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Livres - Page 363

  • Noël en France...

    Les éditions Sutton viennent de publier un ouvrage de Laurence Catinot-Crost intitulé Noël en France - Histoire et traditions.  Un livre qui vient utilement compléter le livre, déjà ancien, d'Alain de Benoist, Fêter Noël.

     

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    " Jusqu'au début du XXe siècle, dans un pays encore essentiellement rural, il y a autant de façons de fêter Noël que la France compte de régions différentes ! Si saint Nicolas distribue les cadeaux aux enfants alsaciens, c'est le charbonnier Olentzero qui en a la charge au Pays basque. En Provence, on arrose la bûche avec du vin alors qu'elle est saupoudrée de sel en Poitou. Mais, dans tous les cas, elle brûlera plusieurs jours dans l'âtre. Lors du repas « gras » du 24 décembre, dans le Nord, on déguste un waterzoï de poisson alors que, dans certains coins de Bretagne, on préfère une soupe au lard et des boudins grillés. Si le gâteau à la châtaigne est de tradition en Limousin, les beignets à la banane ou à la noix de coco font les délices des convives en Guyane. Noël en France est riche en traditions, riche en couleurs, riche en saveurs. Grâce au minutieux travail de recherche de Laurence Catinot-Crost, la fête de Noël n'aura plus aucun secret pour vous ! "

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  • Beyrouth 1976 : des Français dans la guerre du Liban...

    Les Bouquins de Synthèse nationale viennent de publier un récit d'Emmanuel Albach intitulé Beyrouth 1976 - Des Français aux côtés des phalangistes. Journaliste, Emmanuel Albach a fait partie de la poignée de jeunes Français qui se sont engagés dans le camp chrétien au début de la guerre civile libanaise.

    On rappellera qu'on trouve quelques pages sur le même thème dans l'enquête de Christian Rol, Le roman vrai d'un fasciste français (La manufacture de livres, 2015), et aussi que l'écrivain Richard Millet a consacré deux livres à son expérience de la guerre du Liban, La confession négative (Gallimard, 2009) et Tuer (Léo Scheer, 2015).

     

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    " Au milieu des années 70 une guerre terrible éclata au Liban. Celle-ci opposait les diverses milices musulmanes aux Phalanges chrétiennes alors dirigées par Béchir Gemayel. Elle ensanglantera le pays du Cèdre pendant de nombreuses années. À Paris, un groupe d’étudiants est scandalisé par la lâcheté du gouvernement giscardien qui refuse d’intervenir pour soutenir les chrétiens menacés. Ils décident de sauver l’honneur de la France et partent se battre, les armes à la main, à Beyrouth. L’un d’entre eux, Stéphane Zanettacci, n’en reviendra jamais. Emmanuel Albach fut l’un des deux premiers Français à se rendre sur les champs de batailles libanais. Il nous raconte son histoire et nous explique le sens de son engagement. "

     

     

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  • Raisons de famille...

    Les éditions Via Romana viennent de rééditer Raisons de famille, les souvenirs de jeunesse de Jacques Perret, l'auteur du Caporal épinglé, de Bande à part ou de Rôle d'équipage. Nous avons reproduit ci-dessous l'article que le romancier Olivier Maulin a consacré à ce livre dans Valeurs actuelles...

     

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  • L'imposture de l'art contemporain...

    Les éditions Eyrolles viennent de publier un nouvel essai d'Aude de Kerros intitulé L'imposture de l'art contemporain - Une utopie financière. Graveur et peintre, l'auteur mène depuis près de trente ans une réflexion critique sur l'art contemporain et a déjà publié de nombreux articles et plusieurs essais comme L'art caché - Les dissidents de l'art contemporain (Eyrolles, 2007), Sacré art contemporain - Evêques, inspecteurs et commissaires (Jean-Cyrille Godefroy, 2012) et 1983-2013 Années noires de la peinture (Pierre-Guillaume de Roux, 2013).

     

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    "Tout commence avec l'effondrement financier de 2008 et le sauvetage des cotes par les acteurs du marché de l'art. L'Art Contemporain vole de record en record ! Simultanément, l'illusion d'art disparaît. Une prise de conscience a lieu : où est passé l'art ? Apparaissent alors idées dissidentes et pratiques non conformistes.

    Face aux métamorphoses récentes de l'art contemporain, Aude de Kerros tente de répondre à la question que tout le monde se pose : combien de temps une utopie financière peut-elle durer ? A quand le krach de l'AC ? Comment cela peut-il avoir lieu ?

    Après le succès de L'art caché, elle nous propose une analyse documentée de l'Art Contemporain, dans sa compromission avec la finance et le pouvoir. Son ton vif et son propos nourri apportent un éclairage unique sur les relations perverses de l'AC avec les marchés et les institutions. En Art Contemporain, artiste, financier et fonctionnaire forment un trio infernal. "

     

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  • Le blanc soleil des vaincus...

    Les éditions Via Romana viennent de ré-éditer, avec une préface d'Alain de Benoist, un ouvrage de Dominique Venner intitulé Le blanc soleil des vaincus, publié initialement en 1975. Dans cette histoire de la guerre de Sécession américaine, racontée du point de vue de la Confédération, Dominique Venner salue les vertus incarnées par les Sudistes, le sens de l'honneur, le courage, la tenacité, dans leur combat inégal contre le Nord industriel.

     

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    " Dans l’aube dorée du 12 avril 1861 éclate le premier obus de la guerre de Sécession. De part et d’autre, on croit à une guerre courte, fraîche et joyeuse. Ce conflit durera quatre ans. Ce sera le plus sanglant de toute l’histoire américaine. Les pertes seront supérieures d’un tiers à celles des Américains durant la Seconde Guerre mondiale, 618.000 contre 417.000, pour une population sept fois moins nombreuse.
       En 1861, les États-Unis ne forment pas une seule nation, mais deux qui sont parfaitement distinctes, le Sud et le Nord. Tout les oppose : le peuplement, les traditions, la civilisation, le climat, l’économie. L’histoire que conte Dominique Venner est celle de la naissance de la nation sudiste, puis de sa résistance à l’agression du Nord industriel, et enfin celle de son meurtre délibéré.
       C’est l’histoire vraie d’Autant en emporte le vent. On y retrouve les blanches plantations assoupies dans leur écrin de magnolias, les champs de coton et la douceur de vivre, les gentlemen raffinés et les jeunes filles en crinoline. On assiste au calvaire du Sud, Gettysburg, Atlanta, Appomattox. La résolution de Jefferson Davis, le génie militaire du général Lee, la fougue de Stonewall Jackson ou de Beauregard, l’audace des forceurs de blocus, la témérité des raids de cavalerie, l’héroïsme des femmes sudistes ne pourront rien contre la supériorité écrasante du Nord et sa volonté de conquête.
       Le Sud, moins peuplé que la Suisse d’aujourd’hui, succombera sous le nombre, mais son rêve assassiné continue de vivre dans le cœur des hommes généreux. "

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  • L'architecture comme outil identitaire...

    Les éditions Infolio viennent de publier un essai de Federico Ferrari intitulé Le populisme esthétique - L'architecture comme outil identitaire. Architecte et urbaniste, Federico Ferrari enseigne "l'Histoire de la Ville" à l'Université Polytechnique de Milan.

     

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    " Tout projet populiste procède par exclusion, en ceci qu’il vise à construire un espace à la fois défensif et identitaire. Cet ouvrage analyse une série de discours de type populiste qui trouvent dans l'esthétique leur outil principal, le populisme se présentant comme une forme d'esthétisation du politique. Partant de l'analyse de trois exemples historiques et de l'analyse d'une série de débats, l'ouvrage avance l'hypothèse que le dispositif du "populisme esthétique" offre une clé pour comprendre la condition postmoderne. L'hétérogénéité esthétique n'est pas démocratique, comme le prétendent ses défenseurs, mais relève d'une logique de rationalisation. Le populisme esthétique est de nature "surmoderne" plutôt que postmoderne, et porte à leurs conséquences extrêmes une série de caractéristiques de l'idée classique de Modernité. "

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