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Métapo infos - Page 735

  • De l'exception permanente...

    Les éditions Ovadia viennent de publier récemment un essai de Baptiste Rappin intitulé de L'exception permanente. Philosophe, Baptiste Rappin a concentré sa réflexion sur les implications de la révolution managériale dans nos sociétés contemporaine. Il collabore depuis peu aux revues Krisis et Nouvelle Ecole.

     

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    ''Qui aujourd'hui peut prétendre connaître le repos ? Question rhétorique, bien sûr, tant nous sommes tous happés par les tourbillons de la vie postmoderne ! Les moments de remontée à la surface et de respiration se font en effet de plus en plus rares, et force est de constater que nous devons bien souvent demeurer en apnée prolongée. Au risque de notre santé et, encore plus fondamentalement, de notre humanité. De l'exception permanente propose d'appréhender la condition de l'homme contemporain, caractérisée par le changement perpétuel et le mouvement sans fin, de façon originale : en replaçant au cœur de la réflexion le management autour duquel s'élabore un véritable système philosophique dans toutes ses dimensions : épistémologique, politique, métaphysique et même théologique. Ce second volume de la Théologie de l'Organisation montre par quels chemins l'exception a pu s'imposer, à notre époque, comme la norme de gouvernement de nos sociétés. De ce point de vue, la crise n'apparaît plus comme un dysfonctionnement qu'il s'agirait d'éliminer à coups de mesures techniques, mais bien comme le fond ontologique à partir duquel se déploie notre rapport aux temps présents''.

     

     

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  • Quand Michel Drac analyse l'actualité...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous une analyse fouillée et toujours passionnante de l'actualité des mois de juin et juillet 2018 menée par Michel Drac.

    Penseur non-conformiste, Michel Drac est l'auteur de plusieurs essais, dont  Triangulation - Repères pour des temps incertains (Le Retour aux Sources, 2015) ou, dernièrement, Voir Macron - 8 scénarios pour un quinquennat (Le Retour aux Sources, 2018).  Il est également le fondateur des éditions le Retour aux Sources, qui publient notamment Piero San Giorgio , Dmitry Orlov ou Howard Kunstler.

     

                                  

                                  

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  • Portrait de Marianne avec un poignard dans le dos...

    Les éditions Le retour aux sources viennent de publier un essai de Christian Combaz intitulé Portrait de Marianne avec un poignard dans le dos. Romancier et journaliste, Christian Combaz est notamment l'auteur de Gens de Campagnol (Flammarion, 2012). Il poursuit d'ailleurs sur TV Libertés ses Chroniques de Campagnol.

     

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    " « Il n’y a pas de suicides, il n’y a que des meurtres » Elsa Triolet

    Voilà un bref essai, incisif et brillant, sur les questions et les personnages les plus contemporains. L'anecdote, toujours documentée (on croise Pierre Bergé, François Hollande, Nicolas Sarkozy et toute la haute pègre de l'édition, du journalisme, de la politique et de la diplomatie), est toujours au service d'une réflexion, ce qui éloigne ce livre du genre du pamphlet et conduit le lecteur à réfléchir sur les mafias qui le gouvernent. Ce n'est guère amusant, on sent poindre la catastrophe, mais personne, dans ce personnel dirigeant, n'a demandé notre avis d'électeurs sur l'essentiel des décisions prises de 1980 à nos jours… Cette France-là c'est celle du Splendid, de Canal Plus, d'Attali, de BHL... et désormais de Macron. C'est la France qui déteste la tradition et l'histoire, c'est la France qui n'aime que les Américains et le commerce, c'est la France qui collabore avec le plus offrant même s'il promet la ruine, c'est la France multiculturelle qui laisse entrer n'importe qui et qui fait n'importe quoi. À travers le récit d'expériences vécues, l'auteur nous présente l'évolution et la situation de la France, qui n'a, pour lui, rien d'un suicide mais tout d'un meurtre ! 

    Ce livre qui montre que Macron est l'âme damnée d'une machine à décerveler les nations, capable d'absoudre la barbarie et les appels au meurtre des rappeurs de Sexion d'Assaut au nom du commerce devait paraître à un mois des élections présidentielles 2017. Contrat signé, félicitations de l'éditeur, mais soudain courriel glacé à une semaine de l'imprimerie, « gardez l'argent je ne publie pas votre livre ». L’auteur tente alors l’aventure de l’autoédition en juin 2017 : Après une semaine sur un site de vente en ligne populaire, le livre est classé numéro un des ventes toutes catégories confondues, devant le livre de Macron lui-même. C'est bien fait et ce n'est pas fini : les éditions Le retour aux sources vous proposent cette nouvelle version actualisée et augmentée de plusieurs chapitres. 

    Cette édition d'un livre censuré qui a tenu le sommet des ventes, tous titres confondus, sur Amazon pendant quatre semaines l'été dernier est aujourd'hui réédité en version actualisée avec cinq nouveaux chapitres qui annoncent le réveil brutal de la France ! "

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  • Le tourisme de masse et la révolte des élites...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Laurent Ottavi, cueilli sur Figaro Vox et consacré au comportement des élites occidentales. Laurent Ottavi est journaliste à la Revue des Deux Mondes et collabore à Polony TV.

     

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    Christopher Lasch, le tourisme de masse et la révolte des élites

    Des touristes dans leurs propres pays … L'historien Christopher Lasch l'avait déjà souligné dans son testament politique, La Révolte des élites ou la trahison de la démocratie. Les «élites» des États-Unis (mais le constat vaut aussi pour celles des pays d'Europe occidentale, ce qui n'est pas l'objet du livre de Lasch) se réjouissent que «le monde bouge». Leur idéal est la mobilité, qu'elle soit géographique ou virtuelle. Elles choisissent les réseaux plutôt que le lieu, l'uniformisation accélérée contre les frontières et la diversité réelle. Elles se voient comme des citoyens du monde, se déchargeant ainsi des obligations civiques inhérentes à la citoyenneté. Elles dénigrent la nation, cadre de nos démocraties, en ce qu'elle entrave leur idéal d'émancipation et qu'elle les astreint à la solidarité politique et économique avec leurs concitoyens.

    «L'homme de nulle part»

    Christopher Lasch s'interroge: les élites se pensent-elles encore comme américaines? Elles ont plus en commun avec leurs homologues d'autres pays plutôt qu'avec leurs propres concitoyens! Les modes de vie et la vision du monde des gens ordinaires aux États-Unis leur sont rebutants voire étrangers. C'est pourquoi elles s'emploient à «créer des institutions parallèles ou alternatives» pour s'extraire du sort commun. L'Amérique des côtes méprise celle du centre, rétrograde à ses yeux car enracinée. L'Amérique des gens ordinaires, comme la France périphérique, ne souhaite pas vivre en touriste dans son propre pays. Elle ne cherche pas à se dépayser dans un univers climatisé et standardisé ; elle veut se sentir chez elle, dans la continuité de son histoire.

    Le mot «touriste» remonte à Stendhal, quand l'écrivain «faisait des tours» sur les lieux de mémoire napoléonien. C'est bien autre chose aujourd'hui. Le touriste contemporain, même s'il s'agit ici d'une généralisation, n'est plus voyageur. Il est un consommateur en puissance qui traverse un monde débarrassé de ses négativités, transparent et par là exploitable. Il est vautré dans son confort, dans sa sécurité, dans son narcissisme (selfies). Il vit dans l' «Empire du même» (mêmes chaînes de restauration, même empire du globish, mêmes slogans …), bien qu'il clame sans cesse son amour de la différence. Il est en quête, permanente et pressée, de bonheur et ne veut pas s'entraver avec des dépendances.

    Le touriste est l'«homme de nulle part» dont parle Hervé Juvin. Il n'a guère d'égards pour l'histoire et la géographie. L'histoire nationale n'est ainsi «valorisée» que dans le cadre des musées, c'est-à-dire «entre quatre murs», et l'on prend bien soin de l'accompagner d'une lecture binaire bourreaux/victimes. La muséification n'est pas le triomphe de l'histoire. Elle est le signe que nous pensons en finir avec le tragique de l'Histoire en le mettant en vitrine! Le passé, croit-on, est définitivement enterré. Les visiteurs de musées observent d'un œil superficiel ces hommes et civilisations étranges, guerrières, patriarcales, qui sont pourtant ceux qui nous ont rendus possibles, ceux sans lesquels nous ne serions pas. Quant à la géographie, les frontières sont un obstacle à la libre circulation des biens, des capitaux et des personnes, et aux réseaux dans lesquels les élites se meuvent avec aisance.

    La quête de l'indifférenciation

    La «construction européenne», artifice langagier pour masquer l'ampleur de la déconstruction, est une bonne illustration de ces refus des contraintes temporelles et spatiales. Elle fait fi de la diversité des nations. Elle est hors-sol, comme les élites qui l'ont produite et n'ont pas hésité à passer outre le vote des peuples (le référendum de 2005) pour maintenir leur bijou d'inconsistance.

    «Il ne saurait y avoir de démocratie contre les traités» a-t-on entendu au moment de la crise grecque. La «vision touristique» du monde, de ceux qui nous «gèrent» plus qu'ils ne nous gouvernent (gouvernement), ne connaît pas le peuple, ni le politique. La démocratie, pourtant, implique d'abord l'existence d'un corps politique, d'un demos, souverain. Elle est pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple!

    Il est significatif que les «élites» françaises en soient réduites à opposer un argument «touristique» aux critiques de l'euro, cette «monnaie sans visage» (Juvin). Grâce à l'euro, les touristes n'ont pas à changer leur monnaie dans les pays membres de la zone. Quel progrès! Que pèsent, à côté de cette immense réussite, les divergences économiques et politiques croissantes entre les pays, la désindustrialisation, le chômage? Ce type d'argument relève du mépris de classe.

    La réalité aux oubliettes

    Le touriste contemporain, contrairement au voyageur, se fait détester des locaux, alors qu'il prétend «aimer», œuvrer au mélange des cultures et à leur amitié, donc à leur pacification. Il est l'homme lige de la mondialisation heureuse! Son amour est pourtant fait de bien peu d'attachements: il suffit qu'une destination ne soit plus desservie pour qu'il se précipite sur une autre. Pour lui, tout est remplaçable! Il participe à l'uniformisation du monde (les lieux de vacances, les enseignes, le globish etc.), et à la destruction des ressources (destruction de terres fertiles, émission de CO2 etc.). Il n'en appelle pas moins (car il a un minimum de conscience!) à développer un «tourisme de masse soutenable», de même que les élites parlent de «croissance verte». Deux inepties.

    La prétention des élites à répandre une conception du monde occidentale, maquillée souvent en discours «humanitaire», se paie de ressentiment! Car elle se fait au mépris des traditions, des coutumes, des mœurs et de la diversité des langues. Au discours sur le «monde ouvert», fluide, plus démocratique, «sans frontière», pacifique, répondent des murs toujours plus nombreux et des séparations au sein même des territoires. Le monde uni par la globalisation est d'autant plus fragmenté (sécessions, communautarismes, islamisme).

    La destruction de la diversité du monde à laquelle participent les élites est une destruction de la réalité. Comme les touristes, dont l'imaginaire est façonné par l'industrie du loisir, elles vivent dans une «hyper-réalité». Ce n'est pas pour rien que la «construction sociale de la réalité» est leur dogme, comme le souligne avec justesse Christopher Lasch. Il suffirait de la déconstruire pour pouvoir la reconstruire à partir de zéro. L'idéologie du genre et les transhumanistes y contribuent avec ténacité!

    Le multiculturalisme comme bazar universel

    La société à reconstruire, selon ces élites, est évidemment multiculturelle. Leur vision du monde, là aussi, est touristique. Elles ont en tête l'image du bazar coloré, tolérant, festif et abondant, qui met à disposition les cuisines et les vêtements du monde entier. Elles voient dans l'immigration un moyen de faire entrer le monde chez soi et, par-là, d'être touristes chez elles.

    Elles se réjouissent de la diversité des restaurants auxquels elles peuvent accéder et de la nounou d'origine étrangère qui garde leurs enfants. Le tout sans avoir à subir, protégées qu'elles sont au-dedans de leurs frontières invisibles (digicodes, contournement de la carte scolaire, homogénéité culturelle et sociale des immeubles qu'elles habitent), les conséquences désastreuses d'une immigration de masse sur l'intégrité et la pérennité d'une communauté nationale! Elles fonctionnent comme l'Union européenne, qui juge les hommes remplaçables: la population européenne baisse? Comblons «le manque» par les immigrés!

    À cette approche s'ajoute une lecture binaire de l'histoire, entre bourreaux et victimes qui méritent réparation (discrimination positive). Des groupes particuliers dont on exagère la souffrance doivent obtenir de l'État une «estime de soi» (Christopher Lasch). Big Mother se charge avec douceur et bienveillance de ceux qui sont jugés victimes, et «psychiatrise» les fauteurs de «discriminations», l'usage de ce mot traduisant la haine de la différence réelle.

    La discrimination, étymologiquement, est en effet un discernement. Ne pas distinguer, ne pas voir de différence, c'est se livrer à une unique option. Remarquons cette autre chose: ces discours sur les victimes de l'Histoire et les réparations induites ont des approches communautaristes ou individuelles, pas collectives. Quid de la démocratie, loi de la majorité, avec une telle conception?

    Persévérer dans l'erreur

    Les élites ont l'obsession du «modèle», non pas lié à une histoire et à une géographie, mais du «modèle» venu de l'extérieur: l'Allemagne pour l'économie, la Finlande pour l'éducation, la Suède pour le féminisme. Les singularités, quand elles ne vont pas dans le sens de l'émancipation des élites, sont à domestiquer, à mettre aux normes. Le monde est convoqué pour éradiquer le singulier! Philippe Murray parlait de «mondification», c'est-à-dire d'une «homogénéisation du monde», de sa «mise aux normes touristiques planétaires par indifférenciation de toutes les manières de vivre et de penser».

    Un tel programme implique l'optimisme - démesuré - de penser que la guerre ne viendra jamais troubler la «fête». En nous désignant, l'ennemi islamiste nous a rappelés à notre impuissance: à nos pertes de souveraineté, au peu d'épaisseur de nos mœurs, à la faible intensité de notre sacré. Les élites n'ont pas pour autant (ou en tout cas insuffisamment) pris conscience de ce qui nous livre à l'adversaire. Comme le touriste, elles poursuivent leur parcours balisé et confortable, dans une bulle où le tragique de l'Histoire n'a pas sa place. Le Mal ressurgit dans l'Empire du Bien sous les traits de l'islamisme, gros de nos renoncements et nos lâchetés? À cela, celles qui pourraient donner leur direction à la société n'ont rien d'autre à proposer que de lever nos verres …

    Laurent Ottavi (Figaro Vox, 27 juillet 2018)

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  • Le monde d'Homère...

    Le nouveau numéro du Figaro Histoire (août - septembre 2018) consacre son dossier central à Homère et à la guerre de Troie...

     

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    " Alors que l'un des plus anciens fragments connus de l'Odyssée vient d'être découvert sur une tablette à Olympie, Le Figaro Histoire explore cet été l'œuvre passionnante et généreuse d'Homère. Le poète aveugle a-t-il existé? La guerre de Troie a-t-elle eu lieu? Faisant la part du mythe et de l'histoire, les meilleurs spécialistes se penchent sur l'histoire du monde mycénien, des siècles obscurs et de la cité grecque émergente, et partent sur les traces de Schliemann, le découvreur de Troie. Un portfolio du masque d'or d'Agamemnon et du trésor de Priam, un dictionnaire des héros de l'Iliade et un décryptage de la série Troie complètent ce numéro exceptionnel.

    Au cœur de l'actualité, Le Figaro Histoire revient sur l'histoire cachée du printemps de Prague en montrant comment, il y a cinquante ans, les troupes du pacte de Varsovie écrasèrent les tentatives de démocratisation de la Tchécoslovaquie avec l'accord tacite de De Gaulle. Côté reportage, il vous emmène au Vietnam, sur les sentiers secrets de la piste Hô Chi Minh, et vous fait visiter les coulisses d'un tournoi de béhourd, ce spectaculaire sport de combat qui reproduit dans les règles de l'art les joutes médiévales. "

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  • Le guide sulfureux du Paris "réac et facho"...

    Les éditions de Synthèse nationale viennent de publier sous la signature de Patrick Parment un Guide sulfureux du Paris"réac et facho". Tout un programme ! D'autant que depuis l'amusant Paris by right - Guide de l'Homme de Droite à Paris (Trident, 1991), de Francis Bergeron et Philippe Vilgier, le sujet n'avait pas été, à notre connaissance, ré-abordé. Journaliste, Patrick Parment a débuté sa carrière au Figaro Magazine.

     

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    " Voici une histoire des rues de Paris qu’une France en proie aux Droits de l’homme aimerait en grande partie effacer. On est d’abord partie à la recherche des lieux de résidence des écrivains, pas tous forcément "de droite"  que nous aimons et dont certains, pas les moins talentueux d’ailleurs, furent ce que l’on appelle des « collabos » alors qu’ils cherchaient une issue à une France démocratique qui s’enfonçait – et s’enfonce toujours -, dans la décadence. Dans un deuxième temps, on s’est penché sur ces lieux emblématiques occupés par les Allemands durant l’Occupation – et ils ont eu la main lourde -, dont beaucoup sont toujours le témoignage d’une grandeur passée.

     On ne pouvait pas non plus passer à côté des hauts lieux de cette Révolution dont se gargarisent nos intellos de gauche dont une guillotine aveugle est venue alimenter de trop nombreux charniers, transformés dans le meilleur des cas en cimetières. Leur France des Lumières sent passablement le roussi. 

    Enfin Paris est un livre d’architecture passionnant. On a noté quelques ouvrages remarquables. Car il n’est pas sûr que les chapitres d’aujourd’hui et à venir témoignent de la même grandeur que ceux d’hier. 

    On n’a pas oublié les hauts lieux – mais c’est loin d’être exhaustif -  de tous ces militants dits d’extrême-droite qui s’obstinent à transmettre le flambeau, de génération en génération, d’une France patriote qui plante ses racines en Grèce dans le doux murmure de l’Iliade et l’Odyssée.  "

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