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  • Les snipers de la semaine... (166)

     

    jean-paul brighelli,najat vallaud-belkacem,éric zemmour,baccalauréat

    Au sommaire cette semaine :

    - sur le site de Causeur, Jean-Paul Brighelli et son invitée dézinguent le Ministère de l’Éducation nationale où les "pédagos" continuent à dominer...

    Elle est toujours là

    Najat Vallaud-Belkacem.jpg

    - sur RTL, Eric Zemmour tire sur l'ambulance en s'attaquant au baccalauréat...

    Le baccalauréat, c'est comme L'École des fans !

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  • Feu sur la désinformation... (190)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Trump et les enfants clandestins : l’émotion au service de l’immigration
      « Insensible, sans âme, lâche », les médias ne mâchent pas leurs mots sur Donald Trump depuis la découverte de l’enregistrement d’un enfant de clandestin pleurant dans un centre de rétention.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Beaucoup de séquences immigrationnistes et …festival de novlangue : les clandestins africains deviennent dans la bouche des journalistes des « évacués », des « exilés », des « réfugiés », sauvés d’un « bateau en perdition ». Alors que l’Aquarius n’a jamais menacé de faire naufrage. On notera aussi l’aveu de cet Albanais racontant comment il avait menti pour tenter d’obtenir de l’OFPRA le statut de réfugié politique. Le mensonge, l’arme absolue de 95 % des demandeurs d’asile !

    • 3: Censure de TV Libertés : petit meurtre en silence
      Jeudi 14 juin la chaine Youtube de TVlibertes a été fermée de manière unilatérale. La chaine avait 100 000 abonnés. Alors que la fermeture relève de la censure et de l’atteinte à la liberté de la presse, les médias restent silencieux.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Vous reprendrez bien un petit coup de novlangue ? Pour l’Associated Press une agression au cri de « Allah Akbar » est faite au nom de « God is great ». Quant à l’AFP, elle titre sur « la menace grandissante du terrorisme d’extrême droite en Grande Bretagne ». Brr...
    • 5 : Salvini et Trump victimes de bobards sur l’immigration
      Donald Trump aurait dit une « Fake news » en affirmant que la délinquance avait augmenté en Allemagne, Salvini, le ministre de l’intérieur italien aurait appelé à une épuration de masse. Salvini, Trump, deux victimes de bobards immigrationnistes.

     

                                     

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  • Nouvelle économie ?...

    Le numéro 48 de la revue Krisis, dirigée par Alain de Benoist, avec pour rédacteur en chef Thibaut Isabel, vient de paraître. Cette nouvelle livraison est consacrée à la nouvelle économie du monde numérisé et robotisé qui vient...

    Vous pouvez commander ce nouveau numéro sur le site de la revue Krisis ou sur le site de la revue Eléments.

    Bonne lecture !

     

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    " D’après un rapport mené par un cabinet de stratégie allemand, 42% des emplois français actuels seront très probablement automatisés à moyen ou long terme. Chacun doit mesurer l’ampleur d’une telle prévision: les répercussions immédiates d’un choc d’automatisation aussi considérable risquent d’être ressenties non seulement dans l’économie, mais dans la société tout entière. Le monde ne sera plus le même dans cinquante ans, en bien comme en mal. Les discours qui nous paraissent aujourd’hui alarmistes deviendront peut-être demain dramatiquement réalistes; et les utopies naïves prendront des allures d’urgence et de nécessité. Comment les systèmes d’aide sociale auxquels la France est habituée se maintiendront-ils dans une société où le chômage de masse prendra de telles proportions? A contrario, imagine-t-on qu’un régime économique aussi inégalitaire puisse tenir sur la durée? Lorsque des robots et des algorithmes assumeront la majeure partie du labeur autrefois pris en charge par des travailleurs humains, le travail perdra lui-même le caractère de fatalité qu’il avait revêtu jusqu’à lors. Un monde sans travail, ou qui impliquerait tout du moins une part de travail réduite, semble donc désormais possible. Cela pose une multitude de questions. Qui continuera de travailler? Comment subviendra-t-on aux besoins de tous les autres? Une société peut-elle survivre si le chômage touche l’essentiel de sa population, alors que la quantité de richesses produites n’a jamais été aussi grande? "


    Sommaire :

    Éditorial

    Entretien avec Bernard Stiegler / Un monde en pleine mutation.

    Sylvain Fuchs / Les mirages de la finance: une utopie contemporaine.

    David D. Clark / Un autre Internet est-il possible?

    Cornelius Castoriadis / Document: L’individualisme néolibéral  et la montée de l’insignifiance (1996).

    Débat entre Denis Collin et Pierre-Yves Gomez / L’économie  du XXIe siècle à la lumière de Karl Marx.

    Thomas Guénolé / Peut-on sortir de la mondialisation?

    Thomas Hennetier / Aux sources de l’économie globale: la conquête européenne du «nouveau monde».

    Jérôme Maucourant / Karl Polanyi contre la société de marché.

    Olivier Rey / Ivan Illich et le désastre croissantiste.

    Arnaud Diemer / Repenser le travail.

    Frédéric Dufoing / Vers une économie écologiste.

    Marc de Basquiat / Le revenu d’existence.

    Karl Polanyi / Le texte: Le marché autorégulateur et les marchandises fictives (1944).

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  • Maurras sous l’œil des experts...

    Dans ce nouveau numéro de l'émission de TV Libertés, « Les idées à l’endroit », Alain de Benoist reçoit  Olivier Dard, Frédéric Rouvillois, Gérard Leclerc et Aristide Leucate pour évoquer la pensée et l’œuvre de Charles Maurras, écrivain, poète, journaliste et théoricien politique, principal animateur de l'Action française.

     

                                         

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  • La poussière des Dieux...

    Les éditions Delcourt viennent de publier La poussière des Dieux, le deuxième tome de Gudesønn, une série de bande-dessinée, signée par Didier Convard, Pierre Boisserie et Eric Adam pour le scénario et par Mr Fab pour le dessin. L'histoire a l'intérêt de se dérouler dans un monde uchronique dans lequel les religions monothéistes ne se seraient pas développées... Après un premier tome intéressant, il reste à espérer que le scénario ne tombe pas dans la facilité du politiquement correct. A voir, donc...

     

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    " À quoi ressemblerait notre monde si les religions monothéistes n’avaient jamais vu le jour ? Et comment accueillerait-il le messager d’un Dieu unique ? Découvrez-le dans cet ambitieux et captivant thriller uchronique.

    Dans cette uchronie religieuse, seuls les polythéismes anciens sont pratiqués. La puissance économique de la Fédération scandinave fait de Stockholm le centre d’influence majeur du monde moderne. C'est alors qu'un massacre de nourrissons est perpétré la nuit de Walpurgis dans la crèche d’un village isolé. Le capitaine de police Martin Gudesønn se voit confier l’enquête, qui va le mener au coeur même du pouvoir… "

     

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  • Le peuple face aux seigneurs du big business !...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné au Figaro Vox par le philosophe italien Diego Fusaro, qui est un des inspirateurs du programme du Mouvement Cinq Étoiles. Professeur d'histoire de la philosophie à l'université de Milan et déjà auteur d'une dizaine d'essais, très influencé par Marx, Diego Fusaro est considéré comme le principal disciple de Costanzo Preve, mort en 2013.

     

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    Entretien avec Diego Fusaro, l'homme qui murmure à l'oreille de Di Maio et Salvini

    FIGAROVOX.- L'entente entre la Ligue et le Mouvement 5 Étoiles est-elle l'alliance de vos vœux pour remplacer le clivage gauche/droite?

    Diego FUSARO.- Oui, absolument. Dans notre temps, celui du capitalisme financier, la vieille dichotomie droite-gauche a été remplacée par la nouvelle dichotomie haut-bas, maître-esclave (Hegel). Au-dessus, le maître a sa place, il veut plus de marché dérégulé, plus de globalisation, plus de libéralisations. Au-dessous, le serf «national-populaire» (Gramsci) veut moins de libre-échange et plus d'État national, moins de globalisation et une défense des salaires, moins d'Union européenne et plus de stabilité existentielle et professionnelle. Le 4 mars en Italie n'a pas été la victoire de la droite, ni de la gauche: le bas a gagné, le serf. Et il est représenté par le M5S et la Ligue, les partis que le maître global et ses intellectuels diffament comme «populistes», c'est-à-dire voisins du peuple et pas de l'aristocratie financière (Marx). Si ceux-ci sont populistes, il faut dire que les partis du maître sont carrément démophobes, ils haïssent le peuple.

    Le président Mattarella a finalement permis la formation du nouveau gouvernement, Savona n'est plus à l'économie mais il fait encore partie de l'équipe. A-t-il eu peur que de nouvelles élections ne donnent encore plus de voix aux deux formations dissonantes?

    Tout à fait. Il fallait ne prendre aucun risque. L'Italie, comme tous les pays d'Europe, vit sous une pérenne dictature financière des marchés. Cela veut dire un totalitarisme glamour, le totalitarisme du marché capitaliste. Les marchés demandent, les marchés se sentent nerveux: ils sont des divinités qui décident d'en haut, c'est l'aboutissement du fétichisme bien décrit par Marx. En 2011, l'Italie fut victime d'un coup d'État financier voulu par l'UE. Et encore maintenant cela s'est presque reproduit. Malgré tout, le gouvernement «jaune-vert» (les couleurs du M5S et de la Ligue, respectivement) a été formé, même s'il a souffert de fortes modifications (notamment le rôle de Savona), pour ne pas laisser les marchés trop insatisfaits...

    Pourquoi Di Maio et Salvini regardent-ils vers la Russie?

    Parce que la Russie de Poutine est aujourd'hui la seule résistance contre l'impérialisme du dollar, c'est-à-dire contre l'américanisation du monde, aussi connue sous le nom de mondialisation. Il vaut mieux un monde multipolaire, comme on dit ces jours-ci, à la place du cauchemar de la «monarchie universelle» (Kant), c'est-à-dire d'une seule puissance qui envahit la totalité du monde. L'Italie devrait sortir de l'OTAN, se libérer des plus de cent bases militaires américaines et chercher à retrouver sa souveraineté monétaire, culturelle et économique, s'ouvrant à la Russie et aux États non-alignés.

    Peut-on dire que la crise de l'euro est de retour, concernant la situation en Italie mais aussi en Espagne?

    Je crois que oui. Je ne connais pas la situation espagnole comme un expert, mais certainement l'Espagne, comme l'Italie et les autres pays méditerranéens, a beaucoup de souffrances causées par l'euro. L'euro n'est pas une monnaie mais une «méthode de gouvernement» (Foucault): une méthode de gouvernement néolibérale contre les classes travailleuses et les populistes, et créant des bénéfices seulement aux seigneurs du mondialisme capitalistique. Il ne faut pas sauver l'euro, il faut se sauver de l'euro! J'ai soutenu cela dans mon livre «Europe et capitalisme». J'espère que le gouvernement jaune-vert fera sortir l'Italie de l'euro et de l'Union Européenne: c'est la seule voie pour défendre les classes travailleuses et les personnes précaires, en faisant des dépenses publiques et une vraie politique sociale.

    Vous dites souvent que la vieille bourgeoisie et le vieux prolétariat font maintenant partie du même groupe opprimé, n'est-ce pas un peu exagéré?

    C'est exactement comme ça. Il est le nouveau «précariat»: la vieille souche moyenne bourgeoise et la vieille classe travailleuse, pendant un temps ennemies, sont aujourd'hui opprimées et précarisées, elles forment une nouvelle plèbe paupérisée et privée de droits compte tenu des prédations financières et de l'usure bancaire. La classe dominante est, cette fois-ci, l'aristocratie financière, une classe cosmopolite de banquiers et de délocalisateurs, seigneurs du big business et du dumping. Marx le dit très bien dans le troisième livre du Capital: le capitalisme surpasse sa phase bourgeoise et accède à celle financière, basée sur la rente financière et les vols de la bancocratie. C'est notre sort.

    Diego Fusaro, propos recueillis par Alexandre Devecchio (Figaro Vox, 18 juin 2018)

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