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propagande - Page 7

  • Les snipers de la semaine... (135)

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    Au sommaire cette semaine :

    - sur son site, l'Observatoire des journalistes et de l'information médiatique (OJIM) dézingue la presse mainstream allemande pour son traitement de l'affaire du viol et du meurtre de la jeune Maria Ladenburger...

    Assassinat de Maria : la grande manipulation des médias allemands

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    - sur La plume à gratter, Marc Leroy allume deux journalistes "de terrain" pour leur propagande lacrymale...

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  • Feu sur la désinformation... (116)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Alep, propagande de guerre : Ci-gît la vérité.
      Le 12 décembre l’armée syrienne reprend une grande partie des quartiers Est d’Alep. Des images de scènes de liesse nous parviennent. Pour les médias occidentaux il s’agit de propagande. « Alep une fin dans le sang et les flammes » : Les médias français dénoncent des exactions et des atrocités sans qu’aucun journaliste ne soit sur place.
      I-Média décrypte.
    • 2 : Le zapping d’I-média
      Alep, recyclage de la photo du petit Omran : une photo d’enfant pour faire passer une propagande de guerre.
      Sophie Mazel au micro de Jean Jacques Bourdin sur RMC affirme que « la réinformation ne se rectifie pas quand elle se trompe ». Un professeur de lettre qui parle sans rien savoir. Le monde médiatique se défend face à la défiance des français en affirmant que les médias de réinformation mentent plus que les médias mainstream.

    • 3 : Sevran, le bled en France
      Le 07 décembre, France 2 diffusait dans son 20 heures une séquence montrant que les femmes étaient indésirables dans les bars à Sevran. La séquence est décriée par la presse qui refuse de faire le lien avec l’islam. Bobard de Maurice Szafran dans le grand journal, qui affirme qu’en Corse la situation est identique.
      I-Média réinforme.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Maggi petite chrétienne Copte tuée au Caire dans l’attentat islamiste, une photo occultée dans les médias
      Valls et Macron présentés dans les médias comme des candidats antisystème alors qu’ils sortent tous deux du gouvernement.
    • 5 : Philippot, Marion : un conflit sous l’œil des médias
      Semaine de règlements de compte par voie médiatique entre Marion Maréchal Le Pen et Florian Philippot, sur fond de politique familiale. Alors que Florian Philippot déclare que Marion est isolée sur la scène politique, Marion demande à Philippot de ne pas définir la ligne du Front national seul sur BFM.
      I-Média décrypte.

     

                                    

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  • Feu sur la désinformation... (108)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Traitement médiatique de la manif pour tous, entre caricature et fausses fenêtres.
      Le 16 octobre, la manif pour tous redescendait dans la rue : minoration, fausses accusations, fausses fenêtres, débats biaisés. Ce sont les techniques médiatiques qui ont été utilisées, lors de cet évènement, pour désinformer.
    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : Bataille d’Alep sous le feu de la propagande de guerre.
      « La première victime de la guerre c’est la vérité », à Alep les médias travestissent la vérité : Les « casques blancs » des candidats pour le prix Nobel de la paix, une organisation soi-disant neutre.
      I-Média Décrypte.
    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Référendum à Bézier parti pris anti Ménard
      Des manifestants forcent un conseil municipal de Bézier. Pour les médias une « bagarre éclate ». Un parti pris des médias anti-Ménard qui occulte l’action des militants d’extrême gauche.
      I-Média réinforme.

     

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  • Grands médias d’"information" : bobards et propagande !...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Raufer, cueilli sur Le nouvel Économiste et consacré au mensonge médiatique...

     

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    Grands médias d’"information" : bobards et propagande

    Arrosés par millions d'euros de subventions officielles, les grands médias vantent tous une “mondialisation heureuse” à la Davos-Goldman-Sachs, à laquelle plus grand monde ne croit – sauf peut-être encore quelques milliardaires. Dans le champ d'expertise d'un criminologue, ces périodiques, sites, radios et télévisions, matraquent les trois allégations que voici :

    - Les “migrants” sont des malheureux fuyant la guerre et la mort.

    - Les Noirs américains sont victimes d'une police raciste qui les persécute bien plus que les autres races (Blancs, Hispaniques).

    - Terroristes et criminels ripostent à la misère et à l'exclusion qu'ils subissent.

    Or cela est faux. Prouvons-le (bien sûr, nos sources probantes sont à disposition de quiconque les demandera).

    “Les migrants gagnant l'Europe fuient la mort et la guerre” – Si c'était vrai, des familles entières fuiraient. Or une étude d'août 2016 (Wall Street Journal-Pew Research Center) établit que ces migrants dans l'Union européenne sont :

    - À 53 % âgés de 18 à 34 ans,

    - Avec, dans cette tranche d'âge, une proportion d'hommes de : (Syriens) 71 %, (Irakiens) 75 %, (Pakistanais) 76 %. (Bangladais), 76 %, (Gambiens) 80 %, (Afghans) 80 % – énorme déséquilibre établissant la migration économique, non la fuite affolée de familles entières, sous les obus et les rafales.

    Homicides de Noirs aux États-Unis - En 2015 (FBI), 7 049 Noirs sont assassinés aux États-Unis, dont 89,3 % par d'autres Noirs. L'âge des victimes révèle que les guerres de gangs de jeunes Noirs (Crips, Bloods, etc.) provoquent la plupart de ces homicides. Mais les médias d'information ignorent ces neuf assassinats sur dix, entre gangsters. Prenons le premier semestre 2016 : 123 Noirs abattus par des policiers (FBI), dont une moitié de cas explicables (sinon excusables) : victime armée et dangereuse… faute sincère de maniement d'arme par le policier… Bousculade d'où part un coup de feu… Policier noir donc peu suspect de racisme, etc.

    Restent quelque 62 cas (odieux) où un policier tire sur un Noir désarmé, sans motif valable. Soit 1,8 % du total des Noirs assassinés. Les autres 98,2 %, les médias d'"information" les passent par perte et profit.

    Ces mêmes médias matraquent que le taux d'arrestation et fouilles au corps des Noirs est énorme, par rapport à leur pourcentage de la population (12,5 % de Noirs sur 320 millions d'Américains). Or cette comparaison est absurde, car on n'arrête, ni ne fouille, des bébés, des vieillards, etc. Ici, la seule comparaison valide est celle du nombre d'arrestations, par rapport à la quantité de crimes et délits vraiment commis par ethnie. Exemple, en 2014 à Chicago (derniers chiffres disponibles), les Noirs (35 % de la population) ont commis 76 % des homicides. Or cette comparaison valide, ces médias ne la font jamais.

    Terrorisme, crime, etc., le bobard des "Misérables" - restons aux États-Unis. Une célèbre enquête sociologique expose que, dans la décennie 1980, une vague de “boat-people” haïtiens gagne Miami (Floride). Clandestins, ces Noirs illettrés et ignorant l'anglais ont un lourd passé d'esclavage et d'exploitation. Or chez ces réels exclus, dans la pire situation possible aux États-Unis, le taux de criminalité-délinquance est fort inférieur à celui des Noirs américains, vivant au même endroit, au même moment – et bien mieux.

    Le terrorisme maintenant. Après le 11 septembre 2001, la Maison-Blanche veut savoir : la misère sociale génère-t-elle la terreur ? Cette explication (ou "culture de l'excuse") pourrait-elle prévenir le terrorisme ? La recherche est confiée à un prestigieux économiste, le professeur Alan B. Krueger, docteur en économie de Harvard, titulaire de la chaire d'économie de l'université Princeton et membre du renommé National Bureau of Economic Research.

    Elle étudie des guérillas palestiniennes ou libanaises, des terroristes juifs des territoires occupés, des terroristes allemands, italiens, irlandais, japonais, turcs, etc. Maints tableaux, dix pages de références et de sources. Conclusion : “Le lien entre pauvreté et terrorisme est aussi faible qu'indirect. À titre individuel, les terroristes ne proviennent d'usage pas de milieux pauvres. À l’inverse, ils sont souvent mieux éduqués et plus aisés que leurs contemporains. Les niveaux de terrorisme ne sont pas vraiment plus hauts dans les pays les plus pauvres ; mais les pays se développant normalement et connaissant de vives phases de modernisation fournissent au terrorisme un nombre élevé de recrues.”

    Naguère, ces médias vantaient l'“eldorado brésilien”. On voit aujourd'hui ce qu'il en est : au Brésil, 60 000 homicides volontaires par an, un Hiroshima tous les trois ans.

    Tels sont les mensonges mondialistes des médias subventionnés. Pas étonnant que nombre de lecteurs s'en détournent désormais.

    Xavier Raufer

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  • Feu sur la désinformation... (103)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé.

    Au sommaire :

    • 1 : Loi Taubira : sondage trafiqué médias engagés

      « Mariage pour tous », un sondage commandé par l’ADFH (association des familles homoparentales) déclare que 65 % des français sont favorables à la loi Taubira. Un sondage trafiqué, pour des médias engagés. Décryptage dans I-Média.

    • 2 : Le zapping d’I-Média

    • 3 : Quand Clinton tousse, les médias sont malades

      Hillary Clinton malade ? pour les médias cette info est une intox et relève du complotisme. Le 11 septembre Hillary tombe, changement de cap, revirement en urgence c’est la cata dans les médias.

    • 4 : Tweets d’I-Média
    • 5 : Abel Mestre déclare la guerre à la réinformation

      Breizh-info obtient un accord avec le club de rugby de Vannes. Un accord qui n’est pas du goût d’Abel Mestre. Le journaliste engagé du Monde va faire appel à la censure pour faire annuler l’accord. I-Média réinforme.

     

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  • L’inversion accusatoire : un artifice de propagande aux mains de l’oligarchie...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Michel Geoffroy, cueilli sur Polémia et consacré à une technique de désinformation  prisée par le système, l'inversion accusatoire...

     

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    L’inversion accusatoire : un artifice de propagande aux mains de l’oligarchie, qu’il faut dénoncer

    Une défense et une arme

    L’inversion accusatoire est un processus de défense bien connu des prétoires consistant à imputer la cause finale d’un délit non pas au coupable mais… à sa victime.

    Ainsi, par exemple, si un touriste a été victime d’un pickpocket, c’est parce qu’il a été imprudent en faisant étalage de son argent : en quelque sorte il a incité le voleur à passer à l’acte.

    Ne riez pas ! C’est en application de ce processus, par exemple, que dans le métro parisien on vous avertit dans toutes les langues que des pickpockets sont susceptibles d’être présents dans la station. Conclusion : s’ils vous volent ce sera de votre faute car la RATP vous avait prévenu !

    Ce type de défense est très prisé de nos jours puisqu’il correspond à l’idéologie rousseauiste : l’homme est bon par nature et c’est la société qui le corrompt. Il correspond aussi à l’idéologie gauchiste de la Défense Sociale Nouvelle (1), consistant à présenter les délinquants comme des victimes que l’on doit réinsérer au plus vite dans la société. Il fait le lit du laxisme pénal car il génère la culture de l’excuse avec toutes les conséquences que l’on connaît.

    Mais l’inversion accusatoire ne se cantonne pas à la procédure judiciaire. Elle est aussi devenue une arme aux mains de l’oligarchie, d’autant plus redoutable qu’elle s’appuie sur la sidération médiatique. Les oligarques ne cessent, en effet, d’accuser leurs opposants et les peuples européens de leurs propres vices. Quelques exemples.

    Premier exemple : vous jouez sur les peurs !

    Un argument accusatoire habituel de la propagande officielle consiste à affirmer que les populistes joueraient sur les peurs (notamment la peur de l’immigration), ce qui ne serait pas bien.

    Mais que font en réalité les oligarques sinon essayer de provoquer la peur à chaque consultation électorale ?

    Ainsi, que n’ont-ils pas dit avant le vote anglais sur le Brexit ? Par exemple que l’économie anglaise allait s’effondrer, que les marchés allaient s’affoler et que, bien sûr, cela coûterait à la France une diminution de sa croissance.

    De même, s’agissant de l’euro et des traités européens, l’oligarchie ne cesse de jouer sur le registre de la peur : si l’on sort de l’euro, les Français perdront leurs économies… Si l’on sort de l’Union européenne, ce sera la guerre, etc.

    On a vu de même, cet été, le gouvernement socialiste et ses médias diffuser la thématique selon laquelle la France serait au bord de la guerre civile (2) : nouvel exemple d’instrumentalisation de la peur.

    Second exemple : vous êtes des complotistes !

    Autre exemple d’inversion accusatoire : le complotisme, qui serait une maladie d’extrême droite consistant à voir des complots partout.

    Mais en réalité c’est bien l’oligarchie qui complote en permanence contre les peuples européens : contre leur souveraineté et leur identité.

    L’oligarchie ne complote pas mais elle négocie dans le plus grand secret le Traité Transatlantique. Elle ne complote pas mais elle s’efforce par tous les moyens de nous entraîner dans une hostilité croissante vis-à-vis de la Russie. Elle ne complote pas mais elle impose au peuple français, avec le Traité de Lisbonne, un traité européen qu’il avait récusé par référendum.

    Elle ne complote pas mais la fondation Open Society de G. Soros (3) finance partout des mouvements destinés à diffuser l’idéologie libérale/libertaire et à favoriser l’immigration. L’oligarchie ne complote pas mais ses principaux leaders européens sont tous passés par les Young Leaders ou la banque Goldman Sachs.

    Troisième exemple : vous êtes raciste !

    L’accusation de racisme, sans cesse proférée à l’encontre des Européens en général et des Français en particulier, relève également de l’inversion accusatoire.

    Car en réalité la dénonciation obsessionnelle du racisme des autochtones traduit la haine cosmopolite de toutes les identités – et notamment de l’identité européenne – qui anime les oligarques. Les oligarques préfèrent toujours l’homme aux semelles de vent, plus malléable, à l’homme enraciné. Ils préfèrent les immigrants aux autochtones et les étrangers aux citoyens.

    En fait, leur antiracisme ostentatoire cache leur haine de tout ce qui est « terroir, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier » (4). Il est d’ailleurs frappant de constater que ces prétendus « antiracistes » professionnels refusent de reconnaître et donc de combattre le racisme antifrançais ou bien la christianophobie : ce qui traduit bien la véritable orientation haineuse de leur posture (5).

    En outre, comme le faisait remarquer Annie Kriegel en son temps, la dénonciation du racisme à tout bout de champ, initiée notamment en France par l’opération SOS-Racisme, a contribué à diffuser « une vision racialiste des rapports sociaux », c’est-à-dire à voir des questions raciales là où il n’y en avait pas. Donc en réalité à diffuser le racisme en France.

     Les oligarques, qui prétendent lutter contre la diffamation raciale, diffament en réalité en permanence et en toute impunité les Français et les Européens en les accusant, et eux seuls, de tous les crimes possibles : croisades, esclavage, colonialisme, militarisme, antisémitisme, xénophobie, racisme, etc.

    Quatrième exemple : vous menacez la démocratie !

    Enfin, dernier exemple, l’accusation portée à l’encontre des mouvements populistes de menacer la démocratie, voire de vouloir imposer un régime dictatorial.

     Il s’agit également d’une belle inversion accusatoire car c’est bien l’oligarchie qui détruit la démocratie en particulier en s’attaquant à la souveraineté des nations, en marginalisant la citoyenneté (6) et en donnant aux juges inamovibles la primauté sur les législateurs. Il suffit aussi de se rappeler ces oligarques vitupérant contre le référendum après le vote anglais sur le Brexit (7) pour mesurer l’étendue de leur esprit « démocratique ». En réalité, ce qu’ils nomment démocratie signifie seulement la soumission des peuples à l’idéologie et aux intérêts de l’oligarchie.

    Il est d’ailleurs significatif que les oligarques aient choisi de donner un sens péjoratif au mot populiste : car dans leur esprit il ne faut surtout pas faire la volonté du peuple, mais au contraire soumettre tous les peuples à leur loi et à leur gouvernement (8).

    Il faut dénoncer l’inversion accusatoire

    Le décryptage de la novlangue nous a appris à distinguer la réalité derrière le masque des mots.

    Nous savons, par exemple, que ce que les oligarques nomment liberté désigne en réalité la nouvelle condition servile qu’ils veulent nous imposer. Comme nous savons ce que veulent vraiment dire des expressions comme un quartier populaire, ou l’acte d’un déséquilibré.

     En ouvrant les yeux sur les pièges de l’inversion accusatoire, nous allons maintenant découvrir que ceux qui jouent en permanence les procureurs des peuples européens les accusent en réalité des crimes qu’ils ont l’intention de commettre contre eux.

    La novlangue est une tromperie sur et par le langage (9). L’inversion accusatoire est une tromperie encore plus grave car elle porte sur la distinction entre le Bien et le Mal. Car avec l’inversion accusatoire, le Mal se pare des couleurs du Bien et du Juste.

    C’est pourquoi il faut dénoncer cette autre forme de désinformation.

    A vous de jouer maintenant !

    Michel Geoffroy (Polémia, 20 août 2016)

     

    Notes :

    1. Voir notamment l’œuvre de Marc Ancel.

    2. A cause de… l’ultra-droite, selon le responsable de la DGSI…

    3. LeMonde.fr du 19 août 2016 présente M. Soros sous les traits d’un « philanthrope »…

    4. « Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier nous est étranger, voire odieux », Bernard-Henri Lévy, Edito de Globe paru en 1985.

    5. Ce qui ne les empêche pas, dans un autre processus d’inversion accusatoire, de clamer « FN = F Haine » !

    6. En donnant aux étrangers les mêmes droits, voire des droits supérieurs, que ceux des citoyens.

    7. « Il faut arrêter de dire que le peuple a toujours raison », Daniel Cohn-Bendit, LeFigaro.fr du 5 juillet 2016.

    8. Les cosmopolites qui préconisent un gouvernement mondial veulent instaurer en réalité une dictature mondiale : la leur.

    9. Pour reprendre l’expression du journaliste Michel Legris.

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