Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

napoléon - Page 7

  • La campagne de Russie (partie 3)...

    Napoléon s'est emparé de Moscou, mais contrairement à ses attentes le Tsar ne lui adresse aucune offre de paix...

    Pierre Le Vigan nous donne ici la troisième partie de sa chronique consacrée à la campagne de Russie à l'occasion de la sortie du livre de Curtis CateLa campagne de Russie, en format poche dans la collection Texto, et, surtout, à l'occasion du deux centième anniversaire de cet événement...

    Première partie

    Deuxième partie

    Lien permanent Catégories : Livres, Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • La campagne de Russie (partie 2)...

    Pierre Le Vigan nous donne ici la deuxième partie de sa chronique consacrée à la campagne de Russie à l'occasion de la sortie du livre de Curtis Cate, La campagne de Russie, en format poche dans la collection Texto, et, surtout, à l'occasion du deux centième anniversaire de cet événement...

    Première partie


    Lien permanent Catégories : Livres, Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • La campagne de Russie (partie 1)...

    Les éditions Tallandier viennent de rééditer au format poche, dans leur collection Texto, La campagne de Russie, un ouvrage de l'historien américain Curtis Cate. C'est l'occasion pour Pierre Le Vigan de revenir dans une série de chroniques sur ce conflit qui a conduit l'empire napoléonien à sa disparition...


    Lien permanent Catégories : Livres, Multimédia, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Napoléon, au-delà de la légende...

    Les éditions Chroniques viennent de publier Napoléon - Au-delà de la légende, un ouvrage illustré de Michel Marmin, préfacé par Jean Tulard, un des meilleurs spécialistes français de l'Empereur. Michel Marmin a dirigé pendant de nombreuses années la rédaction de la revue Eléments et est aussi l'auteur de plusieurs essais sur le cinéma, dont, notamment, une bioraphie de Fritz Lang, (Pardès, 2005).

    Napoléon.jpg

    "Un nouveau Napoléon : comment ne pas s'en réjouir, on n'en finit jamais avec l'Empereur tant les facettes de son génie sont diverses et tant l'iconographie qu'il a inspirée paraît inépuisable.
    Dépouillé des préjugés qui entourent Napoléon, ce livre est loin de la légende dorée et de la légende noire qui ont faussé l'image de l'Empereur, mais il se garde de lui enlever le merveilleux qui entoure un destin exceptionnel, source de tant de rêves" - Jean Tulard

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Le dieu de la guerre...

    Les éditions Perrin viennent de publier un ouvrage de Bruno Colson et... Napoléon, intitulé De la guerre. Historien, politologue et stratégiste, Bruno Colson est un spécialiste des guerres napoléoniennes. Dans ce livre appelé à devenir un classique, il met en regard la pensée stratégique de Clausewitz et celle de son inspirateur, Napoléon.

    Napoléon guerre.gif

    "Le grand traité sur la guerre que Napoléon voulait écrire à Sainte-Hélène.

    Isolé à Sainte-Hélène, Napoléon envisagea de rédiger le grand traité stratégique dans lequel il aurait dévoilé les secrets de son génie. Mais il renonça, laissant à la postérité des bribes éparses.
    Bruno Colson a relevé le gant, d'abord en rassemblant tous les propos existants de l'Aigle : lettres nombreuses, confessions orales notées par les mémorialistes sans compter des inédits puisés aux archives. Ensuite, il a ordonné cette riche matière en suivant le plan choisi par Clausewitz dans son fameux traité De la guerre, de bout en bout inspiré par l'épopée impériale.
    Le résultat dévoile comme jamais la pensée et l'action de celui que Clausewitz qualifiait de « dieu de la guerre ». Vitesse, concentration éclair, manoeuvres, capacité à exploiter l'instant charnière de la bataille, art de la poursuite ; autant d'inventions matricielles de la guerre de masse et de mouvement se révèlent dans un style limpide et percutant. Le dialogue au sommet établi avec Clausewitz, dont les idées maîtresses sont exposées en ouverture de chaque partie, achève de hisser cet ouvrage sans précédent au rang de futur classique pour quiconque aspire à comprendre la guerre moderne."

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Hestia sur les rivages de Brooklyn...

    Nous vous signalons la parution aux éditions Avatar d'un ouvrage de Jure Vujic, intitulé Un ailleurs européen - Hestia sur les rivages de Brooklyn. De nationalité croate, Jure Vujic est avocat et chercheur en géopolitique. Il collabore à de nombreuses revues, et a notamment écrit dans la revue Krisis.

     

    Un ailleurs européen.jpg

     

    Hestia sur les rivages de Brooklyn

    La tradition est inversée. L’Europe ne raconte plus l’Occident. C’est l’Occident qui conte l’Europe. La marche en avant des proto-iraniens, peuples de cavaliers vers leur foyer « européen », la « hache barbare » du peuple des demi-dieux hyperboréens, Alexandre, Charlemagne, Hohenstaufen, Charles Quint, Napoléon ne font plus rêver. L’Occident hyperréel sublimé, le mirage du « standing », du bonheur à la carte est le songe éveillé et névrotique du quart-monde favellisé, d’un imaginaire tiers-mondiste « bolly-woodisé ». Il n’y a plus de grand métarécit européen faute de diégèse authentiquemment européenne. La « mimesis vidéosphérique » occidentale dévoile, déshabille, montre et remontre dans l’excès de transparence. Loin des rivages de l’Hellade, Hestia s’est trouvé un nouveau foyer sur les bords de Brooklyn, aussi banal et anonyme que les milliers d’« excréments existentiels » qui jonchent les rivages de Long Island.

    Que faire ? Hestia devra-t-elle chevaucher ce nouveau paysage extrême-occidental, c’est-à-dire faire en sorte que ce paysage devienne le centre de l’aventure d’une nouvelle extension métaidentitaire ? Faire l’expérience d’une nouvelle déconstruction identitaire par « l’archipélisation » ? La tâche de Hestia est celle du poète qui s’efforce de diffuser la totalité dans son lieu, trouver et inscrire « l’Ailleurs » dans « l’Ici ». Faire d’un territoire hostile et rival un lieu commun. Le génie « européen » qui avait pensé sensiblement le monde, qui l’avait dompté et conquis en l’accaparant dans la raison instrumentaire et intelligible avait fini par être consumé par la res cogitans occidentale, un « Nouveau monde » qui l’avait pulvérisé dans la sphère de l’intelligible et la surreprésentation excessive. En un mot l’esprit européen avait lui-même enfanté une image criminelle de lui-même. Et si c’était vrai ? Si l’Occident n’avait été que ça : un crime contre l’imaginaire ? S’il n’était rien d’autre qu’une machine à sublimer qui n’a cessé de servir le plus sournois des cultes de la représentation et de la raison discursive ? L’Occident en tant que processus de désenchantement irréversible ?

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!