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bayrou

  • Les snipers de la semaine... (298)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Hashtable, H16 dézingue l'incurie de  Bayrou et Macron...

    Finalement, Bayrou n’a été qu’une grosse perte de temps

    - sur Boulevard Voltaire, Arnaud Florac rafale lui aussi le gouvernement qui veut faire payer aux "Nicolas" la case provoquée par les "Kévin et Mathéo" à l'occasion des différentes émeutes...

    Coût des émeutes à répétition : l’idée géniale du gouvernement…

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  • Le problème c’est Macron !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy cueilli le site de Polémia et consacré au principal responsable de la crise politique dans laquelle nous sommes plongés.

    Ancien haut-fonctionnaire, Michel Geoffroy a publié le Dictionnaire de Novlangue (Via Romana, 2015), en collaboration avec Jean-Yves Le Gallou, ainsi que plusieurs essais, dont La Superclasse mondiale contre les Peuples (Via Romana, 2018), La nouvelle guerre des mondes (Via Romana, 2020), Immigration de masse - L'assimilation impossible (La Nouvelle Librairie, 2021), Le crépuscule des Lumières (Via Romana, 2021), Bienvenue dans le meilleur des mondes (La Nouvelle Librairie, 2023) et, dernièrement Occident go home ! - Plaidoyer pour une Europe libre (Via Romana, 2024).

     

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    Confiance : Bayrou n’est pas en cause, le problème c’est Macron

    Pour les médias de grand chemin la cause est entendue : le gouvernement Bayrou va prochainement tomber, faute de recueillir un vote de confiance de l’Assemblée nationale.
    Certes François Bayrou, âgé de 74 ans, manque de charisme et ne semble pas vraiment à la hauteur des menaces qu’il ne cesse d’agiter. Certes, aux termes de la Constitution, le gouvernement « détermine et conduit la politique de la nation ».
    Mais il ne faut pas se tromper de cible pour autant : le vrai responsable du désastre français, c’est Emmanuel Macron, qui est au pouvoir depuis plus de 10 ans : d’abord comme secrétaire général adjoint de l’Élysée en 2012, puis comme ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique en 2015, enfin comme président de la République depuis 2017.
    Alors que le fusible Bayrou n’est Premier ministre que depuis le 13 décembre 2024, il n’a pas eu le temps d’avoir un bilan ; mais le passif de plus de 10 ans de macronisme, lui, est extrêmement lourd.
    Il serait temps d’en tirer les conséquences.

    La France accumule les désastres

    On serait bien en peine, en effet, de trouver quelque chose de positif dans l’action d’Emmanuel Macron, que ce soit sur le plan intérieur ou sur le plan extérieur.
    Sur le plan intérieur, la communication a remplacé l’action et la France n’a cessé de s’enfoncer, accumulant les désastres.
    Désastre sécuritaire et migratoire, qui touche même les plus petites communes, livrées maintenant aux dealers.
    Désastre économique, puisque le président de la République s’est rallié en tout à l’idéologie libre-échangiste et mondialiste de la Commission européenne : la France s’est donc désindustrialisée, elle est en train de sacrifier son agriculture et sa balance commerciale accumule les déficits.
    Spectateur, le président se borne à déplorer les « mauvais » accords commerciaux que la Commission européenne « négocie », principalement à nos dépens.
    Désastre social, avec la déconstruction de la protection sociale pour les Français, le chaos éducatif qui a cassé l’ascenseur social et la remontée du chômage.
    Désastre financier, avec un endettement colossal et un coût croissant de sa dette, alors que l’État se montre incapable de contenir ses déficits malgré une pression fiscale parmi les plus élevées des pays de l’OCDE. Et alors que la crise financière pointe à l’horizon.

    Un président qui détruit au lieu de bâtir

    Désastre institutionnel, puisque le président ne dispose plus de majorité réelle au Parlement depuis la dissolution de 2014 et qu’il réunit moins de 20 % d’opinions favorables selon les sondages. Le régime des partis est donc de retour en France, avec son lot d’impuissance, de compromissions et de combines électorales.
    Désastre pour notre souveraineté enfin, parce qu’Emmanuel Macron a laissé, par européisme, la Commission européenne empiéter sur les droits des États, au mépris des traités européens.

    En réalité, depuis 2017, la France accumule les réformes inutiles, improvisées ou inachevées, qui détruisent au lieu de bâtir l’avenir.
    Comme on a sacrifié la politique énergétique sur l’autel de l’idéologie antinucléaire, comme on détruit EDF à la demande de l’UE, mettant en péril notre avantage compétitif de disposer d’une énergie bon marché. Comme on déconstruit les services publics, sans aucun profit réel pour les Français. Comme on n’a réformé qu’à moitié le système des retraites.
    Le domaine réservé : un désastre exemplaire

    Sur le plan extérieur, qui est plus que tout autre le « domaine réservé » du président de la République, le désastre est encore plus éclatant.
    François Hollande était certes souvent ridicule à l’étranger, bafouillant et se prenant les pieds dans les estrades et les tapis. Mais Emmanuel Macron, lui, est surtout un bavard du genre malfaisant.

    Pratiquant une diplomatie brouillonne et verbale, le président de la République a réussi en effet la performance de se brouiller avec à peu près tout le monde : avec l’Afrique, avec l’Algérie, avec Israël, avec la Russie, avec la Chine, avec les États-Unis, avec la Hongrie, avec l’Italie, avec l’Espagne…
    Devant les caméras, il tripote et embrasse tout le monde, mais en réalité il a fait perdre à la France son statut de puissance d’équilibre, sans rien obtenir de concret en échange.
    Il court derrière l’Ukrainien Zelensky, mais s’étonne de n’être plus écouté à Moscou. Il joue les « Européens », mais il courtise la Grande-Bretagne, qui ne fait plus partie de l’UE. Il demande au président du Burkina Faso d’aller « réparer la clim » et accuse les Russes de la perte d’influence de la France en Afrique. Il déclare que l’OTAN est en « état de mort cérébrale », mais ensuite il se rallie à tout ce qu’elle décide et il joue les va-t-en-guerre en Europe, avec une armée fantomatique. Il invite Mme von der Leyen dans ses déplacements à l’étranger, au grand étonnement de ses interlocuteurs. Et quand il demande à accompagner le chancelier allemand en Chine, il se fait remettre vertement à sa place par Berlin.
    Un président qui macrone

    Bref, il « macrone » tout le temps, comme le dit méchamment la presse ukrainienne : il parle bien, parfois en anglais, mais plus personne n’écoute la voix, désormais inaudible, de la France.
    Quelle image terrible donne ce président français, assis autour du bureau du président Trump le 18 août dernier, écoutant sagement, avec quelques collègues « européens », le vrai patron faire la leçon !
    Le pire tient à ce que ces échecs à répétition s’accompagnent d’une arrogance et d’un mépris sans limite pour ceux qui auraient l’audace de critiquer notre nouveau Mozart.
    « Les Français ne méritent pas mon mari » aurait dit Brigitte Macron, si l’on en croit la presse, lors d’un déplacement au Maroc. On a compris le message : si Macron est devenu « mauvais en tout » comme dit un personnage de Pagnol, c’est la faute à ces cochons de Français, pas la sienne.

    Un président qui matraque

    « Il faut se méfier de la première impression, c’est souvent la bonne », dit-on parfois avec ironie. La présidence Macron, née dans le complot et la violence, risque de confirmer l’adage.
    En 2017, Emmanuel Macron a été élu à la suite d’un complot médiatique et judiciaire ayant assuré sa promotion et éliminé son principal rival, François Fillon.
    La présidence Macron a ensuite significativement commencé avec la très violente répression du mouvement des Gilets jaunes, comme pour mieux souligner qu’elle inaugurait une coupure radicale entre le pays réel et le pays légal. Puis elle a continué avec la dictature sanitaire lors de la crise du Covid.
    Elle se poursuit aujourd’hui avec une censure et une répression croissante des opinions dissidentes, appuyée sur une Union européenne devenue eurofascisme, comme disent les Républicains américains.
    Et comme tout oligarque progressiste, notre génie de la finance et de la diplomatie ne tolère que les louanges et les journalistes complices, qui lui permettent de vivre dans sa bulle, à l’abri de la réalité qui dérange. Et d’accuser ses opposants de n’être que des fadas, des fachos, des complotistes ou des agents de Poutine. Des salauds sartriens qu’il faut donc faire taire.
    Emmanuel Macron ne gouverne pas, ou il gouverne mal, mais il s’accroche au pouvoir de plus en plus brutalement et de moins en moins démocratiquement.
    La censure du gouvernement Bayrou ne risque pas de calmer ses ardeurs dictatoriales.
    À moins que.

    Michel Geoffroy (Polémia, 26 août 2025)

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  • Feu sur la désinformation... (525) : Une affaire de pédophilie dont la gauche ne veut pas parler...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                              

    Au sommaire cette semaine :

    L'image du jour : Bayrou, le budget “choc” qui cache la forêt

    43,8 milliards € d’économies qui évitent soigneusement de parler des vrais problèmes en polarisant notamment sur les deux jours fériés qui devraient disparaître, le 8 mai et le lundi de Pâques. Une proposition de François Bayrou mais surtout une attaque encore et toujours contre le contribuable qui profite de ce jour chômé pour se réunir en famille.

    Le dossier du jour : Pierre-Alain Cottineau, un ancien candidat LFI et militant LGBT, mis en examen et placé en détention pour des actes pédocriminels

    Le Parisien nous a dévoilé du nouveau sur l’enquête concernant l’assistant familial de la région nantaise. Il serait à la tête d’un sordide réseau pédocriminel, dont la plus jeune victime serait un bébé de 5 mois. Une affaire que la gauche ne s’est pas précipitée de condamner et qui n’aura pas fait les grands titres sur Libération, France Info ou encore Le Monde.

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    Pastilles de l’info:

    • La France, premier adversaire de la Russie ? Historique d'une manipulation
    • Désinformation russe : l’enquête biaisée de BFMTV
    • Après BFMTV, Brut bientôt racheté par un milliardaire franco-libanais ?
    • Les incendies de voitures du 14 juillet dont personne ne parle !
    • Intervilles : l’effondrement d’un symbole télévisuel

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Michel Drucker, l'inoxydable homme médiatique...

     

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  • Feu sur la désinformation... (500) : Bayrou et la submersion migratoire

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin.

     

                                               

    Au sommaire cette semaine :

    L'image de la semaine :  Elias, fait divers ou francocide ?...

    Dossier du jour : Bayrou et son propos sur un "sentiment de submersion migratoire". Pourquoi certains sujets sont-ils tabous dans les médias traditionnels et comment les journalistes créent-ils un narratif qui pousse à interdire cette terminologie qui décrit pourtant le réel ?...

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    Pastilles de l’info:

    • Scandale EBRA : Le PDG Philippe Carli viré pour un like !
    • Star Academy : Ebony et Marine, la racialisation en question
    • Jacques Weber déchaîné sur RTL : Trump, « Ordure à Supprimer » ?
    • Musk : pourquoi cette diabolisation ?
    • Pujadas s'excuse : Le mea culpa d'un journaliste
    • Mélenchon : La réponse cinglante à Libé !
    • "Toutes pour une": La débâcle annoncée et consommée

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    Portrait piquant (en partenariat avec l’OJIM) : Léa Salamé, l'influente journaliste...

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  • Nomination de François Bayrou Premier ministre : le hold-up final d’une république à l’agonie...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info, et consacré à la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre...

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    Nomination de François Bayrou Premier ministre : le hold-up final d’une république à l’agonie

    François Bayrou, Premier ministre. Rien qu’à écrire ces mots, un étrange mélange de dégoût et de lassitude s’installe. L’insipide maire de Pau, l’éternel candidat sans victoire à la présidentielle, celui qui incarne jusqu’à la caricature le pire des arrangements politiciens, a été élevé à Matignon. Quelle gifle pour les Français, quelle insulte pour un peuple déjà à genoux, écrasé par des décennies de trahisons et d’abandon. Cette nomination est bien plus qu’une absurdité : c’est un bras d’honneur monumental, une ultime provocation de la caste dirigeante qui, en pleine décomposition, refuse de céder la moindre parcelle de pouvoir.

    Un électorat floué, une nation sacrifiée

    L’arrivée de Bayrou à Matignon est l’illustration parfaite du hold-up politique permanent que subissent les Français. Pendant que les électeurs du Rassemblement national et de La France insoumise — représentant près de la moitié du corps électoral — sont constamment floués, on recycle les mêmes têtes, les mêmes barons, les mêmes combinards qui s’échangent les postes comme des cartes à jouer. Le message est clair : peu importe pour qui vous votez, tout restera sous contrôle.

    C’est à se demander pourquoi les Français devraient encore se donner la peine de voter. Quand, après des mois de crise, de colère et de fractures, le système répond par la nomination d’un homme symbole du consensus mou, on comprend que les élections sont un leurre. Une supercherie. Un piège à cons.

    La Vème République : une machine à broyer les peuples

    La Vème République n’est plus qu’un cadavre qu’on maquille pour tenter de cacher sa décomposition avancée. Le système institutionnel, conçu pour un général visionnaire comme de Gaulle, est devenu une machine infernale au service d’une oligarchie hors-sol. Ce système n’est plus au service des Français, mais bien de ceux qui se servent des Français.

    Regardez l’état du pays. Une éducation nationale en miettes, qui sacrifie nos enfants au profit de dogmes égalitaristes et désincarnés. Un système de santé à genoux, incapable de soigner dignement les malades faute de moyens et de volonté politique. Une insécurité galopante qui gangrène chaque recoin du territoire. Et une immigration massive, débridée, qui transforme jour après jour le visage de notre pays en un cauchemar multiculturel imposé.

    Et face à cela ? Rien. Strictement rien. Bayrou à Matignon, c’est le symbole d’une classe dirigeante qui s’accroche à ses privilèges comme des rats à une épave. Ils savent que la Vème République est à bout de souffle, mais ils feront tout pour la sauver, car elle est leur rempart, leur citadelle. Peu leur importe que les Français crèvent à petit feu, tant que leurs postes, leurs réseaux et leurs carrières sont préservés.

    Les complices du système

    Et que dire de ceux qui prétendent incarner l’opposition ? Marine Le Pen, Jordan Bardella, Jean-Luc Mélenchon… Ils appellent à voter, à croire encore et toujours à ces institutions vermoulues. Ils jouent le jeu, ils se plient aux règles du système, espérant un jour en hériter. Mais il faut être clair : rien ne changera. Tant que la Vème République subsistera, les Français continueront à être floués.

    Bayrou à Matignon est la preuve ultime que le système est verrouillé. Que les élections ne servent qu’à légitimer. Que voter, c’est cautionner. Les Français doivent ouvrir les yeux : leur abstention massive n’est pas un signe de faiblesse, mais un acte de rébellion silencieux. En refusant de participer à cette mascarade, ils dénoncent l’imposture.

    Cette nomination est une provocation, mais elle pourrait être un électrochoc. Les Français doivent comprendre que le salut ne viendra pas des urnes tant que le système restera intact. Il faudra renverser la table, redéfinir les règles, et bâtir un ordre nouveau, enraciné dans la volonté populaire et non dans les arrangements de palais.

    François Bayrou Premier ministre : l’épilogue d’une farce. Mais aussi, peut-être, le prélude d’une prise de conscience collective. Le temps presse, car pendant que la caste s’accroche, notre pays, notre civilisation s’écroulent. Le sursaut ou le chaos. Il n’y a plus d’alternative.

    Julien Dir (Breizh-Info, 14 décembre 2024)

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  • Feu sur la désinformation... (142)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : « Mois de la fierté » : Soyez normaux, soyez Homos!
      "Mois de la fierté", c’est l’époque des « Gay Pride » et des articles pro LGBT. Le lobby homosexualiste prend le pouvoir en diffusant une propagande non-stop : Un jour, les médias diffusent la nouvelle d’un homme qui va accoucher d’un enfant, le lendemain les journaux nous apprennent qu’un mariage entre 3 hommes a été reconnu. Facebook et Google sortent aussi de leur neutralité : le premier propose un bouton de réaction affichant le « rainbow flag », symbole de la communauté gay, et le second se met aux couleurs arc-en-ciel pour les recherches touchant la communauté LGBT.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Grand mercato dans les médias : Pour Jérôme Invanitchtchenko « on assiste à une chasse à l’homme blanc de plus de 50 ans dans les couloirs de France Télévision ». Après Julien Lepers, David Pujadas, c’est au tour de l’homme blanc de plus de 50 ans George Pernoud d’être évincé par Delphine Ernotte. Le présentateur de Thalassa sera remplacé par Fanny Agostini une jeune présentatrice de 29 ans.
      Natacha Polony une journaliste indésirable : Paris Première et Europe 1 n’ont pas renouvelé leur contrat avec la journaliste. C’est la fin de Polonium, mais aussi de « L’édito des éditos », les 2 seules émissions de Polony dans les médias mainstream.

    • 3 : Cagnotte des identitaires : Paypal courbe l’échine devant les médias
      Paypal gèle le compte des identitaires : c’est le coup d’arrêt pour la campagne de crowfunding « Defend Europe ». La pression médiatique a fait courber l’échine du service de paiement en ligne. Une première en la matière.
    • 4 : Les tweets de la semaine.
      Inversion accusatoire dans Ouest-France : le député de la Louisiane Steve Scalise blessé par balles, le 14 juin par un militant de Bernie Sanders, est présenté par le journal comme « un conservateur partisan des armes à feu ».
    • 5 : Bayrou /Ferrand : Bras de fer entre Macron et les médias
      Bataille entre l’Elysée et les médias autour des affaires Ferrand et Bayrou. Entre ces deux pouvoirs, qui va prendre l’ascendant ?

     

                                  

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