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françois bousquet - Page 19

  • Face à la crise des valeurs, la renaissance des dieux...

    La revue Éléments publie cette semaine son premier numéro hors-série consacré aux sagesses païennes qui propose une anthologie des textes les plus marquants sur le paganisme parus dans le magazine depuis 50 ans.

    Au fil de ces 132 pages, le lecteur découvrira, loin des anathèmes et des procès en sorcellerie, l’extraordinaire pluralité des sensibilités qui bouillonne aujourd’hui encore au sein de la revue.

    Le soleil reviendra !

     

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    Sagesses païennes 
    La renaissance des dieux face à la crise des valeurs
    Hors-série n°1

    Au sommaire du numéro :

    Héritage

    Pour une renaissance des dieux : la libération de l’Europe
    Par Alain de Benoist
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Comment peut-on être païen ? Réflexions critiques sur le néopaganisme
    Par Alain de Benoist
    Éléments n° 89, juillet 1997

    L’éclipse du sacré : les dieux à venir ne sont pas encore nés
    Par Guillaume Faye
    Éléments n° 57-58, mars 1986

    Débat

    Michel Onfray et Alain de Benoist : « Un jour, il y aura des dieux »
    Éléments n° 167, août 2017

    Falk van Gaver et Rémi Soulié ou la tentation païenne : ces écrivains catholiques que le polythéisme attire
    Éléments n° 167, août-septembre 2017

    Ce Dieu qui n’existe pas
    Par Jean-François Gautier
    Éléments n° 95, juin 1999

    Figures

    Louis XIV en Apollon
    Par Michel Marmin
    Éléments n° 26, mars 1978

    Bibliothèque païenne

    Quand les écrivains français ressuscitaient les dieux : le grand livre de la nature
    Par Dominique Pradelle
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Rencontre avec Henri Vincenot : le vieux Gaulois reste païen
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 53, mars 1985

    Le comte Hermann von Keyserling : une expérience du divin
    Par Jean Varenne
    Éléments n° 36, septembre 1980

    Le grand soleil de Jean Cau
    Par Michel Marmin
    Éléments n° 39, Été 1981

    Christopher Gérard : « Païen, je l’ai toujours été »
    Éléments n°186, octobre 2020

    Les soleils invaincus de D. H. Lawrence : Jean de Patmos ou l’Apocalypse pour les nains
    Par François Bousquet
    Éléments n° 180, septembre 2019

    Christian Laborde sur le sentier de la guerre
    Par Pascal Eysseric
    Éléments n° 84, février 1996

    Traditions

    Païennes Pyrénées
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 64, décembre 1988

    Une figure mythique : le dieu Cerf
    Par Pierre Vial
    Éléments n° 57-58, mars 1986

    Pour célébrer le solstice d’hiver
    Par Jean Mabire
    Éléments n° 19, décembre 1976

    À la rencontre des dieux maudits : le soleil retrouvé des Hyperboréens
    Par Jean Mabire
    Éléments n° 27, décembre 1978

    À la découverte des dieux du Grand Nord : la saga de l’Edda
    Par Jean Haudry
    Éléments n° 72, décembre 1991

    Découvertes

    Voyage au pays des Kalashs : ces vallées où meurent les dieux
    Par Éric Robert
    Éléments n° 89, juillet 1997

    Éphémérides païennes

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  • Les ados trans, abus transsexuel sur mineur !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de François Bousquet cueilli sur le site de la revue Éléments et consacré la mode de la transsexualité chez les adolescentes.

    Journaliste, rédacteur en chef de la revue Éléments, François Bousquet a aussi publié Putain de saint Foucauld - Archéologie d'un fétiche (Pierre-Guillaume de Roux, 2015), La droite buissonnière (Rocher, 2017), Courage ! - Manuel de guérilla culturelle (La Nouvelle Librairie, 2020) et Biopolitique du coronavirus (La Nouvelle Librairie, 2020).

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    Les ados trans, abus transsexuel sur mineur

    Ce samedi, avait lieu la Marche des fiertés LGBT. Arrêtons-nous sur le «T», pour trans et pour testostérone. La testostérone, c’est le choix que font de plus en plus de jeunes adolescentes… dont elles se repentiront adultes.

    Il y a 80 ans, Henry de Montherlant publiait son prodigieux cycle sur Les Jeunes Filles. Une charge de cavalerie contre le beau sexe, injuste, féroce, réjouissante. Elle serait aujourd’hui impubliable pour un tas de raisons. La première d’entre elles, c’est que les jeunes filles en question veulent devenir des garçons. Convenons que la chose n’aurait pas déplu à Montherlant.

    Gender fluid, c’est la nouvelle mode qui fait fureur dans les cours d’école. Adieu la mélancolie de La Dame aux Camélias, finie l’hystérie du docteur Charcot, dévaluée l’anorexie des défilés de mode. Chaque époque développe son propre mal du siècle : au XXIe, ce sont les troubles dans le genre – la dysphorie de genre, si vous préférez, en charabia LGBT, qui attend son Molière pour l’épingler.

    De jeunes elfes et de vieux orques

    Autrefois, la transsexualité était surjouée, elle relevait du folklore homosexuel. Michou et son cabaret. Michel Serrault et La Cage aux folles couinant après son Renato d’amour sorti d’on ne sait quel musée Grévin du travestissement. On était au théâtre, aujourd’hui on est dans Halloween ou un film de zombie. Le 26 mars 2021, le monde entier, médusé, découvrait les frisottis capillaires de la nouvelle secrétaire adjointe à la Santé de l’administration Biden, Rachel Levine, la première transgenre de l’histoire américaine à ce niveau de pouvoir. Rachel Levine appartient encore au monde de La Cage aux folles. C’est une grosse citrouille fripée coiffée d’une perruque qui tient plus du joint de plomberie en filasse que des modèles en vigueur dans les cours européennes au XVIIIe siècle. Autre signe particulier : elle fait peur aux enfants, ce que sa profession n’indique pas d’emblée : la dame était pédiatre avant d’être ministre.

    Jeunes, les trans ressemblent à des elfes ; vieux, à des orques, elfes déchus. Laissons à Rachel Levine le soin de s’occuper des orques et concentrons-nous sur les elfes innocents. Leur modèle, c’est la comédienne Elliot Page devenue garçon, aussi lisse qu’un androïde, aussi impubère qu’un visage de manga. C’est l’esthétique Pokémon à l’heure de sa reproductibilité cosmétique et hormonale.

    Pour la première fois, une enquête fouillée fait le point sur ce phénomène qui suit une courbe épidémique. Son titre ? Dommages irréversibles. Comment le phénomène transgenre séduit les adolescentes, aux éditions du Cherche Midi. Elle est signée Abigal Shrier, journaliste au Wall Street Journal, et a valu à son auteur une belle campagne de dénigrement aux États-Unis. Abigal Shrier n’est pourtant pas un vieux chaperon austère qui veut mettre une ceinture de chasteté aux jeunes filles. Ce sont d’ailleurs les jeunes filles qui enfilent d’elles-mêmes ces nouvelles ceintures de chasteté : shoots hormonaux, stérilisation, ablation ou mutilation irréparable de l’appareil génital.

    La « T » = la testostérone

    Que nous apprend Abigal Shrier ? Que la dysphorie de genre est une construction sociale. Les médecins évoquent un phénomène de contagion par les pairs. Les filles qui veulent transitionner le font en groupe. Ultraconnectées, elles découvrent derrière leur écran ce qu’elles croient être la vraie vie. La fragilité psychique de ces ados est le revers de la surprotection des parents, majoritairement des familles blanches politiquement progressistes de la classe moyenne supérieure américaine. Ces jeunes filles, qui ont pourtant reçues une éducation très libérale, ne connaissent rien au sexe. Elles observent les transformations de leur corps avec angoisse au moment de la puberté, avec le sentiment d’habiter un corps étranger, comme une chrysalide libérée de son cocon. Comment ces filles pourraient-elles avoir le corps de Kim Kardashian, les yeux de Rihanna et la voix de Beyoncé dont on les gave depuis l’enfance ? Im-pos-si-ble. Il ne leur reste qu’une option : ne pas être. Car les filles qui transitionnent ne veulent même pas devenir des garçons. Leur objectif, c’est cesser d’être des filles. Elles téléchargent leur identité sur Internet, avant de l’expérimenter pour de bon dès l’âge de 12 ans, le seuil à partir duquel on peut transitionner en Californie, sans l’autorisation des parents, cela va sans dire, même si c’est mieux en le disant.

    La théorie du genre et la transidentité sont enseignées dans les écoles, supports pédagogiques à l’appui. Les parents qui osent s’en indigner voient une armée de cyberactivistes trans leur tomber dessus. Un grand classique. Les parents ont l’impression que leur enfant a rejoint une secte dont les gourous sont des youtubeurs qui vendent aux ados les mirages d’un produit dopant : la « T », pour la testostérone.

    « Nous sommes entrés dans une ère de “solutions miracles”, résume Abigal Shrier. La Ritaline pour l’inattention, les opioïdes pour la douleur, le Xanax pour le stress, le Lexapro pour la dépression, la testostérone pour la puberté féminine. »

    Ne donnez pas de smartphone à votre enfant !

    Les médecins sont sommés d’accompagner l’autodiagnostic de dysphorie de genre établi par des patientes qui ont 13 ou 14 ans. On parle alors de « soins affirmatifs ». En gros, les médecins doivent abonder dans le sens des jeunes filles, faute de quoi ils sont accusés de transphobie. Tel est le standard médical américain.

    Imaginons une ado qui va voir son médecin parce qu’elle se prend pour un canidé :

    – Docteur, docteur, je suis un chien !

    – Ah bon, mademoiselle, je croyais que vous étiez une jeune fille ! Mais bon puisque vous vous considérez comme un chien, je vais vous prescrire des croquettes !

    Voilà en quoi consiste cet autodiagnostic. C’est une thérapie dite affirmative. Le médecin n’est là que pour dire à l’enfant : « Oui, tu es un chien et je fais te faire illico, pour ne pas être harcelé, une demande de prise en charge pour tes croquettes. Tes croquettes seront gratuites et tes parents n’en seront rien ! »

    Voilà où nous en sommes. Les croquettes, c’est la Testostérone.

    On a beaucoup glosé sur les affaires de pédophilie et la permissivité des années 1970, mais que dire de la vogue des enfants transgenres ? « Dans vingt ans, s’alarme un psychothérapeute, nous repenserons la ruée vers le changement du sexe de nos enfants comme l’un des chapitres les plus sombres de la médecine. »

    Freud disait : « L’anatomie, c’est le destin ». N’en aurions-nous plus, ni anatomie ni destin, sinon celui tout tracé de l’indifférenciation sexuelle. Plus d’organes, ni d’orgasme. Thèse, antithèse – la synthèse, c’est la prothèse. Ni homme, ni femme, rien de plus qu’une chimère, en attendant le cyborg que nous promettent les gourous de la Silicon Valley.

    Parents, si vous voulez éviter ce futur, suivez scrupuleusement les 7 conseils que donne Abigal Shrier.

    1°) Ne donnez pas de smartphone à votre enfant !

    2°) Ne renoncez pas à votre autorité de parent !

    3°) Ne cautionnez pas l’idéologie du genre dans l’éducation de votre fille !

    4°) Protégez la vie privée de votre famille !

    5°) Envisagez des mesures extrêmes pour éloigner votre fille du danger !

    6°) Arrêtez de pathologiser l’enfance des filles et rappelez-leur, 7°), qu’il est merveilleux d’être une fille !

    Et soyez sûr que votre enfant ne vous remerciera jamais assez quand il aura 20 ans !

    François Bousquet (Site de la revue Éléments, 29 juin 2022)

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  • Faites la guerre, pas l’amour, avec Louis-Ferdinand Céline...

    Dans ce nouveau numéro d’Orages de papier, réalisé par TV Libertés en partenariat avec la Nouvelle Librairie , François Bousquet rencontre Émeric Cian-Grangé pour évoquer avec lui la très riche actualité célinienne.

    Passionné de Céline, Émeric Cian-Grangé a publié Céline's big band (Pierre-Guillaume de Roux, 2015) et D'un lecteur l'autre (Krisis, 2019), et il dirige la collection "Du côté de Céline" des éditions de La Nouvelle Librairie.

     

                                            

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  • L'Amérique dans la guerre Russie-Ukraine...

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, une partie de l'équipe de la revue, autour d'Olivier François, revient, à l'occasion de la sortie du dernier numéro, sur le conflit entre la Russie et l’Ukraine, sur fond d’offensive américaine en Europe de l’Est, d’encerclement de l’ex-empire des tsars et de déferlante médiatique contre Poutine. Au menu également, la façon dont le "wokisme" s’attaque à la gourmandise et à l’art de vivre français, la dernière présidentielle avec Jérôme Sainte-Marie, les conséquences du vote musulman en faveur de Jean-Luc Mélenchon, la folie sanitaire avec les docteurs Knock de la vaccination et la naissance du capitalisme dans le luxe des cours de la Renaissance... On trouvera sur le plateau, François Bousquet, rédacteur en chef, Patrick Lusinchi, directeur artistique, Christophe A. Maxime et Rodolphe Cart...

          

                                             

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  • Le retour du roi Maulin...

    Dans ce nouveau numéro d’Orages de papier, réalisé par TV Libertés en partenariat avec la Nouvelle Librairie , François Bousquet rencontre Olivier Maulin à l'occasion de la réédition de son réjouissant ensemble romanesque intitulé La Trilogie royale (La Nouvelle Librairie, 2022).

     

                                          

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (53)

     

     

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    Fulgurante analyse de Guy Mettan sur la guerre russo-ukrainienne et ses conséquences prévisibles. Cet ancien rédacteur en chef de La Tribune de Genève rétablit la chronologie des évènements, montre le succès de la gigantesque opération psychologique à laquelle se sont livrée les médias occidentaux et surtout en décrit les conséquences à savoir le déclassement de l’Europe et sa totale servitude aux intérêts américains :

    https://guymettan.blog.tdg.ch/archive/2022/04/01/les-dessus-et-les-dessous-de-la-guerre-en-ukraine-321227.html

     
    Bonne vidéo sur le récent colloque de l’Iliade :
     
     
    Plus une courte vidéo sur les formations dispensées par l’Iliade. N’hésitez pas à la diffuser à vos connaissances :
     
     
    Revenant sans cesse aux étymologies grecques ou latines des mots qui touchent au politique, Michel Maffesoli dans cet entretien avec TV-liberté pour la quatrième réédition de La transfiguration du politique revient aux enseignements de son maître Julien Freund : à l’origine la politique consiste à bien gouverner sa maison. Pour les Grecs seuls méritent d’être élus pour gérer la maison commune ceux qui ont fait leur preuve dans la gestion domestique. Aujourd’hui la politique n’est plus liée au réel, c’est à dire attachée à la gestion de ce que nous vivons concrètement, elle s’est abstraite de tout cela; c’est le sens profond du mot transfiguration. La politique est devenue une théâtrocratie, c’est le mot qu’utilisait Platon pour signifier la dégénérescence de la démocratie. Ce théâtre de la caste politique est de plus en plus éloigné des préoccupations des électeurs, il est déraciné. À ce propos il évoque Guy Debord (« société du spectacle ») et Jean Baudrillard (« simulacre »). L’accent des discours politiques est mis de ce fait sur le « pathos » et non plus sur la « ratio », c’est le règne de l’émotion encourage par un hyper moralisme. Entretien très intéressant :
     
     
    « L’immonde dans lequel nous survivons » par Rémi Soulié. Une excellente vidéo produite par le zoom de TV-Liberté :
     
     
    Le point de vue de François Bousquet à l’issu du premier tour :
    « Quelques considérations politiques en ce lendemain de 1er tour :
    1. La France est un vieux pays, mais c’est surtout un pays de vieux. Si les plus de 65 ans n’étaient pas allés voter, on aurait eu droit à un second tour Marine Le Pen - Jean-Luc Mélenchon. La France est une gérontocratie vaccinale. Elle redemande une dose.
    2. Éric Zemmour s’est trompé de public. Il est revenu à son périmètre de départ : les pics d’audience de Cnews. Or ce n’est pas Médiamétrie qui dépouille les bulletins de vote. Ni le Trocadéro qui fait déplacer le populo. Doit revoir sa copie.
    3. Valérie Pécresse a été élue par défaut à la primaire LR et battu par KO à la présidentielle. Deux tiers Merkel, un tiers Thatcher, zéro de Gaulle. Quand elle donne des coups de menton, elle ne fait trembler que la vaisselle. C’est tout. Qui y a jamais cru ?
    4. Les acquis fondamentaux validés, Marine Le Pen a fait jouer la seule logique en temps de crise : « Qui est le moins cher ? », le comparateur de prix des Leclerc. La marque Repère dans une France sans repère. À deux euros le litre, les GJ votent avec leur voiture.
    5. Terra Nova a gagné à gauche, mais ce n’est pas le PS qui a raflé la mise, c’est LFI. À 49 % dans le 93 et 47 % dans le 20e, l’islamo-gauchisme s’éclaire. Naissance du Mélenchonistan, nouvelle force politique. La Mecque à Paris Plages, la colline du crack en perspective».
     
    Les matins de France culture donnent la parole à François Bousquet qui trace le bilan des dernières élections. Selon lui tous les populistes sont animés par un comportement d’échec et il prévoit en conséquence une défaite de Marine Le Pen au second tour. Par ailleurs il souligne que « lunion des droites » est un mythe sans consistance qui essaie de traduire en terme politique l’énergie qui a surgi de « La manif pour tous », celle d’une bourgeoisie qui se voudrait traditionnelle mais qui a l’arrivée préférera toujours son confort à l’aventure. Bousquet pense que seule est d’avenir une politique qui s’inscrira dans le schéma proposé par Guilluy et Jérôme Sainte-Marie d’une sociologie qui oppose les classes populaires toujours plus appauvries à la couche des privilégiés de moins en moins nombreuse et de plus en plus rapace.
     
     
    Jean-Yves Le Gallou s’entretient avec François Bousquet et se livre à une sorte d’autocritique de la campagne Zemmour à laquelle il a participé. Son appréciation, par ailleurs excellente, note que la campagne Zemmour au delà de ses aléas a contribué de toute évidence à déplacer la fenêtre d’Overton et à imposer le thème du « grand remplacement ». Métapolitiquement c’est un succès. Cette campagne, même si ses retombées électorales apparaissent décevantes, a permis dengranger des dizaines de milliers de militants jeunes, enthousiastes et bien sûr beaucoup mieux éduqués que les maigres phalanges de Marine Le Pen. Cet ensemble est un gage d’avenir, même si toutes les institutions sont rongées par la propagande de l’esprit woke. En fin d’entretien Le Gallou parait croire à une communautarisation des autochtones. Ce pourrait être un débouché face aux procédures électorales qui semblent de plus en plus bouchées :
     
     
    Marcel Gauchet invité sur les ondes d’Europe 1 détaille un bon diagnostic sur le second tour des présidentielles. Pour lui « Marine Le Pen représente une droite autoritaire, nationale et populaire, qui évoque furieusement les débuts du gaullisme. Elle n’est pas d’extrême droite. On gagnerait à le reconnaître » :
     
     
    Lionel Baland résume à gros traits la substance d'un livre de Benedikt Kaiser sur le patriotisme solidaire qui dénonce la dérive d’une partie de la sphère patriotique allemande vers le néo-libéralisme. Benedikt Kaiser est éditeur et membre de la nouvelle droite allemande :
     
     
    Sur le site d’Éléments une belle réflexion de François Bousquet sur Pier Paolo Pasolini et son rapport aux mythes :
     
     
     
     
    I-média du 14 avril. L’émission de Jean-Yves Le Gallou est principalement consacrée à la re-diabolisation de Marine Le Pen. Le paratonnerre Zemmour ne fonctionnant plus la rengaine bien connue du retour du fascisme se détourne sur Le Pen. On nous joue ce tintamarre depuis des décennies. Bien que peu de gens aient une mémoire incluant ce que fut le fascisme réel, aient été forcé de boire de l’huile de ricin et aient été bastonné à coup de manganello. On citera un expert en la matière, monsieur Jospin, qui reconnaissait que le soi disant « fascisme » de 2002 n’était que comédie. Fasciste est une invective commode quand on se refuse à réfléchir sur ce qui nous arrive :
     
     
    Pierre Brochand (HEC, ENA) ancien directeur général de la Direction générale de la sécurité extérieure de 2002 à 2008 a publié dans Le Figaro un article important sur l’immigration de masse et ses conséquences prévisibles. Résultat de ces propos chocs dans les médias : à peu près rien. Analyse de l’OJIM :
     
     
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