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celtes - Page 5

  • Les Dragons dans les mythes indo-européens...

    Les éditions Yoran viennent de publier un essai de Bernard Sergent intitulé Les Dragons - Mythologies, rites et légendes. Chercheur au CNRS, spécialiste des Indo-Européens et président de la Société de Mythologie française, Bernard Sergent a publié de nombreux ouvrages dont Les Indo-Européens - histoire, langue, mythes (Payot, 1995), Celtes et Grecs - Le livre des héros et Le livre des dieux (Payot, 2000 et 2004) et Le Dieu fou - Essai sur les origines de Siva et Dionysos (Les Belles Lettres, 2016).

     

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    " Ce livre étudie les mythes, les légendes et les fêtes rituelles du dragon chez les Celtes , les Hittites, les Grecs et même et les Indiens (Inde) etc...
    Combattu par l'Eglise du haut Moyen Âge, car il était assimilé au Diable (ex : St Michel terrassant le dragon), il était surtout une survivance de l'ancienne religion.
    Les traditions celtes sont à l'honneur du fait de l'importance du dragon dans celles-ci.
    Un chapitre entier montre de manière inédite jusque-là que les saints vainqueurs d'un dragon se répartissent sur les quatre fêtes de l'année celtique.
    Le chapitre sur le dragon hédoniste – il aime la musique – parle d'un dragon breton tandis que ceux sur saint Marcel à Paris et sur saint Véran dans les Alpes, montrent l'origine entièrement celtique de leurs légendes. Ailleurs à Lérins, la mythologie celtique s'est mélée à un apport grec.
    Ainsi se décèle la richesse et la diversité des mythes sur les dragons. "

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  • Mémoires de la Gaule...

    Les éditions du Seuil viennent de publier un essai historique de Laurent Olivier intitulé Le pays des Celtes - Mémoires de la Gaule. Archéologue, Laurent Olivier est conservateur en chef des collections d'archéologie celtique et gauloise du musée d'Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye.

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    " « Conquise, la Gaule a perdu la parole. Sa mémoire était tout entière dans le souvenir inquiet qu’en avaient gardé ceux qui l’avaient soumise. Rome a fait oublier la Gaule. Puis on a cru la reconnaître dans les "Sauvages" de l’Amérique, ou bien reflétant, à distance, notre image : celle de "nos ancêtres les Gaulois".
    Les découvreurs qui ont exhumé ses vestiges à partir de la fin du XIXe siècle, ont été surpris de la voir livrer des créations subtiles et magnifiques, que l’on croyait trop belles pour elle. Il a fallu attendre les surréalistes, comme André Breton, pour que l’on prenne la mesure de la force d’expressivité et de l’originalité de l’art gaulois. Nous y reconnaissons maintenant la marque d’une pensée et d’un savoir, voisin de celui de la science grecque. »

    Retraçant les réinventions successives dont les « Gaulois » ont fait l’objet depuis l’époque de César, Laurent Olivier remonte le fil du temps pour s’approcher au plus près d’un monde disparu, celui des Celtes. "

     

     

     

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  • Sur les chemins de France...

    Les éditions Ouest France ont récemment publié un livre de Bernard Rio et Bruno Colliot intitulé Sur les chemins de France - Sentiers d'histoire et de légendes. Spécialiste du patrimoine, Bernard Rio est l'auteur de plusieurs essais comme L'arbre philosophale (L'Age d'Homme, 2001) ou Avallon et l'Autre Monde (Yoran Embanner, 2008). Bruno Colliot est photographe.

     

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    " Le chemin de terre est en France la relique d’un paysage maillé de haies et d’une civilisation paysanne qui privilégiait la courbe à la ligne droite. Ces chemins d’un autre âge mériteraient d’être inscrits à l’inventaire des monuments historiques tant ils illustrent une civilisation balisée de calvaires, de fontaines et de lavoirs, de fours et de moulins.
    Le chemin lie et relie les hommes qui marchent. Il peut être de labeur, de pèlerinage, de noces, de contrebande ou d’insurrection... Il s’inscrit dans le paysage et la mémoire. Le suivre revient à faire l’école buissonnière, à apprendre l’histoire et la géographie du pays où il sinue. Un vieux chemin n’est pas un raccourci mais une liaison vagabonde. Il dédaigne la perpendiculaire et réfrène le pas rapide du voyageur pressé en multipliant les détours et les circonvolutions. "

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  • Pages celtiques...

    Les éditions du Lore viennent de publier un recueil d'articles de Robert Steuckers intitulé Pages celtiques. Figure de ce qu'il est convenu d'appeler la Nouvelle Droite, Robert Steuckers a, à côté de ses activités de traducteur, animé plusieurs revues de qualité comme Orientations et Vouloir , et a récemment publié chez le même éditeur La Révolution conservatrice allemande.

     

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    " Ce nouveau recueil de Robert Steuckers explore de multiples champs de réflexion autour de la question celtique.

    Des origines de la déesse celtique Brigid devenue sainte irlandaise, en passant par la mythologie des Iles britanniques, l’étude du projet politique pan-celtique de la République d’Irlande, ou encore une causerie sur la notion de « patrie charnelle », sans oublier un vibrant hommage au nationaliste breton Olier Mordrel, cet ouvrage rassemble les attributs permettant de parfaire nos connaissances sur ce foisonnant héritage celte. "

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  • Lug et Cernunnos, les Jumeaux divins des Celtes...

    Les éditions Terre de Promesse viennent de publier un essai de Daniel Gricourt et Dominique Hollard intitulé Les Jumeaux divins dans le festiaire celte. Les deux auteurs travaillent à la Bibliothèque nationale de France. Spécialistes des monnayages antiques et de leur iconographie, leurs recherches se sont étendues à la religion des Celtes envisagée dans un cadre comparatiste indo-européen.

     

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    " Des travaux récents montrent l’importance des Jumeaux divins celtiques qui s’inscrivent dans le vaste cadre du dioscurisme des peuples indo-européens. Chacun d’eux, au-delà de leur gémellité, est un dieu majeur dans son domaine d’élection. Le premier frère, affin à l’eau, aux espaces et créatures sylvestres, protagoniste de morts et renaissances successives, s’incarne dans le cervin Cernunnos. Le comparatisme montre en ce dioscure ‘sauvage’ l’homologue du grec Dionysos et de l’indien Śiva. De son côté, le frère lumineux et multifonctionnel Lug(us) s’avère l’équivalent d’Apollon. Le dieu de Delphes dans son sanctuaire phocidien est d’ailleurs complémentaire de Dionysos sur les plans calendaire et fonctionnel. Ce sont les liens entre les Jumeaux celtiques et le calendrier qu’explore cet ouvrage. Chacun patronne une moitié de l’année : le semestre chaud et lumineux pour Lugus; le semestre froid et sombre pour Cernunnos. Le basculement cyclique entre ces périodes s’effectue aux 1er mai (Beltaine) et 1er novembre (Samhain). Mais l’année celtique apparaît plus complexe. Outre quatre fêtes saisonnières préservées jusqu’à nos jours en Irlande (Imbolc, Beltaine, Lugnasad et Samhain), liées aux phases lunaires, aux constellations, voire aux mouvements de Vénus, les quatre stations de l’année solaire que constituent solstices et équinoxes se révèlent au cœur du festiaire celtique. Textes et images montrent les dieux frères présents, isolément ou de concert, à toutes les étapes du cycle annuel. Ils jouent un rôle moteur dans la dynamique cosmique et l’alternance saisonnière. Se manifestant tour à tour en majesté au milieu de l’été (Lugus à Lugnasad) ou de l’hiver (Cernunnos à Imbolc, ancêtre de notre Carnaval), ils coopèrent à force égale lors des basculements équinoxiaux et sont en interaction différenciée lors des solstices, dramatiques ‘retournements’ de la course solaire (...) "

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  • Cernounnos Torque-d'or...

    Les éditions La Différence viennent de publier un roman gaulois de Jean-Paul Savignac, intitulé Cernounnos Torque-d'or. Jean-Paul Savignac est traducteur en latin, grec et gaulois. On lui doit, notamment, la traduction des œuvres complètes de Pindare ainsi qu'un Dictionnaire Français-Gaulois (La Différence, 2014).

     

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    " Dans la mythologie gauloise, Cernounnos Torque-d’or est le fils d’Argantorota Grande-Reine et le jumeau de Lougous Longue-Main, ces divinités dont Jean-Paul Savignac a réinventé la vie dans les deux précédents volumes de cette collection.

    Dieu forestier, qui arbore des bois de cerf et des torques d’or, Cernounnos meurt et renaît en changeant d’apparence. Il incarne, par ses aventures et ses métamorphoses, le cycle de la vie et de la mort, le cycle des saisons de la nature.

    L’histoire des cinq vies de Cernounnos Torque-d’or est révélée au jeune druide Cobrounos – personnage que l’on retrouve tout au long de la saga – et c’est par sa voix que le dieu se raconte. "

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