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surpopulation

  • BD, surpopulation, race et contre-culture... Le Plus d'Eléments est de retour !

    Dans cette émission du Plus d’Éléments, diffusée par TV Libertés, une partie de l'équipe de la revue, autour de Patrick Lusinchi, évoque les numéros parus depuis le début de la crise du coronavirus en mars dernier... On trouvera sur le plateau Pascal Esseyric, directeur de la rédaction, Christophe A. Maxime, et François Bousquet.

     

                                  

     

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  • Immigration et surpopulation, quels enjeux pour 2020-2050 ?

    Les éditions Culture & Racines viennent de publier une enquête de Jean-Philippe Lévêque intitulée La déferlante - Immigration et surpopulation. Après une carrière en entreprise, Jean-Philippe Lévêque a exercé des responsabilités dans divers organismes sociaux, qui ont suscité sa curiosité quant aux problèmes migratoires et démographiques et à leurs conséquences sociales et économiques.

     

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    " Depuis maintenant plus de 40 ans, les pays d'Europe de l'ouest ont entamé une politique d'ouverture à l'immigration qui se révèle être dévastatrice dans tous les secteurs de la société. D'abord à vocation économique, cette politique s'est peu à peu muée en immigration de peuplement. Pire, durant la dernière décennie et sous la pression de régions dont la démographie explose et des nombreux conflits dans ces endroits du monde, ceux qu'il est maintenant communément convenu de nommer les migrants, stimulés par les nombreux effets d'annonces de nos dirigeants, déferlent par vagues successives sur l'Europe Malgré les inquiétudes grandissantes des populations européennes et la situation sanitaire actuelle, les dirigeants de l'UE (secondés sur le terrain par de nombreuses ONG), répètent qu'ils ne reviendront pas sur cette politique et que l'Europe devra s'adapter à un métissage inévitable. Si la transformation de la population est de plus en plus visible au quotidien, qu'en est-il des conséquences concrètes sur notre pays ?

    Afin de répondre à cette question, l'auteur aborde dans ce livre toutes les problématiques liées à l'immigration en France : les centres pour migrants, les expulsions, les quartiers, la fraude sociale et les milliards qui creusent toujours plus notre déficit national déjà abyssal. L'auteur revient également sur la remise en cause de la liberté d'expression, le communautarisme galopant, la racialisation du débat, les errances sur la question religieuse, etc. En plus de nous offrir un réel état des lieux de la situation, il met en lumière comment les politiques et les organismes mondiaux, en recherche de justifications, laissent perdurer la déshérence économique, écologique et humaine. Enfin, il se prête au jeu de la prospective pour les décennies à venir. Ce livre est le résultat d'un important travail de recherches et de lecture de plus de 30.000 pages. Très documenté, basé pour l'essentiel sur des données et des chiffres officiels, toutes les sources (plus de 500) sont vérifiées. Cet ouvrage, sans avoir la prétention d'être exhaustif, permet de comprendre les relations entre surpopulation mondiale et flux migratoires. Il décrit aussi, et au travers de multiples exemples, ce qui est déjà l'un des plus grands scandales planétaire dû au laxisme d'hommes politiques irresponsables et prisonniers de leur idéologie. La surpopulation mondiale et les flux migratoires sont deux problèmes majeurs du XXIème siècle qu'il nous faut solutionner avant l'explosion sociale, économique et écologique qui nous guette. Oui, nos gouvernants redoutent de faire face à ces deux problématiques que sont la surpopulation mondiale et les flux migratoires exponentiels. "

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  • Surpopulation : la menace !...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°184, juin 2020 - juillet 2020) est en kiosque !

    A côté du dossier consacré à la bande-dessinée, on retrouvera l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec les écrivains Benoït Duteurtre et Bruno Favrit, le journaliste américain Christopher Caldwell, le neurologue François Delussis et l'historien Georges Minois ainsi que les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Ludovic Maubreuil, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen, de Bastien O'Danieli, de Slobodan Despot et de Jean-François Gautier...

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

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    Au sommaire :

    Éditorial

    Notes sur les débuts de l’ère covidienne, par Alain de Benoist

    L’entretien

    Benoît Duteurtre : du coté du « réac sympa » , propos recueillis par Thomas Hennetier

    Cartouches

    La littérature contre ce monde, le regard d’Olivier François

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    Cinéphilie, pour une troisième voie, par Ludovic Maubreuil

    Carnet géopolitique : le grand renversement, par Hervé Juvin

    Champs de bataille : à Rastatt, sur la rive droite du Rhin (I), par Laurent Schang

    L’indigénisse, par Bruno Lafourcade

    Économie, par Guillaume Travers

    Bestiaire : quand des perroquets inventent le calcul des probabilités, par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    L’imprévu dans l’économie : Onze questions sur la crise qui vient, par Guillaume Travers

    La santé n’est pas une politique, par Jean-François Gautier

    François Bousquet : biopolitique du coronavirus, par Pascal Esseyric

    Semmelweis, Céline, Raoult contre les mains sales, par Alain Lefebvre

    Docteur François Delussis : vingt-cinq jours aux urgences, propos recueillis par Pascal Eysseric

    Le coronavirus et les morts-vivants, par David L’Épée

    Laurent Schang : Von Rundstedt, le maréchal retrouvé, propos recueillis par François Bousquet

    Bruno Favrit : Nietzsche face à la paroi, propos recueillis par Pierre Saint-Servant

    Miyamoto Musashi, entre bushidô japonais et chevalerie française, par Laurent Schang

    Big Pharma, les nouveaux barons de la drogue, par Marie Chancel

    Christopher Caldwell : aux origines du politiquement correct, propos recueillis par Ethan Rundell

    Glucksmann, Enthoven, Cespedes : qui sont les nouveaux filousophes ? par David L’Épée

    Haro sur les putes intellectuelles, hommage à Jean-Pierre Voyer, par Paul Josias

    Au secours, Baverez revient ! L’éditocrate a lu Tocqueville, par Thomas Hennetier

    Guillaume Travers : la leçon d’économie médiévale, propos recueillis par Fabien Niezgoda

    Le polythéisme vu par Jean-François Gautier, par Thibaud Gibelin

    Dossier

    Surpopulation : le trop-plein

    Pour en finir avec les contre-vérités sur la démographie, par Fabien Niezgoda

    Peut-on être catholique et craindre la bombe P ? par Olivier Rey

    Georges Minois : l’obsession du surpeuplement dans l’histoire, propos recueillis par Fabien Niezgoda

    Le retour des malthusiens : instinct de survie ou pulsion de mort ?, par David L’Épée

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : la reconquête de l’espace, par Slobodan Despot

    Un païen dans l’Église : le pet du fou de Capestang, par Bernard Rio

    L’anti-manuel de philosophie : la pluralité des cultures et l’unité du genre humain, par Jean-François Gautier

    L’esprit des lieux : Derborence au solstice d’été, par Hélène Meyer

    C’était dans Éléments : les conquérants de l’inutile, par Pierre Vial

    Éphémérides

     

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  • La surpopulation, une menace pour le monde ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous sur TV Libertés un débat, animé par Martial Bild, entre Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique et Alain de Benoist, philosophe et figure de la Nouvelle Droite, sur la question de la surpopulation et de la menace qu'elle représente.

     

                                         

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  • Avec la surpopulation, c’est un monde invivable qui se dessine…

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque la question de la surpopulation. Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Ce que penser veut dire (Rocher, 2017) et Contre le libéralisme (Rocher, 2019).

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    Alain de Benoist : « Avec la surpopulation, c’est un monde invivable qui se dessine… »

    La population mondiale ne cesse d’augmenter. La procréation, par nature, peut être exponentielle, alors que les ressources terrestres ne le sont pas. C’est ce que disait déjà Malthus, dont certains pensent qu’il n’a jamais eu que le tort d’avoir raison trop tôt. Aujourd’hui, y a-t-il péril en la demeure ?

    Passé un certain seuil, toute augmentation en nombre entraîne un « saut qualitatif » qui se traduit par un changement de nature. Comme chacun le sait, la population mondiale augmente régulièrement, mais, surtout, elle augmente de plus en plus vite. Vers 1700, on comptait moins de 700 millions d’habitants sur Terre. En 1900, on en était à 1,6 milliard. Aujourd’hui, avec plus de 250.000 naissances par jour, on a dépassé les 7,7 milliards. Pour la fin du siècle, les estimations moyennes tournent autour de douze milliards, les estimations hautes autour de seize milliards. Bien entendu, on peut discuter à perte de vue sur le nombre de bipèdes qui peuvent vivre sur cette planète. La seule chose qui est sûre, c’est qu’il y a une limite : pas plus qu’il ne peut y avoir de croissance matérielle infinie dans un espace fini, la population ne peut s’accroître indéfiniment sur une étendue limitée. Malheureusement, nous sommes à une époque qui ne supporte pas les limites. Malthus (Essai sur le principe de population, 1803) ne se préoccupait que de l’épuisement des ressources. Aujourd’hui, c’est le nombre qui, à lui seul, pose problème : la quantité est plus que jamais le contraire de la qualité. Avec trois ou quatre milliards de bipèdes en moins, le monde se porterait beaucoup mieux !

    La surpopulation aggrave mécaniquement tous les problèmes, en les rendant peu à peu insolubles. Elle est belligène, car la pression démographique crée des conflits nouveaux. Elle accélère l’épuisement des réserves naturelles. Elle accroît la dépendance économique et la soumission aux fluctuations ravageuses des marchés mondiaux, elle favorise les migrations de masse en provenance des pays surpeuplés, elle aggrave les effets de la surconsommation, de l’épuisement des sols, de la pollution des nappes phréatiques, de l’accumulation des déchets. Il n’y a déjà plus de réserves de productivité en matière agricole, l’extension des terres agricoles est en train d’atteindre ses limites et les ressources halieutiques des océans s’épuisent également. Plus de 90 % de toute la biomasse produite annuellement dans le monde sont d’ores et déjà exploités.

    Il est révélateur que la plupart des écologistes autoproclamés se comportent comme si la démographie et l’environnement étaient des sujets séparés, alors qu’ils sont indissociablement liés. À quoi bon parler de préservation des écosystèmes et de sauvegarde de la diversité, à quoi bon s’inquiéter de la gestion des déchets et des effets de la combustion des énergies fossiles si la croissance démographique entraîne toujours plus de pollutions et de déchets et que l’espace laissé aux espèces sauvages est appelé à disparaître ? À quoi bon vouloir limiter les émissions de gaz à effet de serre si on ne limite pas aussi la population ? Dans trente ans, du fait de l’accroissement naturel et de l’exode rural, 68 % de la population mondiale vivra dans des villes, soit 2,5 milliards d’individus de plus que maintenant. Avec des bidonvilles de plus de vingt millions d’habitants et des mégapoles de plus de cent millions d’habitants, c’est un monde proprement invivable qui se dessine.

    La mondialisation aggrave apparemment la situation, mais elle révèle aussi des disparités considérables. Au-delà de la surpopulation, n’avons-nous pas également affaire à un problème de répartition ?

    C’est évident. En 1950, avec 228 millions d’habitants, le continent africain représentait 9 % de la population mondiale. En 2017, avec 1,2 milliard d’habitants, il en représentait près de 17 %. À la fin du siècle, avec 4,2 milliards d’habitants (dont 89 % au sud du Sahara), il en représentera le tiers. Avec un taux de fécondité moyen de 4,6 enfants par femme, l’Afrique accroît sa population de 2,5 % par an, soit un doublement tous les vingt-huit ans. L’Europe, elle, ne représentait plus que 9,8 % de la population mondiale en 2017, et ce chiffre est encore appelé à baisser. Depuis la chute du mur de Berlin, l’Europe centrale et orientale a perdu 24 millions d’habitants. En France, on vient d’enregistrer la quatrième année consécutive de baisse des naissances : l’âge moyen à la maternité ne cesse de reculer et le solde naturel n’a jamais été aussi bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

    Le problème, ici, n’est toutefois pas d’abord le nombre, mais la détérioration de la pyramide des âges. Que l’Europe soit moins peuplée n’est pas un drame, loin de là ; ce qui est un drame, c’est qu’elle vieillit inexorablement. Cela dit, il n’est pas sérieux d’imaginer que les Européens peuvent se lancer dans une course à la concurrence démographique où ils feraient « mieux » que les 6,4 enfants par femme de la République démocratique du Congo ou les 7 enfants par femme du Niger !

    « Croissez et multipliez », lit-on dans la Genèse, adresse qui vaut tout autant pour les chrétiens que pour les musulmans et les juifs. Cet axiome religieux vous paraît-il toujours d’actualité ?

    À une époque où la plus grande partie du monde était inhabitée et où le premier impératif, pour les petites communautés existantes, était de s’étendre numériquement pour maximiser leurs chances de survie, le « croissez et multipliez » était parfaitement justifié. Le problème commence lorsqu’on ignore le contexte et qu’on soutient qu’un principe valable dans telles ou telles circonstances est à considérer comme un dogme valable en tous temps et en tous lieux. C’est la raison pour laquelle, dans nombre de milieux, la surpopulation est un sujet tabou : au nom de l’« accueil de la vie » et de la critique du « malthusianisme », on préfère se mettre un bandeau sur les yeux. Or, le laisser-faire nataliste est aujourd’hui irresponsable, et le « respect de la vie » ne saurait s’étendre à ceux qui ne sont pas encore conçus. Quelle est, alors, la solution ? Avec des mesures coercitives, la Chine est parvenue à freiner sa natalité, mais les « incitations » à ralentir la croissance démographique sont généralement des vœux pieux, surtout dans les pays où les enfants sont l’équivalent d’une assurance-vieillesse. L’émigration de masse vers d’autres planètes relève de la science-fiction. Que reste-t-il, alors ? Les épidémies, peut-être !

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 25 janvier 2020)

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  • Surpopulation : vers quel monde allons-nous ?...

    Le 4 avril 2019, Pierre Bergerault recevait, sur TV libertés, Philippe Randa, pour évoquer l'essai de Jean-Michel Hermans, Surpopulation : l’alerte mondiale (Dualpha, 2019) qu'il a édité. Philippe Randa est journaliste et éditeur. Auteur de nombreux livres, il a récemment publié un polar intitulé Secret mortel (Auda Isarn, 2018).

     

                                        

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