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inégalité

  • Pour en finir avec l’égalitarisme : une utopie destructrice...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, qui évoque la question de l'égalitarisme...

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    Pour en finir avec l’égalitarisme : une utopie destructrice

    Il est temps de mettre un terme au mythe qui gangrène nos sociétés : celui de l’égalitarisme. Depuis des décennies, la gauche, aidée par les élites globalistes, nous vend l’idée absurde selon laquelle tous les hommes seraient égaux, que les différences biologiques, culturelles et historiques entre les individus n’existeraient pas, et que nous devrions tous aspirer à une société où règne une égalité parfaite. Cette idéologie gauchiste n’est pas seulement une illusion, elle est une machine de destruction massive qui sape les fondements mêmes de notre civilisation.

    L’égalité homme-femme : un mensonge qui déstructure nos sociétés

    Parmi les plus grandes aberrations de ce mythe égalitariste, figure l’idée selon laquelle hommes et femmes seraient identiques en droits, en capacités et en rôles sociaux. Ce mensonge, devenu mantra féministe, nous a menés à la déstructuration complète des rôles traditionnels, fondement de nos sociétés depuis des siècles.

    Depuis la nuit des temps, l’humanité a prospéré grâce à la complémentarité des sexes. Ce n’est pas en niant la réalité biologique que nous améliorerons notre société. Les hommes et les femmes sont différents. Ils sont complémentaires. Le rôle protecteur et bâtisseur des hommes et celui de nourricière et d’éducatrice des femmes ont été les piliers sur lesquels se sont construits les plus grandes civilisations. Mais aujourd’hui, en prônant une égalité absolue et absurde, nous avons déraciné ces rôles. Résultat : désordre familial, délitement de l’autorité et effondrement des structures sociales. Cette négation de la complémentarité des sexes ne mène qu’à la confusion et à la décadence.

    La vérité est simple : hommes et femmes ne sont pas égaux. Pas parce qu’une catégorie est supérieure à l’autre, mais parce qu’ils ont des rôles naturels différents qui, ensemble, garantissent l’équilibre et la prospérité de la société. Vouloir gommer ces différences est une entreprise suicidaire.

    L’éducation : un nivellement par le bas au nom de l’égalité

    L’égalitarisme a également frappé de plein fouet l’éducation, ce qui entraîne une tiers-mondisation généralisée de nos sociétés. Au lieu de promouvoir l’excellence, de pousser les individus vers le haut, on nivelle par le bas. Le système éducatif, autrefois orienté vers l’excellence et le mérite, a été transformé en un terrain où l’on favorise les moins bons au détriment des plus capables. Pourquoi ? Pour que tout le monde soit « égal ». Le résultat est sans appel : un effondrement du niveau général, un rejet des exigences académiques et une production de citoyens ignorants et inaptes à affronter les défis de la modernité.

    Les réformes éducatives successives, dictées par une idéologie égalitariste, n’ont eu pour effet que de détruire la transmission du savoir. Ce qui était autrefois une source de fierté et d’accomplissement personnel, la réussite scolaire, est aujourd’hui dénigré sous prétexte de « lutte contre les inégalités ». Il n’y a pourtant rien de plus naturel que l’inégalité dans l’apprentissage : tous les enfants n’ont pas les mêmes aptitudes, et ce n’est pas un crime. Vouloir ignorer cette vérité conduit inexorablement à l’échec collectif.

    L’immigration et l’assimilation : un autre échec de l’égalitarisme

    Le mythe de l’égalitarisme va encore plus loin en tentant d’assimiler l’idée que tous les peuples seraient également aptes à s’intégrer de la même manière au sein des nations européennes. Il faut le dire sans détour : tous les peuples ne sont pas assimilables de la même manière. L’idée que l’on pourrait créer une société homogène à partir de cultures fondamentalement différentes est une chimère dangereuse.

    L’Europe, bâtie sur des siècles d’histoire, de tradition et de valeurs, est confrontée à une immigration de masse qui, loin de renforcer la cohésion sociale, la fracture de plus en plus. Les faits sont là : un Africain, un Asiatique, un Européen ne partagent pas les mêmes codes culturels, les mêmes visions du monde, les mêmes comportements sociaux. Pourquoi s’acharner à vouloir fondre ces différences dans un même moule alors que les conséquences de cette folie égalitariste se font sentir chaque jour : montée de l’insécurité, communautarismes, tensions ethniques.

    Là encore, le rêve égalitariste échoue à affronter la réalité. Une société forte n’est pas celle qui cherche à tout prix à niveler les différences, mais celle qui valorise ce qui la rend unique, et qui comprend que l’assimilation de certaines populations est non seulement difficile, mais parfois impossible.

    L’inégalité : moteur de la réussite

    En vérité, l’inégalité est non seulement naturelle, mais bénéfique. Ce sont les différences entre les individus qui ont permis l’essor de notre civilisation. L’inégalité pousse chacun à se surpasser, à atteindre l’excellence. C’est grâce à elle que nous avons produit des esprits brillants, des inventeurs, des leaders, des bâtisseurs. L’égalitarisme, à l’inverse, tue l’ambition, éteint le génie, et entraîne une homogénéisation vers la médiocrité.

    Ce n’est qu’en réhabilitant la notion de mérite, de hiérarchie et de responsabilité individuelle que nous pourrons redresser notre civilisation, plongée dans un déclin accéléré par cette utopie gauchiste de l’égalitarisme.

    Il est temps de mettre un terme à cette dangereuse illusion. L’égalitarisme n’est pas un idéal à atteindre, mais une idéologie destructrice qui mène nos sociétés à la ruine. Hommes et femmes ne sont pas égaux, mais complémentaires. Tous les individus ne sont pas faits pour les mêmes choses, et tous les peuples ne s’assimilent pas de la même manière. Reconnaître ces vérités, aussi impopulaires soient-elles, est la première étape vers la reconstruction de notre civilisation.

    Julien Dir (Breizh-Info, 2 octobre 2024)

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  • Les mensonges de l'égalité...

    Les éditions de l'Artilleur viennent de publier un essai de Jean-Louis Harouel intitulé Les Mensonges de l'égalité - Ce mal qui ronge la France et l'Occident. Agrégé de droit, professeur émérite de l'Université Panthéon-Assas, Jean-Louis Harouel a, notamment, publié Les droits de l'homme contre le peuple (Desclée de Brouwer, 2016), Libres réflexions sur la peine de mort (Desclée de Brouwer, 2020) et L'Islam est-il notre avenir ? (La Nouvelle Librairie, 2021).

     

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    " Imposées par l’écologisme subversif ou l’ultra-gauche anarchiste, notre période contemporaine voit revenir la séduction des théories égalitaires les plus radicales, de l’impôt de captation à la décroissance forcée.
    Juriste et historien, Jean-Louis Harouel montre que l’égalité conduit à la dislocation, en matière économique comme dans les choses de la morale ou de la science.
    A l’inverse, c’est l’inégalité qui est ici analysée en détail pour mettre en valeur ses vertus.
    La suppression de l’inégalité ne peut améliorer le niveau de vie d’une population. En effet, une redistribution égalitaire ne change rien au volume de la production et donc au revenu moyen. Seule une augmentation de la production peut enrichir un peuple. Le problème de la pauvreté ne peut être résolu en détruisant l’inégalité, et cela vaut pour tous les lieux et tous les temps.
    L’amélioration de la production a multiplié par 10 le niveau de vie en France entre 1840 et 1975 et cet enrichissement de la population française s’est accompagné d’une très forte réduction de l’inégalité.
    De même, la question de la connaissance ne peut pas être résolue par l’abaissement des exigences.
    Ce n’est pas l’égalisation mais la croissance économique ou la hausse des exigences qui permet l’amélioration du niveau de vie et, paradoxalement, la réduction des inégalités. "

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  • L'inégalité comme condition d'existence...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une nouvelle vidéo d'Ego Non qui évoque la question de l'inégalité en s'appuyant sur l’œuvre du philosophe russe, Nicolas Berdiaev.

     

                                               

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  • Le chant du bouc...

    Les éditions de la Reine Grenouille ont publié récemment un essai de Christophe Lavigne intitulé Le chant du bouc. Ancien membre du renseignement militaire français, Christophe Lavigne vit retiré dans le vignoble bordelais.

     

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    " La catastrophe s’est déjà produite. Le monde évolue. Est-ce bien ou mal? Peu importe. Quoi qu’il en soit, il faut s’adapter et faire face à de nouvelles contraintes et de nouveaux dangers.Pour affronter la médiocrité, Christophe Lavigne nous propose de revenir aux origines en interrogeant la civilisation grecque et sa définition de la tragédie. Inégalité, violence et mort, trois notions clés que nos contemporains cherchent, en vain, à écarter de leur chemin. Or plutôt que de fuir le tragique ne devrions pas plutôt faire corps avec lui? C'est sur ces pistes, affranchies de toute rhétorique pompeuse et intellectualisante, que nous mène l'auteur. Le Chant du bouc s’invite au milieu des considérations sur le monde contemporain, un monde devenu complexe et difficilement lisible, et nous propose des clés pour s'affranchir et, pourquoi pas, s'accomplir.Plus qu'un livre de réflexion, un manuel de vie."
     
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  • Lire Gobineau aujourd'hui...

    Les éditions Pierre-Guillaume de Roux viennent de publier un essai de Jacques Bressler intitulé Lire Gobineau aujourd'hui. Professeur de philosophie, Jacques Bressler est aussi l'auteur d'une biographie de Gilles de Rais (Payot, 1981) et de Gobineau (Pardès, 2018).

     

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    " Longtemps décrié, L’ Essai sur l’inégalité des races humaines, oeuvre majeure d’Arthur de Gobineau (1816-1882), écrivain, diplomate et homme politique, demeure, cependant, d’une actualité frappante de nos jours. L’hérédité - qui, selon lui, détermine de façon décisive les    probabilités d’avènement civilisationnel pour chaque groupe humain - est au coeur de sa pensée. C’est le sang qui parle et rien d’autre.Comment ne pas discerner les différences profondes de tempérament et d’idéal qui existent entre les différentes «races» ? C’est d’abord en historien et en géographe que Gobineau raisonne. Et il a fort à faire à une époque où l’égalitarisme triomphant, imprégné de christianisme, décrète que l’homme rencontre partout son semblable. La question fondamentale que se pose Gobineau est pourtant des plus pertinentes : comment éviter l’irrémédiable déclin auquel semblent vouées toutes les sociétés, fussent les plus accomplies ? L’exemple de la chute de Rome, submergée par ses éléments étrangers, barbares, lui fait entrevoir la réponse : le déclin se profile à chaque fois que les membres d’une société décident de se mélanger à des éléments qui lui sont extérieurs et, le plus souvent, moins avancés.

    Constat lourd de conséquences ! Pour Gobineau, l’élément blanc constitue tout moteur de civilisation, en effet. Encore faut-il largement nuancer car cet élément «blanc» qu’il vénère tant est déjà le fruit d’un profond métissage. A titre d’exemple, la société idéale à ses yeux n’est nulle autre que l’Inde du temps des castes. Quant à l’élément sémite, il le porte très haut dans son estime, cela ne fait aucune doute. Il est bon de le rappeler dans la mesure où l’oeuvre de Gobineau fut longtemps assimilée à la pensée de l’Allemagne raciste et nazie. Plus encore, les récentes conquêtes de la génétique moderne et des neurosciences - qui viennent relancer la question de l’inné par rapport à l’acquis avec une force jamais égalée - accordent, qu’on le veuille ou non, une vraisemblance accrue à la thèse centrale de l’Essai. Il n’est plus guère possible de séparer le domaine culturel du génétique à notre époque.

    Cette équation soulève des questions brûlantes... alors que le métissage est devenu incontournable et que la question des origines et du choix de la culture dominante revêt une importance grandissante dans la conscience collective. En attendant, il est temps de suivre Gobineau, pas à pas, dans sa démarche si audacieuse. N’oublions pas qu’en plus d’observer une méthode résolument scientifique, il fut également un orientaliste distingué, grand voyageur, ministre de France à Téhéran, à Athènes puis à Rio de Janeiro et Stockholm, inventeur d’un genre littéraire, celui de la « nouvelle exotique », que Joseph Conrad mettra à la mode beaucoup plus tard, l’homme avait de multiples talents. Il nous a laissé, à travers des essais, des récits de voyage et des nouvelles, une vision si pénétrante de l’Orient - sans parler de la force d’évocation des lieux et des hommes - que leur lecture devient indispensable si nous voulons comprendre les événements récents surgis de ces régions, ainsi que leurs conséquences prévisibles pour l’Europe. "

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