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indo-européens - Page 9

  • L'Aurochs... De Lascaux au XXIe siècle !...

    Les éditions du Gerfaut viennent de publier L'aurochs - De Lascaux au XXIe siècle, un ouvrage de Claude Guintard et d'Olivier Néron de Surgy. Claude Guintard est vétérinaire, docteur ès sciences du Museum national d’histoire naturelle à Paris et professeur d'anatomie comparé, il est également fondateur et le président du Syndicat international pour l’élevage, la reconnaissance et le développement de l’Aurochs-reconstitué. Olivier Néron de Surgy est journaliste et a été notamment rédacteur en chef adjoint du magazine Sciences et Avenir.

     

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    " L’Aurochs est l’ancêtre de tous les bovins domestiques. Il est apparu il y a environ 500 000 ans. Intensivement chassée au Moyen Âge, l’espèce a vu son dernier représentant s’éteindre dans une forêt de Pologne en 1627.

    Aujourd’hui, on connaît l’Aurochs grâce à des ossements retrouvés et des représentations, notamment dans les grottes de Lascaux. Puissant et doté de grandes cornes, cet animal a été mythifié par plusieurs civilisations indo-européennes. La force évocatrice de ce bovin est probablement à l’origine d’une création unique en zoologie : la « reconstitution » d’une espèce disparue. Dans la première moitié du XXe siècle, deux zoologistes allemands s’y attelèrent, en mariant des races bovines très rustiques. Les produits de tels croisements sont nommés « aurochs-reconstitués ». Des éleveurs en France et ailleurs en Europe ont repris le projet à leur compte. Désormais, l’Aurochs-reconstitué est une race bovine reconnue.

    Comment est valorisée cette nouvelle race ? L’Aurochs a-t-il été domestiqué ? Quelles traces reste-t-il de cette figure patrimoniale ? Ce livre brosse l’historique de l’Aurochs et de l’Aurochs-reconstitué depuis leurs origines respectives.

    Un livre à l’attention des passionnés de Préhistoire, de zoologie ou de patrimoine rural ! "

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  • Religiosité indo-européenne...

    Nous vous signalons la parution aux éditions du Lore d'un court essai de l'anthropologue allemand Hans F. K. Günther intitulé Religiosité indo-européenne. Cet essai est précédé d'une présentation de Julius Evola et complété par un texte consacré à Evola et à Günther, signé par Robert Steuckers qui est également le traducteur.

     

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    " Dans cet opuscule, le professeur Hans F. K. Günther nous invite à renouer avec une religiosité virile, aristocratique, "verticale", qui a animé les esprits de l'indo-européanité des origines. En explorant les textes de l'antiquité sanskrite, de la Grèce de Homère, Pindare et Platon, de la Rome de Cicéron, Horace et Virgile, de l'Edda scandinave, et des classiques de la poésie et de la littérature allemandes du XVIIIe siècle, l'auteur fait apparaître un type humain irremplaçable, incarnant une philosophie "pantragique" rappelant ce que nous devons être face à l'aberrante uniformisation contemporaine.

    La présente édition s'enrichit d'un texte inédit de Robert Steuckers intitulé La lecture évolienne des thèses de H. F. K. Günther. "

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  • Les Romains !...

    Après les numéros sur les Grecs (n° 58), sur les Indo-européens (n° 49) et sur les Celtes (n° 16), la revue Nouvelle Ecole, dirigée par Alain de Benoist, revient sur un des peuples fondateur de notre Europe avec un numéro sur les Romains (n°61).

    Il est possible de se procurer ce numéro sur le site de la revue Eléments.

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    "S’il y a un « miracle » grec, il y a un mythe romain. De la fondation de Rome, selon la chronologie traditionnelle, jusqu’au dernier empereur, il s’écoule quelque chose comme douze siècles au moins – autant que d’avant Hugues Capet à nos jours ! L’empire lui-même n’a pas duré moins de quatre ou cinq siècles : un record.
    Rome naît d’une délimitation : entre le dedans et le dehors, l’ici et le là-bas, la « société civile » et l’« état de nature », l’ami et l’ennemi. Puis à partir de ce tracé, la Ville va s’étendre jusqu’au bout de l’univers connu, portant toujours plus loin l’ordre romain.
    Ayant absorbé le monde grec, et l’hellénisme avec lui, ils mettent en place un empire qui associe dans une même destinée des peuples différents, mais en respectant leur diversité. L’Empire est une entreprise universelle, non une construction universaliste.
    A Rome, les normes ne sont pas dictées par une divinité extérieure. La religion est moins affaire de foi que de rites. S’il y a des normes, ce sont celles des autorités du passé.
    « Conserver les rites de la famille et des ancêtres, dit Cicéron, c’est en quelque manière conserver une religion transmise par les dieux ». La politique de restauration religieuse de Julien « l’Apostat » cherchera à conjurer le pire des sacrilèges : l’oubli de la tradition des Anciens. Un exemple à méditer."

    Au sommaire :

    - La tradition indo-européenne à Rome (Jean Haudry)
    - La question des biens des Tarquins. Blé du Tibre et or du Rhin (Dominique Briquel)
    - Le sentiment identitaire chez les Romains (Guy Achard)
    - Quelques aspects du « Mos maiorum » à Rome (Jean-Louis Voisin)
    - Rome-Edom : l’image de Rome dans le judaïsme ancien (Alain de Benoist)
    - Le droit romain dans la mondialisation (Eric Maulin)

    et un article sur le Risorgimento au coeur de l’Europe (Yves Branca)

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  • L'épopée indo-européenne...

    Les éditions Fayard viennent de publier Nos ancêtres les nomades - L'épopée indo-européenne, de Georges Sokoloff. L'auteur, spécialiste de l'histoire et de la civilisation russe, reprend ici l'hypothèse  développée principalement par l'archéologue Marija Gimbutas, c'est à dire celle d'un foyer originel des Indo-européens située dans la grande zone de steppe et de forêts qui s'étend au sud de l'Ukraine et de la Russie et au nord la Caspienne.

     

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    "C’est un fait : les légions romaines ont bel et bien diffusé les langues dites latines au sud de l’Europe. Mais faut-il admettre de la même façon que des tribus nomades surgies de la steppe avaient déjà diffusé l’« indo-européen commun »de l’Oural à l’Atlantique ? Oui, démontrent les linguistes, c’est bien la vieille langue-mère de nos idiomes courants. Son vocabulaire nous en apprend d’ailleurs beaucoup sur le quotidien des peuplades qui l’avaient jadis parlé. Elles nous ont aussi laissé des traces irréfutables de leurs migrations, confirment les archéologues. Elles nous ont même légué leurs mythes et leurs rites, ajoutait Dumézil. Pourtant, l’ « idée indo-européenne » bute sur un ultime et grand mystère : comment des bandes éparses de pasteurs nomades ont-elles pu imposer leur lexique et leurs mœurs à des indigènes si éloignés, en outre bien plus nombreux et souvent plus évolués que les intrus venus les coloniser ?
    C’est sur ce mystère que Georges Sokoloff, armé des plus récents travaux sur l’épopée indo-européenne, enquête ici. Ce regard jeté sur ces ancêtres nomades venus de loin peut aussi devenir, à notre époque d’intenses migrations, de replis identitaires et d’esquisse d’une civilisation-monde, un thème de réflexions rêveuses."

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  • Une Saint-Jean pour le XXIe Siècle !...

    En ce jour de solstice d'été, vous pouvez lire ci-dessous un texte d'Alain de Benoist, publié en 1979, dans le Figaro Magazine, et consacré à la tradition des feux de solstice...

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    UNE SAINT-JEAN POUR le XXIe SIECLE

     

    Lancée à l'initiative de l'association Espaces pour demain, la grande kermesse de l'énergie solaire culmine aujourd'hui, 23 juin, avec la « Journée du Soleil ». Après six mois d'une campagne d'animation et d'information à laquelle se sont associés aussi bien les ministères que l'industrie et la télévision, les organisations de consommateurs et les collectivités locales, c'est donc à la célébration du solstice d'été que la France entière est conviée – renouant ainsi avec une antique tradition.

    « A l'idée d'une fête de solstice, écrit Marguerite Yourcenar, un étrange vertige nous prend, pareil à celui d'un homme qui se maintient en équilibre sur une sphère glissante. Cette apogée signale le commencement d'une descente ; les jours, désormais, iront raccourcissant jusqu'au nadir du solstice d'hiver ; l'hiver astronomique commence en juin, comme l'été astronomique commence en décembre, quand les heures de lumière croissent insensiblement de nouveau… Nous sommes pris dans cette double spirale, montante et descendante “Arrête-toi, tu es si beau”, pourrait dire Faust au solstice de juin. Il le dirait en vain. C'est en nous seuls, et encore sans trop l'espérer ni trop y croire, qu'il faut chercher la stabilité » (Le Figaro, 22 juin 1977).

    Comme chaque année et comme toujours, ce soir, des feux s'allumeront dans toutes les régions de France et d'Europe pour célébrer la nuit la plus courte de l'année. La population aura amassé des fagots et construit le bûcher. Un mât orné de branchages, décoré aux couleurs de la région, se dressera à son faîte et, la nuit venue, quand la flamme, après avoir hésité, aura définitivement triomphé, les chants et les danses se poursuivront longtemps, autour du brasier flamboyant.

    Cette « fête du Soleil » vient du plus lointain passé. « Pour les Indo-Européens, explique Pierre Vial, le soleil était la source de la lumière, de la chaleur et de la vie. Attentifs à la course du soleil dans le ciel, les Indo-Européens célébraient avec ferveur le solstice d'hiver et avec magnificence le solstice d'été. Ils célébraient la puissance du soleil dans la joie » (Les solstices. Histoire et actualité, Copernic, 1977.) En Angleterre, dès le IIIe millénaire av. notre ère, le site de Stonehenge, immense cercle de pierres levées, « cathédrale » proto-historique et temple mutilé, forme un observatoire astronomique dont l'enceinte extérieure regroupe 125 pierres réunies par des linteaux. Les hommes, déjà, y rendent un culte au Soleil : « Une avenue d'accès, jalonnée par quelques menhirs, détermine dans le monument un axe, très exactement orienté sur le soleil levant au solstice d'été » (Fernand Niel).

    Le mot même de « dieu » chez les Indo-Européens – deus, theos ou deiwos – exprime à l'origine une notion de luminosité : le dieu souverain est dieu « du ciel lumineux ». En Grèce, Hélios, de la race des Titans, accomplit chaque jour, monté sur son char d'or attelé de trois chevaux ailés, une course à travers les cieux. Embrasant d'un seul regard toute la surface de la Terre, il renseigne l'Olympe sur ce qui s'y passe. Son fils, Phaéton (dont le nom signifie « celui qui brille »), tenta un jour de conduire son attelage, mais fut vite dépassé par la tâche. Sous l'effet de sa course désordonnée, les fleuves se transformèrent en vapeur, les montagnes et les forêts s'embrasèrent, la terre se fendit en plusieurs endroits. Pour mettre fin au désastre, Zeus dut foudroyer l'imprudent, qui fut précipité dans le fleuve Eridanos. Ses sœurs, les Héliades, vinrent pleurer sur sa tombe des larmes d'ambre (cet épisode renvoie peut-être aux catastrophes naturelles qui eurent lieu en Europe du nord au XIIe siècle av. notre ère et qui provoquèrent l'invasion des Doriens en Grèce. Le fleuve Eridanos serait alors l'Eider, qui s'ouvre dans la mer du Nord aux parages de Héligoland, là où, précisément, on extrayait l'ambre jaune dans l' Antiquité).

    Chez les peuples nordiques, les solstices donnaient également lieu à de grandes célébrations. Dans les calendriers runiques, le jour du solstice d'hiver est figuré par une roue – et le char attelé de Hélios trouve sa contrepartie dans le célèbre char solaire germanique découvert à Trundholm (Danemark), aujourd'hui au Musée national de Copenhague, constitué d'un assemblage attelé supportant un grand disque doré aux faces ornées de spirales et de cercles concentriques. Chez les Indo-Aryens, le Rig-Véda mentionne à maintes reprises la « roue de Souria », la roue du Soleil, symbole du devenir du monde, qui tourne éternellement : « Un coursier unique au septuple nom meut la roue au triple moyeu, la roue immortelle que rien n'arrête, sur laquelle reposent tous les êtres ». A Rome, la fête de la déesse Palès, le 21 avril, coïncide avec le dies natalis de la capitale de l'Empire. « Bien souvent, écrit Ovide, au jour des Parilia, j'ai sauté à travers trois brasiers alignés ; bien souvent, dans mon enfance, j'ai aspergé l'autel d'eau lustrale avec une branche de laurier […] Imitez-moi, jeunes bergers, allumez les feux, faites passer rapidement vos corps généreux à travers les amas embrasés de paille qui pétille… » (Fastes, IC, V, 720).

    Dans le calendrier julien, le 25 décembre était autrefois appelé « jour de la naissance du Soleil » (Pline, Hist. nat., XVIII, 221.) Fait révélateur : quand la vieille religion gréco-romaine disparaîtra, on verra le soleil prendre une place essentielle dans le culte païen menacé, ainsi qu'en témoignent le traité Sur le Soleil roi, de l'empereur Julien, ou l’Hymne au Soleil, de Proclus. En 274, l'empereur Aurélien construit un temple au Soleil sur le champ de Mars. Le 25 décembre, déjà fête de Mithra, devient la fête du Soleil invaincu (Sol invictus). Le mithracisme, culte solaire s'il en fut, connaît alors son apogée. On connaît le mot de Renan : « Si le christianisme avait été arrêté dans sa croissance par quelque maladie mortelle, le monde eût été mithriaste ».

    L'Église tenta d'abord de résister aux vieux rites. Au début du VIIe siècle, saint Éloi écrit : « Ne vous réunissez pas au solstice, qu'aucun de vous ne danse et ne saute autour du feu ni ne chante de chansons en ce jour ». Il ajoute : « Que personne n'appelle le soleil son maître et ne jure par lui ! » Charlemagne recommande aux évêques de proscrire « ces feux sacrilèges qu'on appelle ned fratres et d'autres vaines observances des païens ». Mais ces instructions restèrent lettre morte, si grande et si enracinée était la ferveur populaire. La hiérarchie entreprit alors de composer. Elle reprit à son compte, en les détournant de leur sens, de nombreuses coutumes du paganisme qui faisaient obstacle à la propagation de la foi nouvelle. Le solstice d'hiver devint la fête de la Nativité (Noël) ; le solstice d'été, la « Saint-Jean ». Réalisant un habile syncrétisme, saint Augustin déclare : « A la nativité du Christ, le jour croît ; à la nativité de saint Jean, il décroît. Le jour augmente lorsque se lève le Sauveur du Monde ; il diminue lorsque naît le dernier des prophètes ».

    Symbole classique du paganisme, le soleil apparaît dans l'iconographie chrétienne surtout à partir du Moyen Age. L'or, couleur du soleil, devient symbole de triomphe et de joie. Jésus, déjà désigné dans les évangiles comme le « soleil levant » (Matthieu 4,2 ; Luc l,78), est assimilé à la « lumière du monde » et au « soleil de justice ». Le cierge prend le relais de l'ancienne torche. L'ostensoir en forme de soleil rayonnant sert aux bénédictions solennelles. A partir du Ve siècle, l'habitude se prend d'orienter les églises selon la direction est-ouest, avec l'abside tournée vers le soleil levant. Et saint François d'Assise exprime sa foi en ces termes : « Loué soit Dieu, mon Seigneur, à cause de toutes les créatures, et singulièrement pour notre frère messire le Soleil, qui nous donne le jour et la lumière ! »

    Allusions historiques (le « soleil d'Austerlitz »), noms de villes idéales (la Citadelle solaire des Rose-Croix, la Cité du Soleil de Campanella), envolées littéraires ou lyriques, formules empreintes d'exaltation ou de ferveur : « messire le Soleil » n’a cessé, sous mille avatars, d'inspirer les hommes et de garder sa signification originelle. Bernardin de Saint-Pierre écrit : « Soleil, viens me réchauffer de tes feux et m'éclairer de ta lumière, cœur du monde, œil de la nature, vivante image de la Divinité ». Le poète normand Malfilâtre s'exclame : « Je te salue, âme du monde, sacré soleil, astre de feu, image de mon Dieu ! » Chez Leconte de Lisle, Hjalmar, le héros intrépide, va s'asseoir après sa mort « parmi les dieux, dans le soleil ». Le Chanteclerc de Rostand s'écrie : « Je t'adore soleil ! Toi sans qui les choses ne seraient que ce qu'elles sont ». Au dernier acte des Revenants, Ibsen laisse Oswald Alving demander : « Mère, donne-moi le soleil ». Verlaine fait du soleil le « complice de [sa] joie ». Nietzsche déclare : « Moi qui suis né sur la Terre, j'éprouve les maladies du soleil comme un obscurcissement de moi-même et un déluge de ma propre âme ».

    La renaissance de la pratique sportive au XIXe siècle, l'irrésistible poussée des masses vers les plages durant les mois d'été, ont encore accentué et souligné l'antique familiarité des hommes et de l'astre flamboyant. Renan disait : « L'histoire du monde n'est que l'histoire du soleil » !

     

    Alain de Benoist (Le Figaro Magazine, 23 juin 1979)

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  • Le retour des Indo-européens !...

     Les éditions de la Forêt rééditent Les Indo-européens du professeur Jean Haudry, ouvrage depuis longtemps introuvable, qui avait été initialement publié en 1981 dans la célèbre collection Que sais-je ? , aux Presses Universitaires de France.Si le texte a été enrichi, il conserve son esprit originel, celui d'une synthèse abordable destinée à un public curieux.

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    "Longtemps occulté après avoir été largement diffusé et traduit en sept langues, cet ouvrage paraît à nouveau en français, grâce aux Editions de la Forêt. Il ne constitue pas une somme de nos connaissances et de nos interrogations sur les Indo-Européens, mais une synthèse fondée sur les données les lus immédiates, celles de la langue et celles de la tradition sous ses deux formes principales, formulaire reconstruit et groupes significatifs de notions. La principale innovation de la présente édition est de mettre l'accent sur la chronologie et le caractère de la tradition, dont l'une des composantes est le type physique idéal de la population. Contrairement à l'habitat originel, toujours débattu, il fait partie des données de base, au même titre que les idéaux et les valeurs.

    Cet ouvrage constitue la meilleure synthèse disponible aujourd'hui en français, sur un sujet central pour la mémoire et la conscience historique des Européens."

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