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Métapo infos - Page 1730

  • Droite - Gauche ?...

    La revue Krisis sort deux numéros consacrés au clivage droite/gauche.

    Au sommaire du numéro 31 :

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    Droite / Gauche ?

    Costanzo Preve : Considérations préliminaires sur la genèse, la fonction et les perspectives futures de la dualité politico-religieuse droite/gauche.
    Christian Brosio : La droite insaisissable.
    Alain de Benoist : Pourquoi n’y a-t-il pas de « conservatisme » en France ?
    Marc Crapez : De quand date le clivage droite/gauche en France ?
    • Entretien avec Jean Leca : Le clivage droite/gauche.
    Sergio Benvenuto : Par-delà droite et gauche.
    Boris Dewiel : Athènes vs. Jérusalem. Une source du conflit droite-gauche dans l’histoire des idées.
    Graemme Garrard : Le libéralisme anti-Lumières d’Isaiah Berlin.
    Georges Feltin-Tracol : Pour la subsidiarité. Patrie, Etat et postmodernité dans le nouvel ordre de la Terre.
    Philippe Forget : Contre la subsidiarité. Le réveil européen : dispositif de subsidiarité ou génie souverain ?
    Emmanuel Berl : La gauche et la droite.

    La revue peut être commandée sur le site Eléments

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  • Les lobbies...

    Le numéro de septembre du Choc du mois est en kiosque !

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    Au sommaire de ce numéro :

    DOSSIER : LES LOBBIES

    Monde
    Philippines : La lente agonie des pygmées Aetas
    Iran : La révolution islamique à la croisée des chemins
    Japon : La gauche japonnaise au pouvoir ?Nippon ni mauvais

    DOSSIER
    Le lobbying en débat
    Au royaume des Belges, les lobbies sont rois
    Voyage au cœur de l’influence

    Entretien avec François-Bernard Huyghe
    Du Comité des Forges au Medef?
    La loi du lobbyiste, par le lobbyiste, pour le lobbyiste
    Un chasseur sachant chasser ne chasse pas sans son lobbyiste

    Entretien avec Thierry Coste
    Planète écologique : des hippies aux lobbies
    Les communautarismes à l’assaut de la France
    Chrétiens, le plus vieux lobby du monde
    Les ordonnances douteuses du lobby pharmaceutique
    Comment les lobbies agroalimentaires nous bourrent le mou…
    Qui décide de vos impôts ?

    Société
    La violence scolaire au programme de la rentrée
    Quoi de neuf professeur ?

    Entretien avec Véronique Bouzou :
    « Les enseignants sont des soldats en première ligne sans munitions »
    Reportage : Berger, un métier entre chien et loup

    Culture
    Entretien avec Eric Naulleau
    L’homme qui ne s’est pas couché
    Du côté de chez Bob
    Les années érotiques
    Le mythe de l’Occident
    Coup de cœur : Destin d’une ombre qui s’efface
    Céline en viatique
    Beaux-arts
    Cinéma : Un prophète
    Tintin contre l’esprit sérieux
    Civilisation et gastronomie : les enjeux culinaires

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  • La France doit quitter l'Afghanistan...

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    La position du philosophe Alain de Benoist sur l'engagement français en Afghanistan :

     

    La France doit quitter l’Afghanistan

     

    Alors que les violences redoublent en Afghanistan à l’approche de l’élection présidentielle prévue pour le 20 août, les opinions publiques européennes semblent se lasser. C’est tout particulièrement vrai en France. En 2008, 55 % des Français déclaraient souhaiter le retrait des troupes d’Afghanistan. Ils sont désormais 68 %, soit plus des deux tiers de la population, à désapprouver la décision de Nicolas Sarkozy d’envoyer de nouvelles troupes à Kaboul. Cette position est même majoritaire (53 %) dans le propre parti du président – les sympathisants du Front national étant les seuls à se singulariser, en étant pratiquement aussi nombreux à approuver la guerre américaine qu’à s’y opposer.

    Lors de la création, le 20 décembre 2001 par le Conseil de Sécurité de l’ONU, de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS), la tâche de l’armée française se bornait à assurer la sécurisation de Kaboul et de ses environs, à lutter contre les narcotrafiquants et à participer à la « reconstruction » du pays, tout en permettant à certaines de ses forces spéciales de participer à des missions ciblées de lutte antiterroriste. Mais très vite, le conflit s’est transformé. Au départ, deux opérations distinctes se juxtaposaient : une opération multinationale sous contrôle européen, celle de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS), et une opération américaine. Cette distinction s’est ensuite effacée. Le tournant a eu lieu en août 2003, lorsque la FIAS est passée sous le commandement de l’OTAN, c’est-à-dire de fait sous l’autorité de Washington, ce qui a eu pour effet d’élargir le mandat de la Force internationale.

    Progressivement, la situation a été de moins en moins maîtrisée. Sur place, la confusion s’est instaurée, du fait d’une absence totale de concertation et de stratégie globale, tant en matière d’objectifs que de moyens. A Paris, alors que Jacques Chirac avait limité la participation des troupes françaises au strict minimum, Nicolas Sarkozy a voulu faire du zèle pour satisfaire ses amis américains. Au sommet de l’OTAN de Bucarest, en avril 2008, l’envoi d’un contigent supplémentaires de 700 soldats a été annoncé. Peu après, la France décidait de réintégrer l’OTAN, que le général de Gaulle avait quitté en 1966.

    Il y a maintenant 12 500 militaires français déployés en Aghanistan et dans la région (un chiffre supérieur à celui des contingents allemand et italien). Ces troupes sont engagées dans de très mauvaises conditions de cohérence opérationnelle, du fait que leurs actions dépendent de l’appui et du renseignement tactique de moyens de la coalition. 26 soldats français ont été tués, dont dix dans une embuscade tendue dans la vallée d’Uzbin le 21 août 2008.

    Le adversaires de la guerre avancent deux raisons : cette guerre n’est pas la nôtre, et elle ne peut pas être gagnée. Alors que le gouvernement répète sans convaincre qu’un désengagement favoriserait le retour d’un régime taliban à Kaboul et la réimplantation d’Al-Qaïda dans une région géopolitique sensible, les Français constatent que les Talibans, expression de l’identité tribale patchoune, la principale ethnie du pays, ne sont pas des exportateurs de violence, et que la France et les Afghans n’ont aucun objet de litige.

    Ils constatent surtout que, sur le terrain, jamais la situation n’a été aussi mauvaise : les forces internationales ont plus perdu d’hommes en juillet dernier qu’en aucun autre mois depuis le début de la guerre. Le président Karmid Zaraï, chef d’un gouvernement faible et corrompu, ne bénéficie que d’une légitimité douteuse et d’un contrôle très réduit de son propre pays (quelques grandes villes et axes stratégiques). Ben Laden n’a toujours pas été capturé. La population afghane vit dans l’insécurité permanente, à la merci des exactions des chefs de guerre, des Talibans, des forces officielle et de militaires américains peu regardants sur le choix de leurs cibles. La vaste majorité des Afghans éprouvent en fait un violent sentiment de rejet vis-à-vis de l’étranger installé sur leur sol. Quant à la lutte contre le narcotrafic, principale source de revenus des Talibans, elle s’est soldée par une augmentation de la production du pavot, qui touche aujourd’hui 195 000 hectares, soit une surface supérieure à celle consacrée en Amérique latine à la culture de la coca.

    Alors que la stratégie américaine vise maintenant à étendre la guerre dans l’ouest du Pakistan, extension qui contient en germe une probable déstabilisation de ce pays, il apparaît chaque jour un peu plus qu’il n’y a pas de solution militaire à ce conflit aux allures de bourbier.

    Au cours de sa visite à Washington en novembre 2007, Nicolas Sarkozy déclarait : « La France restera engagée en Afghanistan aussi longtemps qu’il le faudra, car ce qui est en cause dans ce pays, c’est l’avenir de nos valeurs et celui de l’Alliance atlantique ». Des « valeurs » qui semblent se confondre avec la possible ouverture d’un gazoduc qui, passant par l’Afghanistan, devrait un jour relier la mer Caspienne à la côte pakistanaise de l’océan Indien.

    Alain de Benoist

    (15 août 2009)

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  • Plus jamais la guerre civile européenne !

    Le numéro de novembre du Choc du mois est en kiosque !

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    Le sommaire du numéro :

    DOSSIER : 1918-2008 : PLUS JAMAIS DE GUERRE CIVILE EUROPEENNE !

    EXCLUSIF
    Le testament spirituel d’Albert Bertrand-Mistral
    Nationalistes français, qu’avez-vous fait ?
    Un siècle de totalitarisme
    « Une guerre du temps des primitifs qui croyaient encore à la nation ! »
    La vraie vie du dernier poilu Lazare Ponticelli
    De la perfide Albion au Grand Satan
    Rendez-nous l’Autriche-Hongrie !
    Une certaine France est morte au front
    Verdun : une tragédie qui doit nous réconcilier
    Comment vivre après la mort ?

    Société
    « C’est un tsunami démographique qui se produit » Rencontre avec Eric Zemmour

    Elections américaines
    Quand l'Obamania altère la raison
    USA Un Indien à la Maison Blanche ?

    Economie
    Wall Street ! Wall Street ! Morne plaine !

    Société
    A la recherche de Dieudonné

    Chronique
    On rigole bien en France

    Culture
    L’histoire de France racontée aux mondialistes

    Histoire
    Halte aux « compétitions mémorielles » !

    Polémique
    Pourquoi Houellebecq est grand

    Livre
    Orwell avait une bonne gauche !

    Chronique littéraire
    Deux enfants handicapés sinon rien…

    Livres
    Seward, Gauchon , Maxence, Millau, Martinet, Folch, Branca

    Exposition
    Nolde : Le successeur méconnu de Bruegel

    Le coin des enfants
    Garçon, un peu de rire dans ma perfusion !
    Mots croisés Internet
    Vous avez la parole
    Etc.

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  • Marinetti et la révolution futuriste

    Les éditions de l'Herne viennent de publier un ouvrage de  Maurizio Serra, historien et diplomate italien, consacré à Marinetti et au futurisme.

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    "
    La guerre futuriste est une mobilisation totale contre les valeurs politiques, morales et culturelles du passé; elle permet à Marinetti de rompre les ponts avec la décadence, d'être de plain-pied dans la réalité qui n'est plus la conséquence du passé mais son contraire.
    Il repère un ennemi immédiat - les empires centraux "moribonds" - et un objectif facile - l'irrédentisme ; mais surtout il identifie, dans la technique au service du mythe, l'avènement traumatique de la modernité. [... ] Marinetti n'est décidément pas facile à cerner. Il est de "droite" ou plutôt d'"extrême droite", lorsqu'il en appelle au droit du plus fort, au reniement de la solidarité de classe, à la loi martiale contre les pacifistes et les traîtres, à la destruction de l'ennemi et pas seulement à sa défaite.
    Il est de "gauche ", ou plutôt d'"extrême gauche" parce qu'à ses yeux la guerre doit mener à la dissolution de tout ordre préétabli, y compris celui des non-belligérants comme l'Eglise - d'où sa fronde pendant la période fasciste contre les compromis et la corruption du régime. "
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  • Marek Halter, agent des services israéliens?

    Marek Halter serait soupçonné par la DST d'être un agent des services de renseignement israéliens... C'est une des révélations d'un article intitulé "Enquête sur Marek Halter. Le bonimenteur" écrit par le journaliste Piotr Smolar, du journal Le Monde, pour le quatrième numéro de la revue trimestrielle XXI.

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    Cette enquête qui relève , par ailleurs, les nombreuses inventions de ce personnage très introduit dans le milieu intellectuel parisien, et grand habitué des plateaux de télévision et des studios de radio, a curieusement suscité peu d'écho dans la presse (à l'exception d'une chronique sur le site du Nouvel Observateur ).
    Après le silence qui avait accueilli les révélations de l'historien israélien Shlomo Sand (Le XXe siècle à l'écran, Seuil 2004) sur le financement du film Shoah, de Claude Lanzmann, par le ministère des Affaires étrangères de son pays, c'est décidément une habitude du monde intello-médiatique de rester très discret sur les opérations d'influence dont il peut être la cible...
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