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richard millet

  • Chronique de la guerre civile en France...

    Les éditions de la Nouvelle Librairie viennent de publier, sous le titre de Chronique de la guerre civile en France (2011 - 2022), un recueil des écrits de combat de Richard Millet.

    Romancier, essayiste et polémiste, Richard Millet est l'auteur, notamment, de La confession négative (Gallimard, 2009), d'Arguments d'un désespoir contemporain (Hermann, 2011), de Fatigue du sens (Pierre-Guillaume de Roux, 2011), de Langue fantôme (Pierre-Guillaume de Roux, 2012), de Tuer (Léo Scheer, 2015), de Français langue morte (Les Provinciales, 2020) et dernièrement de Paris bas-ventre - Le RER comme principe évacuateur du peuple français (La Nouvelle Librairie, 2021).

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    " Richard Millet est aujourd’hui un écrivain proscrit. Après l’avoir chassé des palais de l’intelligentsia, une cabale de dévots tente toujours de le réduire au silence pour le seul crime de s’être attaqué à l’antiracisme sur le terrain littéraire. Son blasphème ? Avoir osé lier l’abaissement de la littérature et le déclin accéléré de notre langue à la guerre ouverte menée contre l’identité de la France. Les pamphlets et essais que nous avons réunis dans ce volume sont avant tout des écrits de combats, un genre dans lequel les plus grands se sont illustrés, d’Orwell à Bernanos. À travers ces textes, se dessine un portrait sans concession d’un peuple en proie à la misère identitaire et écrasé par la doxa antiraciste et par le révisionnisme général. "

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  • Les snipers de la semaine... (147)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur son site personnel, Richard Millet allume Nathalie Kosciusko-Morizet à la suite de la surmédiatisation de son agression, essentiellemnt verbale, par un quidam en colère...

    Sur un évanouissement

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    - sur le Figaro Vox, Fatiha Boudjahlat dézingue Marlène Schiappa, la secrétaire d'Etat en charge de l'égalité des femmes et des hommes pour sa négation d'e l'existence d'un harcèlement de rue dans certains quartiers de Paris et pour son refus d'envisager le lien de ce phénomène avec l'immigration...

    La mise en scène de Marlène Schiappa ou le féminisme version télé-réalité

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  • Une esthétique de l'aridité ?...

    "Là où je vais, je serai nu. Sans doute le cheminement exige-t-il d’ores et déjà cette nudité. Il est même probable que ce dépouillement n’est rien d’autre que le signe de mon ignorance et que, par les connaissances parcellaires et les préjugés qui me tiennent lieu de savoir, je participe de la grande misère contemporaine – laquelle est avant tout spirituelle. A l’écart de tout lieu commun, l’aridité est ce dont je ne suis pas encore digne. Le reconnaître revient néanmoins à trouver le sens de la marche."

     

    Les éditions Fata Morgana viennent de publier un essai de Richard Millet intitulé Esthétique de l'aridité. Auteur d'un récit intitulé La confession négative et de nombreux romans, Richard Millet a été au coeur, au mois de septembre, d'une violente campagne de dénigrement dans la presse bien-pensante à la suite de la publication d'un essai intitulé Langue fantôme aux éditions Pierre-Guillaume de Roux.

     

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    "S’opposant à la vulgarité ambiante et à la déchéance morale de la société occidentale, Richard Millet écrit ce manifeste pour l’aridité. Il ne s’agit pas ici de dénoncer ou de s’indigner le poing levé mais de refuser un monde damné en désertant, en se mettant volontairement à l’écart. L’aridité devient alors discipline lorsqu’il faut épurer le langage pour lui rendre sa justesse, s’isoler pour aboutir à la conscience heureuse de l’écart. L’aridité c’est l’obscurité de Mallarmé, le décharnement linguistique de Beckett, l’effacement de Blanchot, la musique au plus près du silence de Stravinsky ou Webern, l’assèchement des formes chez Giacometti."

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