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Livres - Page 241

  • L'ivraie...

    Les éditions Léo Scheer viennent de publier un roman mordant, et plein d'humour, de Bruno Lafourcade intitulé L'ivraie. Ayant enchainé des expériences professionnelles variées, dont celle de l'enseignement, Bruno Lafourcade est l'auteur de plusieurs romans, et dernièrement, d'un pamphlet, Les Nouveaux Vertueux (Jean-Dézert éditeur, 2018).

     

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    " Jean Lafargue, écrivain méconnu et à court d'argent, accepte au pied levé un "remplacement" dans un lycée professionnel de la banlieue bordelaise. Le nouveau professeur découvre, autant effaré qu'amusé, la réalité de l'enseignement. Il montre, avec un humour féroce, la démagogie du personnel enseignant et l'acculturation d'une jeunesse imprégnée de complotisme. Mais il noue aussi des liens étroits avec une élève qui a suscité l'hostilité de ses camarades ; et qui le renverra, sans le savoir, à sa vocation littéraire et aux espoirs de sa propre jeunesse. "

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  • Métapolitique du globalisme...

    Les éditions Le Retour aux Sources viennent de publier un essai de Pierre-Antoine Plaquevent intitulé Soros et la société ouverte - Métapolitique du globalisme. Journaliste indépendant, Pierre-Antoine Plaquevent anime le site Les Non-Alignés.

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    " Georges Soros est l’une des personnalités les plus influentes de notre époque. L'activisme de George Soros, qui se considère lui-même comme « un chef d’État sans État », touche en fait tous les domaines et tous les continents.

    Durant les dernières décennies, peu de nations ont été épargnées par l’action ou l’influence de son ensemble de fondations : l’Open Society Foundations. Partout où la souveraineté politique et la stabilité sociale sont attaquées, on retrouve la trace de Georges Soros, de ses réseaux, de ses militants, de ses milliards. Que ce soit au travers de l'immigration de masse, de la dépénalisation des stupéfiants, des nouvelles normes sociétales, de la promotion des théories du genre ou des révolutions colorées. Dans chacun de ces domaines, Soros œuvre avec une étonnante constance à la réalisation d’un même objectif : l'avènement d'un nouvel ordre politique international fondé sur la notion de société ouverte et la fin des États-nations.

    L’auteur nous propose une radiographie détaillée de la méthodologie Soros et de ses divers champs d’action partout dans le monde. Au travers d’exemples très documentés, cette étude expose au grand jour les rouages internes des réseaux Soros. Une entreprise de décomposition des nations dotée d’une puissance et de moyens inédits dans l’Histoire.

    Au-delà d’un travail d’enquête inédit, ce livre se propose d’exposer la philosophie politique qui anime cette action et d’en tracer la généalogie profonde. Le lecteur y découvrira comment la notion de société ouverte se rattache aux courants les plus puissants et les plus actifs de la subversion politique contemporaine. "

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  • Un voyageur en Terre du Milieu...

    Les éditions Christian Bourgois viennent de publier un livre illustré de John Howe intitulé Un voyageur en Terre du Milieu. Canadien, John Howe est sans doute l'un des meilleurs illustrateurs de l’œuvre de Tolkien.

     

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    " Elle a été cartographiée, schématisée, les voyages de Bilbo et Frodo décortiqués, tracés à la règle. Pourtant, la Terre du Milieu demeure un espace sauvage. Pour chacune des routes où J.R.R. Tolkien nous a emportés, il existe mille chemins encore inexplorés.
    Un voyageur en Terre du Milieu, c'est une excursion à travers le monde de Tolkien qui permet non seulement de visiter les lieux au centre de ses histoires, mais d'explorer ceux qui s'étendent par-delà la colline ou au-delà de notre horizon. Nous découvrons des batailles d'un autre âge, devenu quasi légendaire à l'époque du Seigneur des Anneaux, des royaumes perdus et des mythes anciens, et tous ces endroits qui ne sont jamais qu'entrevus : de lointains domaines du Nord et des terres au-delà des mers.
    Des dessins d'allure spontanée côtoient les réflexions de l'artiste au contact des livres de Tolkien : ici, le dessinateur pose un temps ses crayons afin de peindre en mots les êtres et les paysages qui l'ont inspiré. Il revient également sur son expérience des plateaux de tournage aux côtés de Peter Jackson, réalisateur de la trilogie du Seigneur des Anneaux et de celle du Hobbit. Réunissant l'oeuvre conceptuelle produite pour le cinéma, l'art tolkienien qui l'a fait connaître, et des dizaines de nouvelles peintures et esquisses exclusives à cet ouvrage, Un voyageur en Terre du Milieu raconte le périple singulier d'un artiste à travers le paysage merveilleux de l'oeuvre-monde de Tolkien.

    John Howe naît en 1957 à Vancouver, au Canada. Il part pour la France en 1976 et obtient son diplôme en illustration de l'Ecole des arts décoratifs de Strasbourg en 1981. Il illustre des livres pour enfants en langue française avant de se faire connaître comme illustrateur de Tolkien, mondialement réputé pour ses calendriers, couvertures de livres, cartes et affiches. En 1998, il passe plus d'un an en Nouvelle-Zélande en qualité d'artiste-concepteur pour la célèbre trilogie cinématographique du Seigneur des Anneaux dirigée par Peter Jackson. En 2009, il retourne en Nouvelle-Zélande afin de participer à la trilogie du Hobbit."

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  • Européen d'abord !...

    Les éditions Via Romana viennent de publier un essai de Jean-Yves Le Gallou intitulé Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013).

     

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    " Beaucoup de Français ne se sentent plus en France à Saint-Denis, Mantes-la-Jolie ou Marseille. Ils sont devenus étrangers chez eux et préfèrent l’ambiance de Prague, Budapest ou Lisbonne. Finalement ils se sentent Européens d’abord ! Européens de langue française.
       En novlangue, Français est devenu une simple notion juridique (la nationalité) et statistique. Un concept vidé de tout contenu historique et culturel. Européen renvoie, lui, à un contenu fort et charnel, un contenu spirituel et civilisationnel.
       La civilisation européenne est à nulle autre pareille : c’est la civilisation des libertés et de l’incarnation, la civilisation qui respecte la femme et voit du divin dans la nature, la civilisation des grandes découvertes.
       La préférence de civilisation, c’est mettre, au cœur de ses choix personnels et de l’action politique, la préservation et la transmission de l’héritage : c’est retrouver la mémoire européenne, c’est une école qui enseigne, une culture qui se ressource, des rites qui se réenracinent, des mœurs qui se défendent car elles sont plus importantes que les lois. La préférence de civilisation, c’est réaffirmer le droit des peuples européens à l’identité et à la continuité historique. Face au Grand Remplacement, au Grand Effacement, au Grand Chambardement, la préférence de civilisation, c’est le Grand Ressourcement.
       Trente ans après La préférence nationale, la préférence de civilisation est un livre qui fera date. "

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  • Les Dragons dans les mythes indo-européens...

    Les éditions Yoran viennent de publier un essai de Bernard Sergent intitulé Les Dragons - Mythologies, rites et légendes. Chercheur au CNRS, spécialiste des Indo-Européens et président de la Société de Mythologie française, Bernard Sergent a publié de nombreux ouvrages dont Les Indo-Européens - histoire, langue, mythes (Payot, 1995), Celtes et Grecs - Le livre des héros et Le livre des dieux (Payot, 2000 et 2004) et Le Dieu fou - Essai sur les origines de Siva et Dionysos (Les Belles Lettres, 2016).

     

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    " Ce livre étudie les mythes, les légendes et les fêtes rituelles du dragon chez les Celtes , les Hittites, les Grecs et même et les Indiens (Inde) etc...
    Combattu par l'Eglise du haut Moyen Âge, car il était assimilé au Diable (ex : St Michel terrassant le dragon), il était surtout une survivance de l'ancienne religion.
    Les traditions celtes sont à l'honneur du fait de l'importance du dragon dans celles-ci.
    Un chapitre entier montre de manière inédite jusque-là que les saints vainqueurs d'un dragon se répartissent sur les quatre fêtes de l'année celtique.
    Le chapitre sur le dragon hédoniste – il aime la musique – parle d'un dragon breton tandis que ceux sur saint Marcel à Paris et sur saint Véran dans les Alpes, montrent l'origine entièrement celtique de leurs légendes. Ailleurs à Lérins, la mythologie celtique s'est mélée à un apport grec.
    Ainsi se décèle la richesse et la diversité des mythes sur les dragons. "

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  • La part sauvage du monde...

    Les éditions du seuil viennent de publier, dans leur collection Anthropocène, un essai de Virginie Maris intitulé La part sauvage du monde. Philosophe de l'environnement, Virginie Maris est déjà l'auteur de Philosophie de la biodiversité – Petite éthique pour une nature en péril (Buchet-Chastel, 2010).

     

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    " En déclarant la mort de la nature, nombreux sont ceux qui voient dans l'Anthropocène l'opportunité de prendre enfin les commandes d'un système-terre entièrement modelé par les humains.
    À rebours de cet appel au pilotage global, Virginie Maris réhabilite l'idée de nature et défend la préservation du monde sauvage. Elle revisite pour cela les attributs de la nature que les fantasmes prométhéens du contrôle total s'appliquent à nier : son extériorité, en repensant la frontière entre nature et culture ; son altérité, en reconnaissant la façon dont les non-humains constituent leurs mondes tout comme nous constituons le nôtre ; et enfin son autonomie, en se donnant les moyens de respecter et de valoriser ces mondes multiples.
    L'auteure invite à remettre au cœur de la réflexion sur la crise environnementale la nécessité de limiter l'emprise humaine sur la planète, en redonnant toute sa place au respect de cette nature indocile qui peuple nos paysages, nos imaginaires, et qui constitue finalement l'autre face de notre humanité. "

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