Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • L'Espagne au bord de l'éclatement ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un point de vue de Jean-Michel Quatrepoint, cueilli sur Xerfi Canal et consacré à la situation politique et économique de notre voisin espagnol.

     

    Lien permanent Catégories : Economie, En Europe, Géopolitique, Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Les noirs et les rouges...

    « On était soit dans un camp, soit dans l’autre. On le sait, c’est l’origine de toute violence. Être d’un côté, adopter sans réserve un seul et unique point de vue, signifie ne pas voir la situation dans son ensemble et donc ne plus avoir ne serait-ce qu’une vague idée de ce qu’est l’intérêt général. »

    « Stefano est fasciné par tout ce qui est archaïque, mythes, symboles, divinités. Bien qu’il soit très jeune, franchement superficiel et violent, d’instinct il sent le poids de l’histoire et sait mesurer la profondeur d’un geste. »

    Alberto Garlini (Feedbook, 23 janvier 2014)

     

    Les éditions Gallimard viennent de publier Les noirs et les rouges, un roman d'Alberto Garlini se déroulant en Italie au cours des années de plomb. Juriste de formation, Alberto Garlini est l'auteur de plusieurs romans dont deux ont déjà été traduits en français, Un sacrifice italien (Bourgois, 2008) et Venise est une fête (Bourgois, 2010).

     

    Les noirs et les rouges.jpg

    " Stefano Guerra naît à la politique en 1968. Étudiant d’extrême droite, il participe aux affrontements de Valle Giulia, le campus universitaire de Rome, et c’est alors qu’il commet l’irréparable : il tue par accident un jeune homme, Mauro, qu’il voulait seulement menacer. Ce crime marque le début d’une longue dérive, du militantisme à la clandestinité, de la politique à la violence, à travers les événements les plus controversés de l’histoire italienne et dans un monde interlope où se mêlent les hommes politiques, les criminels et les agents des services secrets. Au cours de cette cavale sans issue, Stefano tombe amoureux d’Antonella, sœur de Mauro et fille d’un célèbre intellectuel communiste, qui ignore tout de son geste et de ses idées. Auprès d’elle, il cherche désespérément une rédemption qu’il trouvera à l’autre bout du monde, en Argentine.
    Qui est Stefano Guerra? Un tueur psychopathe, un terroriste sans pitié? Ou bien un Pinocchio moderne en quête de père, un exalté qui fait son éducation sentimentale, un idéaliste pris dans la lutte des noirs et des rouges, néo-fascistes contre communistes? Dans la formidable épopée que narre Les noirs et les rouges, Alberto Garlini nous guide avec virtuosité à travers une période cruciale du passé récent, mais il nous livre également une réflexion d’une cruelle actualité sur la violence politique. "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Les dix causes du déclin français...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Guillaume Faye, cueilli sur son blog J'ai tout compris et qui analyse sans fausse pudeur les causes du déclin de la France...

     

    Déclin France.gif

    Les dix causes du déclin français

    Nombre de pays d’Europe connaissent un pareil déclin, avec certaines de ses causes, mais aucun n’incorpore à la fois toutes les causes. Résumons-les, ces dix plaies de la France.

     

    1) Le vieillissement et l’insuffisance du renouvellement démographique dans la population de souche que ne parviennent même pas à compenser des flux migratoires massifs et les naissances d’origine étrangère. La propagande sur la ”natalité française” est de la poudre aux yeux. Qui naît ?  

     

    2) Une colonisation de peuplement majoritairement extra-européenne qui s’apparente à terme à un remplacement de population ; elle est fondée sur le regroupement familial, l’afflux constant de clandestins ou faux demandeurs d’asile pratiquement inexpulsables, des régularisations et des naturalisations de grande ampleur. S’y adjoint une islamisation accélérée et revendicative qui pose des problèmes de plus en plus insolubles.

    Cette immigration de submersion ne consiste pas en l’apport d’une force de travail créatrice mais en un surpoids constant de populations à charge, en outre source d’insécurité croissante (”colonisation par le bas”). (1) Ce phénomène global, inouï dans toute l’histoire de France, provoque une ”déseuropéanisation” rapide à la fois culturelle et ethno-anthropologique du pays. Elle peut entrainer sa disparition pure et simple. Les élites, intellectualisées et protégées, nient les faits, les minimisent ou s’en félicitent.  L’objectif (suicidaire) d’une partie de l’oligarchie de gauche est par les naturalisations et le vote des étrangers, de ”changer le peuple”

     

    3) La fuite à l’étranger d’une proportion notable des jeunes élites françaises, dramatique perte de substance due à l’absence de perspectives économiques et à une dégradation de l’écosystème social. « Il n’est de richesse que d’hommes », selon l’adage de Jean Bodin, mais il voulait dire par là d’hommes de qualité.

     

    4) L’écrasement de la société civile par un État Providence pachydermique qui étouffe les initiatives au lieu de les encourager. (2) Charges insupportables sur les entreprises, fiscalité confiscatoire, réglementations décourageantes, Code du Travail ubuesque, adiposité d’une fonction publique pléthorique et surprotégée dans ses privilèges, emplois aidés et allocations indues, tout cela contribue à entretenir un chômage endémique. Au nom du ”socialisme” (vieille idéologie idéaliste) au rebours de toute démarche ”sociale” de prospérité générale, a surgi une fausse générosité qui appauvrit tout le monde…sauf les très riches, les parasites et les apparatchiks.

    D’autre part, l’assèchement des budgets militaires qui s’ensuit – pris comme variable d’ajustement – bloque l’effet des retombées technologiques majeures du secteur techno-militaire (paradigme parfaitement intégré par les Américains, les Russes et les Chinois) et  dégrade le niveau international de la France et de l’Europe.    

     

    5) Le naufrage de l’Éducation nationale qui, par égalitarisme, par laxisme démagogique, par pédagogisme intellectuel (le crétinisme soixante-huitard) a dégradé le niveau global de connaissances et détruit la qualité de l’instruction générale pour le peuple, qui était la base de la vraie pensée républicaine. Conséquences : arrêt de l’ascenseur social, sans parler d’un enseignement ingérable du fait de l’éclatement ethnique des classes. À terme : baisse de niveau, déjà entamée, école de classe à deux vitesses et lacune de performances chez les futures générations.

     

    6) La puissance des corporations minoritaires, nouvelles pseudo-aristocraties. Des syndicats non représentatifs mais subventionnés, qui détruisent objectivement les emplois par leurs revendications délirantes et écoutées, au réseau des associations ultra minoritaires mais entretenues et bien en cour,  les factions bien organisées s’imposent à la puissance publique, par intimidation et efficacité métapolitique. Le citoyen de base doit se taire face à cette alliance des vieux dogmes marxistes et du trotskisme embourgeoisé. Sans le dire, voire sans le savoir, la gauche rétablit l’Ancien Régime et sa société de castes ossifiées.

     

    7) La déconstruction du socle familial  et du lignage par l’oligarchie. Tout est lié : la politique fiscale anti-familles est corrélée avec  les mesures ”sociétales” en faveur du mariage homo et de la facilitation de l’avortement de confort, comme avec la simplification du divorce.  La ” famille de souche” est déconsidérée alors que, chez tous les peuples, elle constitue la base des rouages sociaux et des transmissions d’héritage.

     

    8) L’arasement de l’identité historique et ethno-culturelle française et européenne. Enseignement de l’histoire nationale et européenne en berne, encouragement officiel du communautarisme identitaire des nouvelles populations immigrées (idéologie de Terra Nova, lobby central de la gauche bourgeoise/trotskiste), préférence étrangère de fait (discrimination positive), utopie multiraciale, donc multiracisme à la clé, etc., la liste est longue. La haine de soi et l’ethnomasochisme sont de la partie, comme l’auto-culpabilisation et le cynisme nihiliste. Le délitement mental des élites ne leur enlève ni leur force ni leurs moyens devant l’apathie d’un peuple qui n’a pas le temps de comprendre ce qui lui arrive. Ajoutons à cela la perte des repères esthétiques chez les classes moyennes semi-cultivées face à l’imposture de l’”art contemporain”. Fermons le ban.

     

    9) La dégradation du cadre de vie et de la sûreté publique. La constante sociologique depuis 40 ans, en dépit des rémissions provisoires, est l’augmentation continue de la criminalité et de l’insécurité.  Les deux causes majeures en sont l’immigration de masse incontrôlée (comme dans tous les pays du monde depuis l’Antiquité) et le laxisme judiciaire. Ce dernier provient de  l’ambiance idéologique globale qui influence la formation des magistrats et les législations européennes qui, au nom d’une interprétation erronée des Droits de l’Homme, préfèrent les coupables aux victimes ; et paralysent toutes les réactions de défense. Globalement , le criminel est devenu une victime, un malade à soigner. Inversion du réel.

    Cette ambiance d’insécurité croissante a des conséquences graves en terme de performance économique générale. Le coût, matériel direct et psychologique dérivé, de la criminalité rampante ou violente ou bien de l’escroquerie mafieuse, est un facteur supplémentaire de découragement de l’initiative dans un climat qui détruit l’écosystème social.          

     

    10) La soumission à une Union européenne  anti-européenne. Partie d’une bonne idée (regroupement solidaire de tous les peuples européens) l’UE suit une voie de travers, une impasse catastrophique dans beaucoup de domaines, qui affaiblit les nations européennes sans suivre la prescription : ”l’union fait la force”.  Il ne s’agit pas d’abolir l’UE mais de la réformer de fond en comble. La France pourrait le faire, par un coup de sang,  mais elle ne l’a jamais osé.

    L’Union européenne n’a jamais performé dans les domaines de la stratégie industrielle, de la défense, de la souveraine numérique (3) face aux USA, de la politique monétaire, etc. Mais elle est très forte pour ouvrir les frontières à tous vents et pour édicter des règles de protection des délinquants et des envahisseurs. Toujours cette interprétation biaisée et falsifiée des Droits de l’Homme.

     

    Toutes ces causes sont liées les unes aux autres selon le phénomène de l’interaction réciproque bien connue de la Théorie générale des Systèmes de Ludwig von Bertalanffy. Chacune des causes renforce et aggrave les autres et multiplie leurs effets. Il s’agit toujours d’”effets-causes ”.

    Guillaume Faye (J'ai tout compris, 26 janvier 2014)

     

    Notes :

    (1) La balance comptable coûts/avantages en termes de PIB, sans parler des autres facteurs, est nettement défavorable aux pays ayant choisi l’immigration ; l’exemple du Japon, qui a choisi la fermeture migratoire, malgré une démographie déclinante, est sans appel.  L’idéologie et son train de morale valent peu face à la réalité comptable. 

    (2) Différence fondamentale entre l’État Providence, lourd et coûteux, et l’État fort, léger et efficace. L’adipeux et l’athlète.  

    (3) Cf. l’essai La souveraineté numérique de Pierre Bellanger (Stock). 

    Lien permanent Catégories : Décryptage, Points de vue 9 commentaires Pin it!
  • Ils y ont cru !...

    Les éditions Flammarion viennent de publier une étude historique de Christopher Duggan intitulée Ils y ont cru - Une histoire intime de l'Italie de Mussolini. Britannique, Christopher Duggan est professeur d'université et spécialiste de l'histoire de l'Italie moderne.

     

    Ils y ont cru.jpg

    " A quel point les Italiens ont-ils été fascistes ? La question du soutien de la population allemande au régime nazi est depuis longtemps travaillée et débattue : étrangement, elle n'a jamais été posée aussi clairement pour l'Italie fasciste. Pour y répondre, Christopher Duggan s'est plongé pour la première fois dans des fonds d'archives inexploités: une mine d'écrits intimes rédigés, entre 1920 et 1915, par des Italiens venant de tous les horizons de la société.
    De la lecture de centaines de journaux intimes, de milliers de lettres, il tire un portrait fascinant de l'Italie fasciste, vue de l'intérieur. Comment un hôtelier florentin, un jeune Napolitain appelé sous les drapeaux, une institutrice toscane, ont-ils vécu, au jour le jour, les événements de la grande Histoire - la marche sur Rome, les campagnes militaires en Afrique, la Seconde Guerre mondiale ? Comment ont-ils compris, espéré, jugé le régime incarné par Mussolini ? Ce qui frappe, à entendre les voix de ces gens ordinaires, c'est l'immense engouement suscité dans tout un peuple par le Duce, qui perdura alors même que le pays s'effondrait dans la guerre. Derrière, une question essentielle, qui résonnera en chacun : comment ces hommes et ces femmes, que l'on sent si humains et si proches, ont-ils pu s'aveugler à ce point ? Qu'est-ce que vivre, simplement vivre, en des heures sombres et troubles ? "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Derniers délires de l'art contemporain...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue caustique de Luc Ferry, cueilli sur Le Figaro et consacré à l'art contemporain au travers d'un exemple assez illustratif...

     

    Ferrari Lavier.jpg

     

    Derniers délires de l'art contemporain

    La semaine dernière, coincé dans l'avion, mal assis et à l'étroit comme il se doit, j'ouvre le dernier numéro de Classic & Sports Car et le moral remonte. À vrai dire, je manque m'étrangler de rire: j'y apprends qu'à la dernière Foire internationale d'art contemporain Bertrand Lavier, un artiste qui s'est déjà taillé une solide réputation de «subversivité novatrice» en posant un réfrigérateur sur un coffre-fort (quel génie!), expose une Ferrari Dino accidentée trônant sur un socle blanc. Je suggère à mon lecteur d'acheter la revue ou d'aller sur Internet pour se faire de visu une idée du désastre: toit écrasé, ailes défoncées, pare-brise explosé, roues crevées, capot disloqué, bref, une voiture à laquelle on a fait faire un tonneau, comme on en voit dans toutes les casses du monde. Rien d'autre à signaler, aucun ajout ni effet esthétique particulier. Or Lavier trouve un acheteur qui lui offre 250.000 dollars en échange du tas de ferraille. Juste pour information: on peut trouver le même modèle de Ferrari en parfait état de marche pour moins de 50.000 dollars. L'heureux propriétaire du chef-d'œuvre aurait donc pu s'offrir cinq Dino rutilantes au même prix, en faire détruire une si ça lui chantait, et prendre le volant des autres. Comme on peut s'en douter, celui qui préfère l'épave n'est ni un ouvrier ni un paysan. Il s'agit, comme d'habitude dans l'art contemporain, d'un grand capitaine d'industrie. Si l'artiste d'aujourd'hui se dit volontiers «de gauche», à tout le moins «anarchiste», son acheteur, lui, est en général de droite et bien installé. Et il n'est guère difficile d'imaginer ce qui lui passe par la tête: le bolide ratatiné illustre jusqu'au grotesque sa logique à lui, celle de la «destruction créatrice» chère à Schumpeter. Et il en est tout ébaubi : enfin un art qui lui ressemble! À vrai dire, le seul dans l'histoire humaine où il puisse se mirer, le seul qui lui renvoie son image et le conforte dans sa logique d'entrepreneur. Passionné d'innovations, n'est-il pas, lui aussi, un acteur de cette «révolution permanente» en laquelle Marx, avant même Schumpeter, voyait déjà l'essence du capitalisme? Pour tenter de comprendre cette étrange alchimie, le rédacteur en chef de la revue téléphone au commissaire-priseur qui a réalisé la vente. Ce dernier lui explique, mots savants à l'appui, que Lavier se situe dans la tradition de Dada et Duchamp, dont il repousse encore (mais cent ans après quand même…) les limites de l'audace créatrice. Comme eux, et là il faut citer, «il fait table rase des valeurs traditionnelles de l'art, liées à l'esthétisme et au travail». Bien vu, en effet: il n'y a dans cette «œuvre» ni vision du monde, ni beauté, ni métier, seulement, comme le précise encore l'habile vendeur, une volonté de «tourner l'œuvre d'art en dérision». Il s'agit de rompre avec les traditions, dans le style de l'urinoir de Duchamp qui «bouscule» la sacralisation muséale et compassée de l'œuvre d'art classique, celle qui visait la beauté et demandait malgré tout du savoir-faire. À nouveau, bien vu: dans le genre dérision dérisoire, la réussite est totale. Le journaliste prend alors le risque de passer pour le roi des beaufs: notre Huron demande timidement si, d'aventure, en faisant faire un tonneau à une Ferrari, il pourra espérer lui aussi transformer le plomb en or? Hélas non, lui répond l'homme de l'art, car il faut bien du temps et une maîtrise consommée de la communication moderne pour installer son nom et ses «œuvres» dans un marché dont les arcanes n'ont rien à envier à ceux du CAC 40. Bonne nouvelle, malgré tout, sinon pour l'histoire de l'art, du moins pour les quelques Dino 308 encore en circulation… Trouvant peut-être ses propres réponses quelque peu indigentes, le commissaire-priseur se sent obligé d'y aller de son petit couplet métaphysique. Pas d'œuvre contemporaine sans un laïus sur la «fin de toutes choses», le «tragique de la condition humaine» et l'horizon du «sens de la vie». Pourquoi détruire cette pauvre voiture? Pour «montrer la finitude des êtres», la «vanité des possessions», «l'inanité de la consommation», pour faire comprendre, en somme, que «tout passe». Whaou! Heidegger et le dalaï-lama n'ont qu'à bien se tenir! On est clairement sur les cimes, on côtoie des abîmes. Quelle audace dans la pensée! Sans cette œuvre d'une puissance inouïe, qui aurait osé s'aventurer à des hauteurs aussi vertigineuses? Franchement, à part peut-être Mme Michu - et encore - je ne vois pas…

    Luc Ferry (Le Figaro, 22 janvier 2014)

     

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Tour d'horizon... (61)

    Observation zone urbaine.jpg

    Au sommaire cette semaine :

    - respectivement sur Valeurs actuelles et sur Boulevard Voltaire, Alain Dupas et Fabrice Robert reviennent l'inquiétante stratégie d'expansion de la firme Google...

    Google et les robots

    Bientôt votre maison directement connectée avec la NSA ?

    Google.jpg

    - sur Le site du Monde diplomatique, Alain Gresh retrace la carrière d'Ariel Sharon...

    Ariel Sharon, la fin d'un criminel de guerre

    Sharon.jpg

    Lien permanent Catégories : Tour d'horizon 0 commentaire Pin it!