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état de droit

  • En finir avec la dictature de l'"Etat de droit" !...

    Le 4 avril 2024, Martial Bild recevait, sur TV libertés, Bruno Mégret pour évoquer son roman de politique-fiction intitulé Salus Populi.

    Polytechnicien et énarque, numéro 2 et organisateur du Front national dans les années 90, puis fondateur du Mouvement national républicain, Bruno Mégret, retiré de la politique depuis 2008, a déjà publié un roman, Le temps du phénix (Cité Liberté, 2016).

     

                                            

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  • L’Etat de droit se meurt !...

    Le 8 avril 2022, Martial Bild recevait, sur TV libertés, l'avocat et chroniqueur Pierre Gentillet pour évoquer avec lui la crise de la représentation et de l’État de droit. Pierre Gentillet a été, sur les plateaux de télévision, une des figures de proue de la lutte contre les mesures liberticides prises à l'occasion de la crise sanitaire.

     

                                           

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  • La tyrannie juridique du politiquement correct...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bruno Mégret cueilli sur Polémia et consacré à l'état de droit comme outil permettant au système de maintenir son emprise sur la société.

    Ancien haut-fonctionnaire, numéro 2 et organisateur du Front national dans les années 90, puis fondateur du Mouvement national républicain, Bruno Mégret est retiré de la politique depuis 2008 et a publié en 2016 un roman de politique-fiction intitulé Le temps du phénix.

     

    Conseil constitutionnel.jpg

    L’État de droit ou la tyrannie juridique du politiquement correct

    Depuis quelques années, l’État de droit est devenu la nouvelle formule magique des apôtres du politiquement correct. Une formule qui revient de façon récurrente dans le discours de tous ceux qui défendent le statut quo. Après les droits de l’homme, après les valeurs de la République, l’État de droit est aujourd’hui le principal outil du Système pour maintenir son emprise idéologique sur la société et sur la nation.

    L’État de droit, un montage idéologique pernicieux

    Le dispositif est monté de façon particulièrement pernicieuse car, au premier abord, l’État de droit renvoie à l’idée qu’il faut à notre pays un cadre constitutionnel et législatif pour régir la vie nationale. Or qui aujourd’hui pourrait s’opposer à cette exigence et prôner l’arbitraire et le bon plaisir des puissants ? La formule de l’État de droit est donc censée s’imposer comme une évidence démocratique incontestable. Mais derrière cette première lecture, l’État de droit renvoie à un autre concept bien différent : celui selon lequel l’État doit être soumis au droit. Ce qui signifie que l’État, en l’occurrence la nation et donc le peuple, doivent être subordonnés aux juges qui disent et incarnent le droit.

    Le Conseil constitutionnel contre la souveraineté du peuple

    Or ce concept est déjà mis en application dans notre pays par le Conseil constitutionnel qui s’est arrogé le pouvoir de censurer les lois pourtant votées par les représentants du peuple souverain. Pour écarter les textes jugés non conformes, ce dernier n’hésite plus en effet à prendre des décisions d’opportunité aux fondements juridiques parfois plus qu’incertains. De plus, au-delà de cette instance suprême qui contrôle le législateur, le dispositif de l’État de droit  se trouve encore renforcé par l’influence grandissante du Conseil d’État et des juridictions administratives qui, n’hésitant plus à juger en opportunité des actes du gouvernement et de ses représentants, brident, eux aussi, l’action de l’exécutif.

    Le gouvernement des juges, une tyrannie juridique

    Ainsi a été mis en place un dispositif juridique qui limite le champ d’action des gouvernants comme des législateurs. Et, bien sûr, ce dispositif juridique, entièrement habité par l’idéologie politiquement correcte, s’oppose à tous les textes législatifs et réglementaires qui ne sont pas politiquement corrects. En d’autres termes, l’État de droit implique que le peuple n’est plus pleinement souverain ni totalement libre de ses choix et de son destin mais qu’il doit être enfermé dans un cadre juridique infranchissable fixé et défendu par le pouvoir judiciaire. Un pouvoir qui place ainsi sous sa tutelle le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif. L’État de droit, c’est le gouvernement des juges et leur tyrannie juridique.

    Dénoncer l’État de droit pour rendre le pouvoir au peuple

    Il n’est donc pas étonnant que les Français aient l’impression que leur vote ne sert à rien. Quel que soit leur choix, les élus qu’ils désignent sont aujourd’hui condamnés à rester dans l’enclos délimité par l’État de droit.  Aussi est-il essentiel de dénoncer cette imposture et de libérer le politique de cette contrainte paralysante qui prive le peuple de son pouvoir. L’État de droit est un concept qui n’a en réalité aucune légitimité. Il n’existe que sous un vocable inconnu il y a encore quelques années et qu’on ne trouve d’ailleurs ni dans le texte de la constitution ni dans  aucune loi.

    Réformer le Conseil constitutionnel pour rétablir la démocratie

    Pour rétablir la démocratie, rendre sa puissance au politique et se donner les moyens de relever les défis migratoires et civilisationnels qui menacent la France, il est donc essentiel de réformer les institutions  qui concourent aujourd’hui à cette tyrannie juridique, à commencer par le Conseil constitutionnel qui doit perdre son pouvoir de censurer les lois.

    La question de l’État de droit devrait être au cœur des débats de la présidentielle. Il est dramatique que ce ne soit pas le cas.

    Bruno Mégret (Polémia, 28 janvier 2022)

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  • Etat de droit : la dictature pacifique du mondialisme...

    Le 12 octobre 2021, Pierre Bergerault recevait sur TV libertés Ghislain Benhessa pour évoquer avec lui son essai Le Totem de l’Etat de droit (Toucan, 2021).

     

                                             

    " Jamais défini, étendu sans discontinuer par les juges, l'Etat de droit est devenu un véritable totem. Ce concept a connu une véritable ascension après la seconde guerre mondiale sous l'influence des démocraties libérales et de l'idéologie des droits de l'homme pour détruire la nation au profit de l'individu roi. La preuve, l'Union européenne, laboratoire du mondialisme, l'a placé au cœur de son logiciel pour coiffer son impérialisme. Dans son dernier ouvrage, l'avocat Ghislain Benhessa démontre comment nous sommes passés du "droit de l'Etat" à la primauté du droit sur l'Etat. Comment se libérer de cette Etat de droit qui est devenu la première entrave qui nous empêche de nous défendre ? L'auteur prône l'épreuve de force pour un retour à la souveraineté ! "

     
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  • Le Totem de l’Etat de droit...

    Les éditions du Toucan viennent de publier dans leur collection L'Artilleur un essai de Ghislain Benhessa intitulé Le Totem de l’Etat de droit - Concept flou, conséquences claires. Docteur en droit public, avocat et philosophe, Ghislain Benhessa est enseignant à l’Université de Strasbourg et est déjà l'auteur de plusieurs ouvrages dont L’Etat de droit à l’épreuve du terrorisme (L’Archipel, 2017).

     

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    « Ce qui distingue la civilisation de la barbarie, c’est l’Etat de droit ! » tonne le garde des sceaux Eric Dupont-Moretti.

    Face aux décisions du tribunal constitutionnel polonais, « Bruxelles ne peut plus tergiverser pour défendre les valeurs de l’Union et l’Etat de droit » affirme le journal Le Monde dans un éditorial solennel.

    Il ne se passe désormais plus une journée sans que responsables politiques, journalistes ou magistrats n’invoquent l’Etat de droit comme pierre angulaire de toute vie démocratique. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Et pourquoi le soudain surgissement de cette notion, alors qu’on n’a jamais entendu le général de Gaulle, Georges Pompidou ou même Valéry Giscard d’Estaing lui accorder la moindre considération ?

    Dans cette étude détaillée, appuyée sur les principaux arrêts et décisions des tribunaux nationaux et européens, Ghislain Benhessa retrace l’histoire juridique du concept d’Etat de droit et montre comment on est passé pour l’essentiel du « droit de l’Etat » à la prévalence du droit sur l’Etat.

    Une fois les mécanismes juridiques mis en lumière, le lecteur comprend pourquoi la France ne pourra pas affronter sérieusement les nombreux périls qui approchent (sécuritaires, industriels, géopolitiques ou culturels) dans une configuration où l’Etat est empêché par le Droit et où l’émancipation de l’individu a pris place, de fait, au sommet de la hiérarchie des normes.

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  • Le clivage en Europe est entre l'état de droit et la démocratie...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une chronique d'Éric Zemmour sur RTL, datée du 10 avril 2018 et consacrée à la victoire de Viktor Orban en Hongrie, qui traduit la montée en puissance de l'illibéralisme...

     

                                        

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