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femme

  • Le mythe de Perséphone...

    Les éditions du Verbe Haut viennent de publier un essai de Peggy Larrieu intitulé Le mythe de Perséphone - La femme et la mort, avec une préface de Michel Maffesoli.

    Peggy Larrieu est maître de conférences en droit privé et sciences criminelles à l’Université d’Aix-Marseille. Elle mène depuis une quinzaine d’années ses recherches dans des domaines connexes à la discipline juridique. Elle a déjà publié plusieurs livres autour des thématiques du droit, des mythes et des neurosciences.

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    " Les poncifs actuels désignent le rôle de la femme dans la société occidentale comme étant en transition depuis mai 68, qui puise ses racines dans la Renaissance et les mouvements révolutionnaires. Or, Peggy Larrieu, dans ce livre novateur, montre que la place de la femme est en perpétuelle modification depuis les débuts de l’humanité. Pour ce faire, et de manière didactique, l’auteur part d’un principe aussi simple que puissant : la femme donne la vie, elle donne donc la mort. Et si la peur des femmes n’était, au fond, qu’une simple peur de la mort ?

    Si tel est le cas, la désacralisation de notre monde, par l’avènement du wokisme ou de la cancel culture, ne tenterait pas de « libérer la femme », mais bien de l’enfermer dans un monde dans lequel la mort serait l’étrange absente de la vie.

    À travers une analyse pertinente et inédite du mythe de Perséphone, Peggy Larrieu trace une véritable histoire de la femme à travers les âges. Enfermée, libérée, capturée, dominante ou dominée, cette figure ancestrale évolue au fil des changements anthropologiques. Patriarcat, matriarcat, influences orientales, créations juridiques, tous les éléments de la construction de notre civilisation sont étudiés pour faire résonner le rôle de la femme, ou de son absence, dans notre modernité.

    Puisant dans une riche littérature mythologique, anthropologique, sociologique et universitaire, Peggy Larrieu livre ici un ouvrage atypique qui semble proposer une sortie de crise par le haut : remettre l’altérité au cœur de nos vies. "

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  • Pourquoi elle n'est pas féministe...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une utile mise au point de Thaïs d'Escufon consacrée au féminisme.

    Porte-parole talentueuse et courageuse du mouvement Génération identitaire, Thaïs d'Escufon développe désormais avec brio une activité de publiciste sur les réseaux sociaux.

     

                                               

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  • Hommes et femmes : différences et complémentarités...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le deuxième numéro des Dessous de la Science, la nouvelle émission de TV Libertés consacrée aux sciences et aux techniques et présentée par Nicolas Faure et Floriane Jeannin. A côté de la sélection commentée des principales informations scientifiques du mois et de la rubrique "Controverse", le dossier de l'émission est consacré aux différences hommes/femmes, avec le biologiste Yves Christen !

     

     

                                              

     

                                         

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  • La place de la femme dans l'art européen...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une vidéo de l'Institut Iliade consacrée à la représentation de la femme dans l'art européen.

     

                                        

    " Par delà la contingence des époques qui se succèdent demeurent des permanences esthétiques qui nous rappellent ce que nous sommes. L’art européen porte un regard anthropologique sur la femme qui lui est propre. Aucune autre civilisation n’a autant célébré la féminité dont les expressions sont multiples. Que la femme soit représentée comme figure cosmique, divinité, muse, miroir de sagesse, maîtresse du foyer ou encore combattante, nous faisons le constat que la tradition européenne a toujours donné un rôle central à la femme."

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  • Burkini : derrière la laïcité, la nation...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Mathieu Bock-Côté, cueilli sur le Figaro Vox et consacré à la polémique autour du burkini. Québécois, l'auteur est sociologue et chroniqueur à Radio-Canada et est déjà l'auteur de plusieurs essais. Il vient de publier Le multiculturalisme comme religion politique aux éditions du Cerf.

     

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    Burkini : derrière la laïcité, la nation

    Longtemps, devant la poussée de l'islamisme conquérant et la progression des mœurs qu'on lui associe, la France a cru que la laïcité était sa meilleure, et peut-être même sa seule ligne de défense. C'est en son nom que la France a cherché, sans trop y parvenir nécessairement, à contenir la progression du voile musulman, qui s'est d'abord présentée comme une revendication politique à l'école. Il fallait, disait-on, lutter contre les signes religieux ostentatoires et éviter le débordement des religions dans l'espace public mais on refusait plus souvent globalement de nommer l'islam, qui ne poserait pas de problèmes spécifiques. Tout comme la République avait remis le catholicisme à sa place en d'autres temps, elle se tournerait aujourd'hui vers l'islam. C'était le grand récit de la laïcité sûre d'elle-même.

    Au fil du temps, toutefois, on a constaté que la laïcité était moins efficace que prévu devant une religion qui n'était pas simplement un double du catholicisme - toutes les religions ne sont pas interchangeables, d'ailleurs. Les mauvais esprits notèrent que la laïcité se montra à l'endroit de l'islam bien plus clémente qu'elle ne l'avait jamais été envers le catholicisme. Surtout, on a constaté que la laïcité laissée à elle-même, détachée de ce qu'on pourrait appeler les mœurs françaises, peut-être retournée contre les objectifs qu'on lui avait assignés. Ces dernières années, on a assisté à une redéfinition minimaliste de la laïcité, qui ne devrait plus chercher à contenir publiquement l'expression des religions. Et si un individu entend exprimer ses préférences spirituelles avec des vêtements particuliers, il devrait en être libre, même si la chose peut choquer une majorité vite accusée d'être frileuse et bornée.

    On accusera surtout la laïcité de ne pas être neutre culturellement. La laïcité à la française serait d'abord et avant tout française. On lui reprochera même d'être le masque universaliste d'une culture particulière, qui chercherait, à travers elle, à maintenir et reconduire ses privilèges - c'est d'ailleurs le mauvais procès qu'on fait souvent au monde occidental, en oubliant que l'universalité n'est jamais immédiate et qu'elle a besoin, conséquemment, de médiations. Ceux qui souhaitent une société absolument universaliste, purifiée de son ancrage historique particulier, désirent en fait une société déracinée et désincarnée, délivrée de son expérience historique. Le modèle du patriotisme constitutionnel habermassien n'est pas adapté à l'homme réel. La culture n'est pas extérieure à l'homme, elle est constitutive de son identité.

    Paradoxalement, il y a une part de vérité dans ce procès: la laïcité à la française est effectivement inscrite dans une culture particulière, mais elle n'a pas à rougir de cela. Elle en représente certainement un pan important: c'est à travers la laïcité que la France entend réguler politiquement les religions. On ne saurait toutefois faire de la laïcité la seule expression légitime de l'identité française, qui la transcende et la déborde. Mais les nations occidentales, et la France ici connaît le même sort que les autres, ont tellement de difficulté à penser et assumer leur particularisme historique et leur héritage culturel singulier qu'elles ne savent plus vraiment comment lui assurer une traduction politique. Dès lors qu'on ne définit plus la nation comme une réalité historique mais comme une communauté de valeurs, on tombe dans ce piège qui condamne la nation à l'impuissance parce qu'elle ne parvient plus à expliciter son identité.

    C'est tout cela que fait ressortir la querelle du burkini, qui ne porte pas que sur un morceau de vêtement, mais qui est un des signes visibles d'une forme d'agressivité identitaire à l'endroit des sociétés occidentales. La question du burkini, autrement dit, révèle l'impensé culturel de nos sociétés. C'est ce que disait à sa manière Henri Guaino en soutenant qu'elle posait moins un problème à la laïcité au sens strict qu'un problème de civilisation. En d'autres mots, on ne saurait se contenter d'une défense désincarnée de la civilisation occidentale, mais on devrait et on devra trouver une manière d'assumer politiquement la notion d'identité collective, chaque nation le faisant à sa manière, naturellement. De quelle manière conjuguer la citoyenneté avec les mœurs et inscrire l'identité dans la vie commune?

    La chose n'est pas simple. Un certain libéralisme a complètement remodelé l'imaginaire démocratique en poussant à la privatisation complète des cultures, au point même de dénier leur existence. En parlant sans cesse de leur hybridité ou de la leur diversité, on en vient à croire qu'elles sont insaisissables et dénuées d'ancrages dans le réel. C'est faire fausse route. Si une culture n'est pas une essence, non plus d'une substance à jamais définie, comme si elle était dégagée de l'histoire, elle n'est pas sans épaisseur concrète non plus. Une culture, en fait, se noue dans un rapport à l'histoire et en vient à modeler l'expérience humaine de manière particulière. Elle s'exprime à travers des mœurs, qui lient une société au-delà des simples formes juridiques. Toutefois, car on ne saurait codifier juridiquement les mœurs sans les tuer ou les étouffer, de quelle manière conserver une culture sans pour autant l'enfermer dans un carcan juridique?

    La thèse est proscrite dans la sociologie officielle, mais toutes les cultures ne sont pas faites pour cohabiter dans un même espace politique. Ce qui heurte autant le commun des mortels dans le burkini, c'est qu'il représente un symbole agressif et militant du refus de l'intégration au monde occidental par une frange de l'islam qui ne doute pas de son droit de conquête. Il est devenu emblématique d'un communautarisme qui se définit contre la société d'accueil et qui entend même contester de la manière la plus visible qui soit sa manière de vivre et ses représentations sociales les plus profondes. Si le burkini heurte autant, c'est qu'il symbolise, bien plus qu'un refus de la laïcité. Il représente un refus de la France et de la civilisation dans laquelle elle s'inscrit. C'est le symbole militant d'une dissidence politique hostile qu'un relativisme inquiétant empêche de voir.

    Le burkini inscrit une frontière visuelle au cœur de l'espace public entre la nation et un islam aussi rigoriste que radical qui réclame un monopole sur la définition identitaire des musulmans, qu'il ne faudrait d'ailleurs pas lui concéder. Combattre le burkini s'inscrit ainsi dans une longue bataille qui s'amorce à peine contre un islamisme conquérant qui veut faire plier les sociétés européennes en imposant ses codes, et cela, en instrumentalisant et en détournant plus souvent qu'autrement les droits de l'homme, car il travaille à déconstruire la civilisation qui a imaginé les droits de l'homme. C'est dans une même perspective que la France a décidé d'interdire le voile intégral dans les rues ou les signes religieux ostentatoires à l'école. Il n'y a rien de ridicule à prendre au sérieux la portée politique de tels vêtements.

    En un sens, il faut pousser l'islam à prendre le pli du monde occidental. Une pédagogie compréhensive ne suffira pas: il faut, d'une manière ou d'une autre, rappeler que la civilisation occidentale n'est pas optionnelle en Occident et que la culture française n'est pas optionnelle en France. C'est ainsi qu'à terme pourra émerger un islam de culture française acceptant d'évoluer dans un pays laïc de marque chrétienne. De ce point de vue, l'interdiction du burkini est légitime, même si certains peuvent préférer d'autres solutions. Les pays anglo-saxons qui se gaussent et ridiculisent la France en l'accusant de faire de la politique autour d'un maillot de bain témoignent d'un aveuglement politique effarant. En sermonnant la France, ils célèbrent leur propre vertu de la tolérance, sans se rendre compte qu'ils ont déjà capitulé en banalisant des pratiques ségrégationnistes.

    Et encore une fois, la gauche multiculturaliste se laisse prendre dans un piège qui l'amène à embrasser une pratique communautariste objectivement régressive qu'elle dénoncerait vigoureusement si elle se réclamait de la religion catholique. Mais elle est tellement habitée par le fantasme d'un Occident néocolonial et islamophobe qu'elle embrasse systématiquement tout ce qui le conteste. La sacralisation des minorités et de leurs revendications, quelles qu'elles soient, repose d'abord sur une diabolisation des majorités, toujours accusées d'être frileuses, portées au repli identitaire et animées par une pulsion xénophobe qu'il faudrait étouffer. Le burkini devient alors paradoxalement le nouveau symbole du combat pour les droits de l'homme, désormais associé aux revendications d'un islam qu'on s'imagine persécuté en Occident.

    On me permettra une dernière considération. Pour peu qu'on reconnaisse qu'une civilisation, fondamentalement, noue ses premiers fils anthropologiques dans la définition du rapport entre l'homme et la femme, on peut croire que c'est la grandeur du monde occidental d'avoir mis de l'avant l'idée d'une visibilité de la femme, appelée à prendre pleinement ses droits dans la cité. Le burkini témoigne d'un tout autre rapport au monde: la femme, dans l'espace public, doit être voilée, masquée, dissimulée. Elle est ainsi niée et condamnée à l'effacement culturel. La question du burkini témoigne moins d'une querelle sur la laïcité que d'un conflit des anthropologies et d'une contradiction des codes les plus intimes qui les définissent. Quelle que soit la solution politique ou culturelle retenue, le monde occidental ne doit pas céder aux illusions humanitaires qui l'amèneraient à banaliser un symbole aussi ouvertement hostile à son endroit.

    Mathieu Bock-Côté (Figaro Vox, 18 août 2016)

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  • Dur d'être féministe...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Sylvain Pérignon, cueilli sur le site du Cercle Aristote et consacré à la pitoyable réaction des milieux féministes face aux très nombreuses agressions sexuelles commises par des "migrants" dans les divers pays d'Europe...

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    « Dur d'être féministe... »

    Tout allait bien sur le front des luttes féministes. Lors de la COP 21, Ségolène Royal affirmait sans rire que l’égalité hommes-femmes était une des conditions indispensables à la réussite de la lutte contre le réchauffement climatique. Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes publiait un « Guide pratique pour une communication publique sans stéréotype de sexe », bible de la nouvelle police du langage. L’Assemblée Nationale avait fini par voter une TVA réduite sur les protections périodiques, après une campagne militante contre la « taxe tampon ». Par contre, les mousses à raser pour les hommes restaient soumises au taux maximal de TVA, soit 20 %. La direction du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême, après avoir sélectionné trente nominés tous mâles pour son Grand Prix, avait fait machine arrière et regretté cette bourde sexiste, car « la culture doit être exemplaire en matière de parité et de respect de la diversité », ainsi que le rappelait Fleur Pellerin, ouvrant d’intéressantes perspectives à la logique des quotas. Bref, le système hétéro-patriarcal faisait eau de toutes parts.

    Mais cette marche tranquille vers la cité radieuse où seront bannies toutes les discriminations sexistes s’est heurtée à quelque chose de sidérant : À Cologne et dans d’autre villes d’Allemagne ou d’Europe, la nuit de la Saint-Sylvestre s’est transformée en cauchemar  pour des centaines de femmes  subissant exactions  et agressions sexuelles de masse, de la part de  jeunes migrants. En une nuit, toutes les niaiseries sur les beautés du multiculturalisme forcément heureux et du vivre-ensemble-qui-nous-enrichit-de-nos-différences ont été balayées par un vrai choc de civilisation.

    On sait que la fraction la plus radicale du féminisme n’a qu’un ennemi, l’homme blanc, naturellement sexiste, colonialiste, esclavagiste et raciste , contre lequel doivent se liguer en un même combat ses victimes, les  femmes et les migrants anciens colonisés.

    Difficile d’appliquer cette grille de lecture aux événements du 31 décembre 2015 ! On a  d’abord eu droit au silence, puis au déni, puis à l’édulcoration, et enfin au n’importe quoi.  Quelques tweets méritent de passer à la postérité : « La manipulation nationaliste des crimes de Cologne est dangereuse pour les femmes » (Anne-Cécile Mailfert , présidente d’Osez le féminisme ) ; « Ceux qui me disent que les agressions sexuelles en Allemagne sont dues à l’arrivée des migrants : allez déverser votre merde raciste ailleurs » (Caroline de Haas ) ; « Entre avril et septembre 1945,environ 2 millions d’Allemande ont été violées par des soldats : le faute à l’Islam ? » (Clémentine Autain ).

    On a compris comment est noyé le poisson. Surtout ne pas laisser entendre qu’il pourrait y avoir un quelconque lien entre les scènes de chasse à la femme en Rhénanie et une culture arabo-musulmane qui a quand même un léger problème avec le statut de la femme, surtout lorsqu’elle n’est pas voilée. Affirmer bien fort qu’il n’y a rien de culturellement spécifique dans les comportements des agresseurs de la Saint-Sylvestre, mais une simple manifestation de la culture du viol présente dans toutes les sociétés, y compris les nôtres, une scène ordinaire de la prédation patriarcale.

    Un petit dérapage néanmoins de la part de Clémentine Autain, qui rappelle que viols et pillages ont toujours été les menus plaisirs des guerriers vainqueurs. Oserait-elle insinuer, de façon subliminale, que les migrants sont une armée conquérante ? On comprend que son tweet  ait été promptement retiré de la circulation.

    L’essentiel est de retomber sur ses pieds et d’accuser l’extrême droite islamophobe qui nous rejouerait « touche pas à la femme blanche ». «C’est comme si ces fachos défendaient un « cheptel » qui leur reviendrait face à la « concurrence » nouvelle que représentent les demandeurs d’asile», s’indigne Martha, une sexagénaire venue participer à la contre-manifestation. «Ces hommes ne s’intéressent pas à la situation des femmes ! Moi, je dis non aux violences sexuelles, qu’elles soient le fait d’Allemands, d’étrangers ou de réfugiés !» renchérit-elle ». C’est dans Libération du 10 janvier 2016.

    Les femmes d’Europe pourront quand même compter sur la solidarité active de leurs compagnons : Le 16 janvier, à Amsterdam, des hommes ont manifesté en minijupes pour protester contre l’agression des femmes. Doit-en en rire ou en pleurer ? On laissera le mot de la fin à Denis Pessin, qui légende « Pour le prochain carnaval de Cologne, choisissez bien votre déguisement » un dessin représentant une joyeuse farandole d’hommes et de femmes, les premiers en costume de fantaisie, les secondes voilées et longuement de noir vêtues… (Slate.fr, 7 janvier 2016).

    Après tout, c’est pratiquement ce que conseille aux femmes Henriette Reker, maire de Cologne.

    Soumission, disait Houellebecq…

    Sylvain Pérignon, (Cercle Aristote, 19 janvier 2016)

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