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nationalisme - Page 5

  • L'homme de Dreux...

    Les éditions de Synthèse nationale viennent de publier dans leur collection des Cahiers d'histoire du nationalisme, un volume consacré à Jean-Pierre Stirbois, ancien secrétaire général du Front national, mort en 1988, à l'origine de la première grande percée électorale de son part à Dreux.

     

     

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    " Il y a trente ans,  Jean-Pierre Stirbois disparaissait dans un accident de voiture à Pontchartrain dans les Yvelines. Il revenait à Paris après avoir tenu un ultime meeting à Dreux, la ville où il fut élu en 1983.

    Venu de la mouvance solidariste, il adhéra en 1977 au Front national de Jean-Marie Le Pen. Très vite, il en est devenu le secrétaire général. 

    C'est lui qui élabora la stratégie consistant à concentrer les efforts militants sur quelques villes, comme ce fut le cas à Dreux, afin d'obtenir des résultats conséquents permettant l'émergence du mouvement au niveau national. En 1983, ce fut le coup de tonnerre de Dreux et, quelques mois plus tard, la percée historique aux élections européennes de juin 1984.

    C'est pour rappeler le rôle primordial qui fut le sien dans l'histoire de notre famille politique, et aussi dans celle de notre pays, que nous avons tenu à lui consacrer ce nouveau numéro, le quinzième, des Cahiers d'Histoire du nationalisme.

    Contributions de : Francis Bergeron, Franck Buleux, Françoise Monestier, Philippe Randa, Massimo Magliaro, Jean-François Touzé, Roland Hélie... "

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  • Georges Valois et le fascisme français...

    Les éditions Ars Magna viennent de publier un essai de Georges Valois intitulé Le fascisme. Georges Valois est une figure emblématique de la pensée non-conformiste du début du vingtième siècle. D'abord anarchiste, puis membre de l'Action française, il a animé avant la première guerre mondiale (1912-1913), avec Edouard Berth, le Cercle Proudhon, inspiré par Georges Sorel. Après 1918, il s'éloigne progressivement de Maurras, et poursuit l’œuvre du Cercle Proudhon, en fondant Le Faisceau, un mouvement idéologiquement fasciste. Après l'échec de cette tentative et après celle de la création d'un parti républicain syndicaliste, il se rapproche progressivement de la SFIO. A la suite de la défaite de 1940, il s'engage dans la résistance et meurt en déportation en février 1945 à Bergen-Belsen.

     

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    " Ce livre, publié pour la première fois en 1927, fut écrit peu de temps après que son auteur, Georges Valois, ex-anarchiste et ex-monarchiste d’Action française, ait fondé Le Faisceau qui fut la première organisation fasciste française.
    À sa lecture, on découvre que les membres du Faisceaux se considéraient comme les seuls vrais disciples de Maurice Barrès et comme les héritiers des révolutionnaires de 1789 !
    Pour l’universitaire Jean-Maurice Duval le fascisme valoisien fut un « fascisme météore », un « fascisme de laboratoire », un « fascisme de gauche », un « fascisme que l’on pourrait dire utopique », comparable à certaines expériences contemporaines des pays du tiers-monde « où des gouvernements, souvent militaires, hypernationalistes, anti-ploutocratiques (...), à volonté sociale, socialisante ou même socialiste, correspondent assez bien à la définition très large que Valois donne du fascisme : nationalisme et socialisme. »
    Bien que publié il y a plus de quatre-vingt-dix ans, ce livre reste de ce fait, pour une grande partie de ses thèses, d’une étonnante actualité et sa lecture passionnera tant les chercheurs que les militants. "

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  • « Le citoyen est autant fils de la patrie que de la nation »...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Vincent Coussedière, cueilli sur Figaro Vox et consacré à la question des relations entre patriotisme, nationalisme et populisme. Professeur de philosophie et essayiste, Vincent Coussedière a notamment publié Eloge du populisme (Elya, 2012), Le retour du peuple - An I (Cerf, 2016) et Fin de partie - Requiem pour l'élection présidentielle (Pierre-Guillaume de Roux, 2017).

     

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    « Le citoyen est autant fils de la patrie que de la nation »

    L'assurance d'Emmanuel Macron, affirmant que le patriotisme est l'exact contraire du nationalisme, ce dernier en constituant la trahison, mérite pour le moins d'être interrogée, de même que l'assimilation récurrente qu'il a l'habitude d'opérer entre nationalisme et populisme. Il ne s'agit pas ici de réhabiliter le «nationalisme» ou le «populisme» contre le «patriotisme», mais de douter de l'évidence objective sur laquelle reposeraient ces oppositions et distinctions, qui s'entourent trop souvent d'une justification «scientifique» prétendument tirée de la connaissance historique.

    Commençons par le nationalisme, auquel on réserve l'effet péjoratif produit par l'utilisation du «isme» dont on préserve au contraire le patriotisme. Remarquons le bénéfice de l'opération - dont Emmanuel Macron n'est bien évidemment pas l'inventeur, mais qu'il hérite d'une longue tradition - qui est de faire rejaillir sur tout amour ou attachement profond et existentiel à la nation le soupçon d'extrémisme et de fanatisme. L'opprobre jeté sur le «nationalisme» devient un opprobre jeté sur la nation. En opposant à cet amour réputé irrationnel de la nation que constituerait le «nationalisme», le «patriotisme», qui seul serait rationnel, Macron se place sous la protection de son maître Habermas et plus largement de toute la pensée «européiste». En effet l'Europe des «pères fondateurs» s'est construite sur une conception rendant la nation coupable d'engendrer d'elle-même le nationalisme. Reprenant l'opération communiste du «transfert d'exécration» noté par Jules Monnerot, qui passe du nazisme et du racisme au fascisme en général, puis de celui-ci de manière encore plus extensive au «nationalisme», les «pères fondateurs» firent de la nation et du nationalisme les responsables des deux grandes guerres mondiales, faisant ainsi oublier que les deux grands totalitarismes ne firent pas fond sur la nation mais sur la race et sur la classe.

    Opposé à ces extrêmes, le patriotisme européen se voulut un rapport contractuel et libre à la communauté politique, dans laquelle chacun pourrait désormais entrer et sortir, rapport opposé à toute relation d' «appartenance», réputée opprimer la liberté de l'individu et ouvrir ainsi la voie à d'inutiles sacrifices. Le «patriotisme constitutionnel» d'Habermas fut la formule brillante résumant cette entreprise.

    Pourtant cette opposition entre nationalisme belliqueux et patriotisme pacificateur pose de nombreux problèmes. Le premier est historique: ni l'hitlérisme ni le stalinisme, principaux acteurs de la seconde guerre mondiale, ne furent des «nationalismes», mais des racialismes et des «classismes» (réduisant les peuples à la race ou à la classe). On objectera que pour la première guerre mondiale la responsabilité du nationalisme est engagée, mais c'est parce qu'on a préalablement fait de l'impérialisme une composante essentielle du nationalisme, pensé comme un amour de la nation impliquant la haine des autres nations et la volonté de les soumettre. Or comme le faisait remarquer avec humour Alfred Fouillée: aimer sa propre femme n'implique pas de haïr celle des autres ni de la violer.

    En réalité, cette opposition entre «nationalisme» et «patriotisme» est assez arbitraire. Historiquement l'usage confond l'appartenance à la mère patrie et l'appartenance à la nation. Il semble donc difficile de faire du patriotisme et du nationalisme d'exacts contraires alors qu'ils renvoient aux termes de patrie et de nation qui sont si proches. De Gaulle en avait eu l'intuition, qui ne renonçait pas au terme de nation en faisant de son mouvement celui des «nationaux» qu'il distinguait de celui des «nationalistes».

    Il semble qu'une piste pourrait être explorée qui fasse sortir d'une opposition qui profite à ceux qui aimeraient bien enterrer les nations avec le nationalisme. Cette piste qui nous est indiquée par l'étymologie latine, consisterait à ne pas opposer la nation et la patrie comme des contraires, mais à les penser dans leur complémentarité. Patrie renvoie à «pater» c'est-à-dire à la terre des pères. Nation vient de «naissance» et renvoie ainsi plus directement que patrie à une origine maternelle. La nation c'est une origine qui place en situation de passivité et de dépendance, la nation c'est ce que je reçois et qui m'alimente avant toute liberté et toute autonomie, mais qui est en même temps la condition de la liberté et de l'autonomie. La patrie c'est ce qui vient m'affilier à une communauté politique, c'est ce qui vient me reconnaître par le nom du père dans un état civil et préparer ma liberté de citoyen à travers mon appartenance à l'État.

    Loin que la nation et le nationalisme soient d'exacts contraires de la patrie et du patriotisme, il faudrait plutôt penser aujourd'hui leur complémentarité et leur articulation. Le citoyen est fils de la nation et de la patrie et, associé aux autres citoyens, qui sont ses frères, il forme ainsi un peuple politique.

    Ceci nous amène au troisième terme d'une confusion entretenue: le «populisme».

    Le populisme est la protestation d'un peuple politique qui ne veut pas choisir entre sa mère et son père, entre la nation et la patrie, entre l'appartenance et la citoyenneté, mais qui a compris qu'il avait besoin des deux pour se constituer en peuple politique. Le populisme est le refus opposé par un peuple politique au divorce qu'on lui propose entre nation et patrie, héritage et liberté, conservatisme et progrès, communauté et république, nationalité et citoyenneté, démos et démocratie.

    Le populisme ne doit pas être confondu avec de simples mouvements politiques et partisans, il est beaucoup plus profondément «populisme du peuple», c'est-à-dire refus des vieux peuples politiques européens de disparaître. Le message que ces peuples adressent aux politiques, totalement incompris de Macron, est le suivant: cessez d'opposer la nation et la patrie, la nation et la république, l'institution d'un peuple et sa constitution.

    Être un «national», un «patriote» et un «populiste», peut être aujourd'hui une seule et même chose, en refusant d'opposer l'attachement charnel à la nation à l'attachement rationnel aux institutions, en comprenant au contraire leur complémentarité dans l'existence d'un peuple politique dont on veut poursuivre l'aventure.

    Vincent Coussedière (Figaro Vox, 15 novembre 2018)

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  • La perfection de la technique...

    Les éditions Allia publient cette semaine un essai de Friedrich-Georg Jünger intitulé La perfection de la technique. Frère d'Ernst Jünger. Auteur de très nombreux ouvrages, Friedrich-Georg Jünger a suivi une trajectoire politique et intellectuelle parallèle à celle de son frère Ernst et a tout au long de sa vie noué un dialogue fécond avec ce dernier. Parmi ses oeuvres ont été traduits en France un texte écrit avec son frère, datant de sa période conservatrice révolutionnaire, Le nationalisme en marche (L'Homme libre, 2015), et un recueil d'essais sur les mythes grecs, Les Titans et les dieux  (Krisis, 2013).

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    “ « L’ère de la technique excelle certes à susciter des organisations mais est incapable de fonder des institutions. Elle s’entend toutefois à transformer les institutions existantes en organisations, à en faire des organisations, c’est-à-dire à les mettre en relation avec l’appareillage technique. Le progrès technique ne tolère plus que des organisations qui dans leur ensemble ont quelque chose de mobile, qui correspondent donc foncièrement à la grande mobilisation de ce temps. Or le concept d’institution implique qu’elle soit posée, ou du moins pensée comme immuable, comme un édifice immobile qui a quelque chose de statique et qui résiste aux outrages du temps. Les organisations livrent à la technique les moyens pour ses plans de travail ; c’est là une vocation que l’on discerne toujours plus nettement. »
    La perfection de la technique, c’est la rationalité absolue des procédés qui ont mécanisé et automatisé le travail depuis le début de la Révolution industrielle. Une efficacité implacable, pourtant délétère dans le contexte de la société humaine tout entière. Reliées en réseau à l’échelle planétaire, les machines fixent le but à atteindre et dominent l’activité du travailleur, désormais détaché de tout ancrage local. En favorisant une pensée économique uniquement fondée sur une partie du processus, en envisageant les ressources naturelles sur lesquelles elle s’appuie comme une manne inépuisable, la technique pourrait bien précipiter elle-même sa propre fin.
    Dans cet essai visionnaire, inédit en français, Friedrich Georg Jünger dénonce les illusions que suscite la technique moderne, ses promesses d’un accroissement de la richesse et du temps libre. Après la destruction de la composition typographique du livre dans un bombardement allié en 1942, une première édition a pu voir le jour en 1944, rapidement réduite en cendres par une attaque aérienne. La Perfection de la technique paraît enfin, en deux livres séparés, en 1946 et 1949, avant de connaître de multiples éditions en un seul volume par la suite."
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  • Élections européennes en folie...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Richard Dessens, cueilli sur Eurolibertés et consacré à l'hystérisation de la campagne des élections européennes par Emmanuel Macron. Docteur en droit et professeur en classes préparatoires, Richard Dessens a notamment publié La démocratie travestie par les mots (L'Æncre, 2010), Henri Rochefort ou la véritable liberté de la presse (Dualpha, 2017) et La démocratie interdite (Dualpha, 2018).

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    Élections européennes en folie

    À six mois des élections européennes, un climat délétère et de provocation se développe et tend à chercher à creuser une fracture profonde en Europe. La fin des partis traditionnels est entérinée au niveau européen par Emmanuel Macron qui recherche un affrontement violent avec ses adversaires qu’il traite ouvertement comme des ennemis issus des mouvements fascistes et nazis des années 1930, comme il l’exprime très clairement. Il les injurie même sans vergogne, et très loin du ton doucereux et diplomatique dont il se veut l’image relayée savoureusement notamment par la grande chaîne d’information BFM (dite « BFMacron »).

    L’État « impartial » cher à François Mitterrand et pivot de la campagne de François Hollande en 2012 vient de voler en éclat…

    Ses ennemis : la « lèpre nationaliste » assimilée sans nuance au NSDAP ou aux Faisceaux italiens d’avant-guerre, pour susciter une « Grande Peur » en Europe et attirer à lui une masse électorale craintive, crédule et émotive sur ces sujets. On attend pour bientôt un rappel de la Shoah pour faire bonne mesure.

    Emmanuel Macron dépasse les bornes sans que personne dans la grande presse officielle ne s’en indigne, glosant, commentant et minimisant avec le plus grand sérieux les folles incartades d’un président qui joue avec le feu, et bien plus provocateur qu’un Donald Trump dont le moindre mot le fait vouer aux gémonies. Jean-Luc Mélenchon est même un petit garçon face à ses outrances inouïes et ne lui arrive pas à la cheville dans ses gesticulations pourtant non dénuées de fondement lorsque l’on voit ce que M. Macron est capable de faire.

    Pourtant, l’élimination de tous les grands partis traditionnels d’Europe en France, Allemagne, Italie, Autriche, Hongrie ou leur affaiblissement ailleurs, sont un sujet de réjouissance à la fois pour M. Macron et aussi pour les mouvements ou gouvernements taxés de « populistes ».

    Ainsi les deux adversaires déclarés sont déjà passés par-dessus les partis pour clarifier d’une certaine manière les enjeux européens et leur apporter toute leur importance : l’immigration et la sécurité d’une part et, avec eux, une reconsidération de la notion d’État de droit d’une façon plus générale. Les petites cuisines chères aux partis traditionnels sont rejetées sur le côté de la route.

    Mais cette simplification apparente, et peut-être salutaire, cache d’autres craintes que ce « faux combat » dissimule. Les mouvements « populistes » européens, ou américains maintenant, sont tous partisans d’une économie très libérale, comme M. Macron lui-même. C’est peut-être leur seul point commun, mais il est de taille. D’ailleurs le discours économique d’Emmanuel Macron est beaucoup moins mondialiste qu’à ses débuts et tend à prendre depuis peu en compte les intérêts nationaux et européens. Ce n’est probablement pas un hasard.

    Qu’il puisse y avoir une convergence d’intérêts économiques, et la présence de Steve Banon en Europe tendrait à le prouver, entre M. Macron et les « Populistes » au bout du compte, est un paramètre qui n’est pas à écarter. Quitte à sacrifier quelques « valeurs » européennes périmées, à restreindre les flux d’immigration, tout en recomposant une Europe dans laquelle la haute finance aurait définitivement pris le pouvoir. M. Macron ne serait-il pas finalement un « Trump européen » en germe ?

    Pour l’instant M. Macron agite des chiffons rouges et réveille les vieux démons du passé, toujours vendeurs pour créer une apparente opposition frontale dans un nouveau bipartisme européen qui aurait au moins en commun l’élimination des vieilles structures au profit d’un grand « tout financier » tout aussi désolant, mais nouveau.

    Ceci étant, il est aussi risible qu’inquiétant d’entendre l’UE et Emmanuel Macron psalmodier les valeurs intangibles et sacrées de l’« État de droit » et de visionner le clip réalisé par l’État français pour mobiliser les électeurs en vue de la prochaine élection européenne. Ce clip est totalement partisan, stigmatisant MM. Orban et Salvini sans aucun complexe.

    C’est un clip de « La République en Marche » et non celui d’un État impartial qui poursuit un but exclusivement civique. Mais « l’État impartial » cher à François Mitterrand et pivot de la campagne de François Hollande en 2012 vient de voler en éclat et ne doit déjà plus être une valeur fondamentale de l’« État de droit ». Nous sommes entrés dans l’ère nouvelle de l’« État partial » macronien sans vergogne. On croit rêver.

    Tout cela est aussi outrancier – tout en laissant de marbre tous les commentateurs qui, il y a peu, se seraient offusqués et auraient crié à la dictature si Nicolas Sarkozy avait dit et fait le dixième de M. Macron –, que la dénomination des deux futurs partis européens amorcée par M. Macron : la « Lèpre nationaliste » (LN) d’un côté, et de l’autre, appelons le « Choléra macronien » (CM). Par certains côtés on croit revenir avec angoisse sur les bancs du cours préparatoire (CP).

    Richard Dessens (Eurolibertés, 12 novembre 2018)

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  • Montée des nationalismes et des droites extrêmes : retour aux années 30 ?...

    Le 17 octobre, dans son émission « Interdit d'interdire », sur RT France, Frédéric Taddeï recevait, pour évoquer la montée des nationalismes, Thomas Guénolé, politologue et candidat France Insoumise aux élections européennes, Annie Lacroix-Riz, historienne , François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Eléments et Pierre Birnbaum, historien et sociologue.

     

                              

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