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michel geoffroy

  • Élection de Trump : l’oligarchie progressiste face à une révolution ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré aux fissures provoquées dans l'oligarchie par l'élection de Trump...

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, ainsi que plusieurs essais, dont La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021), Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023) et, dernièrement Occident go home ! - Plaidoyer pour une Europe libre (Via Romana, 2024).

     

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    Élection de Trump : l’oligarchie progressiste face à une révolution ?

    La prise de pouvoir de l’oligarchie mondialiste en Occident a reposé sur la financiarisation de l’économie, en raison des avantages qu’elle procurait à une petite minorité d’investisseurs fortunés et progressistes puisque, pour eux, la déconstruction néo-libérale des sociétés et la mondialisation étaient effectivement « heureuses ». La plupart des dirigeants occidentaux, et singulièrement européens, provenaient pour cette raison du monde la banque[1] et de la finance. Mais pour le reste de la population, confrontée au sous-emploi, aux « bullshit jobs », à la précarité, à l’immigration et à l’insécurité culturelle, il en allait tout autrement, y compris aux États-Unis.
    Jusqu’alors, l’oligarchie mondialiste n’avait donc que les peuples autochtones, les classes moyennes et les patrons de PME comme opposants : mais elle pouvait en triompher facilement grâce à son appareil de propagande et de censure – les médias qu’elle avait achetés – et grâce à la répression des dissidents – puisque les Etats occidentaux faisaient désormais, sous sa direction, la guerre à leurs propres peuples.
    Mais, bonne nouvelle, ce rapport de forces inégal en en train de changer, ce qui rouvre les perspectives historiques en Occident.

    Un retour en force de l’économie réelle

    L’élection présidentielle américaine propulse en effet à la tête de la plus grande puissance occidentale des responsables qui rejettent ouvertement le politiquement correct et elle place un nouveau patronat, incarné par le charismatique Elon Musk, du côté des peuples autochtones.

    Trump et Musk incarnent en effet un retour en force de l’économie réelle et de l’esprit de création, aux dépens du monde irréel de la finance, du numérique et de l’idéologie hors sol des progressistes.
    Elon Musk n’est pas un financier, bien qu’il soit l’homme le plus riche du monde, mais un manager, un industriel, un créateur et un visionnaire. Et il a renié depuis longtemps le crédo progressiste en usage chez les milliardaires de la Silicon Valley.

    Elon Musk fait rêver l’Amérique car il incarne le rêve qui manquait au mouvement MAGA. On l’a bien vu au soir de l’investiture de Donald Trump lorsqu’ il a évoqué la perspective prochaine d’astronautes américains sur Mars.
    Et il montre surtout que le futur et les lendemains qui chantent ne se situent désormais plus à gauche.

    La contestation s’étend

    Mais le mouvement n’est pas que nord-américain.
    Un peu partout en Occident, la contestation de la doxa progressiste s’installe, au grand dam des oligarques, chez les décideurs publics ou privés.

    En Argentine la politique de Javier Milei, le président à la tronçonneuse, produit ses premiers résultats positifs : avec une baisse spectaculaire des dépenses publiques, de la dette et de l’inflation qu’aucun « expert » de plateau télé n’estimait possible, évidemment.

    Le mouvement s’étend aussi à l’Europe, même s’il n’a pas encore trouvé une issue politique générale en raison de la gouvernance totalitaire de l’UE, devenue prison des peuples.
    Mais la parole des représentants de l’économie réelle se libère également, y compris en France.

    Même en France les patrons se révoltent

    Cela a commencé avec Jean-Bernard Levy président d’EDF, dénonçant ouvertement à l’Assemblée nationale les incohérences de la politique nucléaire du gouvernement français et les folies du « marché européen de l’énergie ». Et confirmant par là même tout ce que disaient les dissidents de la transition énergétique.

    Puis ce sont les dirigeants de l’industrie automobile, rejoints par leurs collègues européens, qui dénoncent les folies du « pacte vert » et l’irréalisme de l’interdiction de vente des voitures thermiques en 2035 qui ouvre une voie royale à la concurrence chinoise. Pendant que les dirigeants agricoles mettent de même en cause un libre-échange qui les met en concurrence avec des producteurs qui ne sont pas soumis aux mêmes contraintes.

    Et voici même Bernard Arnault, le Français le plus riche du monde et ami de Macron, qui déclare qu’en France « tout ce qui bouge on le taxe, ce qui bouge encore on le réglemente ; tout ce qui ne bouge plus on le subventionne »[2]. Un beau résumé du mal français !

    Sans oublier bien sûr ces patrons qui financent des médias en rupture avec la doxa politiquement correcte.

    L’oligarchie encerclée

    Le populisme stagnait car il incarnait quand même le parti des perdants de la mondialisation heureuse, des « déplorables », des « sans-dents » et des « gens de rien » que la gauche bourgeoise a toujours méprisé et matraqué.

    Mais voici que des riches et des gagnants, émanations de l’économie réelle, rejoignent le camp des peuples dans la contestation des oligarchies.
    Alors là, dans les beaux quartiers et dans les salles de rédaction, on ne rit plus du tout.
    Car, si ce mouvement se confirme, il annonce un changement majeur et bienvenu de paradigme en Occident.
    Que va devenir l’oligarchie financière progressiste, en effet, si maintenant les capitaines d’industrie rejoignent les peuples et les dissidents, dans la contestation du Système et donc de leur pouvoir ?

    C’est une révolte ? Non Sire, c’est une révolution qui s’annonce…

    Michel Geoffroy (Polémia, 30 janvier 2025)

     

    Notes :

    [1] Notamment Goldman Sachs
    [2] Présentation des résultats annuels 2024 de LVMH le 28 janvier 2025

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  • Feu sur la désinformation... (498) : Censure, les coups d'État européen ?...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Michel Geoffroy et Floriane Jeannin.

     

                                                

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  le fauteuil sénatorial de Gérard Larcher. Près de 40 000 euros, c'est le prix de ce mobilier luxueux que s'est offert le président du Sénat en même temps qu'il recommande une réduction des dépenses publiques. Un "en même temps" de plus qui est passé dans la presse pour une petite "erreur", tel qu'il s'en est lui-même justifié...

    Dossier de la semaine : il est consacré à nos commissaires politico-médiatiques préférés, ceux qui au nom de la démocratie réclament toujours plus de censure pour ne pas laisser de place aux opinions qui ne leur conviennent pas. Une nouvelle offensive du progressisme européen sur les espaces de liberté d'expression. La censure, c'est la démocratie, et la liberté d'expression, c'est le totalitarisme !..

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    Pastilles de l’info:

    • Brigitte veut sauver Macron !
    • Miss France n'est pas Charlie… 
    • Une journaliste du Monde tente de s’infiltrer aux obsèques de Jean-Marie Le Pen 
    • Trump échange avec Obama aux funérailles de Carter

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Daphné Deschamps, journaliste militante d'extrême gauche...

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  • Face à Donald Trump, raison garder...

    Nous reproduisons ci-dessous une excellente mise au point de Michel Geoffroy, cueillie sur Polémia et consacrée à la fascination exercée par Trump sur une partie de la droite française...

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, ainsi que plusieurs essais, dont La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021), Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023) et, dernièrement Occident go home ! - Plaidoyer pour une Europe libre (Via Romana, 2024).

     

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    Face à Donald Trump, raison garder

    À lire certains commentaires, on a l’impression qu’en 2024 la droite en France – la plus bête du monde, disait déjà le socialiste Guy Mollet en 1957 – a trouvé son leader, sinon son messie : il s’appelle… Donald Trump. Et Elon Musk est son prophète. Malheureusement, cette droite ne semble pas s’être aperçue que son héros n’était ni français ni européen mais américain : un malentendu de taille !

    Ne pas s’illusionner

    Certes on peut saluer l’allant, la superbe et le courage personnel du futur président américain, qui tranchent avec la triste médiocrité de nos homoncules politiciens.
    Comme on peut approuver son rejet du politiquement correct, de la classe médiatique, des juges politisés ou du wokisme, fléaux qui nous touchent également.
    Et que la gauche l’exècre au moins autant que Poutine ne peut que nous le rendre sympathique.

    Mais ce n’est pas une raison pour prendre les vessies trumpistes pour des lanternes européennes ni, a fortiori, françaises.

    Un inquiétant refus du monde qui vient

    D’abord, le mot d’ordre du trumpisme, c’est MAGA : Make America Great Again ; et non pas make Europe great again ni make France great again. Nuance.

    En outre, vouloir rendre aux États-Unis leur (sur)puissance d’antan ne constitue nullement un objectif anodin à l’âge multipolaire : c’est en réalité une déclaration de guerre implicite contre les États-civilisationnels émergents qui rejettent justement le principe d’une direction américaine du monde. Ce mot d’ordre traduit donc un inquiétant refus du monde qui vient.

    D’ailleurs, Donald Trump promet déjà une avalanche de droits de douane contre la Chine et contre tous ceux qui refuseraient l’hégémonie du dollar dans le commerce mondial. Sans même évoquer ses récents propos sur la nécessité d’annexer le Groenland et Panama ou sur le rattachement du Canada aux États-Unis ! Comme si le suzerain voulait rassembler ses vassaux en vue de la lutte finale.
    Voilà une perspective peu rassurante pour nous.

    Achetez… américain

    De même, s’agissant de l’OTAN, Trump semble n’avoir rien appris, ni rien oublié : il ne remet nullement en cause l’alliance comme instrument politique de la domination américaine sur l’Europe ; il veut seulement que les Européens payent plus, fassent ce que le Pentagone veut, et qu’ils achètent encore plus de matériel américain.

    Mme Lagarde, la très atlantiste directrice générale de la BCE, ne nous dit pas autre chose : il faudrait que les Européens achètent plus de produits américains pour se prémunir d’une guerre commerciale avec l’Amérique [1] ! Il est vrai que Donald Trump assimile l’UE – pourtant totalement libre-échangiste – à une « mini-Chine » qui concurrencerait, évidemment indûment, les États-Unis…

    Voilà qui augure mal de la future diplomatie à notre égard du messie Trump.

    Ukraine : stop ou encore ?

    À droite on compte aussi beaucoup sur le fait que Trump ait promis d’arrêter « tout de suite » la guerre en Ukraine : un discours qui nous change agréablement, certes, de celui des démocrates.
    Mais, justement, on semble oublier chez nous que les promesses électorales n’engagent jamais que ceux qui les écoutent, et cela des deux côtés de l’Atlantique. Roosevelt ne s’était-il pas fait élire sur un programme isolationniste, pour ensuite engager les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale ?

    En réalité personne ne sait ce qu’envisage vraiment le futur président américain pour mettre fin au conflit russo-ukrainien qui, faut-il le rappeler, profite quand même avant tout aux États-Unis et notamment à son complexe militaro-industriel et à son industrie gazière.

    Et, si l’on prend la peine d’écouter ce que disent vraiment les responsables ukrainiens et russes, on peut sérieusement douter désormais d’une issue rapide au conflit : parce que l’Ukraine ne veut négocier qu’en position de force – ce qui se comprend –, et parce que la Russie n’entend pas revenir sur ses buts de guerre initiaux : neutralisation, dénazification et restructuration de l’Ukraine.

    Bref, pour les miracles, il faudra certainement attendre un peu.

    Un bon prétexte pour la gauche

    Certains à droite comptent aussi beaucoup sur le fait que Trump se soit prononcé contre le wokisme. Alors que la plupart de nos folies idéologiques nous viennent d’outre-Atlantique, on ne peut que se féliciter en effet de ces nobles intentions.
    Cependant, on ne peut ignorer aussi que la gauche européenne tire justement argument de ce qui peut se passer outre-Atlantique pour radicaliser les réformes sociétales chez nous, comme on l’a vu en France avec la constitutionnalisation de l’IVG, par exemple, censée protéger ce « droit » de toute remise en cause future.
    Alors, ne nous réjouissons pas trop vite.

    Trump reste un Américain

    Si d’aventure Donald Trump met en œuvre dans le cadre de son court mandat ce qu’il a promis, il peut remédier en partie au déclin nord-américain. Mais il n’est pas du tout certain que cela nous soit profitable.

    En effet, l’Europe n’existe pas dans la rhétorique trumpienne, sinon comme un marché captif. Et il ne voit la France que comme un parc d’attractions.

    Car Trump reste un Américain qui regarde donc le monde au travers de ses lunettes déformantes : progressistes, capitalistes et puritaines.
    L’affaiblissement du suzerain nord-américain constituait une occasion pour nous de retrouver notre liberté d’action et notre identité de civilisation. Mais, si nous n’y prenons garde, une Amérique MAGA risque de nous éloigner, pour un temps, de cette perspective.

    Michel Geoffroy (Polémia, 3 janvier 2025)

     

    Note :

    [1] « Le Journal de l’Économie » du 29 novembre 2024.

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  • Michel Geoffroy : "Le monde veut se moderniser sans s'occidentaliser"...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Michel Geoffroy à Régis Le Sommier pour Omerta, dans lequel il évoque la place qu’occupe actuellement l’Europe en Occident et son américanisation mortifère.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, ainsi que plusieurs essais, dont La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021), Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023) et, dernièrement Occident go home ! - Plaidoyer pour une Europe libre (Via Romana, 2024).

     

                                                 

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  • La chasse aux dépenses nuisibles est ouverte !...

    Le Xe Forum de la dissidence, organisé par la Fondation Polémia se tiendra samedi 16 novembre 2023 à la salle Athènes Service, 8 rue d'Athènes à Paris (9e), à compter de 09 heures 30, sur le thème : 3000 milliards de dette ? Ouvrons la chasse aux dépenses nuisibles !

    Vous pouvez vous inscrire ici.

     

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    Selon l’INSEE, à la fin du premier trimestre 2024, la dette publique s’établissait à 3 159,7 milliards d’euros, soit 110,7 % du PIB, auxquels s’ajoute un déficit annuel de 170 milliards d’euros, soit plus du tiers des dépenses de l’État. Un record absolu. Quand certains parlent d’augmenter des impôts déjà très élevés, d’autres – c’est le cas de Polémia – parlent de chasser les dépenses nuisibles. Et il y en a.

    Programme de la journée

    9h30 - Accueil

    • 10h00 - Michel Geoffroy, polémiarque, essayiste
      De quoi la dette est-elle le nom ? Priorité à la suppression des dépenses non seulement inutiles mais nuisibles.
    • 10h20 - Comment trouver 150 milliards ?
      Vidéo.
    • 10h30 - Philippe Herlin, économiste
      Le coût du parasitisme bureaucratique.
    • 11h00 - Michel Aubouin, ancien préfet
      Les dépenses nuisibles des politiques de la ville et du logement.
    • 11h30 - Lucas Chancerelle, co-animateur d’iMédia sur TV Libertés
      Aides à la presse, ou comment on subventionne les milliardaires et le politiquement correct.
    • 12h00 - Jean-Claude Martinez, professeur agrégé de droit, ancien député européen
      Ce que nous coûte l’Union européenne.
    • 12h30 - Thierry Mariani, ancien ministre, député européen
      L’aide à l’Ukraine, des milliards en pure perte.

    12h45 -14h00 - Pause

    • 14h30 - La France médaille d’or des impôts, des dépenses publiques, de la dette et de l’insatisfaction.
      Vidéo.
    • 14h45 - Carl Hubert, polémiarque, essayiste
      Les subventions aux associations ou comment le contribuable finance le clientélisme ?
    • 15h15 - Xavier Driencourt, ancien ambassadeur
      L'Algérie et les aides aux pays étrangers.
    • 15h45 - Fabien Bouglé, lanceur d’alerte écologiste, essayiste
      Les folies budgétaires de la transition énergétique.

    16h15-17h00 - Pause, forum des livres, signatures-dédicaces.

    • 17h00 - Ce que nous a coûté la gestion du Covid.
      Vidéo.
    • 17h15 -17h45 - Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia
      Immigration : coût budgétaire direct, bilan global, charges d’infrastructures.
    • 17h45 - Le cas argentin.
      Vidéo.

    18h00 - Conclusions du Forum

    18h15 - Fin des travaux

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  • Feu sur la désinformation... (487) : Kamala Harris, le naufrage médiatique ?

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Michel Geoffroy et Lucas Chancerelle.

     

                                               

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  la vieille France qui progressivement disparaît avec les boulistes qui ont été expulsés par la police à Montmartre !

    Dossier du jour : le traitement médiatique de la présidentielle américaine avec Kamala Harris en difficulté lors de ses interviews et Trump qui prend de l’avance !

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    Pastilles de l’info :

    1) Mort de Yahya Sinouar : le deux poids deux mesures ?
    2) "Violences routières" : la récupération permise ?
    3) Non à l’UE en Moldavie : attaque contre la démocratie ?
    4) Le livre de Jordan Bardella et la censure de l’extrême gauche
    5) Des Nord-Coréens dans l’armée russe ?

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Yves Calvi, un journaliste avec un gros appétit médiatique !

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