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wokisme

  • Dérives, divagations et dévoiements...

    Les éditions L'Artilleur viennent de publier un essai de Pierre Hartmann intitulé Dérives, divagations et dévoiements. Agrégé de lettres et docteur d’État en Sorbonne, Pierre Hartmann est professeur émérite à l’Université de Strasbourg.

     

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    " Pour Pierre Hartmann, la langue est notre bien le plus précieux, le vecteur essentiel de toute émancipation individuelle ou collective. Or, il prouve dans ce livre qu’en un demi-siècle la langue française s’est considérablement dégradée. Il souligne que l’appauvrissement du vocabulaire, l’effondrement de la syntaxe et la quasi-disparition de son riche système temporel vont de pair avec une simplification de la pensée propice au déploiement d’idéologies délétères, souvent importées des États-Unis via les réseaux prétendument sociaux. Il montre comment la néo-contestation woke cherche à nous imposer une vision falsifiée du monde et de son histoire, en rupture avec les principes humanistes et les luttes menées dans le passé. Passant au crible ces dévoiements de l’ancienne critique, il révèle ce faisant une dérive générale qui affecte tous les domaines de la culture et de la pensée et met en lumière certaines divagations frappantes dans les domaines de la littérature contemporaine, de l’étude philosophique ou littéraire et de la scène lyrique ou dramatique. Pour l’auteur, si les idéologies inventent des néologismes qui s’infiltrent à notre insu dans nos usages, si elles cherchent à bannir certains mots pour modifier notre perception du monde, le seul moyen de les combattre est de faire preuve de déférence à l’égard tant de la langue qui nous a été transmise que d’une culture dont il s’agit avant tout de préserver la haute valeur émancipatrice. "

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  • Feu sur la désinformation... (515) : Macron sur les rails médiatiques d’une communication à haut risque !

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                          

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  L’occasion de revenir sur la vidéo devenue virale où Emmanuel Macron cache un mouchoir lors d’une réunion internationale : une polémique artificielle pour masquer les vrais enjeux!…

    Dossier du jour : Retour sur l’interview marathon face à des influenceurs et des membres de la société civile comme Tibo InShape, Robert Ménard ou Salomé Saqué. Un spectacle innovant certes, mais pénible même pour la presse habituellement acquise à la cause du président et surtout une chute vertigineuse des audiences avec seulement 5,78 millions de téléspectateurs...

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    Pastilles de l’info:

    • 3ème mandat pour Delphine Ernotte : France Télévisions enterre le pluralisme
    • Pompiers lynchés en Haute-Savoie : le député LFI Coquerel met la faute sur les films d’action !
    • Tentative d’enlèvement à Paris : faut-il une rubrique "insécurité" dans les médias ?
    • Des marches “LGBT” repeintes en blanc : quand l’immigration efface le wokisme

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : François Bousquet... Le journaliste et auteur du livre "Le racisme antiblanc" (éd. La Nouvelle Librairie) démasqué par l’Observatoire du journalisme !

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  • Feu sur la désinformation... (508) : Quand Teddy Riner défend le voile...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                            

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine : Les médias vous incitent à ne plus avoir d'enfants !...

    Dossier du jour : Teddy Riner, Tibo InShape, Mahyar Monshipour, les sportifs et le port du voile dans le sport...

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    Pastilles de l’info:

    • Le "fait religieux", un voile de pudeur sur les mots
    • Blanche-Neige et les 7 woke : l'échec cuisant du remake de Disney
    • Sarkozy, fille et fils : Giulia et Louis sous les projecteurs
    • Racisme anti-Blancs : le déni médiatique après Crépol
    • Les Presses Universitaires de France et l'enquête anti-woke qui dérange
    • Jean-Michel Aphatie : "grand journaliste" selon le président algérien Tebboune
    • France 2 sous l'ère Ernotte, en pleine refonte des logos
    • Climatisme : quand les médias soufflent le chaud et le froid

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : le quotidien Libération...

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  • L'Europe woke est là pour durer...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la chronique de David Engels sur Ligne droite, la matinale de Radio Courtoisie, datée du 21 mars 2025 et consacrée aux conséquences durables du poison wokiste...

    Historien, essayiste, enseignant chercheur à l'Instytut Zachodni à Poznan, à l'Institut Catholique de Vendée ainsi qu'au Mathias Corvinus Collegium de Bruxelles, David Engels est l'auteur de trois essais traduits en français, Le Déclin - La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine (Toucan, 2013), Que faire ? - Vivre avec le déclin de l'Europe (La Nouvelle Librairie, 2024) et, dernièrement, Défendre l'Europe civilisationnelle - Petit traité d'hespérialisme (Salvator, 2024). Il a  également dirigé deux ouvrages collectifs, Renovatio Europae - Plaidoyer pour un renouveau hespérialiste de l'Europe (Cerf, 2020) et Aurë entuluva! (Renovamen-Verlag, 2023), en allemand, consacré à l’œuvre de Tolkien.

     

                                               

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  • Les PUF annulent la parution d’un livre anti-woke...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Emmanuelle Hénin, qui a codirigé la réalisation de l'ouvrage collectif intitulé Face à la censure woke, dont les Presses universitaires de France viennent d'annoncer l'annulation de la publication, suite aux pressions de l'historien déconstructeur Patrick Boucheron et de ses affidés.

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    Les PUF annulent la parution d’un livre anti-woke : la réaction d’Emmanuelle Hénin, codirectrice de l’ouvrage

    Vous avez pris l’annulation aujourd’hui même, par la presse…

    Les PUF ont d’abord communiqué d’abord avec la presse, ce qui n’est pas très élégant, avant de nous mettre devant le fait accompli. Tout a commencé vendredi matin, lors d’une conférence de presse tenue par Patrick Boucheron au Collège de France dans le cadre de l’initiative « Stand Up for Science », créée pour dénoncer les conséquences du « trumpisme » sur le débat d’idées… et défendre la liberté d’expression contre la censure politique ! Boucheron, mandarin idéologue qui a acquis un pouvoir d’intimidation considérable, pouvoir encore accru par le succès de la cérémonie d’ouverture des JO, a lancé contre nous la meute des journalistes bien-pensants. Notamment Simon Blin, journaliste à Libération, qui est absolument exaspéré par l’existence de l’Observatoire d’éthique universitaire et ne perd pas une occasion de nous attaquer. Il faut savoir déjà que les PUF avaient fait censurer un article de l’ouvrage au motif que c’était un article sur l’immigration et qu’il remettait en cause les thèses de François Héran, lui aussi professeur au Collège de France, nommé expressément par le président de la République pour dire que l’immigration ne pose aucun problème et n’a que des effets bénéfiques. Devant la censure arbitraire de cet article, nous avions décidé de dédier l’ouvrage « à toutes les victimes de la censure »… ce qui prend aujourd’hui une saveur particulière. Nous étions loin de savoir que finalement nous dédicacerions ce livre à nous-mêmes !

    Vous n’aviez pas senti la chose venir ?

    Absolument pas. Il faut savoir que cet ouvrage a été publié sans aucun financement. On nous accuse d’être « trumpistes », alors qu’il s’agit d’un collectif qui réunit des universitaires qui ont des opinions et des sensibilités politiques très variées. Au départ, il devait se faire sous la direction de Nathalie Heinich et Pierre Vermeren. Comme Nathalie Heinich avait beaucoup de livres sur le feu, je l’ai repris et considérablement remanié, en l’axant sur le thème de l’obscurantisme. Le problème c’est que Nathalie Heinich a fini par claquer la porte de l’Observatoire suite à l’élection de Trump et à la publication par un de nos donateurs, Pierre-Édouard Stérin, accusé d’être « d’extrême droite », de la liste des associations qu’il soutient, dont notre Observatoire. Dès lors, la presse tout entière nous a accusés d’être à la solde de Trump, puisque désormais l’antiwokisme, c’est le trumpisme. Il est impossible de faire entendre que les ennemis de nos ennemis ne sont pas forcément nos amis. C’est un raisonnement beaucoup trop élaboré pour le sectarisme de gauche, qui divise le monde en deux camps : le Bien et le Mal.

    Comment vivez-vous, de l’intérieur, les annonces faites par Trump sur le monde de la recherche ?

    Il y a eu des effets positifs au sens où il a retiré des financements, notamment à tous les départements DEI (Diversity, Equality, Inclusion) qui sont en réalité une vaste supercherie, et qui incluent toute la promotion des théories du genre, du racialisme, etc… Il a également retiré énormément d’argent à l’Université de Columbia à cause de ce qui s’y est passé depuis le 7 octobre, ce qui est une bonne chose. Mais en même temps, il jette le bébé avec l’eau du bain parce qu’il a supprimé aussi des chaires sur le climat. Et par ailleurs ses déclarations et ses décisions à l’emporte-pièce en font un personnage éminemment dangereux. Notre collectif n’obéit ni à Trump ni à personne d’autre. Notre charte, c’est vraiment l’éthique universitaire. Parmi les contributeurs du volume, la seule personnalité un peu clivante, c’est Pierre-André Taguieff, qui nous a proposé une très bonne postface sur la déconstruction. Nous nous sommes efforcés de faire un ouvrage de recherche, nuancé et documenté… il faut croire qu’aujourd’hui, ce genre d’intention n’est même plus lisible (cf l’article de Libération, NDLR). Le projet du livre, qui répond d’ailleurs à une commande des PUF, était avant tout de faire connaître le travail de l’Observatoire et de documenter les dérives idéologiques dans la recherche et l’enseignement supérieur. Nous montrons comment ces idéologies influent sur toutes les disciplines, l’histoire des sciences, la littérature, mais aussi les sciences dures et la  médecine – la biomédecine, l’oncologie, la psychanalyse. Dans son excellent article, Florent Poupart, psychanalyste montre comment certains professionnels vont aujourd’hui à l’encontre de l’éthique de leur métier en exprimant des biais avec leurs patients. Céline Masson, également, avait écrit un article pour dénoncer la censure dont elle est l’objet lorsqu’elle dénonce les apprentis sorciers qui proposent aux  mineurs de « changer de corps »… la voilà donc doublement censurée, elle qui n’est pas vraiment de droite, au passage. Finalement, cette annulation traduit une peur irrationnelle : la peur que nous fassions élire une sorte de Trump français. Et davantage, la peur très justifiée que nous ne révélions certaines impostures du monde de la recherche ; car s’ils n’avaient rien à se reprocher du point de vue de l’éthique universitaire, ils ne se déchaîneraient pas à ce point contre nous. Mais ce livre paraîtra : en quelques heures, nous avons reçu des propositions de la part de trois éditeurs.

    Emmanuelle Hénin (Site de l'Incorrect, 11 mars 2025)

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  • Le vrai nom du grand bordel...

    Les éditions du Verbe Haut viennent de publier un nouvel essai de Martin Peltier intitulé Le vrai nom du grand bordel : arc-en-ciel. Journaliste, Martin Peltier, qui a collaboré au Figaro magazine, au Quotidien de Paris et à Minute, notamment, est aussi de plusieurs essais comme 20 bonnes raisons d'être anti-américain (DIE, 2015),  L'empire arc-en-ciel (DIE, 2020) ou Le procès Tintin (Verbe Haut, 2023), ainsi que d'un roman, La fin de l'homme blanc (DIE, 2018).

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    " Et si l’arc-en-ciel, ce symbole de paix et d’harmonie, cachait une mécanique bien plus sombre ? Dans cet essai percutant et provocateur, Martin Peltier explore les coulisses d’un monde en mutation où idéologies et agendas mondiaux se croisent pour redéfinir nos sociétés.

    Avec pour guide la question simple de Péguy : que vois-je ?
     
    Derrière les grandes peurs, wokisme, islamogauchisme, changement climatique, pandémies, et les grandes ambitions («big reset»), l’auteur dévoile la cohérence insoupçonnée d’un système global aux accents orwelliens. Ce concept central, qu’il nomme «Arc-en-ciel», éclaire la manière dont une nouvelle forme d’empire, avec ses propres dogmes et sa propre religion, s’installe au cœur de nos existences. Un livre dérangeant, incontournable pour comprendre les enjeux cachés de notre époque et poser un regard critique sur ce que nous tenons pour acquis.
     
    Martin Peltier signe ici un ouvrage à contre-courant, mêlant réflexion incisive et analyse sociétale, pour inviter chacun à décrypter les vérités qui se dissimulent sous la surface."
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