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violence - Page 7

  • Quand l'ordre qui règne dans certains quartiers n'est plus celui de la France...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 20 octobre 2016 et consacrée aux manifestations des policiers qui protestent contre l'absence de réaction de l'état face aux violences qu'ils subissent.

    Eric Zemmour vient de publier chez Albin Michel un recueil de ses chroniques des années 2013-2016 intitulé Un quinquennat pour rien et précédé par un longue préface intitulée « La France au défi de l'islam », qui lui vaut, à nouveau, d'être la cible d'une campagne d'intimidation.

     

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  • A Viry-Chatillon, comme en Afrique, les coupeurs de route sévissent...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'entretien donné par l'avocat Thibault de Montbrial à Charlotte d'Ornellas, pour Boulevard Voltaire, et consacré à l'attaque aux cocktails Molotov de deux voitures de police, à Viry-Chatillon, par une bande armée de la cité de La Grande Borne...

     


    Viry-Châtillon : il n'y a pas de coupeurs de... par bvoltaire

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  • Le jour où tout s'embrasa...

    Les éditions Ring publient demain le nouveau roman de politique-fiction réaliste de Laurent Obertone intitulé Guérilla - Le jour où tout s'embrasa. Journaliste et écrivain, Laurent Obertone est l'auteur de deux essais marquants La France Orange mécanique et La France Big Brother ainsi que d'un récit puissant, Utøya, consacré à la tuerie commise par Anders Breivik...

     

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    " Dans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément.
    La cité s'embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose.

    Forces de l'ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos.

    Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d'approvisionnements, d'ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel.
    Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s'apprêtent à faire face au carnage. 

    Les événements décrits dans Guérilla reposent sur le travail d'écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d'immersion au contact d’agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l'auteur du chef d’œuvre Utøya (l'affaire Breivik) et de l'enquête phénomène La France Orange Mécanique livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile. "


    Guérilla, de Laurent Obertone

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  • Pour garder le pouvoir, la super-classe mondiale est prête à toutes les violences !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur le site de Polémia, qui rappelle, exemples à l'appui, que l'oligarchie au pouvoir est n'est pas disposée à reculer. quand sa mainmise sur le système menace d'être remise en cause...

     

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    Pour garder le pouvoir, la super-classe mondiale est prête à toutes les violences

    Pour garder le pouvoir, la super-classe mondiale est prête à tout car en post-démocratie les électeurs ont encore le droit de changer de gouvernement mais plus celui de changer de politique. A bon entendeur, salut !

    Petit rappel de l’actualité

    En 1990, la France découvre avec horreur la profanation du cimetière de Carpentras, profanation immédiatement imputée, directement ou indirectement, au Front national alors en pleine progression électorale. Cette imputation politico-médiatique – qui ne sera pourtant jamais confirmée par l’enquête judiciaire – sert à accoler au Front national l’étiquette antisémite. Ce qui contribuera à un isolement politique dont il n’est jamais sorti.

    En 2003, la ministre sociale-démocrate suédoise des Affaires étrangères, Anna Lindh, est assassinée par un « déséquilibré » quatre jours avant le référendum pour ou contre l’adhésion à l’euro. Anna Lindh était partisante du oui et son meurtre suscite une émotion dûment médiatisée. Mais finalement le non l’emportera au référendum à près de 56% des voix.

    En Grèce, le parti nationaliste, identitaire et anti-immigration – considéré donc comme néo-nazi par les médias – Aube Dorée devient aux élections européennes de 2014 le troisième parti grec, devançant le Parti socialiste. Il obtient 16% des voix aux élections municipales d’Athènes. Peu de temps après, tous ses responsables perdent leur immunité parlementaire et font l’objet de poursuites judiciaires pour différents motifs et notamment du chef de « participation à une organisation criminelle ». Ce dont se félicitent les responsables de l’Union européenne.

    En septembre 2015, la photo du petit Aylan Kurdi mort sur une plage, mondialement médiatisée, vient à propos ébranler les dernières résistances européennes à « l’accueil des migrants », notamment à la mise en place de quotas de « réfugiés » que souhaite la chancelière allemande.

    En 2016, en Autriche, la victoire annoncée du candidat patriote (parti autrichien de la liberté) à l’élection présidentielle, Norbert Hofer, se solde finalement par une défaite électorale à quelques milliers de voix près – un résultat qui laisse suspecter des fraudes électorales et qui a conduit Norbert Hofer à saisir la justice.

    La Grande-Bretagne se prépare, en juin 2016, à voter par référendum son maintien ou non dans l’Union européenne. Le non semble l’emporter dans les sondages d’opinion. Mais la députée travailliste Jo Cox, partisante du maintien, est assassinée une semaine avant par un individu « d’extrême droite », ce qui « suscite l’émotion » et permet d’incriminer les partisans du « Brexit » pour le « climat de haine » qu’ils auraient suscité.

    Aux Etats-Unis, un Anglais vient d’être intercepté, le 20 juin, alors qu’il envisageait un attentat contre le candidat Républicain Donald Trump, un candidat dont les meetings sont systématiquement perturbés par l’extrême gauche américaine.

    Pas d’amalgame ni de complotisme !

    Tous ces faits n’ont, bien sûr, strictement aucun rapport les uns avec les autres et il ne faut faire ni « amalgame » ni « complotisme », comme le disent si bien nos médias de propagande.

    Néanmoins, force est de constater que lorsque les urnes sont susceptibles de donner un résultat contraire à ce qu’attend la super-classe occidentale, il se produit curieusement des événements propres à susciter l’émotion des électeurs et à changer le résultat.

    Et si, malgré cela, les électeurs persistent, alors on a recours à d’autres stratagèmes : les faire revoter ou bien faire entériner par le Parlement ce que les électeurs ont rejeté par référendum (comme on l’a vu avec le Traité de Lisbonne). Ou bien les menacer des pires catastrophes économiques et sociales, comme on le voit en ce moment avec la campagne politico-médiatique menée contre le « Brexit » y compris… en France ! Comme on menaçait hier les Irlandais de délocalisations massives s’ils persistaient à mal voter.

    En post-démocratie, en effet, les électeurs ont le droit de changer de gouvernement mais pas de politique.

    Silence le peuple !

    La super-classe mondiale ne tolère le peuple qu’à la condition que celui-ci lui donne périodiquement l’onction démocratique. Ensuite il n’a que le droit de se soumettre en se montrant une ressource humaine bien « flexible ».

    Sinon il devient un ramassis populiste, raciste et fascisant contre lequel les oligarques peuvent tout s’autoriser puisqu’ils prétendent incarner le camp du Bien et qu’il serait dans l’essence du Bien de détruire le Mal. Ce qui légitime l’usage de la violence – directe ou indirecte – contre ceux qui contestent leur pouvoir. Pas de liberté contre les ennemis de la liberté ! On connaît la chanson.

    Les candidats populistes mais surtout leurs électeurs doivent donc comprendre que désormais ils ne jouent pas le jeu politique avec les mêmes cartes que les oligarques au pouvoir – et que ceux-ci sont prêts à tout pour le conserver : coups tordus, provocations, chantage, manipulations de la loi électorale, poursuites judiciaires, fraudes, attentats ou même guerres.

    Rien ne les arrêtera.

    A bon entendeur, salut !

    Michel Geoffroy (Polémia, 21 juin 2016)

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  • Il n’y aura pas de solution sans force !...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un court entretien donné par Jean Raspail à Charlotte d'Ornellas pour Boulevard Voltaire. L'auteur du Camp des Saints revient sur les événements tragiques que la France a connus en 2015 et livre sa vision de l’avenir.

     

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  • Histoire criminelle des Etats-Unis...

    Les éditions Nouveau Monde viennent de rééditer l'ouvrage de Franck Browning et John Gerassi intitulé Histoire criminelle des Etats-Unis. Ce livre, dont les deux auteurs étaient respectivement journaliste et professeur de sciences politiques, avait été initialement traduit et publié en 1981 sous le titre Le crime à l'américaine.

     

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    " Et si l'histoire des États-Unis s’était avant tout bâtie sur le crime ? Réputée violente, la société américaine fascine par ses assassinats présidentiels, ses caïds de la mafia ou ses serial killers. Mais au-delà des stéréotypes, ce livre nous fait découvrir le rôle central de la criminalité dans la conquête puis l’administration du « Nouveau Monde ». L’idéologie libérale promeut d’emblée l’initiative individuelle comme moteur du progrès économique : la contrainte est perçue comme nocive et le pragmatisme l’emporte bien souvent sur un puritanisme de façade.

    L’analyse historique est ici jalonnée de portraits hauts en couleur. De la délinquance de rue à la corruption jusqu’au sommet de l’État, la sous-culture criminelle se généralise à toutes les strates de la société. Elle fait partie de la vie : petit boulot pour les uns, mal nécessaire pour les autres. Elle imprègne la conscience collective à travers les figures du hors-la-loi, du gangster ou du mercenaire. Elle s’institutionnalise au sein de lobbies qui font de l’illégalité la norme. Et elle essaime au-delà de ses frontières, où l’American way of crime s’exporte presque aussi bien que l’American way of life. "

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