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diabolisation

  • Qui est l'extrémiste ?...

    Les éditions Intervalles viennent de publier un essai de Pierre-André Taguieff intitulé Qui est l'extrémiste ?.

    Philosophe, politologue et historien des idées, Pierre-André Taguieff est l’auteur d'essais importants qui ont contribué à mettre à mal la pensée unique comme  La Force du préjugé - Essai sur le racisme et ses doubles (La découverte, 1988), Résister au bougisme (Mille et une Nuits, 2001), Les Contre-réactionnaires : le progressisme entre illusion et imposture (Denoël, 2007), Julien Freund, au cœur du politique (La Table ronde, 2008), Du diable en politique - Réflexions sur l'antilepénisme ordinaire (CNRS, 2014) ou Les nietzschéens et leurs ennemis - Pour, avec et contre Nietzsche (Cerf, 2021).

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    La notion d’extrémisme est une notion confuse. Censée permettre l’élaboration d’une classification ou d’une cartographie des forces politiques, elle fonctionne surtout comme une forme de diabolisation de l’adversaire. Ceux qui recourent à ce terme polémique négligent souvent de définir précisément ce qu’ils considèrent comme l’expression du Mal absolu. Pour éviter les amalgames, il faut donc commencer par dissocier, dans le discours politique, les réflexes idéologiques des menaces objectives. 

    Les individus, les groupes ou les mouvements qu’on qualifie d’extrémistes font le plus souvent l’objet d’enquêtes idéologiquement orientées, dénuées de valeur scientifique. La volonté de stigmatiser et de dénoncer chasse alors celle de décrire, d’expliquer et de comprendre. 

    Cet ouvrage vise à reconstruire la catégorie d’extrémisme et à la rendre opératoire dans l’analyse des attitudes, des idéologies et des comportements politiques contemporains. Il s’agit d’abord de fixer la frontière entre le tolérable et l’intolérable. Alors peut-être pourra‑t‑on redéfinir un horizon politique désirable par-delà les extrémismes rivaux qui menacent ou brident nos libertés. "

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  • Feu sur la désinformation... (380)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Jules Blaiseau.

    Au sommaire :

    • 1 - L'image de la semaine
      Alban Gervaise, médecin militaire égorgé devant ses enfants à Marseille dans l'indifférence générale, a été inhumé. La réaction du corps des armées va vous choquer.
    • 2 - Canicule, le délire climatique
      La fin est proche selon les médias menteurs ! Jean-Yves le Gallou revient sur le matraquage forcené de la propagande du GIEC sur les plateaux de télé.
    • 3 - Revue de presse
      Notes du bac trafiquées, Jeanne d'Arc transsexuelle, les nouvelles effarantes du Stade de France et bien plus encore. Regardez l'actualité hebdomadaire d'un œil nouveau avec notre revue de presse.
    • 4 - Trump, Carlson, la diabolisation extrême?
      Rarement JT n'a été aussi diabolisant, odieux et bas que le 20h de France 2 du 11 juin ne l'a été avec Donald Trump et le présentateur de Fox News, Tucker Carlson. Pendant ce temps, "Killary" Clinton était invitée par France Culture ...

     

                                             

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  • Contre la diabolisation !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier dans leur collection Cartouches un court essai de Jean-Yves Le Gallou intitulé Manuel de lutte contre la diabolisation. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018).

     

    Le Gallou_Manuel de lutte contre la diabolisation.jpg

    " La diabolisation est une technique de manipulation des esprits. Elle vise à interdire la description des faits ou l’expression de certaines idées en disqualifiant celui qui les rapporte, en l’accusant de « racisme », d’« homophobie », de « populisme », d’« extrémisme », de « dérapage » ou de « provocation ». La diabolisation est l’arme majeure du terrorisme intellectuel. De la domination culturelle par les « progressistes ». Et de l’abaissement de l’Europe et des Européens par la culpabilité et la repentance. Ce livre vise à donner aux diabolisés la force et les moyens de relever la tête.

    Alors que faire? Ne pas plier le genou, relever haut la tête. Assumer, faire face, combattre les mensonges. Démasquer et contre diaboliser les diabolisateurs. "

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  • Feu sur la désinformation... (282)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : L’image de la semaine
      Au sommet du pic Saint-Loup dans l’Hérault, la croix coupée par des militants d’extrême gauche il y a quelques jours est de retour !
    • 2 : Covid-19. 2e vague : les médias surfent-ils sur les peurs ?
      Les journalistes ont multiplié les articles et les reportages sur la 2e vague, sur le retour des foyers de contamination ou encore sur le décès d’un enfant dû à la maladie de Kawasaki. Une focalisation qui interroge.
    • 3 : Revue de presse
      Argenteuil qui s’embrase dans le silence médiatique…
      Apolline de Malherbe condamnée pour un interrogatoire hargneux contre Juan Branco…
      Comme d’habitude, nous reviendrons dans cette émission sur l’actualité médiatique de la semaine !
    • 4 : Michel Onfray peut-il échapper à la diabolisation ?
      Avec le lancement de son média Front Populaire, Michel Onfray suscite l’intérêt mais aussi la défiance, notamment médiatique ! Le Monde a ainsi sorti un article particulièrement virulent contre ce projet.
    • 5 : Coup de chapeau
      Ce mercredi avait lieu le procès en appel des 5 jeunes militants qui s’étaient invités sur le toit d’une mosquée en construction à Poitiers en 2012 pour une action pacifique. Face à l’acharnement politico-judiciaire, Damien Rieu et ses amis ont fait preuve de courage et de sérieux.

     

                                          

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  • Les sept piliers de la crétinisation...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Maxime Tandonnet, cueilli sur son blog personnel et consacré au fonctionnement de notre société médiatique... Ancien haut-fonctionnaire, spécialiste des questions d'immigration, et désormais enseignant, Maxime Tandonnet a été conseiller à l'Elysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Il a donné un témoignage lucide et éclairant de cette expérience dans Au cœur du volcan (Flammarion, 2014).

     

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    Les sept piliers de la crétinisation

    Sept piliers de la crétinisation globale dans la société médiatique:

    • L’instinct grégaire: de temps à autre surgissent de grandes vagues d’hystérie conformiste auxquelles il faut se confondre sous peine de passer pour le pire des salauds, et qui emportent les consciences comme des brins de paille: par exemple, « Charlie » en 2015, « les migrants »,  le « Fillongate », l’euphorie des JO de 2024, le « balancetonporc » en ce moment.
    • Le mythe du chef : un matraquage permanent autour de l’idée que l’avenir collectif dépend d’une seule personne, d’un visage, d’une silhouette, alors que les ressorts de la décision, dans une société moderne et ouverte sont d’une infinie complexité. Le matraquage permanent autour de « l’homme providentiel », construction médiatique fondée sur la posture et la communication, est là pour nous faire oublier la disparition de l’homme d’Etat au service du seul l’intérêt général.
    • Le mépris des gens: nous revivons l’ère de la « vile multitude », le peuple est supposé stupide et irresponsable: les sans dents, les fainéants, les jaloux… Ses valeurs, ses objectifs, ses ambitions, sont nuls et non avenus. Il doit être éclairé et non écouté.
    • La diabolisation positive: la société médiatique a besoin  d’épouvantails pour imposer ses codes et ses valeurs, de contre-modèle auxquels assimiler abusivement toute pensée ou ressenti divergeant de la norme: tel est le secret du lepénisme et de l’acharnement phénoménal des médias à assurer sa promotion tout en préservant son caractère infréquentable, et le secourir dès qu’il vacille, par une spectaculaire surreprésentation.
    •  La propagande idéologique assumée: l’impartialité, l’honnêteté intellectuelle, le pluralisme et le débat d’idées sont des principes surannés. Toute présentation des choses est forcément partiale ou « engagée », (sur l’immigration, l’Europe, la France, la sécurité, l’économie, l’éducation) la mission du monde médiatique n’est pas de fournir des éléments de réflexion, mais de forger et forcer l’opinion, la mettre sur le chemin du supposé « bien ». Les faits s’effacent devant le message idéologique.
    •   La « table rase« : la manipulation est d’autant plus forte, massive et efficace que les individus sont privés d’un socle de connaissance et de références personnelles. La mémoire est profondément subversive, donc il faut l’éradiquer. La conscience des drames de l’histoire dus au conformisme bêlant (les accords de Munich par exemple), les désastres résultant du culte de la personnalité, doivent être ensevelis et oubliés pour le pas perturber l’ordre nouveau.
    • Les œillères: il ne faut surtout pas se préoccuper pour l’avenir et chacun doit avancer les yeux fermés. Le futur est comme un grand soleil que nul n’a le droit de regarder sauf à se brûler les yeux et celui qui s’y intéresse, s’interrogeant sur l’avenir de la planète au regard des enjeux démographique ou de l’islamisme radical, notamment, qui sont explosifs, est étiqueté pessimiste, c’est-à-dire ringard, maudit, pestiféré.

    Il est étrange de songer à quel point les caractéristiques des régimes totalitaires du XXe siècle, que l’on croyait définitivement abattus, ressuscitent  et se perpétuent au point de constituer les piliers de nos sociétés modernes.

    Maxime Tandonnet (Le Blog de Maxime Tandonnet, 6 novembre 2017)

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  • La russophobie, annonciatrice de la prochaine guerre européenne ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à l'analyse des causes de la russophobie chronique du Système, qui connait à l'occasion de l'affaire Skripal une nouvelle poussée...

    Haut-fonctionnaire et animateur de la Fondation Polémia, Michel Geoffroy vient de publier La Superclasse mondiale contre les peuples (Via Romana, 2018).

     

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    La russophobie, annonciatrice de la prochaine guerre européenne ?

    Il ne se passe plus une semaine sans que la Russie soit mise en cause, directement ou indirectement, dans les médias mainstream et par les gouvernements occidentaux. Aujourd’hui, le Premier Ministre britannique accuse la Russie d’être « probablement responsable » (sic) de la mort de l’espion Sergueï Skripal et de sa fille Youlia.
    La russophobie devient une composante majeure du politiquement correct occidental.
    Mais que signifient en réalité cet acharnement et cette russophobie d’Etat ?

    C’est de plus en plus la faute aux Russes !

    Hier, on accusait les réseaux russes d’être à l’origine de la victoire du centre droit et de la Ligue du Nord lors des élections générales en Italie. Comme les démocrates américains accusaient les Russes d’avoir déstabilisé la candidature d’Hillary Clinton. Ou d’avoir « désinformé » les britanniques pour les conduire à choisir le Brexit.

    La chaîne Arte, dans son reportage du 6 mars dernier sur les mouvements pro-vie, y voyait bien sûr l’influence perverse des oligarques russes. Et on n’oubliera pas la Syrie, où tout est prétexte à mettre en cause le soutien russe au gouvernement de Bachar El Assad, alors qu’il a permis de mettre Daesh à genoux.

    A tout instant, la Russie devient le bouc émissaire en Occident. Des attaques de hackers ? Russes évidemment. Des sportifs privés de leur drapeau national par le Comité Olympique ? Des sportifs russes évidemment. Des « fake news » ? Exclusivement russes bien sûr.

    La russophobie devient le prêt à penser occidental.

    Mais dans quel but en réalité ?

    Les russophobes : la voix de leurs maîtres

    D’abord, les médias mainstream, propriété de l’oligarchie transnationale, ne font en la matière qu’appliquer la stratégie fixée par les Etats Unis depuis la chute de l’URSS : empêcher par tous les moyens la constitution d’une Europe « de l’Atlantique à l’Oural », pour reprendre la célèbre formule du Général De Gaulle, c’est-à-dire une alliance stratégique entre l’Europe et la Russie, susceptible d’équilibrer et finalement de contrebalancer la surpuissance américaine.

    La diabolisation de la Russie, qui est paradoxalement plus importante que lorsque l’URSS existait, sert ainsi à créer un obstacle psychologique à une telle alliance, en présentant ce pays comme un perpétuel agresseur, une perpétuelle menace.  Et par la même occasion, elle sert à diaboliser aussi ceux qui, en Europe, rêvent d’une Europe Puissance, en les accusant d’être des agents« de Poutine ».

    La Super Classe Mondiale qui a pris le pouvoir en Occident après la chute de l’URSS s’efforce en effet de maintenir par tous les moyens le leadership américain, car elle a besoin de lui pour faire avancer son projet de gouvernement mondial. Et pour semer le chaos partout, afin d’affaiblir les Etats-Nations qu’elle veut supplanter.

    En diabolisant la Russie, les médias et les gouvernements européens n’expriment donc, une fois encore, que la voix de leurs vrais maîtres : la Super Classe Mondiale.

    La russophobie : diaboliser ceux qui défendent les vraies valeurs

    En outre, la Russie incarne, comme justement nombre de pays de l’ex Pacte de Varsovie, des valeurs qui vont à l’encontre de la doxa libérale/libertaire et cosmopolite qui s’est imposée en Europe occidentale.

    Ces pays sont notamment patriotes, hostiles à l’immigration comme à l’islamisation, soucieux de préserver leur identité et leur religion chrétienne et adoptent une politique familiale dynamique et respectueuse des traditions morales. Tout le contraire de l’idéologie occidentale !

    La Russie incarne donc, non seulement un adversaire stratégique, mais aussi idéologique pour la Super Classe Mondiale qui règne au Forum de Davos. Elle devient pour cette raison, de plus en plus, un adversaire à abattre.

    La russophobie cache en effet l’attitude de plus en plus agressive et belliqueuse qu’adoptent les Occidentaux, et notamment les anglo-saxons, vis-à-vis de la Russie, selon un processus classique d’inversion accusatoire.

    La russophobie : une propagande de guerre

    En effet les Etats-Unis n’ont nullement renoncé à leur traditionnelle politique d’encerclement stratégique de la Russie, malgré la fin de la menace communiste en Europe et la fin des blocs Est/Ouest. Comme ils ne renoncent pas à la déstabilisation ou à la mise en tutelle de tous les pays musulmans anciens alliés de l’URSS. Comme ils multiplient les sanctions économiques vis-à-vis de la Russie. Comme l’ambassadeur américain à l’ONU, Nikki Halley, ne cesse de multiplier les provocations verbales vis-à-vis du « régime de Poutine » comme elle le dit bien peu… diplomatiquement.

    Contrairement à ce qu’ils avaient promis au gouvernement russe lors de la chute du mur de Berlin, les Occidentaux n’ont donc eu de cesse d’étendre l’OTAN, organisation dominée par les Etats-Unis, aux pays de l’ex Pacte de Varsovie, par le truchement des révolutions colorées. L’opération Euromaïdan – où les services secrets occidentaux ont joué un rôle des plus troubles – a servi ainsi à empêcher tout rapprochement économique entre l’Ukraine – pays ruiné – et la Russie. Et à renforcer l’encerclement de la Russie.

    Les Etats-Unis, non contents de remettre en cause l’équilibre nucléaire en Europe, n’hésitent d’ailleurs pas à vendre des armes antichars sophistiquées aux Ukrainiens, armes qui ne peuvent servir que contre la Russie. De même, l’OTAN multiplie les gesticulations militaires dans les pays baltes, dans une logique d’affrontement avec l’armée russe : une logique belliqueuse présentée évidemment sous l’angle de la protection de ces pays ! Mais une logique qui ravit les Etats-Majors européens puisque ceux-ci n’ont eu de cesse de se préparer à une guerre qui… n’a jamais eu lieu en Centre Europe, au grand dam de l’OTAN.

    Sur ce plan, force est de constater que l’élection de Donald Trump n’a rien changé du tout, sans doute parce que la politique internationale américaine relève plus désormais de « l’Etat profond » que des institutions démocratiques de ce pays.

    Danger russophobie !

    La russophobie occidentale n’est donc pas seulement ridicule. Elle n’est pas seulement une forme de racisme d’Etat, qui fait du peuple russe un coupable ou un danger par essence.

    Elle est surtout dangereuse car elle prépare les esprits européens à un affrontement avec la Russie : elle véhicule des bobards de guerre, un « bourrage de crâne » comme on disait pendant la Grande Guerre, qui toujours annoncent la vraie guerre !

    En effet, la Super Classe Mondiale n’a nullement renoncé à la guerre pour parvenir à ses fins. Car le monde est en passe de lui échapper. La puissance des anglo-saxons – qui constituait le cœur nucléaire de l’oligarchie occidentale – ne cesse de décliner à l’échelle du monde, dans tous les domaines et pas seulement économiques. Et les oligarques le savent bien.

    Les médias mainstream s’efforcent de nous cacher ce grand secret : le monde échappe aux mondialistes parce qu’il devient de plus en plus multipolaire. Parce que de grandes civilisations – notamment en Eurasie – se réinventent et veulent se libérer de la tutelle occidentale. Et qu’elles acquièrent de plus en plus les moyens de le faire.

    On ne peut donc exclure que certains oligarques anglo-saxons ne soient tentés, une nouvelle fois, de miser sur un conflit mondial pour maintenir leur leadership, c’est-à-dire leur domination et leur projet liberticide de gouverner le monde à leur seul profit.

    Un tel conflit serait évidemment catastrophique pour l’Europe qui serait certainement, de nouveau, un « théâtre d’opérations ». Mais cela n’entrerait-il pas aussi dans les intentions de la Super Classe Mondiale de détruire cette fois définitivement les Européens ?

    Il faut donc dénoncer les russophobes médiatiques européens pour ce qu’ils sont : non seulement des imbéciles, mais aussi des fauteurs de guerre au service de la Super Classe Mondiale.

    Michel Geoffroy (Polémia, 16 mars 2018)

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