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société de consommation

  • L'effondrement qui vient...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une conférence de Gilles de Beaupte donnée à l'Academia Christiana au cours de l'été 2018 et consacrée au thème de l'effondrement du système. Professeur de philosophie, Gilles de Beaupte est également la revue Études rebatiennes.

     

                                  

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  • Renverser nos manières de penser ?...

    Les éditions Mille et une nuits viennent de publier dans leur collection de poche un livre d'entretien avec Serge Latouche intitulé Renverser nos manières de penser - Métanoïa pour le temps présent. Principal penseur français de la décroissance, Serge Latouche est l'auteur de nombreux essais importants comme La Mégamachine (La découverte, 1995), Le Pari de la décroissance (Fayard, 2006) et Sortir de la société de consommation (Les liens qui libèrent, 2010). Il a également publié Décoloniser l'imaginaire (Parangon, 2011), Chroniques d'un objecteur de croissance (Sang de la terre, 2012) ou Bon pour la casse (Les Liens qui Libèrent, 2012).

    Serge Latouche a récemment donné à Arnaud Naudin, pour Novopress, un entretien que vous pouvez consulter : « La décroissance n'a pas à se situer sur l'échiquier politique »

     

     

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    " « Jetant un regard rétrospectif sur mon parcours intellectuel, autour d’un objet envahissant et problématique, l’économie, il m’apparaît que mes efforts ont visé à produire ce que les Grecs appelaient une metanoïa, c’est-à-dire un renversement de la pensée. Aujourd’hui, il nous faut renverser nos manières de penser. Parce que le monde n’est plus vivable ainsi, que nous le savons mais restons pris dans les schémas capitalistes et productivistes, il nous faut réinventer notre imaginaire pour trouver une nouvelle perspective existentielle. Qui passera par l’après-développement, la décroissance et l’éco-socialisme. » "

     

     

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  • La société de l'indécence...

    Les éditions Le Retour aux sources viennent de rééditer un essai de Stuart Ewen, historien et sociologue américain, daté de 1976 et intitulé La société de l'indécence - Publicité et genèse de la société de consommation. L'ouvrage est présenté par Lucien Cerise, l'auteur de Gouverner par le chaos (Max Milo, 2010) et d'Oliganarchy (Le Retour aux Sources, 2013)

     

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    " En 1983, Stuart Ewen, historien des médias, publiait en France « Consciences sous influence - Publicité et genèse de la société de consommation ». Trente ans ont passé et ce livre culte que nous rééditons aujourd'hui est devenu une référence incontournable de la critique sociologique d'inspiration situationniste. Stuart Ewen y retrace l'origine de ce que Guy Debord nomma le Spectacle, premier allié du productivisme industriel dans la guerre culturelle menée pour l'expansion du modèle de société américain, et dont l'iconographie fondée sur l’exhibition de corps jeunes, féminins et plutôt dévêtus a entièrement colonisé les médias et les imaginaires, élaborant au fil du temps une véritable société de l'indécence. La « décence commune », notion bien connue de George Orwell et Jean-Claude Michéa, est la première cible dans ce travail d'influence des consciences étalé sur plusieurs décennies. Car une telle régression n'a rien de naturel. Dans son ouvrage, Stuart Ewen démontre que ce nouvel ordre « libéral libertaire » mondial, loin d’être l’aboutissement d’une évolution spontanée, a bien été implanté de manière concertée selon des méthodes scientifiques de planification et d’ingénierie sociale. Les dévoiler pour s'en affranchir, tel est le défi auquel ce livre nous invite. "

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  • L'élégance d'une pensée...

    Les éditions François Bourin viennent de publier L'effet Baudrillard - L'élégance d'une pensée, un essai de François L'Yvonnet. Professeur de philosophie, François L'Yvonnet a notamment publié un livre d'entretien avec Jean Baudrillard, D'un fragment l'autre (Albin Michel, 2001), et, récemment, un essai polémique intitulé Homo comicus ou l'intégrisme de la rigolade, (Editions Mille et une nuits, 2012).

     

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    " Le philosophe Jean Baudrillard (1929-2007) a-t-il vraiment existé ? Que reste t-il de lui ? « Une élégance certaine de la pensée », affirme l'un de ses meilleurs biographes, François L'Yvonnet. Le philosophe de La Société de consommation, des Stratégies fatales et des Cool Memories s'attachait à l'idée du fragment comme mode de pensée : Car dans le détail, tout est parfait, c'est dans sa reproduction que tout se complique. François L'Yvonnet explore cinq fragments de la philosophie de Jean Baudrillard et de sa biographie pour mieux saisir l'éclat et la jubilation d'une pensée toujours vivante et contemporaine. Une affaire d'identité : Baudrillard, le détail et la complexité du moi multiple : - Baudrillard et la question du Mal, - Baudrillard, lecteur de Marx (à moins que ce ne soit le contraire), - Baudrillard et le politique, - Baudrillard, roi de la pataphysique, - Baudrillard et la photographie, - l'art de la disparition. L'essai comporte en annexe une bibliographie commentée. "

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  • Sommes-nous tous des numéros ?...

    " – Qui êtes-vous ?
      – Je suis le nouveau Numéro 2.
      – Qui est le Numéro 1 ?
      – Vous êtes le Numéro 6.
      – Je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre ! "

     

    Nous vous signalons la parution aux PUF d'un essai de Pierre Sérisier intitulé Le Prisonnier - Sommes-nous tous des numéros ? et consacré à l'inoubliable et géniale série télévisée de Patrick McGoohan... Journaliste, auteur et traducteur de romans policiers, Pierre Sérisier anime le blog Le Monde des séries.

     

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    " Le Prisonnier est d’abord l’oeuvre d’un homme, Patrick McGoohan, qui livre à la postérité un chef d’oeuvre inégalé. Jamais une fiction télévisée n’a été à ce point étudiée, disséquée et documentée depuis l’apparition du petit écran. Acteur, réalisateur, scénariste, producteur, directeur de casting et finalement maître d’oeuvre habité par une ambition, McGoohan a tenté un pari que l’on peut juger fou et livré en seulement 17 épisodes une contribution majeure à la culure populaire.
    Le Prisonnier est également une série inscrite dans le temps. Elle est à la fois le témoin de son époque, la fin des années 60, et prophétique par bien des aspects en dénonçant l’aliénation de la société de consommation, la tyrannie du pouvoir, la fascination pour la médecine, la surveillance croissante de l’individu et la perte des repères de l’identité de chacun d’entre nous dans un phénomène croissant d’isolement. "

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  • Vers une société d'abondance frugale ?...

    Principal penseur français de la décroissance, auteur notamment du Pari de la décroissance (Fayard, 2006) et de Sortir de la société de consommation (Les liens qui libèrent, 2010), Serge Latouche revient sur les controverses et les confusions que suscite cette notion dans un petit ouvrage intitulé Vers une société d'abondance frugale, publié aux éditions Mille et une nuit, dans la collection Les petits libres.

     

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    "Les uns ne jurent que par elle quand les autres s’offensent que le mot soit prononcé. Que recouvre l’idée de décroissance, qui ne semble pas être la même pour les uns et les autres ? Surtout, elle charrie son lot de contresens et de controverses. Nombreux sont les opposants à cette idée, qui utilisent des arguments de plus ou moins mauvaise foi.
    À droite comme à gauche, les critiques fusent : comment éliminer la misère dans nos contrées sans croissance ? Quel sens peut bien avoir la décroissance dans les pays du Sud ? Qui va soutenir un tel projet : les ouvriers, les classes moyennes ? Et si la croissance se résumait à la production de services ? À la valeur marchande ?
    Serge Latouche liste toutes les interrogations, mêlant préoccupations réelles et idées fausses en circulation, pour leur apporter des réponses précises et argumentées qui mettent un terme aux inquiétudes fantasmagoriques qui l’entourent.
    Non, la décroissance n’est pas synonyme de croissance zéro ; non, elle n’est pas technophobe. Ce n’est ni un projet antimoderne destiné à nous renvoyer vivre dans des cavernes, ni un programme visant à restaurer un ordre patriarcal communautaire, ni l’instrument qui ferait de nous des chômeurs.
    S’il fallait le dire autrement, Serge Latouche parlerait de société d’abondance frugale : voilà la transition économique et politique qu’il nous propose."

     

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