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Métapo infos - Page 791

  • Le salut par les machines ?...

    Le numéro 6 du mensuel L'Incorrect est arrivé en kiosque. On peut y trouver un dossier consacré au transhumanisme, avec, notamment un article d'Oliver Rey, et y lire, également, un portrait du chanteur Kroc Blanc, des entretiens avec Nicolas Bay et Jean-Yves Camus, et les rubriques "L'époque", "Monde", "Reportages",  "Les essais" et "Culture"...

    Le sommaire complet est disponible ici

     

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  • La mondialisation détruit les peuples européens...

    Dans son émission du 29 janvier 2018 sur le site du Figaro, Eric Zemmour revient avec Guillaume Roquette sur la question des effets de la mondialisation sur les peuples européens...

     

                                 

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  • Être postmoderne ?...

    Les éditions du Cerf viennent de publier un essai de Michel Maffesoli intitulé Être postmoderne, avec une postface d'Hélène Strohl. Sociologue, ancien élève de Julien Freund et de Gilbert Durand, et penseur de la post-modernité, Michel Maffesoli est l'auteur de nombreux ouvrages marquants comme La violence totalitaire (1979), L'ombre de Dionysos (1982), Le temps des tribus (1988) ou La part du diable (2002). Il a récemment publié, avec Hélène Strohl, Les nouveaux bien-pensants (Editions du Moment, 2014). S'il est parfois irritant, Michel Maffesoli reste un auteur dont on ne peut nier la pertinence des intuitions et des anticipations...

     

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    " La postmodernité n’est pas un « concept » à la mode, c’est une manière de nommer le monde tel qu’il est, de comprendre les sociétés contemporaines plutôt que de les juger ou de dénier le changement. Pour appréhender l’actuel et le quotidien, Michel Maffesoli convoque les images, analyse les ambiances, et pénètre le climat de son époque. L’inventeur des notions de « tribalisme » et de « nomadisme » revient sur ces figures évocatrices de notre nouvelle manière d’être au monde : l’oxymore ou le fait d’être ceci et cela, le retour de l’enfant éternel (juvenoïa), la métapolitique et l’émergence de diverses formes de religiosité. Autant la modernité (xviie-xxe siècle) a été paranoïaque, autant la postmodernité est « épinoïaque » : non plus un homme éduqué pour être maître et dominateur, mais une co-initiation des hommes faisant partie intégrante de la nature.
    Une postface d’Hélène Strohl (Inspectrice générale honoraire des Affaires Sociales, IGAS) applique ces diverses caractéristiques sociétales à un homme politique contemporain, Emmanuel Macron, en se demandant si les habits postmodernes, grâce auxquels il a prétendu incarner l’imaginaire contemporain, en font une icône ou un fake. "

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  • « France is back ! » qu'il dit...

    Nous reproduisons ci-dessous une chronique de Richard Millet, cueillie sur son site personnel et dans laquelle il commente l'actualité de manière décapante...

    Auteur de La confession négative (Gallimard, 2009) et de Tuer (Léo Scheer, 2015), Richard Millet a publié cet automne aux éditions Léo Scheer un roman intitulé La nouvelle Dolorès. Il doit publier en février son journal de l'année 1971 à l'année 1994.

     

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    France is out !

    « France is back ! » clame la propagande macronienne, dans la langue qu’on parle à Davos – celle de la prostitution internationale. En vérité, jamais la France n’a paru plus provinciale, insignifiante, malade – jusque dans ce slogan d’allure trumpienne, par lequel elle cherche à se vendre bien plus qu’à signaler son come back sur la scène politico-économique, dont le précédent tenancier de l’Élysée l’avait fort éloignée.

    C’est donc plutôt « France is out » qu’il faudrait dire, pour tant de raisons, dont la première est la médiocrité, voire le grotesque de son personnel politique. Ainsi n’est-ce pas la France qui est de retour mais bien plutôt les migrants, dont la condition est d’être tellement de retour qu’ils sont toujours là, les autres devenant les mêmes, avec leur cortège de bobos prompts à fustiger la « politique migratoire » de Macron : intellectuels, politiques, artistes, écrivaillons, cultureux, passeurs baba cools qu’on ne distingue plus des mafieux et des jihadistes – cette cohorte occupant le devant de la scène médiatique et de la mauvaise conscience occidentale, sans aller toutefois jusqu’à des actions autres que culturelles. Le symbolique comme effet de vérité, lui, s’est perdu dans le globish qu’on parle à Paris, dans les milieux branchés, comme à Davos, où l’élite est bien loin de celle qui avait inspiré à Thomas Mann sa Montagne magique, l’un des derniers grands romans européens. Cette Europe-là a été mise à mort par le relativisme culturel et le politiquement correct qui continuent de faire des ravages, en France, avec l’opposition à la republication scientifique des pamphlets de Céline et le refus de commémorer l’anniversaire de la naissance de Maurras : espérons cependant que les éditions Laffont ne suspendront pas la publication du volume consacré aux œuvres majeures du penseur nationaliste.

    Ce qui reste de la France relève donc de la muséification et de la disneylandisation, c’est-à-dire, encore une fois, de la prostitution. Le spectacle continue, néanmoins. Il est assuré, à Paris, par Jawad Bendaoud, le « logeur de Daech », qui ne se révèle pas seulement le Djamel Debbouze du jihadisme, mais comme un écrivain en puissance. Écoutez ce qui pourrait être un début de récit digne de Kafka ou de Walser : « J’ai vu un rat à ma fenêtre. Je le regarde, il me regarde. Je prends un morceau de fromage et lui, tranquille, il se met debout en mode “ Donne-moi, file-moi le fromage !” » Je ne plaisante pas : c’est parfait, du point du rythme comme des temps narratifs, avec l’ellipse du verbe « dire » remplacé par « en mode ». Autre exemple, cette fois pour la valeur hyperbolique de la métaphore : « Snoop Dog, il fait des soirées avec Ben Laden ? Est-ce que c’est possible ? Non, c’est impossible. » Et ceci : « C’est comme pêcher une baleine dans une piscine, c’est pas possible. » Voilà qui pourrait être enseigné dans les ateliers d’écriture des maisons d’éditions et des quotidiens qui prétendent apprendre aux imbéciles ce qui ne relève que de l’expérience personnelle.

    Pendant ce temps, l’Irlande prépare un référendum sur l’avortement dont la commission européenne espère qu’il sera positif. Ainsi tuera-t-on des enfants dans l’œuf, pendant qu’en France on découvre, encore une fois, que les vieillards sont toujours plus mal traités dans les Ehpad – ces hospices de vieillards qu’on a rebaptisés « établissements d’hébergement pour personnes âgées et dépendantes ».

    Life is out ! Avis à ceux qui auront échappé à l’avortement. Vous mourrez dans la solitude, la misère et la haine.

    Richard Millet (Site officiel de Richard Millet, 30 janvier 2018)

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  • Les snipers de la semaine... (157)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur Europe solidaire, Jean-Paul Baquiast allume Emmanuel Macron qui a déroulé le tapis rouge devant Google...

    Google en France. Merci Google.

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    - sur son blog Justice au singulier, Philippe Bilger dézingue la ministre de la culture, Françoise Nyssen, qui a fait retirer Charles Maurras du Livre des commémorations nationales...

    Vive notre ministre de la Censure !

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  • Feu sur la désinformation... (172)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé Grandchamp.

    Au sommaire :

    • 1 : Affaire Théo : la « fuck news » dévoilée
      Le 29 janvier Europe 1 publie la vidéo surveillance de l’arrestation de Théo Luhaka à Aulnay sous-bois. Il aura fallu 1 an pour que les médias publient la vidéo qui confirme la version des policiers. Pourtant certains journalistes restent sceptiques. Cette vidéo ne remettrait pas en cause l’accusation de « viol », des journalistes sont même allé jusqu’à offrir une tribune à la famille de Théo.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Séquence de propagande russophobe sur la chaine FranceTVinfo. Dans un reportage intitulé « Poutine à nouveau candidat, comment fait-il ? » la chaine du canal 27 de la TNT associe par une séquence image, l’ancien président Medvedev à un petit chien et compare Vladimir Poutine à l’ancien dictateur Staline.Tout en finesse....

    • 3 : Théo : historique d'un bobard total
      « La matraque de la honte », « Viol », « le policier m’étranglait », « j’ai cru que j’allais mourir ». Il y a 1 an, les médias s’étaient engagés pour Théo et contre les « policiers racistes ». Seul Théo avait voix au chapitre, et le rapport de l’IGPN avait été sciemment occulté..
    • 4 : Les tweets de la semaine
      France info média de propagande sur tweeter. Le jour du passage de Laurent Wauquiez dans l’émission politique de France 2, le média tweetait « Laurent Wauquiez va t-il mentir ? La question se pose » Une question rhétorique pour France info qui supposait donc que le candidat allait mentir pendant l’émission.
    • 5 : Gallet acculé par Macron et le CSA
      Rien ne va plus pour Mathieu Gallet, le CSA s’est prononcé et retire son mandat au patron du groupe public. Une décision prise sous la pression du ministre de la justice et du ministre de la culture. Retour sur une éviction ordonnée par le pouvoir politique et qui a écornée l’indépendance du CSA.

     

                                     

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