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Livres - Page 200

  • Hugo Chavez, un nationaliste-révolutionnaire sud-américain ?...

    Les éditions Jeanne viennent de publier un livre de Vincent Lapierre intitulé Hugo Chavez - Biographie & discours, avec une préface de Jean Lassalle. Journaliste, fondateur du Média pour tous, Vincent Lapierre vient de lancer les éditions Jeanne et prévoit déjà de publier plusieurs titres au cours de l'année 2020.

     

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    " Né en 1954 dans un petit village au pied de la cordillère des Andes, Hugo Chávez est le second fils d’une famille de sept enfants. Élevé en grande partie par sa grand-mère, Mama Rosa, qui confectionnait des friandises que le petit Huguito allait vendre dans les rues après l’école, il rêve de devenir joueur de baseball. Mais très vite, touché par la misère qu’il voyait autour de lui et pris d’amour pour son peuple, il s’intéresse à la politique, et en particulier aux écrits de Simon Bolivar, le Libérateur, et à l’âge de dix-sept ans rejoint l’armée vénézuélienne.

    Patriote, catholique, ayant comme modèle la figure d’un Christ à la fois empli de compassion pour les plus faibles et en colère contre les fourbes et les persécuteurs, il défend un socialisme au service de l’humain. Arrivé au pouvoir, il reste près du peuple, l’écoute et lui parle, met en place une série de programmes sociaux au cœur même des quartiers et des villages. Alimentation, éducation, médecins : les revenus du pétrole affluent pour tenter d’arracher les plus humbles à la pauvreté. Et malgré des trahisons et une opposition qui ne cessera de tenter de le renverser, il restera près de quinze ans le Commandante, figure de proue des peuples opprimés, en lutte contre l’emprise des multinationales et des intérêts américains, en Amérique latine, mais aussi bien au-delà.

    L’auteur, avec une écriture vivante, enthousiaste, mais aussi sans concession lorsqu’il s’agit d’analyser les erreurs qu’a pu faire Hugo Chávez, retrace ici le parcours d’un homme qui voulait que chacun puisse s’accomplir, libéré de la malnutrition et de l’illettrisme, mais aussi des « valeurs inoculées par le capitalisme » : refus des frontières, des racines, de toute transcendance, désintégration de la famille et des patries, menant à l’individualisme du consommateur docile, « sans espérance, sans défense face au système de gouvernance globale dont ils parachèvent la construction. "

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  • A la rencontre de Christian Combaz, le porte-parole de Campagnol...

    Pour son émission Orages de papier, sur TV Libertés, en partenariat avec La Nouvelle Libraire, François Bousquet reçoit l'écrivain Christian Combaz à l'occasion de la publication de La France de Campagnol (La Nouvelle Librairie, 2020), un recueil de ses savoureuses chroniques.

     

                                     

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  • Chroniques du 7e art...

    Les éditions Auda Isarn viennent de publier un recueil d'articles de Robert Brasillach intitulé Chroniques du 7e art. Écrivain et journaliste à l'Action française et Je suis partout, Robert Brasillach, à qui l'on doit, notamment, Les sept couleurs, Comme le temps passe et Notre avant-guerre, mais aussi une Histoire du cinéma (avec son beau-frère Maurice Bardèche) ou un Corneille, a été une des principale victimes de l'épuration des intellectuels et est mort le 6 février 1945, dans les fossés du fort de Montrouge, sous les balles d'un peloton d'exécution...

     

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    " Avant d’être fusillé le 6 février 1945, Robert Brasillach a laissé, malgré sa courte vie, une œuvre d’un rare éclectisme et d’un talent inouï. Aussi à l’aise dans le roman, la critique littéraire et cinématographique, le théâtre que dans la politique ou la poésie, il incarnait un humanisme aujourd’hui bien disparu.

    Dès l’âge de dix-huit ans, il amorçait une longue carrière de cinéphile et de critique du septième art, dans La Tribune de l’Yonne sous la signature de Jacques Tournebroche (pseudonyme emprunté à Anatole France). Suivirent Le Coq catalan, La Revue universelle, Gringoire, La Chronique de Paris, L’Appel, La Gerbe, L’Echo de la France, mais quasiment jamais Je suis partout où la critique cinématographique était assurée par son ami Lucien Rebatet (alias François Vinneuil).

    Le présent volume rassemble tous les articles de cinéma que Robert Brasillach a publiés dans ces divers organes de presse de 1927 au 12 juillet 1944. Il témoigne de sa vision, de sa tendresse et de ce fameux “plaisir du cinéma”, et complète ainsi la fabuleuse Histoire du cinéma coécrite avec son beau-frère Maurice Bardèche. "

     

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  • Quand les romanciers d'hier chroniquent le monde d'aujourd'hui...

    Les éditions Vendémiaire viennent de publier un essai de Maryan Guisy intitulé Panorama de nos moeurs politiques - Quand les romanciers d'hier chroniquent le monde d'aujourd'hui. Docteur ès lettres, Maryan Guisy est spécialiste de la littérature du XIXe siècle.

     

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    " Ambitions personnelles, manœuvres électorales, règlements de comptes internes aux partis, suspicion portée sur toute une classe politique du fait des malversations avérées de certains de ses membres, mondanités parisiennes, fascination pour l'homme fort ou providentiel, pour la vie privée des dirigeants aussi, rébellions contre l'arrogance de la caste au pouvoir, contre les taxes, contre la censure, exigence de plus de démocratie, insurrections embrasant la rue, irrépressible voix des foules... Assurément, nous n'avons rien inventé : ce panorama de nos moeurs politiques est trait pour trait celui qu'ont dessiné les écrivains du XIXe siècle, qui dans ce paysage neuf d'une république naissante ont tout décrit de ce qui fait notre actualité.
    On se souvient de Lucien Leuwen et d'Eugène de Rastignac, d'Eugène Rougon et de Bel-Ami, mais au-delà de ces figures emblématiques c'est toute la société de leur temps, et tous les rouages de la démocratie représentative que Stendhal, Balzac, Zola ou Maupassant, ces pionniers du roman politique, ont impitoyablement analysés.
    Pour qui veut comprendre les mouvements sociaux d'aujourd'hui, le discrédit de la parole publique, les mensonges des uns, la révolte des autres, il n'est que de lire L'Argent ou Le Député d'Arcis... "

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  • Le travail n'est pas une marchandise...

    Les éditions du Collège de France viennent de publier un court essai d'Alain Supiot intitulé Le travail n'est pas une marchandise - Contenu et sens du trail au XXIe siècle. Juriste, professeur émérite au Collège de France, Alain Supiot est l'auteur de plusieurs essais dont Homo juridicus - Essai sur la fonction anthropologique du droit (Seuil, 2005) et La gouvernance par les nombres (Fayard, 2015).

     

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    " Les défis posés par la révolution numérique et les périls écologiques ne pourront être relevés sans remettre en cause l'assimilation du travail et de la nature à des marchandises, qui s'est imposée depuis l'avènement du capitalisme. Les statuts professionnels qui ont résisté à la dynamique du Marché total ne sont donc pas les fossiles d'une monde appelé à disparaître, mais bien plutôt les germes d'un nouvel Etat social, qui fasse place au sens et au contenu du travail - c'est-à-dire à l'accomplissement d'une œuvre. "

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  • Honoré d'Estienne d'Orves, un monarchiste dans la résistance...

    Les éditions Synthèse viennent de publier dans leur collection des Cahiers d'histoire du nationalisme une étude de Didier Lecerf intitulée Honoré d'Estienne d'Orves - 1940 : des monarchistes dans la résistance. Didier Lecerf est déjà l'auteur dans la même collection d'une monographie sur le PFN, Le Parti des Forces Nouvelles (1974 - 1984) - Une autre Droite.

     

     

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    " Issu d’une vieille famille de la noblesse provençale de tradition catholique et légitimiste, sensible aux idées et aux actions du catholicisme social d’Albert de Mun, descendant des généraux vendéens d’Autichamp et Suzannet et filleul du commandant Driant (le gendre du général Boulanger), le capitaine de frégate Honoré d’Estienne d’Orves peut être rattaché à la droite nationale, monarchiste, catholique et sociale.

    Dans le chaos de 1940, à l’heure où « l’occupation (força) les hommes à choisir explicitement leur allégeance » (Pierre Nora), cet officier de valeur, comme bien d’autres, fit son choix. Au nom des valeurs de sa famille, de sa foi chrétienne, de l’honneur, de la patrie…, il choisit de continuer la lutte sous le drapeau français, dans les rangs gaullistes. Mais sans pour autant retirer son respect au Maréchal Philippe Pétain ni vouer aux gémonies ceux qui firent au même moment un autre choix que le sien... Ambiguïtés d’une époque… 

    Dans ce nouveau numéro des Cahiers d’Histoire du Nationalisme, Didier Lecerf, historien de formation et militant de la cause nationale, nous invite à partir à la découverte de ce Français exemplaire, de ce patriote ardent, premier agent de la France libre fusillé par les Allemands, en août 1941. Il nous convie aussi à découvrir le milieu et l’époque qui ont contribué à sa formation intellectuelle et morale ainsi que les exemples qui l’ont inspiré. "

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