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état de droit

  • Pierre Gentillet : "Face à l'État de droit, le droit du peuple !"

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un entretien donné par Pierre Gentillet à Frontières/Livre noir pour évoquer la question de l’État de droit... Pierre Gentillet est avocat et s'est engagé sur le terrain pour s'opposer à l'installation d'un centre d'accueil pour migrants sur la commune de Belâbre dans l'Indre.

     

                                                

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  • La fin de l’illusion de l’État de droit : le contrat social est rompu en République française...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Julien Dir cueilli sur Breizh-Info et qui évoque la faillite de l’État de droit...

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    La fin de l’illusion de l’État de droit : le contrat social est rompu en République française

    Depuis des décennies, les élites politiques françaises ne cessent de brandir le terme « État de droit » comme une bannière sacrée. Ce concept, qui serait l’incarnation ultime de la justice et de la sécurité, nous est vendu comme le fondement de la République. Pourtant, derrière ce fantasme d’un État omnipotent et bienveillant, se cache une réalité tout autre : celle d’un contrat social rompu, d’un peuple trahi et d’une nation en déliquescence.

    Un État central pour protéger ses citoyens, en théorie…

    Historiquement, l’État centralisé s’est imposé en France, souvent de force, avec la promesse de protéger ses citoyens. En échange de cette soumission à une autorité centrale et de l’acceptation (parfois contrainte) de rendre ses armes à la République, les Français devaient obtenir trois choses essentielles : la sécurité, la santé et la prospérité. Ce contrat implicite, inscrit dans la tradition régalienne, a longtemps permis de justifier l’autorité de l’État sur ses citoyens. La sécurité des personnes et des biens, la protection contre les menaces extérieures et intérieures, mais aussi l’accès à des soins de qualité et à une éducation digne de ce nom constituaient le socle de cette entente.

    Or, que constate-t-on aujourd’hui ? La réalité de 2024 est à l’opposé de ces promesses. L’immigration incontrôlée, que l’État semble incapable, voire réticent, de gérer, fait peser sur la population une insécurité croissante. On en voit les conséquences tous les jours. Les Français, pourtant habitués à la douceur d’un modèle social protecteur, découvrent à présent que se soigner devient un parcours du combattant. Enfin, loin de la prospérité tant vantée, la pauvreté ne cesse de gagner du terrain, plongeant des millions de citoyens dans une précarité inquiétante.

    La sécurité : une promesse non tenue

    Première et plus fondamentale mission de l’État : assurer la sécurité de ses citoyens. Or, force est de constater que cet engagement est aujourd’hui un échec patent. L’explosion de la violence, en grande partie liée à une immigration massive et incontrôlée, est désormais le quotidien de nombreux Français. Les agressions, les meurtres, les actes terroristes ne sont plus des exceptions, mais des réalités que l’État de droit prétend combattre, sans jamais y parvenir. Les zones de non-droit, véritables enclaves étrangères sur notre propre sol, prolifèrent. Pendant ce temps, le citoyen français est désarmé, moralement comme légalement, incapable de se défendre, forcé de compter sur un État qui ne remplit plus son rôle.

    En vérité, les citoyens ont été dépossédés de leur droit naturel à se défendre. Pourtant, face à la démission de l’État, ne devraient-ils pas reprendre ce droit ? Quand l’autorité légitime faillit à protéger les siens, ne serait-il pas juste que les Français reprennent en main leur propre sécurité, rétablissant ainsi l’équilibre rompu par l’incapacité étatique ?

    Santé et prospérité : un modèle en déclin

    Le système de santé français, autrefois fleuron de la République, est aujourd’hui en ruine. La faute à une gestion déplorable notamment en matière de formation et de recrutement, à une surcharge due à une immigration massive, et à une politique d’austérité déguisée qui étrangle les services publics. Les citoyens, ceux qui travaillent et paient des impôts, peinent à obtenir des soins dignes de ce nom. Pendant ce temps, l’État de droit consacre des sommes colossales à des populations auxquelles il n’a jamais été demandé par le peuple souverain de venir s’installer ici.

    Quant à la prospérité, elle est devenue une chimère pour de nombreux Français. Les classes moyennes, pilier de la société, sont écrasées par une pression fiscale asphyxiante et voient leur pouvoir d’achat fondre comme neige au soleil. Les emplois se précarisent, les salaires stagnent, et la colère monte. Loin d’assurer la prospérité de son peuple, l’État français le mène droit vers une paupérisation générale.

    L’État éducateur : une machine à fabriquer des “soldats républicains”

    Le système éducatif, autrefois garant de l’ascension sociale et de la transmission des valeurs, est aujourd’hui un instrument d’endoctrinement républicain. Dès le plus jeune âge, les enfants sont façonnés pour devenir de parfaits petits soldats du progressisme : « valeurs républicaines », multiculturalisme imposé, remise en cause systématique de notre histoire et de nos racines. Tout cela sous prétexte de former des citoyens égaux, ouverts, tolérants, et, bien sûr, désarmés intellectuellement face aux réalités du monde.

    Les Français n’ont jamais été consultés sur ces bouleversements, que ce soit sur l’immigration de masse ou sur les réformes éducatives. Pourtant, on leur impose un modèle de société qui nie leur identité, leur histoire, et leurs aspirations légitimes à vivre en paix dans un environnement sûr et prospère. Ce même État de droit, si fier de ses principes égalitaires, ne fait qu’accentuer le fossé entre une élite protégée et un peuple en souffrance.

    Le contrat social est rompu

    Dans une telle situation, il est légitime de se poser une question : si l’État ne protège plus ses citoyens, pourquoi ces derniers continueraient-ils à lui obéir ? Le contrat social est fondé sur une réciprocité : protection contre obéissance. Or, aujourd’hui, l’État n’offre plus la protection promise, mais impose toujours plus de contraintes, de taxes, de lois liberticides. Cet État, qui prétend défendre un « État de droit », n’a plus aucune légitimité populaire.

    Il est temps de rompre avec cette illusion. Les Français, abandonnés par leur propre gouvernement, ont non seulement le droit mais aussi le devoir de reprendre en main leur destin. Cela implique de se réapproprier leurs libertés, leur sécurité, et leur identité. Le véritable État de droit est celui qui repose sur la légitimité populaire, pas sur des élites déconnectées et des dogmes idéologiques.

    Julien Dir

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  • En finir avec la dictature de l'"Etat de droit" !...

    Le 4 avril 2024, Martial Bild recevait, sur TV libertés, Bruno Mégret pour évoquer son roman de politique-fiction intitulé Salus Populi.

    Polytechnicien et énarque, numéro 2 et organisateur du Front national dans les années 90, puis fondateur du Mouvement national républicain, Bruno Mégret, retiré de la politique depuis 2008, a déjà publié un roman, Le temps du phénix (Cité Liberté, 2016).

     

                                            

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  • L’Etat de droit se meurt !...

    Le 8 avril 2022, Martial Bild recevait, sur TV libertés, l'avocat et chroniqueur Pierre Gentillet pour évoquer avec lui la crise de la représentation et de l’État de droit. Pierre Gentillet a été, sur les plateaux de télévision, une des figures de proue de la lutte contre les mesures liberticides prises à l'occasion de la crise sanitaire.

     

                                           

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  • La tyrannie juridique du politiquement correct...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bruno Mégret cueilli sur Polémia et consacré à l'état de droit comme outil permettant au système de maintenir son emprise sur la société.

    Ancien haut-fonctionnaire, numéro 2 et organisateur du Front national dans les années 90, puis fondateur du Mouvement national républicain, Bruno Mégret est retiré de la politique depuis 2008 et a publié en 2016 un roman de politique-fiction intitulé Le temps du phénix.

     

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    L’État de droit ou la tyrannie juridique du politiquement correct

    Depuis quelques années, l’État de droit est devenu la nouvelle formule magique des apôtres du politiquement correct. Une formule qui revient de façon récurrente dans le discours de tous ceux qui défendent le statut quo. Après les droits de l’homme, après les valeurs de la République, l’État de droit est aujourd’hui le principal outil du Système pour maintenir son emprise idéologique sur la société et sur la nation.

    L’État de droit, un montage idéologique pernicieux

    Le dispositif est monté de façon particulièrement pernicieuse car, au premier abord, l’État de droit renvoie à l’idée qu’il faut à notre pays un cadre constitutionnel et législatif pour régir la vie nationale. Or qui aujourd’hui pourrait s’opposer à cette exigence et prôner l’arbitraire et le bon plaisir des puissants ? La formule de l’État de droit est donc censée s’imposer comme une évidence démocratique incontestable. Mais derrière cette première lecture, l’État de droit renvoie à un autre concept bien différent : celui selon lequel l’État doit être soumis au droit. Ce qui signifie que l’État, en l’occurrence la nation et donc le peuple, doivent être subordonnés aux juges qui disent et incarnent le droit.

    Le Conseil constitutionnel contre la souveraineté du peuple

    Or ce concept est déjà mis en application dans notre pays par le Conseil constitutionnel qui s’est arrogé le pouvoir de censurer les lois pourtant votées par les représentants du peuple souverain. Pour écarter les textes jugés non conformes, ce dernier n’hésite plus en effet à prendre des décisions d’opportunité aux fondements juridiques parfois plus qu’incertains. De plus, au-delà de cette instance suprême qui contrôle le législateur, le dispositif de l’État de droit  se trouve encore renforcé par l’influence grandissante du Conseil d’État et des juridictions administratives qui, n’hésitant plus à juger en opportunité des actes du gouvernement et de ses représentants, brident, eux aussi, l’action de l’exécutif.

    Le gouvernement des juges, une tyrannie juridique

    Ainsi a été mis en place un dispositif juridique qui limite le champ d’action des gouvernants comme des législateurs. Et, bien sûr, ce dispositif juridique, entièrement habité par l’idéologie politiquement correcte, s’oppose à tous les textes législatifs et réglementaires qui ne sont pas politiquement corrects. En d’autres termes, l’État de droit implique que le peuple n’est plus pleinement souverain ni totalement libre de ses choix et de son destin mais qu’il doit être enfermé dans un cadre juridique infranchissable fixé et défendu par le pouvoir judiciaire. Un pouvoir qui place ainsi sous sa tutelle le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif. L’État de droit, c’est le gouvernement des juges et leur tyrannie juridique.

    Dénoncer l’État de droit pour rendre le pouvoir au peuple

    Il n’est donc pas étonnant que les Français aient l’impression que leur vote ne sert à rien. Quel que soit leur choix, les élus qu’ils désignent sont aujourd’hui condamnés à rester dans l’enclos délimité par l’État de droit.  Aussi est-il essentiel de dénoncer cette imposture et de libérer le politique de cette contrainte paralysante qui prive le peuple de son pouvoir. L’État de droit est un concept qui n’a en réalité aucune légitimité. Il n’existe que sous un vocable inconnu il y a encore quelques années et qu’on ne trouve d’ailleurs ni dans le texte de la constitution ni dans  aucune loi.

    Réformer le Conseil constitutionnel pour rétablir la démocratie

    Pour rétablir la démocratie, rendre sa puissance au politique et se donner les moyens de relever les défis migratoires et civilisationnels qui menacent la France, il est donc essentiel de réformer les institutions  qui concourent aujourd’hui à cette tyrannie juridique, à commencer par le Conseil constitutionnel qui doit perdre son pouvoir de censurer les lois.

    La question de l’État de droit devrait être au cœur des débats de la présidentielle. Il est dramatique que ce ne soit pas le cas.

    Bruno Mégret (Polémia, 28 janvier 2022)

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  • Etat de droit : la dictature pacifique du mondialisme...

    Le 12 octobre 2021, Pierre Bergerault recevait sur TV libertés Ghislain Benhessa pour évoquer avec lui son essai Le Totem de l’Etat de droit (Toucan, 2021).

     

                                             

    " Jamais défini, étendu sans discontinuer par les juges, l'Etat de droit est devenu un véritable totem. Ce concept a connu une véritable ascension après la seconde guerre mondiale sous l'influence des démocraties libérales et de l'idéologie des droits de l'homme pour détruire la nation au profit de l'individu roi. La preuve, l'Union européenne, laboratoire du mondialisme, l'a placé au cœur de son logiciel pour coiffer son impérialisme. Dans son dernier ouvrage, l'avocat Ghislain Benhessa démontre comment nous sommes passés du "droit de l'Etat" à la primauté du droit sur l'Etat. Comment se libérer de cette Etat de droit qui est devenu la première entrave qui nous empêche de nous défendre ? L'auteur prône l'épreuve de force pour un retour à la souveraineté ! "

     
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