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islamisme - Page 5

  • A qui profite le djihad ?...

    Les éditions du Cerf viennent de publier un essai de Xavier Raufer intitulé A qui profite le djihad ?

    Criminologue et auteurs de nombreux essais, Xavier Raufer a publié ces dernières années Les nouveaux dangers planétaires (CNRS, 2012) et Criminologie - La dimension stratégique et géopolitique (Eska, 2014) et, tout récemment, Le crime mondialisé (Cerf, 2019).

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    " Aurions-nous terrassé Al-Qaïda, vaincu Daech, mis fin à la Terreur islamiste ? Certainement pas, analyse le criminologue Xavier Raufer. Comme hier, notre savoir reste limité et périmé. Mais comment anticiper ? Voici la vérité sur le djihad nouveau qui va arriver. Un livre de révélations et de conscientisation. Indispensable.

    Le terrorisme serait-il le seul crime qui ne profite à personne ? La mondialisation aurait-elle aboli l'instrumentalisation dont il était hier l'objet ? La nébuleuse qu'il forme au Proche-Orient, dans le Caucase, en Asie, en Afrique, en Europe, pourrait-elle fonctionner sans alliance ou sans assistance ? Et le djihad ne se prête-t-il pas à masquer des rapports de force classiques, des conflits récurrents ?
    C'est le rôle des États qui emploient la terreur comme une arme d'agression ou de dissuasion que révèle ce livre fondé sur des documents inédits émanant des services secrets. Décryptant les faits passés, les risques futurs et les menaces actuelles, Xavier Raufer montre en quoi nous restons démunis : nous ressassons ce que nous croyons savoir là où il nous faudrait décrypter ce que nous ignorons.
    Un tableau saisissant des guerres clandestines à l'échelle planétaire.
    Une illustration exemplaire des deux piliers du décèlement que sont prévoir et prévenir.
    Un bilan indispensable de nos forces et de nos faiblesses.
    Une leçon de clairvoyance. "

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  • La mission...

    On avait bien compris à la lecture des deux premiers volumes de la série Tann que Julian Tannhäuser, le héros de Victor d'Usclat, n'était pas près de prendre sa retraite. Il revient donc avec La mission, pour des aventures qui vont le conduire loin de France...

    Comme les deux premiers volumes, La mission est en vente sur la plateforme Amazon, et devrait l'être prochainement dans les bonnes librairies.

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    " Après avoir travaillé pour une société de sécurité privée dans les zones de conflit en Asie et au Moyen-Orient, et suite à une mauvaise expérience, Julian Tannhäuser regagne la France. Ne pouvant se résoudre à vivre une vie normale, il découvre par ailleurs la réalité des attentats terroristes. Bientôt, il devient Thanatos, l’ange exterminateur, exécuteur de djihadistes.
    Mais aussi ennemi numéro un pour la République légaliste.
    ... Sauf quand elle se résout à faire de lui le bras armé d'affaires très particulières et qui doivent rester secrètes.

    Après la disparition d'un correspondant de l'Aquarium, Tann se trouve propulsé en Asie centrale, non loin des régions où il exerçait avant son tonitruant retour en France.
    Une mission de tous les dangers dans les vallées oubliées, au cœur des montagnes d'une ancienne république soviétique, aux frontières de la Chine.

    Au programme : des djihadistes, des transfuges, des traitres, des otages, de la poudre et du sang. "

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  • Des nouvelles du Bas-Empire...

    Les éditions Robert Laffont viennent de publier dans leur collection Bouquins La nef des fous - Des nouvelles du Bas-Empire, un éphéméride de l'année 2020 établi, à sa façon, par Michel Onfray.

    Philosophe populaire, polémiste, tenant d'un socialisme libertaire, Michef Onfray a publié de nombreux ouvrages, dont dernièrement sa trilogie  Cosmos (Flammarion, 2015), Décadence (Flammarion, 2017) et Sagesse (Flammarion, 2019), ou encore Théorie de la dictature (Robert Laffont, 2019).

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    " Sous la forme d'une éphéméride, et ce sur presque tous les jours de cette année 2020, je consigne chaque délire dont notre temps est capable.
    Dans ce journal se croisent une petite fille de huit ans qui veut changer de sexe depuis l'âge de quatre ans ; des égorgeurs présentés comme de pauvres victimes d'elles-mêmes ; une jeune fille qui ne va plus à l'école et prophétise la catastrophe climatologique dont le clergé de son pays nous dit qu'elle est le Christ ; des femmes qui vendent des enfants pendant que d'autres les achètent ; l'Église catholique qui court après les modes du politiquement correct ; le journal Libération qui se dit progressiste en célébrant la coprophagie et la zoophilie ; des végans qui militent contre les chiens d'aveugles ; une anthropologue qui trouve qu'il y a trop de dinosaures mâles et pas assez de femelles dans les musées ; des pédophiles qui achètent des viols d'enfants en direct sur le Net ; un Tour de France qui commence au Danemark et un Paris-Dakar ayant lieu en Amérique du Sud ; un parfum élaboré par une femme à partir des odeurs de son sexe ; un chef de l'État qui, entre autres sorties, se félicite que ses ministres soient des amateurs ; Le Monde qui estime courageuse une mise en scène théâtrale qui présente Lucien de Rubempré en femme ; le pape et Tariq Ramadan pour qui le coronavirus est une punition divine – et autres joyeusetés du même genre... Entre rire voltairien et rire jaune, cette Nef des fous est un genre de journal du Bas-Empire de notre civilisation qui s'effondre.
    M. O. "

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  • Feu sur la désinformation... (318)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Les appétits médiatiques de Vincent Bolloré agitent le petit monde des journalistes.
    • 2 : Trappes : conquête islamique, silence médiatique
      Face à ce professeur menacé de mort par des islamistes qui fait la Une de l’actualité avec ses propos sur Trappes… les médias politiquement corrects hésitent entre l’occultation et les attaques vicieuses.
    • 3 :  Revue de presse
    • 4 : Covid-19 : la propagande catastrophiste des médias
      Retour sur la désinformation catastrophiste des médias quant à la crise du Covid-19..

     

                                              

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  • Islamo-collabos : pas conquis, déjà soumis ?...

    Le numéro 36 du mensuel conservateur L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut découvrir à l'intérieur deux dossiers, l'un consacré aux islamo-collabos et l'autre à la fabrique du faux, des entretiens avec David Goodhart, Emile Brami ou Jean-Pierre Montal notamment, et les rubriques habituelles "Politique", "Monde" "Essais", "Culture", "Envers et contre-cool" et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

     

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  • Quand islamisme et multiculturalisme condamnent les valeurs françaises...

    Nous reproduisosn ci-dessous un point de vue de François-Bernard Huyghe, cueilli sur la page des Médiologues, hébergée par Marianne, et consacré à la situation de la France de macron conspuée à la fois par le bloc islamiste et le bloc multiculturaliste...

     

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    Fini, la fausse compassion : quand islamisme et multiculturalisme condamnent les valeurs françaises

    Que nous étions vertueux, il y a cinq ans ! En janvier 2015 des millions de Français défilaient pour scander qu’ils étaient Charlie (voire policier, et juif), que le vivre-ensemble résisterait aux assauts du terrorisme (les termes "jihadisme" ou "islamisme" étant quasiment tabous) ; ni amalgame ni compromission. Le tout sanctionné par la présence émue de chefs d’État du monde entier, sous les caméras compatissantes du village planétaire.

    À l’époque les discours proclamaient que rien ne nous diviserait (surtout pas la religion qui n’avait rien à voir, vraiment, dans cette affaire), que nous ne renoncerions en rien à nos principes républicains : c’étaient notre universalisme et nos valeurs que visaient les barbares. Ils allaient voir.

    Cinq ans plus tard

    Cinq ans et quelques centaines de morts du jihadisme plus tard, la patrie des droits de l’Homme n’attire plus la même compassion. Dans le monde musulman les déclarations contre le pays blasphémateur se multiplient. Emmanuel Macron est obligé d’aller sur Al-Jazeera assurer qu’il comprend la sensibilité des croyants, que ce n’est pas le gouvernement qui fait les caricatures, et, d’ailleurs, que l’on a déformé ses propos.

    Les anathèmes se multiplient, les uns appelant au « droit » des musulmans de tuer « des millions de Français » (un ancien ministre malaisien), ou nous menaçant de la bombe atomique pakistanaise, les modérés nous reprochant seulement de persécuter les croyants en offensant ce qu’ils ont de plus sacré. Tandis que la Turquie nous insulte sans complexe : vous réservez à vos musulmans le même sort qu’aux juifs pendant la guerre. Toute une littérature islamiste instruit le procès de la fille aînée de l’Église et patrie de Voltaire ou de Charlie, la puissance colonialiste et le pays qui sanctionne les offenses à la Shoah, mais pas au Prophète.

    Ouh, les vilains Français

    Quant à la solidarité occidentale… Justin Trudeau (comme quelques ecclésiastiques) rappelle que la liberté d’expression ne saurait être sans limites (dont la fameuse « sensibilité des minorités »). Un article de l’Associated press, assez représentatif, pointe les raisons de la colère : notre passé colonial « brutal », notre « sécularisme » (façon de dire laïcité) intégrationniste et qui ignore les couleurs ou les différences des minorités, notre présence militaire et le discours d’Emmanuel Macron aux Mureaux. Le simple emploi du terme « séparatisme » auquel le président semblait finalement préféré substituer « islamisme », paraissant déjà incroyablement discriminant à la presse anglo-saxonne. On frôle à leurs yeux le discours populiste.

    Trop Occidentaux pour les uns, pas assez pour les autres

    Pour les uns (les islamistes) nous sommes super-occidentaux : débauchés, vendus aux Juifs, mécréants animés par la haine du Prophète, islamophobes agressifs d’État, pays à la fois des catholiques, des jacobins ou des francs-maçons, voire adorateurs de Satan. La Nation qui n’interdit pas et tolère toutes les offenses est le pays de la haine.

    Pour les autres, nous ne sommes pas assez occidentaux, au contraire. Nous sommes le pays coincé qui interdit trop et encourage les discriminations. Nous plaidons pour cette ridicule laïcité dont personne ne comprend le sens au lieu de laisser s’épanouir des « communautés », leurs cultures et leurs règles. Pas assez ouverts et normalisés, pas assez multiculturels, réacs, pas politiquement corrects puisque Macron emploie des mots qui blessent, pas assez entrés en repentance, d’un athéisme quasi-stalinien. Black live matters, décolonialisme, racisme systémique, justice sociale… nous n’avons pas intégré l’auto-critique qui caractérise l’Occidental (même si, paradoxalement, elle trouve son origine dans la French Theory des Foucault et Derrida digérés par les campus américains). Nous sommes la nation trop souverainiste, trop gaulliste, trop fière, trop populiste, trop arrogante avec son discours « républicain ». Des quasi suprémacistes.

    Repoussoir pour les deux grandes mondialisations, l’Oumma de l’islam et la globalisation du libéralisme

    Bref, un incroyable hiatus culturel fait de notre pays le pire repoussoir pour les deux grandes mondialisations, l’Oumma de l’islam et la globalisation du libéralisme. Et cela précisément sous le président cool qui se voulait moderne, performant et progressiste ; il va devoir assumer cette image dure. Il n’a plus le choix ; tout recul au nom des sensibilités ou des culpabilités serait inutile pour apaiser nos adversaires et ne serait surtout plus accepté par l’opinion française qui découvre sa colère.

    François-Bernard Huyghe (Les médiologues, 2 novembre 2020)

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