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Livres - Page 237

  • Après la gauche...

    Les éditions Perspectives libres viennent de publier un essais de Denis Collin intitulé Après la gauche (Perspectives libres, 2018). Agrégé de philosophie et docteur ès lettres, Denis Collin est l’auteur de nombreux ouvrages consacrés à la philosophie, à la morale et à la pensée politique, dont une Introduction à la pensée de Marx (Seuil, 2018). Contributeur du site La Sociale, il a également donné plusieurs entretiens à la revue Krisis.

     

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    " Des transformations historiques profondes sont en cours dans tous les pays du monde et en particulier dans les pays démocratiques qui ont vécu si longtemps sous le signe du progrès, de la gauche, du mouvement ouvrier et du socialisme. Sur quoi ces changements déboucheront ils  ? Nul ne peut le prévoir et on ne peut qu’esquisser ce qui serait à la fois possible et souhaitable. Mais quoi qu’il en soit, la «  gauche  » est arrivée au terme de son chemin. Une nouvelle page s’ouvre. Comprendre comment on en est arrivé là, c’est peut-être la tâche la plus importante pour affronter l’avenir. "

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  • La dictature de l'ego...

    Les éditions Larousse viennent de publier un essai de Mathias Roux intitulé La dictature de l'ego - En finir avec le narcissisme de masse. Normalien et agrégé, Mathias Roux enseigne la philosophie au lycée Dumézil à Vernon. Il a récemment publié, avec Emmanuel Roux, Michéa l'inactuel (Le bord de l'eau, 2017).

     

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    " Notre époque valorise toutes les manifestations de l’ego. Les injonctions «  soi toi-même, tu le vaux bien, fais-toi plaisir  » portées par le développement personnel mais aussi par les réseaux sociaux nous encouragent à toujours plus de mise en avant de notre ego et de déballage de notre intimité.
    Cet ouvrage propose de prendre le contrepied critique de cette apologie du narcissisme et propose de réhabiliter la pudeur, la retenue et la réserve. Toutes ces qualités indispensables à la formation de la personnalité comme à la vie en société, pourtant considérées à notre époque comme suspectes.
    L’auteur oppose ainsi à ces fausses promesses de libération une véritable perspective d’émancipation fondée sur des pistes philosophique  et s'appuie pour cela sur de nombreux penseurs et exemples pris dans la vie de tous les jours. "

     

     

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  • L'art de désobéir...

    Les éditions Fiat Lux viennent de publier un essai de Paul-Eric Blanrue intitulé Sécession - L'art de désobéir. Essayiste, historien de formation et ancien professeur, tenant d'un scepticisme rigoureux, Paul-Eric Blanrue a publié plusieurs ouvrages qui ont suscité la polémique, comme Le monde contre soi (Blanche, 2007), Sarkozy, Israël et les juifs (Oser dire, 2009) ou le Livre noir des manipulations historiques (Fiat Lux, 2017).

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    " Comme rarement dans l'histoire, on tente d'asservir l'homme, de le tenir en laisse, de le mater. On aspire à faire de lui un « bon citoyen », un contribuable respectable et « éco-responsable », un métrosexuel bon teint, et, pour couronner le tout, un « citoyen du monde » déraciné. Toute opinion contraire à celles que l'État et ses satellites imposent est déclarée suspecte, perverse, dangereuse, immorale. Il n'y a que lorsque l'individu a cédé à l'État qu'il est considéré comme estimable. La société moderne n'aime l'homme qu'apprivoisé, inféodé, captif, discipliné, uniformisé, enchaîné aux valeurs distillées par le Législateur, dont on doit supposer qu'il sait tout mieux que tout le monde sur tous les sujets. Vu la dégradation générale, il est temps de nous réapproprier notre puissance d'homme confisquée par les forces d'anéantissement. Nul n'a le droit de nous imposer une façon de voir le monde. Nul ne peut exiger que nous fassions le contraire de ce que nous voulons. Face à tout groupe, et plus particulièrement face à l'État-Léviathan qui se pare des atours de l'État-papa-maman pour mieux nous séduire, il faut développer notre singularité. Nous devons nous appliquer à devenir les souverains de notre royaume intérieur, afin de subsister à travers les vicissitudes de l'existence, les propagandes, la publicité idéologique, la morale civique et les « valeurs républicaines ». Nous devons affronter avec vigueur les entreprises de ceux qui veulent faire intrusion dans nos têtes. Dans ce livre, Paul-Éric Blanrue nous initie à « l'art de désobéir ». La désobéissance est l'une des prémices de la liberté. À travers ses expériences personnelles (d'énormes révélations à la clé) et en poursuivant au triple galop une réflexion originale, Blanrue nous propose une solution percutante pour nous affranchir des diktats de la milice de la pensée, des lignes de parti en tout genre et de l'infernale emprise de l'État sur nos vies. Il ne s'agit plus de « s'indigner »..."

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  • Les Dupes...

    Les éditions Le Dilettante viennent de rééditer un recueil de trois nouvelles de Jean Dutourd intitulé Les Dupes. Journaliste et écrivain, que l'on peut classer, comme l'a fait Dominique Venner, dans la catégorie des anarchistes de droite, Jean Dutourd (1920 - 2011) est l'auteur d'une œuvre importante au sein de laquelle on retiendra, notamment, Au bon beurre (1952), Les Taxis de la Marne (1956) ou encore Les horreurs de l'amour (1963)...

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    " Jean Dutourd a trente-neuf ans lorsqu'il publie Les Dupes, en septembre 1959 : connu du grand public pour Au Bon Beurre (1952) et Les Taxis de la Marne (1956), il est alors un écrivain en vue. Les Dupes occupe une place à part dans son œuvre : il s'agit de son premier recueil de nouvelles. Dans la première, Dutourd nous conte les trépidantes aventures d'un jeune homme qui croit qu'on se définit par ses actes : hélas pour lui, tout ce qu'il entreprend tourne toujours à l'inverse de ce qu'il désire ! La deuxième nouvelle nous montre un révolutionnaire allemand du XIXe siècle qui s'imagine dur comme fer que le monde évoluera dans un certain sens. Quant à la troisième nouvelle, elle relate un étrange tête-à-tête nocturne entre le Diable et un athée. La critique accueille avec faveur Les Dupes : c'est drôle, alerte et percutant. Jean Giono clame son enthousiasme : "C'est une jubilation ! Pourquoi faut-il que ce soit si court !" Jamais réédité, Les Dupes est l'un des meilleurs livres de Jean Dutourd - et l'un de ceux par lesquels on suggérera volontiers d'aborder son œuvre. "

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  • Vu en Amérique, bientôt en France...

    Les éditions Stock viennent de publier une enquête de Géraldine Smith intitulée Vu en Amérique - Bientôt en France. Journaliste, Géraldine Smith s'est fait connaître avec la publication de Rue Jean-Pierre Tambaud (Stock, 2016), la dénonciation de l'islamisation et de la communautarisation d'un quartier de Paris...

     

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    " Sous l’Amérique d’aujourd’hui perce la France de demain. La « flexibilité » à l’américaine – de l’emploi, des horaires d’ouverture des magasins, du départ à la retraite, de la vie familiale désynchronisée –, on connaît déjà. Voici maintenant la revendication de « lieux sûrs », de l’entre-soi, du « droit » de se promener en pyjama dans la rue, des pronoms aussi fluides que le genre. En attendant l’addiction sur ordonnance, la prescription de pilules pour améliorer les résultats scolaires, l’épuration de la littérature, la prohibition de la danse « sexuellement agressive » et du port du sombrero. En huit histoires, toutes de première main, ce livre raconte l’Amérique comme vous ne l’avez jamais vue, la France telle que vous ne la connaissez pas… encore. "

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  • Mythes et réalités de l'Espagne islamique...

    Les éditions Jean-Cyrille Godefroy viennent de publier la traduction d'un essai historique de Dario Fernández-Morera intitulé Chrétiens, juifs et musulmans dans al-Andalus - Mythes et réalités de l'Espagne islamique. Diplômé de Harvard et professeur au département d’espagnol et de portugais de l’Université Nortwestern (Illinois),  Dario Fernández-Morera est l'auteur de nombreux livres sur l’Espagne médiévale et le Siècle d’or.

    Sur le même sujet, on pourra également consulter Al Andalus, l'invention d'un mythe - La réalité historique de l'Espagne des trois cultures (Toucan, 2017) de Serafin Fanjul.

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    " Universitaires, journalistes et hommes politiques, tous nous présentent « Al-Andalus », l’Espagne sous domination musulmane, comme un paradis multiculturel où musulmans, chrétiens et juifs vivaient en harmonie. Ce conte de fées est un mythe.

     Dans Chrétiens, juifs et musulmans dans al-Andalus, un ouvrage décapant, l’historien Darío Fernández-Morera révèle la réalité de l’ »Espagne arabo-musulmane », à partir de sources volontairement ignorées et de récentes découvertes archéologiques.

     Ce prétendu paradis de la coexistence heureuse a commencé avec la conquête de l’Espagne par le califat islamique. Les armées de l’islam, composées de Berbères incultes, détruisirent un Royaume Visigoth qui avait conservé l’héritage de la culture classique après la chute de l’Empire romain d’occident, et dont le niveau de civilisation était largement supérieur.

     Loin d’être un espace de tolérance, l’ »Espagne musulmane » fut le lieu d’une régression culturelle dans tous les domaines de la vie. Chrétiens et juifs y furent marginalisés et opprimés par des autocrates religieux. Considérés comme subalternes dans une société hiérarchisée, ils furent réduits au rang de dhimmis, et eurent le choix que les gangsters donnent à leurs victimes : payer pour être protégés, ou disparaître.

     Tandis que politiciens et idéologues continuent de célébrer l’ »Espagne musulmane » pour son « multiculturalisme » et sa « diversité », Darío Fernández-Morera montre que cette construction politiquement utile est une falsification de l’histoire. "

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