Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Livres - Page 363

  • Le jour où tout s'embrasa...

    Les éditions Ring publient demain le nouveau roman de politique-fiction réaliste de Laurent Obertone intitulé Guérilla - Le jour où tout s'embrasa. Journaliste et écrivain, Laurent Obertone est l'auteur de deux essais marquants La France Orange mécanique et La France Big Brother ainsi que d'un récit puissant, Utøya, consacré à la tuerie commise par Anders Breivik...

     

    Guérilla_Obertone.jpg

    " Dans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément.
    La cité s'embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose.

    Forces de l'ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos.

    Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d'approvisionnements, d'ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel.
    Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s'apprêtent à faire face au carnage. 

    Les événements décrits dans Guérilla reposent sur le travail d'écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d'immersion au contact d’agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l'auteur du chef d’œuvre Utøya (l'affaire Breivik) et de l'enquête phénomène La France Orange Mécanique livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile. "


    Guérilla, de Laurent Obertone

    Lien permanent Catégories : Livres 1 commentaire Pin it!
  • Grandeur et endurance d'un explorateur...

    Les éditions du Rocher viennent de rééditer Sir Ernest Shackelton - Grandeur et endurance d'un explorateur (1874-1922), une biographie de cet extraordinaire protagoniste de l'exploration de l'Antarctique, signée par Brigitte Lozerec'h.

    Shackelton.jpg

    " Cancre à 16 ans, Ernest Shackleton, fils de médecin, préfère l'apprentissage du métier de marin à la scolarité. Il a 28 ans lorsqu'il est engagé, en 1902, sous le commandement de Robert Falcon Scott. La mission de l'expédition est de ficher l'Union Jack au pôle sud, coeur hostile et glacé du continent jamais encore pénétré par l'Homme.
    Bien que l'expédition soit un échec, Shackleton a pris goût au grand défi. Assoiffé de gloire, il organisera désormais ses propres expéditions pour être CELUI qui gagnera le pôle. Malgré les épreuves qu'il surmontera, il manquera toujours son but.
    Doué d'une volonté hors du commun, cet Irlandais au tempérament bouillonnant donnera à ses entreprises une dimension onirique qui a contribué à faire de lui un héros de légende parmi les explorateurs polaires, les marins et les montagnards. « La gloire, oui, mais jamais au prix de la vie d'un homme », avait-il écrit à son épouse. Ses trois expéditions tourneront à l'échec qu'il transformera en glorieuses aventures. Il ne perdra jamais un seul homme, contrairement à Scott.
    Dans les pires conditions, il fera toujours passer le salut de son équipage avant ses intérêts : devant leur trois-mâts, l'Endurance, prisonnier de la banquise de la mer de Weddell (plus grande que la France), puis broyé sous leurs yeux après des mois de dérive sur l'infini radeau de glace incontrôlable, il promettra à ses vingt-sept compagnons naufragés de les ramener tous à la maison. Grâce à son optimisme et son abnégation qui leur inspirent une foi absolue, ils dériveront encore presque un an avant de retourner à la civilisation au prix d'épreuves inimaginables.
    Ainsi transformera-t-il chacune de ses trois expéditions en exploits surhumains, exemplaires, fraternels.
    Quel homme se cachait donc derrière ce perdant magnifique, héros jalousé et vénéré ? Quelles forces intérieures, quelles secrètes inquiétudes le poussaient à ne se sentir libre et en accord avec lui-même qu'en affrontant les espaces hostiles, gelés et inconnus du Grand Sud ?
    En l'accompagnant dans cette biographie, nous tenterons de comprendre les ressorts intimes de cet ambitieux consumé par une soif d'absolu qui aura désiré ardemment contribuer à la conquête du dernier continent vierge et que les honneurs n'intéresseront plus. Il aura accédé aux impossibles sommets de ses rêves de cancre. "
     
    « Car telle est la vertu première de l'aventurier digne de ce beau nom : faire que l'aventure soit déjà en elle-même, par-delà les aléas du meilleur et du pire, du succès et de l'échec, un accomplissement. À quoi réussit, ici mieux qu'aucun autre que je sache, Shackleton le Grand. »
    Paul-Émile Victor
     
    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • La guerre en vacances...

    Les éditions du Rocher viennent de publier un récit de Bernard du Boucheron, intitulé La guerre en vacances. Venu sur le tard à la littérature, Bernard du Boucheron est l'auteur de plusieurs romans au style nerveux, marqués par une noirceur assez profonde et une ironie souvent féroce, comme Court-serpent (Gallimard, 2004), Coup-de-fouet (Gallimard, 2006), Chien des os (Gallimard, 2007) Salaam la France (Gallimard, 2010), Long-courrier (Gallimard, 2013) ou encore Le cauchemar de Winston (Rocher, 2014).

     

    Guerre en vacances_Du Boucheron.jpg

    " Avec l'ironie allègre qui est sa marque, Bernard du Boucheron raconte la « normalité monstrueuse » de son enfance pendant la défaite et l'occupation allemande. L'été 1940 commence bien : âgé de 12 ans, il joue à faire la guerre aux Allemands avec des armes réelles abandonnées par les Français en déroute. Dans un Paris affamé et sans charbon, l'enseignement se donne à mi-temps, mais on y acquiert une culture sans égale. Le jeune garçon y plonge avec ivresse, indifférent à la tragédie qui se joue autour de lui. Les vacances lui apportent de lumineux interludes dans le vert paradis des jeux campagnards et des amours inabouties. Le débarquement allié du 6 juin 1944, puis la libération de Paris en août sonneront le réveil. Mais du Boucheron saura faire la part du vrai et du faux dans la légende de l'insurrection nationale contre l'occupant. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Le crépuscule de la France d'en haut...

    Les éditions Flammarion viennent de publier un nouvel essai de Christophe Guilluy intitulé Le crépuscule de la France d'en haut. Géographe, Christophe Guilluy est déjà l'auteur de deux essais importants, Fractures françaises (Flammarion, 2010) et La France périphérique (Flammarion, 2014).

     

    France d'en haut.jpg

    " Le géographe constate que les classes dominantes captent l'essentiel des bienfaits de la mondialisation en imposant un modèle inégalitaire et défendent un discours qui décrit leur réalité mais pas celle des classes populaires. Le discours anti-Front national n'est alors qu'un prétexte et exclut encore un peu plus la France périphérique. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Manuel de résistance à l'art contemporain...

    Les éditions Jean-Cyrille Godefroy viennent de rééditer le Manuel de résistance à l'art contemporain d'Alain Paucard. Le président à vie du Club des ronchons est un écrivain de nationalité parisienne, à qui l'on doit, entre autres, un roman d'anticipation, Lazaret (1990) et des essais comme Les criminels du béton (Les Belles Lettres, 1991), Tartuffe au Bordel (Le dilettante, 2013), La France de Michel Audiard (Xénia, 2013), Paris, c'est foutu ! (Jean-Cyrille Godefroy, 2013) ou encore Oui, c'était mieux avant (Jean-Cyrille Godefroy, 2015).

     

    Art contemporain_Paucard.jpg

    " Ce vademecum est là pour aider, stimuler, tous ceux qui appellent un chat un chat, et « l’art contemporain » une escroquerie. L’art « contemporain » est l’art officiel de la mondialisation, de la société de la Marchandise. C’est facile et ça peur rapporter gros, quand chacun est artiste avec pas de talent et beaucoup de culot. L’art « contemporain » est une discrimination contre ceux qui s’obstinent – figuratifs ou abstraits – à peindre sur une toile fixée sur un châssis.

    Pour toutes ces raisons, il faut réagir, ne pas se laisser faire. Alain Paucard le fait avec humour et cette verve qu’on lui connaît, notamment dans ses pamphlets.

    Alain Paucard, auteur de quarante ouvrages dans tous les genres de la littérature, s’était promis de ne plus écrire de brûlots, mais l’exhibition permanente de la laideur a eu raison de ses intentions pacifiques. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Carl Philipp Gottlieb von Clausewitz...

    Les éditions Perrin viennent de publier une biographie de Clausewitz, auteur de De la guerre, signée par Bruno Colson. Belge, professeur à l’université de Namur, Bruno Colson, est un spécialiste de l'histoire militaire et de la stratégie, auteur de nombreux ouvrages, dont récemment  Leipzig - La bataille des nations 16-19 octobre 1813 (Perrin, 2013).

     

    Clausewitz.jpg

    " Carl von Clausewitz (1780-1831) appartient à la catégorie des illustres inconnus dont l'œuvre a masqué la vie. C'est en effet grâce à Vom Kriege (De la guerre), publié quelques années après sa mort, qu'il acquiert une célébrité qui va défier le temps. Cet immense traité reste considéré comme le plus important jamais consacré aux questions militaires et stratégiques, inspirant les plus grands généraux, mais également des intellectuels comme Guy Debord, Raymond Aron ou René Girard.
    Or, Clausewitz a été aussi un officier supérieur de premier ordre et un acteur influent des guerres napoléoniennes. Témoin de la " grande catastrophe " de 1806, il devient l'un des artisans de la réforme de l'armée prussienne des années 1808-1811, puis participe à la campagne de Russie dans l'armée du tsar, la Prusse étant alors alliée de Napoléon, ce qui lui vaut une disgrâce durable à sa cour. On le retrouve dans les états-majors et sur les principaux champs de bataille jusqu'à Ligny et Waterloo où ses décisions prirent une portée considérable. Général, penseur, conseiller à l'occasion frondeur, mari aimant et ami exemplaire, il consacra les dernières années de sa vie à rédiger les récits de ses principales campagnes et à écrire son chef-d'œuvre. Avec l'exigence et le talent qui le caractérisent, Bruno Colson est parti pendant plusieurs années à sa découverte, exhumant notamment de nombreuses archives inédites pour restituer l'homme dans ses multiples facettes. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!