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  • Contre l'islam ?...

    Le nouveau numéro de la revue Réfléchir & agir (n°53 - été 2016) est disponible en kiosque. Il est consacré à la question de l'islam...

    Réfléchir&Agir 53.jpg

    Au sommaire :

    Tour d'horizon

    Antipasti

    Entretien avec le Docteur Merlin

    DOSSIER : Contre l'islam ?

    Entretien avec Claudio Mutti

    Islamophobie et mouvement national, par Christian Bouchet

    Entretien avec Alain de Peretti

    Guillaume Faye : idiot utile du choc des civilisations ? , par Thierry Durolle

    Ne pas se tromper d'ennemi, par Eugène Krampon

    L'islamisme, mais bien sûr c'est l'extrême droite !, par le CREA

    Par-delà l'islam et l'Occident, par Georges Feltin-Tracol

    Grand entretien

    Bruno Mégret

    Politique

    Coudenhove-Kalergi, par Edouard Rix

    Histoire

    Ivan Iline, par Christian Bouchet

    Littérature

    Kléber Haedens, par Pierre Gillieth

    Bande dessinée

    Jack Kirby, par Didier Dantal

    Un livre est un fusil

    Joseph de Maistre. Considérations sur la France, par Flavien Blanchon

    Notes de lecture

    Musique

    William Sheller, par Laurent Schang

    Disques

     

     

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  • Juvin en liberté !... (9)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la compilation de l'émission Juvin en liberté, sur TV libertés, pour la semaine du 27 juin au 1er juillet 2016. 

    Économiste de formation, Hervé Juvin a publié des essais essentiels tels que Le renversement du monde (Gallimard, 2010) ou La grande séparation - Pour une écologie des civilisations (Gallimard, 2013).

    Au sommaire, cette semaine :

    1 – Un des argument du Brexit, c’est l’irréversibilité de la construction européenne. Info ou intox ?

    2 – Faut-il accepter les prélèvements automatiques ?

    3 – Le retour du drapeau bleu blanc rouge dans les stades.. Est-ce tout simplement anecdotique ?

    4 – On nous parle de taux d’intérêt réels négatif. De quoi s’agit-il clairement ?

     

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  • Les enjeux du sport...

    Le nouveau numéro de la revue Conflits (n°10, juillet-août-septembre 2016), dirigée par Pascal Gauchon, vient de sortir en kiosque. Le dossier central est consacré aux enjeux du sport.

    Conflits 10.jpg

    Au sommaire de ce numéro :

    ÉCHOS

    ÉDITORIAL

    La force du territoire, par Pascal Gauchon

    ACTUALITÉ

    ENTRETIEN

    Pascal Boniface. Le géosportif, propos recueillis par Anne Delteuil

    PORTRAIT

    Sergueï Lavrov, pilier géopolitique de Poutin par Frédéric Pons

    ENJEUX

    L'ISI. Vers l'intégration eurasiatique ?, par Sébastien Sébépart

    ENJEUX

    Le retour de la puissance militaire russe, par Pascal Marchand

    ENJEUX

    Brésil. La démocratie par la rue, par Gustavo Ribeiro

    ENJEUX

    Après les paradis fiscaux, les paradis maritimes, par Jean-Yves Bouffet

    IDÉES REÇUES

    Le développement un projet caduc ?, par Jean-Marc Huissoud

    IDÉES

    Aux origines de la géopolitique française : Jacques Ancel, par Florian Louis

    GRANDE STRATÉGIE

    Frédéric II ou l'Empire impossible, par Sylvain Gougenheim

    GRANDE BATAILLE

    Verdun (1916). L'invention de la bataille commémorative, par Pierre Royer

    BOULE DE CRISTAL DE MARC DE CAFÉ

    Immigration et prospérité : histoire d'un divorce, par Jean-Baptiste Noé

    BIBLIOTHÈQUE GÉOPOLITIQUE

    La pensée de la défaite comme défaite de la pensée, par Serge Le Diraison

    CHRONIQUES

    LIVRES/REVUES/INTERNET /CINÉMA

    GÉOPO-TOURISME

    Prague, tchèque et européenne, par Thierry Buron

     

    DOSSIER : Sport et puissance

    Le sport, une affaire de prestige, par Pascal Gauchon

    Sport et puissance, par Jean-Marc Holz

    Une histoire (très politique) des Jeux Olympiques, par Frédéric Munier

    Le football, entre identités multiples et mondialisation, par Paul Dietschy

    Une géopolitique des circuits, par Jean-François Susbielle

    La fauconnerie, un "sport-héritage" en Arabie, par Natalie Koch

    Le sport, un substitut à la guerre et à la révolution, par John Mackenzie

    Une géopolitique du hooliganisme, par Didier Giorgini

    Etats-Unis. Main basse sur le sport mondial ?, par Franck Favier

    Le Qatar, médaille d'or, par Hadrien Desuin

    Inde. Peut-on ne pas être sportif ? par Jean-Marc Holz

    LE MOT DU PHILOSOPHE

    La gloire et l'excellence, par Frédéric Laupiès

    L'HISTOIRE MOT À MOT

    Churchill : "No sport", par Pierre Royer

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  • Le peuple contre les « despotes éclairés »...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Mathieu Bock-Côté, cueilli sur le Figaro Vox et consacré au mépris dont font preuve les "élites" progressistes à l'égard du peuple. Docteur en sociologie et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada, Mathieu Bock-Côté vient de publier Le multiculturalisme comme religion politique (Cerf, 2016).

     

    Attali 3.jpg

    Brexit : le peuple contre les « despotes éclairés »

    Quelques jours avant le référendum sur le Brexit, alors que les partisans du Leave et du Remain s'opposaient vigoureusement en Grande-Bretagne, Jacques Attali confessait sur son blogue de L'Express le fond de sa pensée. Je la résume d'une formule: ce qui l'indignait dans ce référendum, c'était fondamentalement qu'on le tienne. On peut reprendre ses mots: «un tel réferendum implique qu'un peuple peut remettre en cause toute évolution considérée jusque-là comme irréversible, telle qu'une réforme institutionnelle, une conquête sociale, une réforme des mœurs». On devine aujourd'hui sa colère: un peuple à son avis insuffisamment éclairé se serait permis d'entraver la marche de l'histoire, qui passerait par le démantèlement progressif de l'État-nation. La construction européenne irait tellement de soi qu'il ne devrait pas vraiment être possible de ne pas l'endosser. Une fois la vision de Jacques Attali inscrite dans les institutions et le droit, il ne devrait plus être permis de revenir en arrière. Notre roi-philosophe improvisé, manifestement, croit savoir le sens du progrès et ne tolère pas qu'on le discute. À la rigueur, il veut bien tolérer que nous ne progressions pas à son rythme: les lumières sont inégalement distribuées en ce monde. Mais on ne saurait toutefois prendre une autre direction que la sienne. Ça, c'est interdit.

    Étrange perspective sur le monde. La démocratie, ici, ne se pense plus sous le signe de la délibération mais de la révélation - et il s'agit d'une révélation presque religieuse, qui se présente sous le signe du progrès. Cette révélation, c'est que l'humanité devrait toujours pousser plus loin sa marche vers l'indifférenciation et déconstruire les catégories historiques ou anthropologiques qui résistent à ce mouvement. Les civilisations, les peuples et les religions devraient progressivement s'effacer pour que se dessine une humanité réconciliée par un métissage intensif. Les États seraient des structures politiques périmées: il faudrait les déconstruire aussi pour que prenne place progressivement une forme de gouvernance mondiale, qui s'alimenterait bien évidemment, on s'en doute, des sages conseils de Jacques Attali et des autres consciences exemplaires et lumineuses du genre humain. Une technocratie globalisée, délivrée des frontières trop étroites des vieilles nations et particulièrement, des vieilles nations européennes, pourrait ainsi piloter la marche du monde à l'abri des regrettables passions populaires. Il faudrait pour cela travailler activement à la mondialisation des enjeux politiques.

    On comprend dès lors la sympathie militante de Jacques Attali pour les différents visages de l'idéologie dominante: cosmopolitisme, supranationalisme, multiculturalisme, tout ce qui pousse à la dénationalisation du monde rencontre manifestement son approbation. Tout cela, Jacques Attali le justifie au nom du progrès, qu'il saurait apparemment définir objectivement. On se demandera peut-être comment un homme si intelligent peut construire aussi ouvertement une pensée antidémocratique. Car on connaît la suite du raisonnement: il faudrait «sanctuariser le progrès» et rendre à peu près impossibles à révoquer les grandes avancées sociétales ou identitaires qu'il embrasse. Il nous invite ainsi à faire une liste, assez longue, on s'en doute, des sujets qui devraient être éloignés des sales pattes du peuple. Car tel est l'enjeu: réserver les grandes questions de société à ceux qui sont assez éclairés pour se prononcer à leur sujet et qui communient à la même révélation que lui. Il propose d'ailleurs une mécanique fort complexe pour mettre les grands progrès sociaux à l'abri de la souveraineté populaire, en prétendant d'ailleurs se porter à la défense de l'œuvre des générations passées contre le saccage des vivants: on retrouve là, étrangement, une tournure d'esprit propre à la pensée contre-révolutionnaire, ce qui étonne chez un homme de gauche comme Jacques Attali.

    On me pardonnera de le citer un peu longuement, mais je ne voudrais pas qu'on m'accuse de déformer sa pensée: «En particulier, une génération devrait y réfléchir à deux fois avant de modifier une situation ayant un impact sur les générations suivantes. Il faudrait ensuite modifier la procédure de réforme constitutionnelle, pour s'assurer qu'un vote de circonstances ne puisse avoir des conséquences de long terme non désirées. Toute décision ayant un impact lourd sur le sort des générations suivantes, ne devrait pas pouvoir être prise par une majorité de moins de 60% des votants, réaffirmée à trois reprises à au moins un an d'écart. Certains ne verront dans cette prise de position qu'une tentative désespérée d'une oligarchie dépassée pour maintenir un ordre démodé, en méprisant les désirs des peuples. Il s'agit au contraire de donner aux peuples le temps de réfléchir aux conséquences de ses actes et d'éviter qu'une génération, par caprice, ne détruise ce que les précédentes ont voulu laisser aux suivantes». Le peuple serait-il néanmoins consulté au moment de mettre en place cette mécanique qui le déposséderait de pouvoirs essentiels?

    Cette tentative de neutralisation politique du peuple comme de la nation n'est pas si neuve. Elle témoigne, de manière caricaturale, peut-être, du préjugé antidémocratique d'une frange importante des élites contemporaines, qui n'en finissent plus de disqualifier le peuple moralement, comme s'il n'était plus habilité à se prononcer et à décider dès qu'une question essentielle surgit dans la vie publique. C'est d'ailleurs pour cela qu'on assiste aujourd'hui à une judiciarisation croissante des enjeux politiques et sociétaux: on croit les tribunaux plus adaptés à la délibération dans des sociétés plurielles et complexes comme les nôtres. Ils se déroberaient à la loi du nombre et surtout, dans une société qui se représente à travers la figure de la diversité, ils éviteraient que ne se concrétise la crainte profonde d'une tyrannie de la majorité sur les minorités. Le remplacement de la souveraineté populaire par le gouvernement des juges contribue évidemment à la dégradation gestionnaire de la politique démocratique, puisque les enjeux qui touchent à la définition même de la communauté politique sont chassés du débat public.

    Dans ce grand procès du peuple, on diabolise d'ailleurs le référendum, puisqu'il permettrait au peuple d'investir une question fondamentale de ses passions particulières: il ne se pencherait pas sur la question référendaire comme sur une question d'examen. Il la politiserait, l'inscrirait dans un contexte plus vaste. Apparemment, ce serait impardonnable. Il suffit pourtant de se souvenir du référendum de 2005 sur la constitution européenne pour se souvenir de semblables propos: une fois la victoire du Non reconnue, on reprocha à Jacques Chirac d'avoir consulté le peuple. Plus encore, certains reprochèrent à Chirac d'avoir tenu un référendum national, qui viendrait ainsi reconduire la légitimité de l'espace national comme lieu de la décision démocratique. Le philosophe Jürgen Habermas arrivera plus tard avec sa solution: le seul référendum européen valable serait celui qui convoquerait dans une même consultation l'ensemble du peuple européen, ce qui lui donnerait au même moment l'occasion de se constituer. On devine une objection majeure, que le philosophe ne peut balayer simplement du revers de la main: un peuple n'est pas qu'un artifice juridique et il ne suffit pas de décréter son existence pour le faire advenir dans la réalité de l'histoire. Le peuple n'est pas une construction sociale artificielle: c'est une réalité historique profonde.

    C'est une même haine du peuple qui se fait maintenant sentir depuis la victoire du Leave. Sur les médias sociaux, on se déchaine contre le référendum. Helene Bekzemian, journaliste au Monde, a suggéré dans un tweet, à la suite de la victoire du Leave, de retirer le droit de vote aux électeurs trop vieux. Devant le tollé qu'elle a provoqué, elle s'est ensuite trouvée une position de repli: elle faisait de la provocation! C'était une blague! Mais, a-t-elle pris la peine de préciser, on devrait quand même réfléchir au fait que la vieillesse imposait ici ses choix à la jeunesse, alors qu'elle n'aurait pas à vivre dans le monde pour lequel elle venait de voter. Singulière tournure d'esprit: imagine-t-on la réaction si un journaliste marqué à droite avait, sous le couvert de l'humour, proposé de retirer le droit de vote à certaines catégories de la population? On aurait crié à la phobie. Ce commentaire est symptomatique, d'ailleurs, des préjugés idéologiques d'une caste médiatique qui construit le débat public en présentant les contradicteurs de l'idéologie dominante comme des démagogues ou des demeurés, les premiers misant sur les seconds pour acquérir pouvoir et prestige.

    On le sait, quand le peuple ne partage pas les préjugés des élites médiatiques et économiques, on n'hésite pas à l'accuser de populisme: cette catégorie fourre-tout aux définitions si nombreuses qu'elles sont généralement contradictoire permet tout simplement de disqualifier la désobéissance politique du commun des mortels devant ceux qui prétendent le mettre en tutelle. Mais toujours on bute sur un peuple qui s'obstine à ne pas disparaître, qui demeure plus souvent qu'autrement fidèle à sa culture et ses traditions et qui n'apprécie pas trop qu'on le surplombe moralement comme s'il était une bête politique inquiétante à dompter. Dans la démocratie contemporaine, on pratique l'animalisation du peuple, ou pire encore, sa bestialisation. On peut voir les choses autrement: la tenue d'un référendum, parce qu'elle permet un retour au peuple, déprend le débat public des grands paramètres de la respectabilité médiatique et de certaines catégories idéologiques fossilisées, permet au politique de resurgir dans l'histoire et de redéfinir les termes du débat public. Le corset trop étroit de la rectitude politique peut alors éclater: il ne faut pas y voir un déchainement sauvage de passions malsaines mais une redécouverte de la part existentielle du politique.

    Retour à Jacques Attali. Dans le cadre du débat sur le Brexit, il a témoigné d'une forme de fondamentalisme progressiste révélant une triste obsession antinationale et antidémocratique. Il n'y a pas, en démocratie, de doctrine à ce point sacrée qu'elle devrait surplomber toutes les autres et écraser à l'avance ses contradicteurs, en affichant simplement sa splendeur morale. On pourrait retourner l'argument contre Attali: que ferait-il si des traditionalistes aussi convaincus que lui d'avoir une vérité révélée à imposer à la population réclamaient la possibilité de faire l'économie de la démocratie? Que dirait-il si ces traditionalistes voulaient par exemple sanctuariser le mariage, ou la vie, ou l'identité nationale, et voulaient blinder juridiquement et constitutionnellement leurs propres préférences politiques, quitte à transformer Jacques Attali en contradicteur impuissant, dépossédé politiquement? On devine qu'il dénoncerait une inadmissible manœuvre antidémocratique, et il aurait évidemment raison. Il nous permettra de penser la même chose de sa proposition. La démocratie est fondée sur un principe fondamental: celui de la possibilité, pour les hommes, de définir les formes de l'existence collective. Cela présuppose le libre-examen de toutes les croyances et convictions: même celles de Jacques Attali.

    Mathieu Bock-Côté ( Figaro Vox, 27 juin 2016)

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  • Feu sur la désinformation... (96)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Brexit : sectarisme des journalistes, sectarisme des européistes

      Les journalistes prosélytes s’engagent contre le résultat du référendum. Pour BFM : « Nous médias comme vous [politiciens] on n’arrive pas à faire passer cette idée que l’Europe apporte quelque chose ». La classe médiatique va remettre en cause la légitimité de ce référendum : les personnes âgées ont voté contre les jeunes, ou encore les pro Brexit étaient sous éduqués.
      Les médias doivent tirer une leçon de ce résultat : pour l’Obs, il faut « en finir avec le référendum » qui est la cause de perversion démocratique, la cause d’une campagne populiste.
      Le JDD comme le Monde vont donner crédit à la pétition pour un nouveau référendum. Une pétition signée par Wonder Woman et Napoléon Bonaparte.
      En « Médiacratie » Les journalistes décident de la légitimité du référendum .

    • 2 : Le zapping d’I-Média.

    • 3 : Brexit toujours : « Lundi noir », les médias nourrissent la psychose d’un crack boursier.

      Suite aux résultats du référendum, « 22,5 milliards d’euros seraient partis en fumée à la bourse de Bruxelles », la livre sterling est au plus bas, et les 400 personnes les plus riches auraient perdu 115 milliards d’euros.
      Pour les médias, le Brexit est déjà une catastrophe que ce soit pour les petites comme pour les grandes entreprises.
      Pourtant une semaine après, les bourses sont revenues au niveau de «  l’avant Brexit ».

    • 4 : Tweets d’I-Média.
    • 5 : Ramadan sur BFM : entre tradition et modernité.

      Le Ramadan sur Youtube et sur BFM ? La chaine d’information en continu nous explique comment lier modernité et tradition islamique…

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  • Illusions et tragédies...

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    La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque (n° 85, juillet - août 2016).

    Ouvert par l'éditorial de Philippe Conrad ("L'année du tournant"), le dossier central est consacré à l'année 1936. On peut y lire, notamment,  des articles de Philippe Fraimbois ("Mars 1936 : alerte sur le Rhin"), de Philippe Conrad ("Front populaire : les espoirs déçus de l'été 1936"), de Arnaud Imatz ("La guerre d'Espagne et ses mémoires antagonistes"), de Jean Kappel ("A Moscou, Staline élimine ses rivaux" ; "Berlin organise les Jeux Olympiques : la fête des peuples") et de Jacques Berrel ("Le temps des congés payés et des auberges de jeunesse").

    Hors dossier, on pourra lire, en particulier, un entretien avec Claude-Pierre Brossolette ("Un témoin du XXe siècle"), un autre avec Arnaud Imatz ("Le clivage droite/gauche en question") et un dernier avec Bernard Lugan ("Le passé méconnu de l'Afrique du Nord"), ainsi que des articles de Jean-François Chemain ("L’Éducation selon les Romains"), d'Alain Herbeth ("La gauche Algérie française"), d'Olivier Zajec ("Régine Pernoud"), de Philippe d'Hugues ("La guerre de Sécession au cinéma ou la revanche des Confédérés"), d'Eric Mousson-Lestang ("L'Allemagne et le djihad islamique") et d'Emma Demeester ("François Guizot"), ou encore les chroniques de Péroncel-Hugoz et de Philippe d'Hugues....

     

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