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Livres - Page 335

  • Bienvenue dans les guerres de l'ombre... (2)

    Les éditions Gallimard viennent de publier, dans leur collection Série noire, le second tome de Pukhtu, le polar géopolitique signé par DOA. Auteur puissant, DOA décrit en virtuose ce monde de l'ombre où se croisent espions, terroristes, mercenaires et mafieux. On lui doit déjà Citoyens clandestins (Gallimard, 2007) et Le serpent aux mille coupures (Gallimard, 2009) où figurent déjà certains des personnages de Pukhtu.

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    " Le terme pukhtu renvoie aux valeurs fondamentales du peuple pachtoune, l'honneur personnel – ghairat – et celui des siens, de sa tribu – izzat. Dire d'un homme qu'il n'a pas de pukhtu est une injure mortelle. Pukhtu est l'histoire d'un père qui, comme tous les pères, craint de se voir privé de ses enfants par la folie de son époque. Non, plutôt celle d'une jeune femme que le remords et la culpabilité abîment. Ou peut-être celle d'un fils, éloigné de sa famille par la force du destin. À moins qu'il ne s'agisse de celle d'un homme cherchant à redonner un sens à sa vie. Elle se passe en Asie centrale, en Afrique, en Amérique du Nord, en Europe, et raconte des guerres ouvertes et sanglantes, des conflits plus secrets, contre la terreur, le trafic de drogue, et des combats intimes, avec soi-même, pour rester debout et survivre. C'est une histoire de maintenant, à l'ombre du monde et pourtant terriblernent dans le monde. Elle met en scène des citoyens clandestins."

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  • Russophobie 2.0

    Les éditions Le Retour aux sources viennent de publier un essai de Giulietto Chiesa intitulé Russophobie 2.0. Italien, Giulietto Chiesa est ancien correspondant de La Stampa à Moscou et ancien parlementaire européen.

     

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    " La crise globale dans laquelle est plongée l'Occident est à la fois économique, financière, écologique, morale et politique. Le leadership des Etats-Unis est de plus en plus contesté et l'Union européenne est dans la tourmente. À ce stade, tout est bon pour éviter de dire la vérité : Oui, le système occidental est moribond et son effondrement est proche. Et quand un pouvoir est fragilisé, il cherche un responsable à désigner à son peuple, un ennemi vers qui détourner une colère qui pourrait, sans cela, s'abattre sur ses dirigeants. Ainsi, la Russie, de par son opposition systématique aux Etats-Unis depuis l'arrivée de Vladimir Poutine à la tête du Kremlin, a été choisie pour tenir le rôle de bouc émissaire : La guerre en Ukraine, les sanctions économiques, la négation du rôle des russes dans la victoire contre le nazisme, la diabolisation quasi-systématique de la part des médias occidentaux ; tout confirme que c est bien cette option qui a été prise. Pourtant, les choses changent. L'intervention de la Russie contre l'expansion de l'Etat islamique et la dénonciation des rôles ambiguës de l'Arabie Saoudite, du Qatar ou de la Turquie ont pris de cours la diplomatie occidentale et l'ont conduite à accentuer la propagande anti-russe. Mais l'opinion mondiale est de moins en moins disposée à céder à cette « russophobie ». De nombreux pays dans le monde commencent à se détourner des américains et des européens pour se tourner vers les russes. Car il apparaît de plus en plus que la Russie pourrait être la seule puissance capable de faire dévier de la catastrophe finale le train fou de la mondialisation. "

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  • Pourquoi ils sont nietzschéens...

    Les éditions Les impressions nouvelles viennent de publier Pourquoi nous sommes nietzschéens, un ouvrage collectif dirigé par Dorian Astor et Alain Jugnon, qui rassemble les signatures de philosophes ou de penseurs de gauche qui se réclament de Nietzsche. Philosophe et musicologue, Dorian Astor a déjà publié Nietzsche, la détresse du présent (Folio, 2014).

     

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    " En octobre 1991, il y a un quart de siècle, Pourquoi nous ne sommes pas nietzschéens paraissait chez Grasset. Quelques philosophes français se targuaient de ne pas l'être, ou de ne plus l'être, enfin : de ne plus vouloir le devenir, jamais. Nous voulons promettre ici le contraire : nous aurons à devenir nietzschéens car le temps présent nous impose cette réévaluation. Une telle promesse se réalise dans cet ouvrage collectif en interpellant en sujets nietzschéens les penseurs contemporains qui ont accepté cet enjeu, de par leurs lectures de l'oeuvre de Nietzsche, à partir de l'inscription de leur propre oeuvre dans ce que nous nommons un nietzschéisme pour le présent. Nous avions en effet une question : que promettons-nous aujourd'hui au nom de Nietzsche, parce que nous le lisons, parce que nous ne pouvons pas ne pas le lire ?

    Ce livre dévoile et développe les pensées et les écritures dont nous avons grandement besoin aujourd'hui pour en finir avec tous les nihilismes du mécontemporain. "

    Sommaire :

    Alain Jugnon Nietzsche est la scène 

    Alain Jouffroy Nietzsche fut mon compagnon de lecture  

    Michel Surya Ecce monstrum

    Giuliano Campioni Pour une nouvelle lecture de Nietzsche 

    Miguel Morey Les danses du présent 

    Monique Dixsaut Le dur service de la vérité

    Bernard Stiegler La grande bifurcation vers le néguanthropos

    Paul Audi Suis-je nietzschéen ?

    Jean Maurel Oui, sept fois oui

    Hadrien Laroche De l’œuvre d’art là où elle apparaît sans artiste

    Jean-Clet Martin Nietzsche et le criminel

    Frédéric Neyrat Nietzsche et la relance métaphorique

    Avital Ronell Friedrich, ami d’une intello, malgré tout

    Stefan Lorenz Sorgner Nietzsche éducateur. D’Héraclite au transhumanisme

    Philippe Beck Comment ne pas être nietzschéen

    Jean-Luc Nancy Wer bin ich ?

    Dorian Astor Les monstres de courage et de curiosité

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  • Notes pour comprendre le siècle...

    Les éditions Ars Magna viennent de rééditer les Notes pour comprendre le siècle de Pierre Drieu la Rochelle. Dans ce texte, publié initialement en 1941, le romancier et l'écrivain politique laissent la place au penseur...

     

     

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    " « À l’intonation de la voix, à la minutie avec laquelle Drieu la Rochelle explique les différents horizons philosophiques ramassés dans Notes pour comprendre le Siècle, on devine le profond attachement qu’il a pour ce livre, un des plus magnifiquement explicites de notre temps. Une certaine froideur, contrastant avec la violence juvénile des Écrits de Jeunesse, augmente la force de pénétration de cet essai, cependant que la sagesse qui s’en dégage conserve quelque chose d’agressif et d’impatient. Sans doute est-ce par cela que se retrouve le Drieu de toujours, prosateur exquis et généreux poète de choc.

    Deux guerres et une défaite ne sont pas, certes, sans avoir marqué Drieu la Rochelle. Ce ne sont pas des expériences que l’on subit impunément. Où d’autres, cependant, trouvent parfois le goût du renoncement, de l’abandon, l’auteur des Notes a puisé l’espérance d’un renouveau libérateur. Prolongeant la pensée nietzschéenne, en même temps qu’il l’humanise en laissant à toutes les philosophies basées sur un juste équilibre vital une chance de participation au relèvement de l’individu et, par-là, à celui de sa patrie, Drieu la Rochelle, armé de sa clairvoyance et de son esprit critique, nous entraîne avec foi sur la route nouvelle. Avec une rare justesse de vue, il offre ses robustes épaules et sa pensée à l’homme de demain : c’en est assez pour que nous puissions avoir confiance. »

    Noël B. de la Mort, Révolution Nationale n° 20, 1er mars 1942 "

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  • Le retour du Roi...

    Les éditions Christian Bourgois viennent de publier Le retour du Roi, le troisième et dernier tome de la nouvelle traduction du Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien, établie par Daniel Lauzon à partir de l'édition définitive en langue anglaise... 

     

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    " La dernière partie du Seigneur des Anneaux voit la fin de la quête de Frodo en Terre du Milieu. Le Retour du Roi raconte la stratégie désespérée de Gandalf face au Seigneur des Anneaux, jusqu'à la catastrophe finale et au dénouement de la grande Guerre où s'illustrent Aragorn et ses compagnons, Gimli le Nain, Legolas l'Elfe, les Hobbits Merry et Pippin, tandis que Gollum est appelé à jouer un rôle inattendu aux côtés de Frodo et de Sam au Mordor, le seul lieu où l'Anneau de Sauron peut être détruit.

    Cette nouvelle traduction prend en compte la dernière version du texte anglais, les indications laissées par J. R. R. Tolkien à l'intention des traducteurs et les découvertes permises par les publications posthumes proposées par Christopher Tolkien. "

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  • Une histoire de la révolution hongroise...

    Les éditions du Rocher viennent de publier Une histoire de la révolution hongroise, signée par Henri-Christian Giraud. Journaliste, ancien directeur adjoint de la rédaction du Figaro Magazine, il est notamment l'auteur de De Gaulle et les communistes (Albin Michel, 1988 et 1989).

     

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    " Le 23 octobre 1956, le sang coule à Budapest. Un peuple de 10 millions d'habitants en défie un autre de 220 millions qui possède la plus forte armée du monde : l'URSS, le pays aux cent divisions. Armés de «cocktails Molotov», étudiants, ouvriers, femmes et tout jeunes enfants, affrontent les chars de l'Armée rouge. Au prix d'un héroïsme inouï, qui bouleverse les correspondants de presse du monde entier, ils en détruisent plusieurs centaines.
    La révolution hongroise qui s'est poursuivie en résistance passive aux conséquences inhumaines pour la population, a fait des milliers de morts et de blessés et poussé 200 000 Hongrois à l'exode. Elle a aussi provoqué en Occident une crise de conscience qui a ouvert les yeux à plus d'un admirateur de la «grande lueur à l'Est». Cette autre révolution d'Octobre, fondée sur le retour de la nation, ruinait l'aura de la « mère des révolutions » porteuse du rêve policier et sanglant de l'internationalisme prolétarien.
    À cette insurrection, il n'aura manqué ni la trahison la plus vile (qui a laissé une tache sur l'honneur de la légendaire armée rouge), ni l'obscure manœuvre des États-Unis d'Amérique qui, derrière le paravent de l'indignation, ont délibérément instrumentalisé cette tragédie, via l'ONU, pour en faire le test de leur volonté de coexistence pacifique.
    Fondé sur les archives soviétiques et américaines et les recherches les plus récentes, cet ouvrage dévoile les multiples aspects de cette «Révolution antitotalitaire», qui sonnait en réalité le glas de l'empire soviétique et du communisme. Il y a des défaites plus prometteuses que des victoires. "
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