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paganisme - Page 4

  • Colloque avec le Baron...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier sous le titre Colloque avec le Baron le texte d'un entretien donné par Julius Evola à un groupe de ses disciples, quelques mois avant sa mort.

    Penseur essentiel du traditionalisme révolutionnaire, écrivain au style clair et puissant, Julius Evola est notamment l'auteur de Révolte contre le monde moderne (1934), Les Hommes au milieu des ruines (1953) et Chevaucher le tigre (1961).

     

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    " Ce texte, inédit jusqu’alors en français, est le verbatim d’une rencontre entre Julius Evola et un groupe de disciples s’étant tenue moins de six mois avant son décès. Il est intéressant à plus d’un titre car il nous éclaire sur la structuration en cours, à l’époque, de la mouvance évolienne ; sur les rapports de ses membres avec le maître ; sur les questions qui traversent alors ce courant ; tout en développant quelques positions d’Evola sur le paganisme et la fin du monde antique ; sur les rapports hommes-femmes ; etc.

    Colloque avec le Baron est donc, à ces divers titres, un document important dont la lecture ne pourra que satisfaire tant les traditionalistes pratiquants que ceux qui étudient ce milieu avec sympathie ou hostilité. "

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  • Les Catacombes de la libre pensée...

    Les éditions du Lore viennent de publier un essai  de Robert Dun intitulé Les Catacombes de la libre pensée. Robert Dun (1920-2002) est un écrivain païen, fortement influencé par Nietzsche, dont il a traduit Ainsi parlait Zarathoustra, et est notamment l'auteur de Vers l'Europe retrouvée ou la mort (Diffusion du Lore, 2020).

     

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    " Rédigé sur un ton d’une insigne liberté et achevé en 1990, cet essai de Robert Dun n’a de cesse de dénoncer « la complaisance des trompés envers les mensonges des trompeurs ». Se voulant accessible à toute bonne volonté, cet ouvrage, toujours tristement d’actualité, mérite une place de choix dans la bibliothèque militante de chaque combattant européen.

    «  L’huissier de l’histoire sonne à la porte et nous présente la facture de l’ère dite chrétienne. Cette facture parle de surpopulation, de famines, d’abêtissement, de drogues et névroses universelles, de catastrophes écologiques, de menaces apocalyptiques, de domination mondiale d’une véritable crapulocratie. Nous n’avons plus le temps de concocter des sommes que personne ne lirait. Nous écrivons pour le peuple, pour le petit reste qui mérite encore ce nom, c’est-à-dire pour tout homme capable de réflexion et d’engagement, quels que soient son niveau d’instruction livresque et ses origines sociales. » "

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  • A la recherche des Dieux...

    Les éditions Dualpha viennent de rééditer un récit de Bruno Favrit intitulé A la recherche des Dieux, avec une préface de Pierre Gillieth. Amateur de marches en montagne et lecteur de Nietzsche, Bruno Favrit a déjà à son actif une œuvre conséquente, avec des romans et récits, comme Le soleil d'or (Alexipharmaque, 2015) et Fort à faire (Auda Isarn, 2016) ou des essais, tels Vitalisme et Vitalité (Editions du Lore, 2006) et Esprit du Monde (Auda Isarn, 2011). Il a également publié un recueil d'aphorismes, Toxiques & Codex (Alexipharmaque, 2013) et le premier tome de son journal, Midi à la source (Auda Isarn, 2013).

     

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    " Le miracle grec et sa civilisation-socle ont jeté les bases, il y a 2 500 ans, de tout ce qui est cher aux Européens : les arts (théâtre, musique, architecture, poésie), la philosophie (tant politique qu’humaine), le politique et la (vraie) démocratie directe.

    Si cet héritage n’avait pas été digne, si nous n’avions pas eu les Grecs, les Romains, les Normands, les Ger­mains, les Celtes et tous ces peuples intrépides et inventifs, le christianisme aurait pu s’installer tranquillement en Europe et se prévaloir d’avoir assis notre civilisation dans une histoire univo­que.

    Or l’Europe ne s’est pas débarrassée de ces Hommes illustres, empereurs, généraux, explora­teurs, savants, artistes, qui ont su témoigner de la grandeur de leur civilisation.

    À ceux-là, nous devons ajouter les philoso­phes. Ces penseurs, souvent peu considérés comme ac­teurs de l’élaboration de notre destin, consti­tuèrent pourtant de manière déterminante l’es­sence même de l’Antiquité. Malgré quelques re­gret­­tables épisodes comme la mort forcée de Socrate, la philosophie pouvait s’y trouver bien et s’y développer. C’est que l’on avait alors une hau­te idée de la pensée à l’heure où l’on savait aussi mourir pour l’honneur et la liberté.

    L’aspect es­sentiel de la philosophie a été énoncé par Sénèque qui incitait l’individu à agir plutôt qu’à bavarder.

    L’Europe a montré en effet qu’elle savait agir – même si la tendance est plutôt ramenée aujour­d’hui vers l’attentisme et la concertation. Pour l’auteur, l’enseignement de la philosophie païenne doit être ainsi com­pris, fait de droiture et d’honnê­teté : « Savoir accessoire­ment recon­naître ses com­pagnons pour qu’ils se trouvent à nos côtés le jour où il nous faudra aller en terres dangereuses. » "

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  • Maugis...

    Les éditions Pierre-Guillaume de Roux viennent de rééditer dans une nouvelle version le roman de Christopher Gérard intitulé Maugis. Animateur de la défunte revue d'études polythéiste AnTaios, Christopher Gérard a notamment publié aux éditions L'Age d'Homme un journal spirituel, La source pérenne (2007), plusieurs romans dont Le songe d'Empédocle (2003), Porte Louise (2010) et Vogelsang (2012), et un journal de lecture, Quolibet (2013). Les éditions Pierre-Guillaume de Roux ont récemment publié son récit de flâneries urbaines, Aux armes de Bruxelles (2017) et son roman Le prince d'Aquitaine (2018).

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    « Maugis cheminait, le crâne rasé, le corps couvert de peaux de renard pour le protéger des atteintes du froid, de plus en plus vif au fur et à mesure de son ascension. (…) La neige fit son apparition, et avec elle, Maugis comprit qu'il approchait de son but. Cette neige de l'Himalaya, il la toucha, la piétina durant des semaines, ouate glacée qui purifia ses pensées de toute noirceur. Des réminiscences de bataille lui revinrent en mémoire : la poussière d'un terrible été et le sang de ses victimes sans nombre. Ce fut grâce à l'eau solidifiée des cimes sacrées que le jeune homme se lava enfin de tenaces souillures. »

    Qui est donc Maugis, ce jeune homme aux yeux émeraude ? Un poète ballotté par les tempêtes de l’histoire ? Un mage issu de la nuit des temps ? Trois figures féminines tissent son destin... Échappera-t-il au sortilège qui le menace ? Lèvera-t-il le voile qui recouvre les circonstances obscures de sa naissance ? Triomphera-t-il des passions qu’il déchaîne autour de lui ?
    Une quête envoûtante et une réhabilitation du merveilleux, servies par un style lumineux.

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  • Vers l'Europe retrouvée...

    Les éditions du Lore viennent de publier un court essai polémique de Robert Dun intitulé Vers l'Europe retrouvée ou la mort. Robert Dun (1920-2002) est un écrivain païen, fortement influencé par Nietzsche, dont il a traduit Ainsi parlait Zarathoustra.

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    " Initialement publié en avril 2000 de manière quasi-confidentielle (moins de 300 exemplaires furent imprimés), cet écrit du regretté Robert Dun se voulait une réponse au livre de Mgr Hippolyte Simon, Vers une France païenne ?, paru en 1999.

    Avec la brutale franchise et toute la véhémence d’un Nietzschéen assumé, Robert Dun réfute l’idée même que l’Europe eut été un jour chrétienne dans son âme, aux sens biblique et clérical. A travers une multitude d’exemples symboliques et historiques, par le truchement de citations savamment choisies, l’auteur démontre que si un certain Christianisme « à l’occidentale » existe depuis des siècles, il n’en demeure pas moins qu’un Paganisme clandestin a su rester vivace et ardent.

    Un livre à ne pas mettre entre les mains de délicats miséricordieux, tant l’une de ses conclusions semble sans appel : L’Europe n’a jamais été réellement chrétienne et sa meilleure sève s’est même clairement manifestée antichrétienne.

    Dix-huit ans après avoir rejoint les Oies sauvages, les constats et mises en garde de cet Homme de défi, qui n’écrivait pas pour nous faire plaisir, mais pour nous faire réfléchir, sont d’une étonnante pertinence. "

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  • La Ruine de la civilisation antique...

    Les éditions Les Belles Lettres viennent de publier un essai historique de Guglielmo Ferrero intitulé La Ruine de la civilisation antique. Historien italien de la première moitié du XXème siècle, spécialiste de la Rome antique, Guglielmo Ferrero s'est également fait connaître par un essai de philosophie politique Pouvoir - Les génies invisibles de la cité (Livre de poche, 1988) et par un ouvrage remarquable sur la Révolution, Les deux révolutions françaises (Livre de poche, 1993).

     

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    " Dans La Ruine de la civilisation antique, publié après la Première Guerre mondiale, le grand historien et intellectuel italien Guglielmo Ferrero conduit son lecteur à prendre du recul vis-à-vis de l’histoire contemporaine par une relecture en profondeur de la Rome antique, au moment de sa chute. Par ce détour, Ferrero analyse les mécanismes politiques et culturels à l’oeuvre dans le temps long d’une histoire politique occidentale qui est avant tout celle de la civilisation européenne.
    Cet usage de l’histoire comme d’une lanterne éclairant le temps présent n’a rien perdu de son actualité et de sa finesse. Relire Ferrero aujourd’hui dans la crise que nous traversons, c’est écouter un européen convaincu, qui écrivait déjà que l’Europe se sauverait ou périrait tout entière et que, dans la bascule entre ces deux avenirs, la question de la forme des régimes politiques et de leur sincérité au regard des principes européens n’est pas anecdotique mais centrale. "

                                   

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