias et des politiciens compassés, semble s’être convaincue que la seule réponse « digne » et « civilisée » à des agressions barbares était l’alignement de bougies et l’entassement d’ours en peluche. « Vous n’aurez pas ma haine ! » bêle le troupeau, se condamnant à la répétition des drames. Face à ces crimes, et à leur banalisation, il n’est pourtant nullement question de « haine » – sentiment irrationnel, extrême et désordonné –, mais de saine colère et d’indispensable instinct de conservation. La seule chose que démontre un peuple qui, à chaque fois qu’un de ses enfants est assassiné, se complaît dans la mièvrerie masochiste, ce n’est pas qu’il est extraordinairement bon et moralement supérieur, mais simplement qu’il est lâche et épuisé, rongé jusqu’à l’os par l’instinct de mort et l’appétence pour le suicide individuel et collectif.

    La colère, pas la haine

    À force d’être culpabilisés et biberonnés à la repentance, les Français ont-ils fini par intégrer que, quelque part, ils « méritaient cela » ? Qu’ils méritaient d’avoir peur dans la rue, d’être insultés, humiliés, agressés, et même tués par de fantasmatiques éternelles « victimes » prenant une revanche sanglante sur leur abominable passé ? On peut malheureusement le penser en voyant les Français, même victimes ou proches de celles-ci, paraissant davantage terrorisés par l’idée d’être accusés de « faire le jeu de l’extrême droite » ou de « pratiquer un amalgame » que par les lames des égorgeurs.

    Pourtant, encore une fois, il n’agit pas de réclamer l’application de la loi du Talion, mais simplement de rompre avec les cérémoniels grotesques de bétail d’abattage pleurnichant sur chaque nouveau cadavre, de nommer clairement les coupables et leurs complices, de dénoncer fermement les causes et d’exiger – d’imposer – que des décisions fortes et efficaces soient prises face à des actes qui ne sont en rien le fruit d’une imprévisible et écrasante fatalité, mais le produit d’une longue suite de reniements, de couardises et de démissions. Ainsi, ce ne sont pas des photos de loutres que les commerçants de Châteauroux auraient dû placarder sur leurs devantures, mais des messages appelant à une justice exemplaire, à l’application rigoureuse de la loi, à la fin du laxisme judiciaire et migratoire. Ils auraient sans doute été moins applaudis par la presse, peut-être même, dans ce système où tout est inversé, auraient-ils été poursuivis, voire embastillés, comme ces militants patriotes interpellés par une police soudainement diligente et implacable pour avoir collé des affiches demandant « Justice pour Thomas », autre victime d’une longue litanie. Mais au moins ce geste aurait eu du sens, de la tenue et très certainement de l’écho, rompant l’épouvantable et insupportable cercle : meurtre, émotion, marche blanche, nouveau meurtre.

    La nécessaire « récupération politique »

    En bref, ce que peut – et doit – exiger un peuple dont le quotidien se transforme progressivement en long cauchemar, c’est, à l’inverse des mantras ânonnés sans fin sur les plateaux de télévision, la nécessaire « récupération politique » de ces « faits divers » qui constituent en réalité un fait social global et majeur. La « récupération politique », c’est-à-dire l’obligation pour nos politiciens de se saisir de ce fait pour y apporter les indispensables réponses politiques concrètes. Car c’est très exactement le rôle du politique, « garantir l’intégrité et la sécurité de l’espace politique et social collectif » afin que la population puisse y mener une vie supportable et digne. S’il n’assure pas cette mission minimale, le politique, et à travers lui l’État, perd toute légitimité et ouvre la porte au chaos, au communautarisme, à la sécession et aux radicalisations les plus dangereuses. Certains s’en réjouissent, ils ont bien tort. La politique du pire est la pire des politiques. Il est encore temps de sauver la communauté nationale, mais le dépôt d’un bulletin de vote dans une urne n’y suffira pas, il est indispensable que la parole populaire se libère, que la chape de plomb du « politiquement correct » soit brisée, que les élus, de tous bords, soient interpellés et sommés de rendre des comptes, que le réel s’impose aux fictions idéologiques et que les mensonges et manipulations médiatiques soient implacablement combattus. À chacun, à sa place, d’y contribuer, par un inlassable travail militant, intellectuel, associatif, artistique, activiste. C’est désormais, incontestablement, une question de survie.

    Xavier Eman (Site de la revue Éléments, 2 mai 2024)

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  • L'Europe de nos enfants...

    La revue Livr'arbitres vient de publier les actes du XIe colloque annuel de l’Institut Iliade, qui s'est tenu à Paris le 6 avril dernier. On y trouvera les interventions des principaux orateurs ainsi que quelques textes additionnels.

     

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    " L’Europe, entre mythe et espérance

    L’Europe – son histoire, sa culture, son identité, son avenir – a toujours été au centre, au cœur, des préoccupations de l’Iliade. Or cette Europe est aujourd’hui profondément en crise, à la fois structurellement et symboliquement. Alors qu’elle n’a jamais été aussi nécessaire et impérieuse face aux défis mondiaux, l’idée européenne s’éloigne malheureusement de l’esprit d’un grand nombre d’habitants des pays qui la composent.

    Elle décline notamment sous les coups de boutoirs de « l’occidentalisme » qui a fait son grand retour à l’occasion de la tragique guerre russo-ukrainienne, rapidement transformée en guerre russo otanienne. « L’occidentalisme » refuse l’idée d’une autonomie de l’Europe et d’un destin spécifique de celle-ci au profit d’une fantasmatique « solidarité » des pays « blancs » et « développés », « démocratiques » et « capitalistes » , aussi divers que l’Australie ou Israël, cornaqués par les États-Unis bien évidemment. C’est une sorte d’infantilisme apeuré consistant à se placer sous l’aile prétendument « protectrice » du « grand frère » américain et de sa puissance miliaire à la moindre crise sérieuse, réflexe d’adulte sous tutelle n’ayant pas la moindre confiance en sa propre capacité de défense et de résilience. C’est aussi un aveuglement total face aux ravages identitaires et culturels causés par l’imposition planétaire de « l’american way of life », principale cause d’arasement de la diversité du monde. Être occidentaliste, c’est confondre niveau de vie et culture, couleur de peau et identité, marché et civilisation.

    L’aspiration européenne est aussi grandement malmenée par l’omniprésence délétère de l’Union Européenne et de ses institutions non-démocratiques, aussi intrusives que coercitives, dont la réglementation de plus en plus obèse, toute entière au service des intérêts de l’oligarchie financière mondialisée, suscite un légitime rejet, chaque jour plus massif. Pour beaucoup, aujourd’hui, l’Europe est principalement synonyme de perte de liberté et de souveraineté, de tracasseries administratives et de propagande wokiste et immigrationniste.

    Face à ces écueils, redonner vie et vigueur à l’idée européenne, dessiner un avenir d’indépendance et de puissance pour des peuples européens unis dans le respect de leurs spécificités et particularismes, sous l’égide du principe de la subsidiarité, rassembler les énergies au service d’un grand projet civilisationnel, voilà quelle est la haute et délicate ambition de ce nouveau colloque de l’Iliade, auquel, une fois encore, la revue Livr’arbitres est fière et heureuse de s’associer.   

    Xavier Eman "

     

    Au sommaire :

    • Editorial : L'Europe entre mythe et espérance
      Xavier Eman
    • Notre héritage commun
      Philippe Conrad
    • L’Europe ? Un mythe et un destin. Des Indo-Européens à l’accomplissement de l’Europe.
      Pierluigi Locchi
    • Europe ou Occident ? Aux sources de notre identité
      Olivier Battistini
    • Généalogie critique de l’Union Européenne
      Christophe Réveillard
    • « Et nous serons Européens ». D’une chose simple, pas si simple à faire
      Benedikt Kaiser
    • Contre la société libérale : retrouver la communauté des Européens
      Pierre Gentillet
    • Europe, civilisation des libertés !
      Jean-Yves Le Gallou
    • L’Europe, Terre du Milieu
      Lionel Rondouin
    • L’empire européen : du désastre organisé à l’horizon nécessaire
      Thibaud Gibelin
    • Pour une Révolution européenne !
      Marion du Faouët
    • L'Europe à l'horizon
      Duarte Branquinho
    • Hongrie : place en Europe et perspectives
      Ferenc Almassy
    • L'Europe, terre de nos enfants
      Adriano Scianca
    • L'Europe de nos enfants
      Axelle Girard
    • L'Europe est-elle « judéo-chrétienne » ?
      Henri Levavasseur
    • Manifeste et présentation de l'Institut Iliade

     

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