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  • Brasillach et Degrelle...

    Les éditions Ars Magna viennent de rééditer, dans leur collection "Le Devoir de mémoire", un livre de Robert Brasillach intitulé Léon Degrelle et l'avenir de Rex. Écrivain et journaliste, Robert Brasillach, à qui l'on doit, notamment, des romans comme Les sept couleurs ou Comme le temps passe , des souvenirs comme Notre avant-guerre, mais aussi une Histoire du cinéma (avec son beau-frère Maurice Bardèche) ou un Corneille, a été une des principale victimes de l'épuration des intellectuels et est mort le 6 février 1945, à 35 ans, dans les fossés du fort de Montrouge, sous les balles d'un peloton d'exécution...

     

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    « J’ai vu Léon Degrelle, le jour exact où il atteignait sa trentième année, le 15 juin dernier. Ce jeune chef, à vrai dire, ne parait même pas beaucoup plus de vingt-cinq ans. Et ce qu’il faut avouer d’abord, c’est que, devant ce garçon vigoureux, entouré d’autres garçons aussi jeunes, on ne peut se défendre d’une assez amère mélancolie. On a cru déconsidérer Rex en l’appelant un mouvement de gamins. Aujourd’hui, il y a autour de Léon Degrelle des hommes de tout âge, et la seule jeunesse qui importe est celle de l’esprit. Mais l’essentiel reste dans la jeunesse réelle, la jeunesse physique des animateurs, qui s’est communiquée à tout l’ensemble. Hélas ! quand aurons-nous en France un mouvement de gamins ? » ainsi Robert Brasillach décrivait-il Léon Degrelle aux lecteurs de Je suis partout en juin 1936.

    De cette rencontre, et de quelques autres, Robert Brasillach tira Léon Degrelle et l’avenir de Rex, un petit livre qui nous fait découvrir à la fois les débuts du rexisme et la jeunesse de Léon Degrelle.

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  • François Bousquet : « Notre vie ressemble désormais à une addition d’interdits, peut-être même à une addiction à l’interdit »

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par François Bousquet, rédacteur en chef d’Éléments, à Boulevard Voltaire, à l'occasion de la sortie du nouveau numéro de la revue.

     

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    François Bousquet : « Notre vie ressemble désormais à une addition d’interdits, peut-être même à une addiction à l’interdit »

    Vous consacrez votre dossier à la « dictature victimaire ». Une pandémie mondiale, selon vous…

    C’est la victimocratie, du grec « kratos », qui veut dire « pouvoir ». Autrement dit, la victimocratie est ce nouveau régime dans lequel le pouvoir est détenu par les victimes, réelles ou présumées. Cela leur confère un capital lacrymal, très lucratif, et les place au centre du jeu social. Or, qui dit victime dit coupable. Celui-ci est tout trouvé, c’est le fléau de la « suprématie blanche » : tout individu porteur de ce que les Américains appellent le « white privilege », le privilège blanc censé conférer un ensemble d’avantages invisibles par rapport à ce que vivent au quotidien les non-Blancs (sic). L’objectif, c’est d’abolir ledit privilège dans une nuit du 4 août mondiale depuis les États-Unis, où sévit un néo-maccarthysme hystérique qui n’est pas sans rappeler les délires ubuesques de la révolution culturelle chinoise. Il est l’œuvre de minorités « racisées » et « genrées » ; et s’appelle lutte contre le racisme, le sexisme, l’homophobie et tout ce qui est susceptible d’une suffixation phobique, des handicapés aux islamistes, selon la logique d’emballement victimaire qui commande notre monde.
    Ainsi, tout un chacun, à la condition qu’il soit pourvu d’un stigmate social, est-il invité à s’installer dans une posture victimaire parce que c’est symboliquement la position dominante la plus confortable et la plus rentable. En somme, c’est : Maman, quand je serai grand, je serai une victime ! Ce néo-maccarthysme diffuse partout une culture gémissante de la vindicte publique et de la délation. Au lieu de parler de culture du viol, il serait du reste bien plus juste de parler de culture de la délation. Sur les réseaux sociaux, on est sommé de « signaler un contenu inapproprié » (comprenez : un discours de haine). Le CSA croule sous les signalements (90.000 en 2017). Facebook encourage la dénonciation, Google déréférence à tout-va et Twitter suspend au même rythme. Avec les réseaux sociaux, le moindre minuscule « dérapage » se transforme tout de suite en affaire d’État. Ces réseaux fonctionnent comme l’effet papillon. Un battement d’ailes à Hollywood provoque une tornade dans tous les médias occidentaux. Et un éternuement de Caroline De Haas, un tremblement de terre à Paris, Londres et Berlin. Seuls les Russes sont épargnés. Pourvu qu’ils tiennent !

    C’est ce qui vous fait dire qu’« on peut plus rien dire », comme le chantait Didier Bourdon des Inconnus ?

    Notre vie ressemble désormais à une addition d’interdits, peut-être même à une addiction à l’interdit. Une nouvelle génération d’inquisiteurs est en train de s’imposer. Ce ne sont plus les austères commissaires politiques à l’ancienne, comme dans feu l’Union soviétique, mais des Robespierrettes féministes, des Torquemada transgenres, des procureurs revêtus de robe arc-en-ciel, des Tontons macoutes antiracistes, des Toussaint Louverture geeks. Un mélange d’Ubu roi, de Harry Potter et de Bisounours… qui finissent par ressembler à des gremlins, ces peluches qui se transforment en petits monstres. Des noms ? Osez le féminisme !, les collectifs LGBT, la LDH, SOS Racisme, la LICRA, le MRAP, le CRAN, le Parti des indigènes de la République (PIR), le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF). On dénombre même une Brigade anti-négrophobie. Ces associations font régner un climat de terreur, ou plutôt de tiédeur, dans les salles de rédaction, mises à l’amende dès qu’elles franchissent la ligne jaune. Ce n’est plus tant le législateur – même s’il est déchaîné depuis un demi-siècle (les lois liberticides Pleven, Gayssot, Taubira, Lellouche, Perben II, etc., sont là pour en témoigner) – qui tient aujourd’hui les ciseaux d’Anastasie (du nom de la censure au XIXe siècle) que ces associations. Au fond, la puissance publique sous-traite la censure à des prestataires extérieurs : les associations antiracistes et les ligues de vertu féministes.

    Vous avez évoqué les États-Unis. À vous lire règne outre-Atlantique un climat d’hystérie et de chasse aux sorcières…

    Y aurait-il quelque chose de pourri dans le royaume à la bannière étoilée ? Telle est la question. L’économie psychique nord-américaine semble fonctionner sur le transfert de ses pathologies au monde entier, comme si elle se soignait en exportant ses phobies, sa paranoïa, sa fièvre antiseptique. L’Amérique semble hantée par l’image d’agents pathogènes qui menacent de la terrasser. L’histoire est ancienne, mais les rôles sont intervertis. Les premiers puritains (« puritain », du verbe « to purify », « se purifier »), qui traquaient le démon sous les espèces de la corruption féminine, ont trouvé de dignes héritières dans les mères la vertu féministes. À elles de faire le procès de la domination masculine. Hier, le sujet infectieux, c’était la femme ; aujourd’hui, c’est l’homme. Naguère, c’était le Noir ; désormais, c’est le Blanc. Dans tous les cas, le mal est endémique et il faut le purger. Les Américains ne savent plus quoi inventer. Là-bas, la dernière mode est à la dénonciation des « crimes de haine raciste ». Problème : ce sont, dans la plupart des cas, de faux crimes racistes, totalement instrumentalisés par la presse. En un mot, des affaires bidon, exactement comme l’affaire Théo en France. Rien qu’au cours des six derniers mois, notre correspondant américain a recensé une demi-douzaine de cas. Ils sont construits toujours selon le même canevas – des minorités se disent victimes d’insultes racistes ou sexistes – et sont suivis du même emballement médiatique. Or, il apparaît rapidement que ce sont généralement des mystifications montées de toutes pièces par des individus issus des minorités dites « visibles » et complaisamment relayées par les médias centraux. Qui ne donnent jamais la même publicité à leurs affabulations quand il s’agit de les démentir. Pour pasticher La Fontaine, les « fake news » vous rendront blanc ou noir, selon que vous serez puissant ou misérable.

    François Bousquet (Boulevard Voltaire, 24 mars 2018)

     

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  • Thésée et l'imaginaire athénien...

    Les éditions La découverte viennent de rééditer un essai de Claude Calame intitulé Thésée et l'imaginaire athénien - Légende et culte en Grèce antique. Professeur de langue et littérature grecques et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales à Paris, Claude Calame est notamment l'auteur de Mythe et histoire dans l’Antiquité grecque (Payot, 1996).

     

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    " Le mythe, le rite, constituent deux objets privilégiés de l’anthropologie culturelle et sociale, deux concepts dont l’origine est censée remonter aux Anciens. Si, de fait, il n’en est rien, en revanche les Grecs se sont montrés de véritables maîtres dans la création et la manipulation, d’une part, des récits héroïques que nous, modernes, identifions comme des mythes, d’autre part des pratiques cultuelles que nous dénommons rites. Mais, en régime polythéiste, ce qui importe ce sont les rapports pratiques entre ces productions d’un même processus symbolique ; il est animé par de grands poètes et des cités puissantes, et ses manifestations, dans leurs dimensions historique et politique, constituent un domaine d’enquête foisonnant.
    Dès la fin du VIe siècle avant notre ère, à l’aube de l’âge supposé être celui de la démocratie et de la raison, ne voit-on pas les Athéniens s’approprier la figure du jeune Thésée pour en faire, sous les apparences du néo-initié, le modèle du futur citoyen ? Assorti d’autres « travaux », le célèbre épisode du combat du jeune héros contre le Minotaure est dès lors recentré sur Athènes. Présentées comme des gestes premiers, civilisateurs, les actions du jeune héros permettent non seulement de reformuler le sens des rituels offerts aux divinités tutélaires de la cité, mais elles légitiment aussi une politique d’expansion économique et maritime, soutenue par un désir de domination culturelle. Se dessine ainsi un nouvel espace fait de réalité historique et façonné par l’imaginaire, marqué par des actions héroïques fondatrices et habité par des gestes rituels qui entretiennent les relations avec les dieux.
    À partir de textes et d’images, la saga de Thésée nous offre un terrain privilégié d’enquête à la fois sémio-narrative et anthropologique pour explorer un florissant travail de production symbolique, à visée pratique. "

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  • Un héritier des chevaliers...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 27 mars 2018 et consacrée à la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame au cours de l'opération contre le terroriste islamiste du supermarché de Trèbes...

     

                                          

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  • A la (re)découverte de Michel Mohrt...

    Le vingt-cinquième numéro de la revue Livr'arbitres, dirigée par Patrick Wagner et Xavier Eman, est en vente avec notamment un dossier consacré à Michel Mohrt...

    La revue peut être commandée sur son site :  Livr'arbitre, la revue du pays réel ainsi que sur Krisis diffusion.

     

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    Au sommaire de ce numéro :

    Éditorial

    Plaisirs solittéraires

    Coup de cœur

    Souvenirs d'un gandin

    Nouveautés

    L'homme surnuméraire

    Le roman d'une génération

    Un certain F-H Désérable

    Portraits

    Bakhytjan Kanaplanov

    Simon Liberati

    Dossier

    Michel Mohrt

    Biographie

    La Dame à la svastika

    Essais

    Barbey d'Aurevilly journaliste

    Écologie, à droite toute !

    Lucrèce

    Dictionnaire

    Assoulne, un écrivain d'avant-garde ?

    Entretien avec Christian Authier

    Les mondes de Michel Déon

    Correspondance

    Une main en vaut deux

    Journal

    Le jeune Moabite

    Réédition

    Au nom de Dieu, du tsar et de la patrie

    In memoriam

    Bernard de Fallois

    Roger Grenier

    Carnet de route

    Journal de l'alpiniste errant

    Peinture en prose

    La nuit étoilée

    Carte postale

    Libreville

    Nouvelles

    Le Débat par Jacques Aboucaya

    Au parc du cinquantenaire par Thierry Marignac

     

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  • Sus à la Russie !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Richard Dessens, cueilli sur Eurolibertés et consacré à la nouvelle victoire de Vladimir Poutine aux élections présidentielles en Russie et aux réactions qu'elle a suscitées en Occident.

     

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    Sus à la Russie !

    Le 18 mars, la Russie a réélu Vladimir Poutine pour la quatrième fois, non consécutive, à la Présidence de la Fédération de Russie. Avec plus de 75 % des voix et une participation de près de 70 %.

    Si son élection était prévisible, un faible taux de participation était attendu comme le symbole espéré d’un désaveu. Les commentateurs ont été encore déçus.

    Vladimir Poutine s’adresse à ses partisans à l’extérieur du Kremlin.

    D’ailleurs que n’a-t-on pas entendu de la part de l’ensemble de ces commentateurs français unanimes : candidats « fantoches » d’après le Huffington Post, élections truquées, méthodes « à la soviétique », dictature grossièrement camouflée, tous nos intellectuels, officines de politologues, professeurs à Sciences Po, chercheurs au CNRS, autant d’opinions objectives comme chacun sait, se sont déchaînés sur toutes les ondes radios et les chaînes d’information, BFM en tête. Aucune analyse même un peu différente n’a été exprimée. Liberté d’expression donc.

    D’autant que cette élection s’est déroulée sur le fond de l’affaire de l’empoisonnement au Novitchok, substance mystérieuse, de l’ancien agent russe Serguei Skripal à Londres. Et de nous rappeler qu’il est le quatorzième en dix ans éliminé de manière suspecte à Londres, après entre autres Alexander Litvinenko, un autre transfuge du KGB, empoisonné, lui, au polonium.

    Cette affaire opportune a permis de relancer une nouvelle campagne anti-Poutine. Cet environnement de retour à une guerre froide larvée n’a certainement pas été étranger à la mobilisation des électeurs pro-Poutine, exaspérés par les attaques incessantes de l’Occident contre la Russie. Réflexe national et identitaire somme toute bien compréhensible. Notons que le vote des Russes à l’étranger, et notamment en France, a été encore plus massivement favorable à Poutine. De quoi inquiéter les esprits chagrins !

    Après la Géorgie, la Tchétchénie, la lutte des russophones d’Ukraine, la réintégration de la Crimée dans le giron russe – dont c’était d’ailleurs l’anniversaire le 18 mars – le soutien à la Syrie, la Russie est mise au ban de la bonne conscience démocratique occidentale.

    La Russie lutte contre l’islamisme, tente de retrouver son rôle de nation majeure dans le monde en rééquilibrant les rapports de force jusqu’alors au bénéfice exclusif de l’Occident, autant de positions inadmissibles pour les bonnes consciences. Les mêmes bonnes consciences qui ont mis à feu et à sang l’Irak, la Libye, la Tunisie, fait ou laissé assassiner leurs chefs d’État, relancer la poudrière israélo-palestinienne, pour des raisons bien peu glorieuses et bien peu… démocratiques. Mais, là, en toute impunité. Finalement l’Occident n’a rien à envier à la Russie…

    Quant au mépris du score de Poutine, de « république bananière » a-t-on pu entendre de la part de nos grands intellectuels, Macron a bien été élu avec 66 % des voix face aussi à des candidats « fantoches » ! Quant à la dénonciation des médias russes totalement inféodés à Poutine, non crédibles et diffuseurs de fake news permanentes, on pourrait sourire de parallèles avec la France par exemple et ses médias dont le pluralisme des opinions saute aux yeux et la « compréhension » pour Macron est la ligne de conduite.

    Il n’y a qu’à voir ou écouter l’unanimisme des commentaires sur tous les sujets. Mais rien à voir avec la Russie bien sûr. Chez nous tout est plus « nuancé » dans la forme. Démocratique quoi…

    Alors on évoque les vieux démons de l’URSS, du parapluie bulgare aux empoisonnements d’agents qui ont trahi leur pays. On imagine que les « services » de l’Occident, CIA en tête, n’ont jamais procédé à des éliminations physiques de traîtres, d’opposants ou de transfuges. C’est évidemment impensable dans nos démocraties.

    Tout cela est d’une hypocrisie sans limite mais à la finalité politique et surtout géopolitique bien claire. Alors l’Occident sanctionne avec des accents de moralité indignée.

    Emmanuel Macron a boudé jeudi 15 le pavillon officiel de la Russie, pays invité d’honneur du Salon du livre à Paris. Sanction symbolique infantile. De minimis non curat praetor semble sourire Poutine.

    Les États-Unis ont annoncé ce même jeudi 15 mars une série de sanctions contre la Russie mais en réponse à l’ingérence de Moscou dans l’élection présidentielle américaine de 2016 et plusieurs cyberattaques. Comme par hasard. On évoque d’autres sanctions financières. Mais dimanche 18, Trump et Poutine échangent par téléphone pendant 45 minutes. Pour dire quoi ? Va-t-on vers un nouvel équilibre mondial, une redistribution du jeu international, avec une Chine de plus en plus conquérante, exigeante et inquiétante ?

    Le Kremlin annonce préparer « des mesures de représailles » proportionnelles. Quoi de plus normal dans un contexte d’agressions permanentes contre sa politique qui décidément dérange le monopole européo-américain. Mais Trump, entre rodomontades anti-Poutine et discussions discrètes parallèles, a-t-il autre chose en tête ?… À suivre.

    Et dans cela, quid de notre « Union » européenne ? Une sorte de silence attentiste et relativement prudent finalement de la part des États qui tranche avec les cocoricos de l’UE et les déchaînements agités de Theresa May. Les relations Russie (ou Union soviétique) Grande Bretagne ont toujours été sulfureuses et Londres le champ des règlements de compte entre agents secrets et de toutes les trahisons dans les deux sens (souvenons-nous des affaires Burgess, Mac Lean, Philby, Fuchs aux USA et combien d’autres moins connues…). Rappelons enfin plus récemment l’affaire Snowden, réfugié à Moscou et dans la ligne de mire de la CIA. Mais là, c’est normal. C’est démocratique…

    Richard Dessens (Eurolibertés, 26 mars 2018)

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