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  • Nomination de François Bayrou Premier ministre : le hold-up final d’une république à l’agonie...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, et consacré à la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre...

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    Nomination de François Bayrou Premier ministre : le hold-up final d’une république à l’agonie

    François Bayrou, Premier ministre. Rien qu’à écrire ces mots, un étrange mélange de dégoût et de lassitude s’installe. L’insipide maire de Pau, l’éternel candidat sans victoire à la présidentielle, celui qui incarne jusqu’à la caricature le pire des arrangements politiciens, a été élevé à Matignon. Quelle gifle pour les Français, quelle insulte pour un peuple déjà à genoux, écrasé par des décennies de trahisons et d’abandon. Cette nomination est bien plus qu’une absurdité : c’est un bras d’honneur monumental, une ultime provocation de la caste dirigeante qui, en pleine décomposition, refuse de céder la moindre parcelle de pouvoir.

    Un électorat floué, une nation sacrifiée

    L’arrivée de Bayrou à Matignon est l’illustration parfaite du hold-up politique permanent que subissent les Français. Pendant que les électeurs du Rassemblement national et de La France insoumise — représentant près de la moitié du corps électoral — sont constamment floués, on recycle les mêmes têtes, les mêmes barons, les mêmes combinards qui s’échangent les postes comme des cartes à jouer. Le message est clair : peu importe pour qui vous votez, tout restera sous contrôle.

    C’est à se demander pourquoi les Français devraient encore se donner la peine de voter. Quand, après des mois de crise, de colère et de fractures, le système répond par la nomination d’un homme symbole du consensus mou, on comprend que les élections sont un leurre. Une supercherie. Un piège à cons.

    La Vème République : une machine à broyer les peuples

    La Vème République n’est plus qu’un cadavre qu’on maquille pour tenter de cacher sa décomposition avancée. Le système institutionnel, conçu pour un général visionnaire comme de Gaulle, est devenu une machine infernale au service d’une oligarchie hors-sol. Ce système n’est plus au service des Français, mais bien de ceux qui se servent des Français.

    Regardez l’état du pays. Une éducation nationale en miettes, qui sacrifie nos enfants au profit de dogmes égalitaristes et désincarnés. Un système de santé à genoux, incapable de soigner dignement les malades faute de moyens et de volonté politique. Une insécurité galopante qui gangrène chaque recoin du territoire. Et une immigration massive, débridée, qui transforme jour après jour le visage de notre pays en un cauchemar multiculturel imposé.

    Et face à cela ? Rien. Strictement rien. Bayrou à Matignon, c’est le symbole d’une classe dirigeante qui s’accroche à ses privilèges comme des rats à une épave. Ils savent que la Vème République est à bout de souffle, mais ils feront tout pour la sauver, car elle est leur rempart, leur citadelle. Peu leur importe que les Français crèvent à petit feu, tant que leurs postes, leurs réseaux et leurs carrières sont préservés.

    Les complices du système

    Et que dire de ceux qui prétendent incarner l’opposition ? Marine Le Pen, Jordan Bardella, Jean-Luc Mélenchon… Ils appellent à voter, à croire encore et toujours à ces institutions vermoulues. Ils jouent le jeu, ils se plient aux règles du système, espérant un jour en hériter. Mais il faut être clair : rien ne changera. Tant que la Vème République subsistera, les Français continueront à être floués.

    Bayrou à Matignon est la preuve ultime que le système est verrouillé. Que les élections ne servent qu’à légitimer. Que voter, c’est cautionner. Les Français doivent ouvrir les yeux : leur abstention massive n’est pas un signe de faiblesse, mais un acte de rébellion silencieux. En refusant de participer à cette mascarade, ils dénoncent l’imposture.

    Cette nomination est une provocation, mais elle pourrait être un électrochoc. Les Français doivent comprendre que le salut ne viendra pas des urnes tant que le système restera intact. Il faudra renverser la table, redéfinir les règles, et bâtir un ordre nouveau, enraciné dans la volonté populaire et non dans les arrangements de palais.

    François Bayrou Premier ministre : l’épilogue d’une farce. Mais aussi, peut-être, le prélude d’une prise de conscience collective. Le temps presse, car pendant que la caste s’accroche, notre pays, notre civilisation s’écroulent. Le sursaut ou le chaos. Il n’y a plus d’alternative.

    Julien Dir (Breizh-Info, 14 décembre 2024)

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  • Feu sur la désinformation... (142)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : « Mois de la fierté » : Soyez normaux, soyez Homos!
      "Mois de la fierté", c’est l’époque des « Gay Pride » et des articles pro LGBT. Le lobby homosexualiste prend le pouvoir en diffusant une propagande non-stop : Un jour, les médias diffusent la nouvelle d’un homme qui va accoucher d’un enfant, le lendemain les journaux nous apprennent qu’un mariage entre 3 hommes a été reconnu. Facebook et Google sortent aussi de leur neutralité : le premier propose un bouton de réaction affichant le « rainbow flag », symbole de la communauté gay, et le second se met aux couleurs arc-en-ciel pour les recherches touchant la communauté LGBT.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Grand mercato dans les médias : Pour Jérôme Invanitchtchenko « on assiste à une chasse à l’homme blanc de plus de 50 ans dans les couloirs de France Télévision ». Après Julien Lepers, David Pujadas, c’est au tour de l’homme blanc de plus de 50 ans George Pernoud d’être évincé par Delphine Ernotte. Le présentateur de Thalassa sera remplacé par Fanny Agostini une jeune présentatrice de 29 ans.
      Natacha Polony une journaliste indésirable : Paris Première et Europe 1 n’ont pas renouvelé leur contrat avec la journaliste. C’est la fin de Polonium, mais aussi de « L’édito des éditos », les 2 seules émissions de Polony dans les médias mainstream.

    • 3 : Cagnotte des identitaires : Paypal courbe l’échine devant les médias
      Paypal gèle le compte des identitaires : c’est le coup d’arrêt pour la campagne de crowfunding « Defend Europe ». La pression médiatique a fait courber l’échine du service de paiement en ligne. Une première en la matière.
    • 4 : Les tweets de la semaine.
      Inversion accusatoire dans Ouest-France : le député de la Louisiane Steve Scalise blessé par balles, le 14 juin par un militant de Bernie Sanders, est présenté par le journal comme « un conservateur partisan des armes à feu ».
    • 5 : Bayrou /Ferrand : Bras de fer entre Macron et les médias
      Bataille entre l’Elysée et les médias autour des affaires Ferrand et Bayrou. Entre ces deux pouvoirs, qui va prendre l’ascendant ?

     

                                  

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  • La politique par l'injure !...

    La maison d'édition L'Editeur publie sous la direction de Bruno Fuligni un Dictionnaire des injures politiques. Rangés par ordre alphabétique, les hommes politiques se voient attribuer les injures, piques saillies et autres bons mots qui leur ont été adressées par leurs adversaires... ou par leurs "amis" ! Bruno Fuligni, maître de conférence à Sciences-po, est l'auteur de nombreux ouvrages dans lesquels il aborde parfois la politique sous des angles insolites, comme dans L'Etat, c'est moi (Editions de Paris, 1998) une histoire des monarchies privées et des principautés de fantaisie, ou dans Votez fou (Horay, 2007), un catalogue des candidats bizarres, utopistes, chimériques, mystiques, marginaux, farceurs et farfelus, de 1848 à nos jours... 

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    De la naissance de la République à nos jours, un florilège tour à tour amusant, ridicule et parfois terrible de ce que les hommes et les femmes politiques français ont dit et écrit de leurs adversaires.

    " Bayrou fait l’impression de l’amant qui craint la panne… "

    " Bernard Kouchner, un tiers-mondiste, deux tiers mondain."

    " Fabius est au Premier ministre ce que le Canada Dry est à l’alcool. "

    " La présidentielle, Hollande y pense en nous rasant. "

    Quand j’écoute Chirac, je pense à cette phrase d’un humoriste anglais : « Il ment tellement que l’on ne peut même pas croire le contraire de ce qu’il dit. »"

    " Ségolène Royal, une Frédégonde qui serait passée par la Star Ac ! "

    " Sarkozy est passé de la présidence bling-bling à la présidence couac-couac ! " 

     

    " Dépouillé de son auréole ou de ses attributs de croquemitaine, Dany-le-Rouge apparaît aujourd’hui réduit à ses véritables proportions : une Brigitte Bardot de

     

     

    la contestation, un produit publicitaire, comme on en fabrique chez Bleustein-Blanchet ou en première page de France-Dimanche."

     

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