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israël - Page 5

  • Action terroriste du Hamas contre Israël : quelles leçons en tirer ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Yves Le Gallou cueilli sur Polémia et consacré aux lecons à tirer de l'attaque des islamistes du Hamas contre Israël...

    Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016), Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018) et Manuel de lutte contre la diabolisation (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

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    Action terroriste du Hamas contre Israël : quelles leçons en tirer ?

    1– L’action terroriste du Hamas visant des civils israéliens a beau avoir utilisé des moyens modernes (drones, parapentes) elle relève d’un mode opératoire classique dans le monde arabo-musulman, le rezzou, le pillage et l’enlèvement de femmes et enfants. Depuis les batailles du prophète musulman jusqu’aux raids des Touaregs en passant par ceux des pirates barbaresques, rien n’a changé dans l’horrible traitement des mécréants.

    2– Les déclarations complaisantes de La France Insoumise se refusant à condamner clairement une action terroriste de grande ampleur ont choqué, on le comprend, et surpris, on le comprend moins. LFI suit sa base électorale qui se trouve dans les banlieues de l’immigration qui sont globalement solidaires du Hamas comme l’est « la rue arabe » partout dans le monde. Ceux qui ont encouragé ou toléré (le CRIF, le PS, LR, etc.) la venue d’immigrés toujours plus nombreux sont mal placés pour chouiner aujourd’hui : ce sont eux qui ont apporté à l’extrême gauche une base électorale puissante. Et tout cela était théorisé depuis plus de 20 ans.

    3– La vraie question aujourd’hui est de savoir comment éviter d’avoir avec la Seine-Saint-Denis (236 km2) un Gaza (360 km2) aux portes de Paris. Juste pour mémoire, 73 % des nouveau-nés en Île-de-France ne sont vraisemblablement pas d’origine européenne puisqu’ils sont dépistés à la drépanocytose.

    4– Le principe de précaution doit donc conduire à interrompre toute immigration nouvelle et à entreprendre une politique d’éradication des bandes délinquantes. Ce qui suppose de reprendre le pouvoir sur les juges (ce que tente d’ailleurs de faire le gouvernement israélien).

    5– Lors des attentats du Bataclan et de Nice, l’opinion française a été formatée par la propagande autour d’une double réponse : « Pas d’amalgames », « Vous n’aurez pas ma haine ! ». Ceux qui refusaient de rentrer dans ce jeu ont été poursuivis et censurés. Les Israéliens n’ont pas ces pudeurs et ils ont raison. Mais on ne voit pas pourquoi on ne lèverait pas certains interdits idéologiques en France avant qu’il ne soit trop tard.

    6– La réponse israélienne porte un nom : le recours à la force. C’est normal, c’est l’ultima ratio des nations.
    Sans attendre d’être dans une situation critique, les nations européennes devraient utiliser sans tarder un recours proportionné à la force pour stopper l’invasion migratoire. Mieux vaut éliminer des filières de passeurs, arraisonner des bateaux, et expulser des indésirables aujourd’hui qu’avoir à bombarder des immeubles demain.

    7– Ces considérations ne doivent pas interdire de s’interroger sur ce qu’il est convenu d’appeler l’Occident, un ensemble géopolitique dans lequel l’Europe est embarquée sur le porte-bagages des États-Unis, de la Grande Bretagne et d’Israël.
    Un ensemble fragilisé par :

    • une démographie en berne ;
    • des guerres à répétition (Irak, Serbie, Afghanistan, Syrie) ne débouchant pas sur le nation building mais sur l’essaimage de groupes terroristes ;
    • un hédonisme incompatible avec la montée des périls, alors même que les lieux de fêtes sont visés (Bataclan, Rave party du désert du Néguev).

    Les Européens ne s’en sortiront qu’en reprenant conscience de leur identité et en retrouvant les vertus romaines qui ont fait leur force. Une force qui ne doit pas exclure le recours à la force.

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 10 octobre 2023)

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  • Feu sur la désinformation... (438)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un numéro de l'émission I-Média sur TV libertés consacrée au décryptage des médias et animée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, et Floriane Jeannin

     

                                              

    Sommaire :

    L’image de la semaine : L’attaque du Hamas

    Le dossier : Les répercussions du conflit

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    Les pastilles de l’info :

    Olivier Véran, de ministre de la santé à Youtubeur : micro trottoir

    Les boulevards des Maréchaux sur le billot de la guerre en Ukraine

    L’apologie de la PMA au gouvernement

    Les mensonges d’Aurélien Rousseau sur les vaccins

    Conclusion

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    Portrait piquant : Laurent Solly

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  • Confinez-vous avec : ... La petite fille au tambour, de John Le Carré !

    Avec la crise du coronavirus, les maisons d'édition reportent la publication de leurs nouveautés à des jours meilleurs. Cette période sera donc l'occasion de vous signaler, au gré de l'inspiration du moment, des ouvrages, disponibles sur les sites de librairie en ligne (ceux dont l'activité se poursuit...), qui méritent d'être découverts ou "redécouverts".

    On peut trouver publié aux éditions Le livre de poche, un roman de John Le Carré intitulé La petite fille au tambour. On ne présente plus John Le Carré, l'auteur de L'espion qui venait du froid, de La Taupe ou d'Une vérité si délicate, nous plonge avec ce livre dans les noirceurs souterraines du conflit israélo-palestinien...

     

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    " Charlie est une jeune comédienne de vingt ans, gauchiste, un peu paumée mais douée, à la recherche d'une cause. Mais laquelle ? Cet été-là, sa vie prendra son sens sur une plage de Mykonos. Kurtz est un grand combattant de la cause israélienne, officier opérationnel des Services secrets de son pays. Sa mission : lutter contre les attentats antisémites en Europe. Michel est le nom d'emprunt d'un jeune Palestinien qui, avec son frère, lutte pour faire entendre au monde entier les souffrances de son peuple. « Joseph » est le nom que Charlie et ses amis ont donné â cet homme beau et solitaire qui les observe sur la plage de Mykonos et dont l'apparent détachement cache une volonté de fer. Helga est une petite bourgeoisie allemande pour qui les théories ne seront jamais remplacées par l'action sur le terrain. .Avec La Petite Fille au tambour, John Le Carré abandonne son héros favori, Smiley, et tout l'univers du Cirque, pour nous offrir sa première héroïne : Charlie.. Une jeune femme bouleversante de vérité qui, entre Palestiniens et Israéliens, va jouer le rôle de sa vie... et sa vie pour de bon. Un livre fantastiquement riche qui, tout. en étant le plus achevé de ses romans d'espionnage, est aussi un grand roman d'actualité où l'amour et la politique mènent le jeu jusqu'au bout. "

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  • Lève-toi et tue le premier...

    Les éditions Grasset ont publié récemment une enquête de Ronen Bergman intitulée Lève-toi et tue le premier - L'histoire secrète des assassinats ciblés commandités par Israël. Ronen Bergman est journaliste et spécialiste des questions de défense au Yediot Aharonot, le plus grand quotidien israélien.

     

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    " «  Face à celui qui vient te tuer, lève-toi et tue le premier.  » C’est par cette citation du Talmud que s’ouvre le livre-événement de Ronen Bergman, le premier ouvrage exhaustif sur les programmes d’assassinats ciblés menés par les services du Mossad, du Shin Bet et de l’armée israélienne. Depuis les mois qui ont précédé la création de l’État jusqu’aux menaces les plus contemporaines, Israël s’est appuyé sur le renseignement et les opérations secrètes pour préserver sa sécurité en exécutant, sur son sol ou à l’étranger, ses ennemis. Depuis la Seconde Guerre mondiale, les Israéliens ont ainsi éliminé  de manière ciblée  plus d’individus que n’importe quel autre pays occidental.
    Il a fallu plusieurs décennies d’enquête à l’auteur pour réunir ces milliers de documents – dont beaucoup sont encore aujourd’hui classifiés – et pour mener des centaines d’entretiens avec des responsables du Mossad, des anciens Premiers Ministres israéliens, ou encore des membres de commandos parfois célèbres, remontant ainsi toute la chaîne depuis les agents exécutants jusqu’aux plus hautes sphères politiques. Bergman nous fait revivre les grands succès de ces opérations secrètes, certains échecs également, et écrit ainsi une histoire parallèle de l’État hébreu. Une histoire de l’ombre dont on comprend dès les premières pages qu’elle est ancrée dans l’ADN de la nation israélienne.
    Il s’agit d’un projet extrêmement ambitieux mais aussi d’un fabuleux page-turner qui se dévore, chapitre après chapitre, à l’instar des meilleures séries télévisées. Et pourtant nous ne sommes pas du côté de la fiction, Bergman nous raconte un monde secret mais bien réel qui continue, encore aujourd’hui, de modeler le Moyen-Orient et les relations internationales. "

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  • De l'Iran au Mali : regard sur l'arc des crises...

    Nous reproduisons ci-dessous entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Boulevard Voltaire, dans lequel il évoque l'actualité politique internationale sur l'arc des crises, de l'Iran au Mali... Philosophe et essayiste, directeur des revues Nouvelle École et Krisis, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Ce que penser veut dire (Rocher, 2017) et Contre le libéralisme (Rocher, 2019).

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    Alain de Benoist : « Face à l’Iran, les Israéliens seront toujours prêts à mourir jusqu’au dernier Américain ! »

    Après l’assassinat du général Qassem Soleimani, l’un des personnages-clés les plus populaires de la scène politique iranienne, dans l’une de ces « frappes ciblées » dont les États-Unis ont le secret, beaucoup s’attendaient à une rapide montée aux extrêmes. La riposte iranienne a pourtant été plutôt modérée. Mise en scène ou jeu de dupes ?

    L’assassinat du général Soleimani était pourtant un acte de guerre. Et même si les mots ont un sens, un crime de guerre – ce qui ne l’a pas empêché d’être accueilli avec jubilation par Jaïr Bolsonaro et par Matteo Salvini, président du fan-club des supporters italiens de Netanyahou. Ce meurtre, organisé à partir de la base américaine de Ramstein, en Allemagne, grâce à des renseignements fournis par le Mossad à la CIA, est aussi un événement historique, car c’est la première fois que les États-Unis revendiquent ouvertement l’élimination d’un dirigeant de premier plan d’un État souverain avec lequel ils ne sont pas officiellement en guerre. Rien à voir, par conséquent, avec l’élimination de Ben Laden ou d’Abou Bakr al-Baghadi. Pour trouver un précédent, il faut remonter à l’assassinat de l’amiral Isoroku Yamamoto, en avril 1943, mais c’était dans le cadre de la guerre du Pacifique. Depuis, ce sont plutôt les services secrets qui tuent dans l’ombre ceux qu’ils veulent éliminer. Pour en avoir une bonne idée, lisez Lève-toi et tue le premier, le livre que vient de faire paraître Ronen Bergman, journaliste au quotidien israélien Yediot Aharonot, qui dresse une liste de 2.700 assassinats ciblés perpétrés, depuis sa création, par le Mossad (plus que la CIA et le KGB réunis).

    À cet assassinat, les Iraniens ont en effet répondu de façon somme toute modérée, en faisant savoir à l’avance aux Américains, par l’intermédiaire des Irakiens, qu’ils allaient frapper une de leurs bases situées en Irak, ce qui a permis l’évacuation des soldats qui s’y trouvaient. Il est probable que l’ a bien compris que Trump voulait avant tout séduire ses électeurs « sionistes évangéliques » et qu’il n’avait pas l’intention de s’engager dans une nouvelle guerre avant l’élection présidentielle de novembre prochain. Cela dit, le Proche-Orient étant ce qu’il est, Trump, avec sa brutalité et son mépris du droit international habituels, a pris des risques considérables car, dans cette région du monde, le moindre accident peut facilement dégénérer. Attendons la suite, car il y en aura une. Face à l’, les Israéliens seront toujours prêts à mourir jusqu’au dernier Américain.

    Lorsque Emmanuel Macron a tenté de jouer les intermédiaires entre Téhéran et Washington, Ali Khamenei, le Guide suprême iranien, a déclaré que le Président français était un naïf ou un complice de l’Amérique. La voix de la France semble ne plus être entendue au Proche-Orient. Pourquoi ?

    Parce qu’elle n’est plus audible et surtout parce qu’elle n’est plus crédible. Depuis qu’elle a abandonné toute « politique arabe », c’est-à-dire depuis que les néoconservateurs atlantistes font la loi au Quai d’Orsay, la France ne cessé de se discréditer au Proche-Orient, où elle était autrefois respectée et écoutée. Elle a assisté, sans mot dire, au démantèlement de l’Irak de Saddam Hussein. Elle a pris une part active au lynchage de Kadhafi et s’entête à soutenir, en Libye, le gouvernement fantoche de Fayez el-Serraj. Alors que, depuis l’ère Obama, les États-Unis semblaient avoir amorcé un désengagement, au moins partiel, dans la région, tandis que les Anglais s’embourbaient dans leurs affaires intérieures, au lieu de tenter d’exploiter la situation à notre profit, nous avons rompu toute relation avec Damas pour soutenir objectivement des groupes terroristes hostiles au gouvernement syrien (Al-Nosra, aujourd’hui Hayat Tahrir al-Cham). Vis-à-vis de la Turquie, nous ne savons pas sur quel pied danser. Au lieu de soutenir les chiites dans leur lutte contre les sunnites, nous n’avons pas réagi à des sanctions contre l’Iran qui nous visaient indirectement aussi, et nous nous sommes aplatis devant la prétention américaine à faire reconnaître par le monde entier la monstrueuse extraterritorialité de leurs réglementations juridiques et commerciales. Plus récemment encore, Macron n’a rien trouvé à redire au plan Donald Trump pour la « paix au Proche-Orient », qui n’était qu’une déclaration de guerre aux Palestiniens destinée à conforter dans ses positions un Netanyahou menacé d’être jugé pour corruption aggravée. Alors que Vladimir Poutine est, aujourd’hui, devenu l’incontournable maître du jeu au Proche-Orient, parce qu’il est le seul à pouvoir parler avec les mollahs iraniens comme avec Netanyahou, avec les Américains comme les Syriens, avec Erdoğan comme avec les pays du Golfe, nous n’avons plus personne comme interlocuteur et nous n’avons quasiment plus de renseignements sur quoi que ce soit.

    Et la guerre qui se poursuit au Sahel ? Peut-elle être gagnée ?

    Compte tenu de la disproportion des forces engagées (quelques milliers d’hommes censés « pacifier » un territoire aussi grand que l’Europe), elle ne peut l’être en aucun cas. On peut, en revanche, gagner du temps et espérer stabiliser la situation pour qu’elle ne s’aggrave pas. Mais encore faut-il se demander au profit de qui. Cette guerre n’aura, en effet, aucun sens aussi longtemps que l’on n’aura pas compris que le problème est avant tout politique, et non pas militaire, et que l’agitation « islamiste » dans la région n’est que la surinfection de conflits ethniques séculaires opposant, dans les pays de la bande saharo-sahélienne, les agriculteurs sédentaires du sud et les pasteurs nomades du nord (Peuls et Touaregs). Aussi longtemps que nous n’imposerons pas aux gouvernements que nous aidons – ce dont ils ne nous sont guère reconnaissants, d’ailleurs – de procéder aux réformes politiques qui, seules, permettraient d’apaiser ces conflits, nous perdrons notre temps et mettrons la vie de nos soldats en danger pour rien. Le drame est que l’opinion publique, qui ne comprend pas que la politique extérieure est, sur le long terme, la seule qui compte, ne connaît pas plus ce dossier qu’elle ne connaît les autres – puisqu’elle prend la Crimée pour une partie de l’Ukraine et les séparatistes de Hong Kong pour des militants « pro-démocratie » !

    Alain de Benoist, propos recueillis par Nicolas Gauthier (Boulevard Voltaire, 24 février 2020)

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  • Feu sur la désinformation... (221)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Vers une Macronationalisation de la presse ?
      Lors d’une rencontre « en off » avec quelques journalistes, Emmanuel Macron a évoqué la possibilité d’un contrôle étatique de la presse. Orwellien.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Alors que Macron raille ceux qui construisent des murs, Sonia Krimi défend la possibilité que les Frères Musulmans puissent accéder à des responsabilités politiques en Egypte. En attendant la France ?

    • 3: Médiapart : Une perquisition et des questions
      Après que Médiapart ait révélé des nouveaux enregistrements mettant en cause Benalla, Crase et Macron, le média dirigé par Edwy Plenel a été visé par une tentative de perquisition pour le moins étonnante.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Les médias parisiens n’en finissent pas de pousser le mouvement politique de Glucksmann. Dernier élément à charge en date : les Inrocks ont effacé de leur Une le logo de la parka de luxe de l’homme politique de gauche.

    • 5 : Bilal Hassani : idole médiatique malgré tout
      Le représentant de la France à l’Eurovision en 2019 a été accusé d’avoir rédigé des tweets contre Israël et en soutien à Dieudonné. Malgré tout, le youtubeur homosexuel d’origine marocaine continue à recevoir le soutien des médias.

     

                                         

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