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  • Haro sur les héros !...

    Le numéro 58 du mensuel conservateur L'Incorrect est en kiosque. On peut notamment découvrir à l'intérieur un dossier central consacré à l'incapacité du cinéma français à mettre en scène des héros, des entretiens avec l'autonomiste corse Nicolas Battini, avec le député Roger Chudeau, avec le philosophe Pierre Manent ou avec le cinéaste coréen Hirokazu Kore-Eda, ainsi que les rubriques habituelles "Monde", "Essais", "Culture", et "La fabrique du fabo"...

    Le sommaire complet est disponible ici.

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  • La Hongrie, son identité, son histoire et sa place dans l’Europe...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Ferenc Almássy, rédacteur en chef du Visegrad Post, à Ego Non et consacré à la Hongrie, à son identité, à son histoire et à sa place dans l’Europe...

     

                                           

    Sommaire :

    00:00 Introduction et présentation de F. Almássy

    11:28 Première partie - Les origines du peuple hongrois

    18:04 La thèse finno-ougrienne

    23:22 Une origine turque ?

    27:23 Des liens avec les Huns ?

    33:00 La dernière des grandes "invasions barbares" ?

    37:53 La bataille du Lechfeld

    46:07 Deuxième partie - Du royaume de Hongrie à la nation moderne

    56:10 Les invasions mongoles

    01:01:20 La reconstruction de la Hongrie

    01:07:13 Le roi Matthias Corvin

    01:16:22 La réforme et les conquêtes ottomanes

    01:33:52 L'Autriche et les Habsbourg

    01:46:22 Le traité de Trianon

    01:56:02 L'amiral Miklós Horthy

    02:07:50 La Hongrie communiste

    02:25:10 Troisième partie - La place de la Hongrie dans l'Europe moderne

    02:30:41 Le parcours de Victor Orban

    02:37:36 La vision du monde d'Orban

    02:53:24 Géopolitique de la Hongrie

    03:05:25 Perspectives du peuple hongrois

    03:16:46 Conseils de lecture

     

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  • Ni Lang Lang, Ni Glenn Gould...

    Les éditions Nuvis viennent de publier un essai de Michel Mollard intitulé Ni Lang Lang, Ni Glenn Gould - Interpréter la musique. Auteur de plusieurs livres et films sur la musique, et producteur de nombreux concerts en France et à l'étranger, Michel Mollard a étudié le piano, l'harmonie, le contrepoint et l'analyse musicale.

     

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    " Pas un jour ne passe sans que paraissent un livre, un guide, une revue, un article vantant ou vilipendant tel musicien ou telle interprétation. On y apprend tout ou presque des goûts de ce que la France compte de passionnés, auteurs, journalistes, critiques chenus ou en herbe ; mais on y cherche en vain les prémisses d’une esthétique ; on sait tout de leurs goûts et on ignore tout de leur goût. La preuve ? on la trouve dans l’incohérence de leur contenu, souvent aléatoire dans le temps et dans l’espace.
    Malheureusement pour elle, la musique n’est pas comme les paroles de Socrate qui, aux dires d’Alcibiade, conservent leur pouvoir même rapportées par un pauvre sire ; transmise par un piètre interprète, elle peut perdre le sien. La question de son interprétation est donc décisive.
    Ce livre s’intéresse à l’esthétique de l’interprétation et s’attache à répondre à ces questions que tout le monde se pose : qu’est-ce qu’une grande interprétation ? qu’est-ce grand interprète ?
    Un livre qui intéressera tous ceux qui aiment la musique et cherchent à mieux la connaître, et qui sonnera aussi comme un appel à la liberté de pensée. "

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  • Face au Système oligarchique, nous menons le bon combat...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré au combat contre le Système oligarchique....

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, et deux essais, La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021) et dernièrement Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021).

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    Face au Système oligarchique, nous menons le bon combat

    Nous devons affronter la nouvelle année avec une certitude forte : nous menons le bon combat ! Et nos adversaires se trouvent dans le mauvais camp, celui du Système, celui de l’oligarchie, celui du Mal.

    Nous avons eu raison sur tout !

    Nous menons le bon combat d’abord parce que notre famille de pensée a eu raison sur tout, avant les autres.

    C’est bien la droite « hors-les-murs », « dissidente », « extrême », « horlogère » ou « nouvelle » – qu’importe le qualificatif dont nous ont affublé nos adversaires – qui dès les années 1970, mettait en garde contre les conséquences catastrophiques de la dérégulation de l’immigration voulue par le patronat. Et contre la crise démographique européenne qui s’annonçait.

    C’est cette droite qui a annoncé, avec Guillaume Faye, la perspective d’une colonisation de l’Europe[1] organisée par le Système à tuer les peuples[2] qui prenait le pouvoir en Occident à partir des États-Unis.

    C’est cette droite diabolisée qui a perçu la première que la question identitaire allait devenir déterminante et qui a dénoncé l’hypocrisie d’une gauche bourgeoise ralliée au capitalisme mondialiste. Une bourgeoisie qui cherche dans l’immigré un peuple et un électorat de rechange et qui promeut le sociétal pour abolir le social.

    Une ruse de l’histoire

    C’est aussi notre famille de pensée qui – prenant la suite du Général De Gaulle par une ruse dont l’histoire a le secret – a toujours considéré que l’Europe n’avait de sens que de l’Atlantique à l’Oural et que l’inféodation aux États-Unis conduirait notre continent à la déchéance et à la guerre. Et que la société ne pouvait se réduire au marché ni à la Bourse.

    C’est aussi notre famille de pensée qui a dénoncé les dérives de l’Éducation nationale dès les années 1980, comme celle des juges idéologisés[3] qui allait conduire au gouvernement des juges et à l’explosion de l’incivilité et de l’insécurité. Car notre famille de pensée a renouvelé la critique traditionnelle de l’idéologie des Lumières et de l’égalitarisme, en s’appuyant sur les sciences du vivant[4].

    On pourrait continuer l’énumération : nous avons été les seuls à annoncer et dénoncer la dérive mortelle du monde occidental américanisé, dans sa globalité.

    C’est d’ailleurs pour cette raison qu’on nous a diabolisés en permanence !

    Dépasser la politique politicienne

    Nous menons le bon combat ensuite parce que nous avons compris que la lutte contre le Système ne pouvait se limiter à la politique politicienne.

    C’était déjà la conclusion du petit opuscule Pour une critique positive, paru en 1962 et attribué à Dominique Venner, tirant les conséquences de l’échec de l’Algérie française.

    Car ceux qui pensent qu’il suffit de « gagner les élections » ou de constituer un groupe parlementaire pour mettre à bas l’oligarchie se méprennent et trompent surtout leurs électeurs. Ce que tous les prétendus « sauveurs » de droite n’ont cessé de faire, il est vrai, depuis 40 ans.

    La lutte contre ce que représente le Système n’est ni politicienne ni franco-française en effet : elle est métapolitique, métaphysique et culturelle. Elle ne peut être que totale et mondiale.

    Une réforme intellectuelle et morale

    La renaissance de notre pays ne peut donc résulter que d’un changement de vue-du-monde, ouvrant la voie à une réforme intellectuelle et morale, comme Alain de Benoist l’a exposé dans son maître essai Vu de Droite dès 1977[5]. Une renaissance permettant l’émergence d’une nouvelle élite politique, seule à même de mettre en mouvement notre peuple, en réalisant la grande politique qu’il attend désespérément [6].

    Une fois encore la droite dissidente a vu juste là où la droite établie n’a rien compris, ce qui explique sa marginalisation.

    C’est d’ailleurs parce que notre famille de pensée a été la plus diabolisée, censurée et persécutée depuis 40 ans qu’elle a pu aussi, la première, dénoncer la dérive de plus en plus liberticide du Système et le caractère factice de notre démocratie. Comme le démontre chaque jour Emmanuel Macron, le président incapable et impopulaire, curieusement réélu en 2022, et qui gesticule… sans majorité absolue au Parlement.

    Vers la guerre

    Nous menons le bon combat car il n’est plus possible, enfin, d’ignorer que l’oligarchie mondialiste qui a pris le pouvoir en Occident nous conduit vers la guerre mondiale, la paupérisation et la destruction de notre civilisation.

    Nous avions prévu que l’oligarchie n’hésiterait pas à recourir à la guerre pour empêcher la remise en cause de sa domination par les états-civilisationnels émergents, comme la Chine, l’Inde ou la Russie[7]. Et que les ruines et le chaos qu’elle avait provoqués au Proche Orient, nous donnaient un avant-goût de ce qui nous attendait.

    Cette prévision est en train de se réaliser avec la guerre en Ukraine, le retour des tensions au Kosovo, les provocations occidentales face à la Chine, la multiplication des points d’affrontement sur notre continent et la guerre ethnico-religieuse larvée qui commence à ravager l’Europe de l’Ouest.

    Il est vrai que la guerre est bonne pour les affaires de l’oligarchie, ce qui explique le ralliement au bellicisme états-unien, de l’Union européenne, « machin » livré aux lobbys et à la corruption.

    En 2023, il faudra choisir son camp

    La guerre que promeut l’oligarchie mondialiste traduit surtout l’affrontement eschatologique qui est en train de prendre place entre un Occident, qui incarne désormais la déchéance de l’homme, et le reste de l’humanité, qui rejette de toutes ses forces cette décadence. Un affrontement final d’ailleurs prévu par nombre de religions.

    Dans un tel affrontement, les Européens ne peuvent plus rester spectateurs : ils en sont déjà les victimes !

    Chaque Européen conscient doit donc choisir son camp et ce ne peut-être celui d’un Occident décadent et corrompu dans tous les sens du terme, qui nous conduit à la ruine et à la guerre.

    En 2023, nous continuerons de mener le bon combat !

    Michel Geoffroy (Polémia, 31 décembre 2022)

     

    Notes :

    [1] Guillaume Faye « La Colonisation de l’Europe » , l’Aencre, 2000
    [2] Guillaume Faye « Le Système à tuer les peuples » , éditions Copernic, 1981
    [3] Notamment par les travaux du Club de l’Horloge
    [4] Henry de Lesquen et le Club de l’Horloge « La Politique du Vivant » , Albin Michel, 1978
    [5] Alain de Benoist « Vu de Droite, Anthologie critique des idées contemporaines », éditions Copernic, 1977
    [6] Voir Bruno Mégret « Le Temps du Phénix », éditions Cité Liberté, 2016
    [7] Voir notamment Michel Geoffroy « La Nouvelle Guerre des Mondes » Via, Romana, 2020

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  • Du conflit de civilisation à la guerre de substitution...

    Les éditions Jean-Cyrille Godefroy ont récemment publié un essai de Mezri Haddad intitulé Du conflit de civilisation à la guerre de substitution, avec une préface d'Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères. Docteur en philosophie morale et politique de la Sorbonne, Mezri Haddad, né le au Kram, est un journaliste, écrivain, philosophe et diplomate tunisien. 

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    " Provoquer la guerre, sans la faire ! Le Ponce Pilate américain s’en lave les mains ! C’est aux provinces de l’Empire de le servir et aux soumis de lui obéir, aux dépens de leurs propres intérêts. Plutôt des intérêts vitaux de leurs peuples. Quand l’oracle de Kiev, Zelensky, parle, tout le monde se met à maudire le Satan du Kremlin. Dès que ce saltimbanque, dont on loue le nationalisme qu’on exècre chez soi, tousse, c’est tout le corps européen qui souffre… mais c’est seulement Renault qui plie bagage. Par nationalisme ukrainien et pour se passer du gaz russe, BHL propose aux Français de baisser leur chauffage d’un degré. Une écologiste qui se chauffe à la bouse de vache double la mise : deux degrés !
    En temps de guerre, outre les innocents tués et les populations déplacées, la première victime c’est la vérité, et le premier bénéficiaire c’est la propagande des marchands d’armes. Comme avant lui Nasser, Mossadegh, Saddam, Bachar, Kadhafi, Poutine serait la réincarnation d’Hitler ! Et Soljenitsyne, prix Nobel de littérature et dissident historique autrefois sanctifié en Occident, est renvoyé au Goulag pour son soutien post mortem au « boucher ».
    Plus grave que tout, l’ennemi n’est plus Daech et ses acolytes, mais la Russie. Le péril majeur n’est pas le totalitarisme vert, que Poutine a éradiqué en Tchétchénie avant de l’écraser en Syrie, mais le fantôme du totalitarisme rouge ressuscité par les thuriféraires des États-Unis. Thèse de Mezri Haddad : la théorie du choc des civilisations n’est pas caduque. C’est juste le point d’impact qui s’est déplacé en faisant tomber les pions du grand échiquier ! Le choc est désormais entre des démocraties en crise et des autoritarismes ré-émergents, entre un modèle de civilisation spirituellement desséché et un modèle en plein renouveau orthodoxe et exaltation nationaliste. Une guerre qui se joue sur le même continent et à l’intérieur de la même ère civilisationnelle… pour le meilleur ou pour le pire ! "

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  • Un bilan de l’interventionnisme occidental au Moyen-Orient...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'entretien donné par Pierre Conesa à Aïcha Hmissi sur Omerta, dans lequel il fait le bilan de l’interventionnisme occidental au Moyen-Orient.

    Agrégé d'histoire et énarque, Pierre Conesa a fait partie dans les années 90 de la Délégation aux affaires stratégiques du Ministère de la défense. Il est l'auteur de plusieurs essais, dont, notamment, Dr. Saoud et Mr. Djihad - La diplomatie religieuse de l'Arabie saoudite (Robert Laffont, 2016), Hollywar - Hollywood, arme de propagande massive (Robert Laffont, 2018), Le lobby saoudien en France - Comment vendre un pays invendable (Denoël, 2021) et Vendre la guerre - Le complexe militaro-intellectuel (L'aube, 2022).

     

                                              

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