Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

bernard lugan - Page 4

  • On savait vivre aux colonies !...

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier sous le titre de On savait vivre aux colonies la suite des Nouvelles incorrectes d'une Afrique disparue de Bernard Lugan, qui mettaient en scène son double Henri Nérac...

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018), Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020) et dernièrement Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021).

    Il est également l'auteur de deux romans avec Arnaud de Lagrange, Le safari du Kaiser (La Table ronde, 1987) et Les volontaires du Roi (réédition : Balland, 2020) ainsi que d'un récit satirique, Le Banquet des Soudards (La Nouvelle Librairie, 2020).

     

    Lugan_On savait vivre aux colonies.jpg

    " Certains noms ont une puissante charge d’évocation. Celui d’Henri Nérac est à ranger parmi les eaux-de-vie et ses aventures sont à déguster comme elles, accompagnées de quelques bons cigares. C’est le standing auquel nous a accoutumés notre gentleman-aventurier dans ce second volume de nouvelles africaines délicieusement incorrectes. Un périple haut en couleur qui conduit le lecteur du Ngorongoro aux rives du Limpopo et de la steppe masaï au pays des mille collines. Dans l’amical des colonies perdues, l’on coudoie tour à tour des empaleurs pygmées, des boys en perruque poudrée, des réprouvés au cuir tanné, des chasseresses de maris blancs et de naïfs coopérants… À travers les romanesques souvenirs de son alter ego, Bernard Lugan nous offre ces pages d’un temps (révolu ou lointain ou oublié, au choix) où les Afriques étaient le « terrain de jeu » de l’homme blanc… "

    Lien permanent Catégories : Livres 0 commentaire Pin it!
  • Bernard Lugan : « L’Algérie, le Sahel et l’avenir de l’Afrique »

    Le 3 octobre dernier, Bernard Lugan était l'invité de Rachid Achachi pour l'émission " Le Grand Témoin " du 360, site marocain indépendant d'information généraliste et de décryptage, afin d'évoquer le thème suivant  : « L’Algérie, le Sahel et l’avenir de l’Afrique ».

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Histoire du Maroc (Ellipses, 2011), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018), Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020), Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021) et dernièrement Comment la France est devenue la colonie de ses colonie (L'Afrique réelle, 2022).

     

                                                 

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Quand Bernard Lugan se paye les soixante-huitards...

    Dans ce nouveau numéro d’Orages de papier, réalisé par TV Libertés en partenariat avec la Nouvelle Librairie , François Bousquet rencontre Bernard Lugan à l'occasion de la réédition de des souvenirs de sa jeunesse militante au Quartier Latin intitulé Mai 68 vu d'en face (La Nouvelle Librairie, 2022).

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018), Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020) et dernièrement Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021).

     

                                         

    Lien permanent Catégories : Entretiens, Multimédia 0 commentaire Pin it!
  • Colonisation : mettre enfin la gauche face à ses responsabilités...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Lugan cueilli sur son blog et consacré à la politique coloniale de la France portée à la fin du XIXe siècle par la gauche républicaine.

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018), Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020), Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021) et dernièrement Comment la France est devenue la colonie de ses colonie (L'Afrique réelle, 2022).

    Jules ferry_Republique-Raciste-Colonialiste.jpg

    Colonisation : mettre enfin la gauche face à ses responsabilités

    Au moment où, en Algérie, Emmanuel Macron « godille » entre repentance et honneur national, il est plus que jamais nécessaire de lui rappeler que c’est sa famille politique qui a lancé la France dans la désastreuse politique coloniale dont nous subissons aujourd’hui les mortelles conséquences.

    Dans les années 1880-1890, alors que la droite monarchiste et nationaliste y était farouchement opposée, ce fut en effet la gauche, à l’exception de Clémenceau, qui, par pure idéologie, précipita la France dans l’aventure coloniale. Œuvre « émancipatrice », la colonisation rêvée par la gauche républicaine était destinée à faire connaître au monde l’universalisme « libérateur » dont elle était porteuse.

    La dimension économique ne fut alors qu’un alibi destiné à rallier à cette politique la « droite » orléaniste. En effet, à l’époque, l’on ignorait que l’Afrique, encore quasiment inexplorée, eut pu receler des richesses et encore moins constituer un marché. Quand Jules Ferry parlait du futur Empire comme d’une « bonne affaire », ce n’était donc qu’un postulat doublé d’un souhait.

    D’ailleurs, au moment où la gauche la lança dans la course impériale, la France n’avait pas besoin de colonies. Qu’auraient-elles d’ailleurs pu lui fournir ces dernières ? 
    - Des esclaves ? Mais l’Abolition avait été décidée.
    - Du sucre ? Mais la France avait remplacé la canne à sucre par la betterave sucrière.
    - Des épices ? Mais ils abondaient sur le marché mondial, et les acheter aux Hollandais revenait  moins cher qu’envisager de les produire dans des colonies à conquérir, à pacifier, à administrer, à organiser, à mettre en valeur, à peupler, à équiper, à défendre, et dans lesquelles il allait falloir soigner, éduquer et nourrir les populations.
    - Des matières premières ? Mais on ignorait leur existence.
    - Un débouché pour l’industrie française ? Mais les débouchés européens lui étant largement suffisants. De plus, à l’époque, le marché africain n’existait pas.
     - Un déversoir pour sa population ? Mais la France n’était pas un  pays d’émigration et, en raison de sa démographie stagnante, elle n’avait pas besoin de se créer des colonies de peuplement.
      
    Certes, diront ceux dont le fonds de commerce est la stigmatisation de la France, mais ensuite, plus tard, une fois l’Empire constitué, la France y trouva son compte.
    Or, il s’agit là d’un postulat idéologique qui ne correspond pas à la réalité. Quelques chiffres permettent en effet de le démontrer. Ainsi :
    - Pour la période 1900-1958, les seuls investissements publics faits dans l’Empire totalisèrent en moyenne le chiffre effarant de 22% du total de toutes les dépenses françaises sur fonds publics. Une telle ponction faite sur le capital investissement national interdisait toute modernisation, toute mutation  de l’économie française au moment où ses principaux concurrents prenaient sur elle une avance déterminante. Loin d’enrichir la France, l’Empire africain la « plombait » tout au contraire et menaçait de conduire le pays à l’asphyxie.
    - Au début des années 1950, alors que, sortant  du second conflit mondial, elle avait tout à reconstruire, la totalité des dépenses faites par la France dans ses colonies (guerre d’Indochine comprise) représentait un cinquième du budget national. Un gouffre suicidaire…
    - Comme, en raison de leur coût, les productions coloniales françaises n’étaient pas concurrentielles sur le marché international, après avoir dépensé des sommes colossales pour les créer, il fallut que la France les soutienne. Pour la seule décennie 1950, cela coûta en moyenne 60 milliards par an aux contribuables français, après que l’Etat eut dépensé des fortunes pour construire les routes, les ports et les voies de chemin de fer destinés à leur exportation.
    - A l'exception des phosphates du Maroc, l’Empire ne fournissait rien de rare à la France. C'est ainsi qu'en 1958, 22% de toutes les importations coloniales françaises étaient constituées par le vin algérien payé 35 francs le litre alors qu'à qualité égale le vin espagnol ou portugais valait 19 francs.
     
    Aujourd’hui, les culpabilisateurs soutiennent que :

    1) La France s’enrichit « sur le dos » de l’Afrique.

    2) Grâce à la « vache à lait » qu’est la zone CFA, elle est en situation de monopole et dispose d’un marché réservé.
     
    Laissons donc une fois de plus parler les faits et les chiffres :

    1) En 2019, avant le covid, le total mondial des exportations françaises était de 460 milliards d’euros. Sur ce chiffre, l’Afrique sud saharienne totalisa 12,2 milliards d’euros de biens et marchandises, soit à peine 2,68% de toutes les exportations françaises. Pour ce qui est des importations, pétrole et matières premières comprises, les chiffres sont quasiment identiques.

    2) Toujours en 2019, sur les 12,2 milliards d’euros représentant le total des exportations françaises, la zone CFA en totalisa à peine 6 milliards, soit le chiffre anecdotique de 1,32% de toutes les exportations françaises. Pour ce qui est des importations, les chiffres sont là encore quasiment identiques. De plus, toujours en 2019, la part de la France dans le marché de la zone CFA n’était  que de 11,4%, ce qui revient à dire que près de 89% du commerce de la zone CFA était fait avec d’autres pays qu’elle. La zone CFA n’était donc ni une « bonne affaire », ni un marché réservé pour la France.
     
    En résumé :

    1) Ce fut par idéologie que, dans les années 1880-1890, la gauche  lança l’entreprise coloniale dont la France sortit épuisée, ruinée, divisée et aujourd’hui humainement submergée.

    2) Après 1945, encore par idéologie, cette même gauche coloniale se rallia à un nouveau credo universaliste, l’anticolonialisme.

    3) Puis, toujours par idéologie, à partir de la décennie 1960, au nom de l’antiracisme, la gauche ne cessa plus de soutenir l’immigration en provenance de l’ancien empire, oubliant qu’elle en avait été la génitrice... Ses intellectuels sapèrent alors méthodiquement, les-uns après les autres, les principes sur lesquels reposaient jusque-là la cohésion et la cohérence de la société française. Quant à la « droite »,  en raison de son incommensurable indigence doctrinale, elle laissa faire… de peur de passer pour « raciste ».

    La gauche par idéologie, la « droite » par lâcheté, ont donc pavé la route des « décoloniaux », des « woke » et autres révolutionnaires qui constituent la 5° colonne de cette mortelle entreprise de « grand remplacement » que nous subissons aujourd’hui. Et voilà donc comment et pourquoi la France est, comme le craignait Edouard Herriot en 1946, devenue «  la colonie de ses colonies »…

    Bernard Lugan (Blog de Bernard Lugan, 26 août 2022)

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Ethno-masochisme : les nouveaux regrettables « regrets » du roi des Belges...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Bernard Lugan cueilli sur son blog et consacré à la crise de repentance du roi des Belges.

    Historien et africaniste, Bernard Lugan a publié de nombreux ouvrages, dont Histoire de l'Afrique (Ellipses, 2009), Atlas historique de l'Afrique (Rocher, 2018), Esclavage, l'histoire à l'endroit (L'Afrique réelle, 2020), Pour répondre aux « décoloniaux », aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance (L'Afrique réelle, 2021) et dernièrement Comment la France est devenue la colonie de ses colonie (L'Afrique réelle, 2022).

     

    Visitez-le-Congo-Uele-Ituri-Kivu-Ruanda-Urundi.png

    Congo : les nouveaux regrettables « regrets » du roi des Belges

    Le mardi 30 juin 2020, pliant à son tour sous l’air du temps, le roi des Belges avait présenté « ses plus profonds regrets pour les blessures infligées lors de la période coloniale belge au Congo ».

    Le mercredi 8 juin 2022, en visite officielle à Kinshasa, le roi Philippe a une nouvelle fois fait repentance pour « les blessures infligées au Congo durant la période coloniale ». Une repentance qui n’a pas lieu d’être. Pour trois raisons principales :

    1) En 1885 quand fut internationalement reconnu l’État indépendant du Congo (EIC), les esclavagistes musulmans venus de Zanzibar avaient franchi le fleuve Congo, dépeuplant les régions de la Lualaba, de l’Uélé, du bassin de la Lomami, et ils avançaient vers la rivière Mongala. A cette époque, les Africains étaient enlevés par dizaines de milliers pour être vendus sur le littoral de l’océan indien ou sur le marché aux esclaves de Zanzibar. De 1890 à 1896, de courageux belges menèrent alors ce qui fut à l’époque baptisé de « campagne antiesclavagiste » ou « campagne arabe ».

    A la place de ces injustifiables et répétitifs « regrets », c’est donc tout au contraire la mémoire de ces hommes généreux que le roi des Belges devrait célébrer. Parmi eux, les capitaines Francis Dhanis, Oscar Michaux, Guillaume-François van Kerckhoven, Pierre Ponthier, Alphonse Jacques, Cyriaque Gillain, Louis Napoléon Chaltin, Nicolas Tobback et bien d’autres.

    Pour avoir voulu arracher les malheureux noirs aux esclavagistes, Arthur Hodister et ses compagnons ainsi que le lieutenant Joseph Lippens et le sergent Henri De Bruyne furent massacrés. Les deux derniers eurent, alors qu’ils étaient encore vivants, les mains et les pieds coupés par les esclavagistes.

    Certains fanatiques demandent que leurs statues soient déboulonnées. Cela se fera probablement tant, outre-Quiévrain comme partout ailleurs en Europe, l’ethno-masochisme est désormais sans limites.

    2) La Belgique n’a pas pillé le Congo. Et pourtant, cette colonie fut une de celles dans lesquelles les profits privés et ceux des consortiums furent les plus importants. L’originalité du Congo belge était qu’il subvenait à ses besoins, le plan de développement décennal ainsi que les investissements étant financés par l’impôt des grandes sociétés qui était payé et investi sur place. La colonie s'autofinançait donc, un cas à peu près unique dans l’histoire coloniale de l’Afrique qui contredit à lui seul le postulat culpabilisateur.

    Mais, pour mettre en valeur cet immense territoire, il fallut commencer par y créer des voies de communication et notamment une voie ferrée reliant l’estuaire du Congo (Matadi), à la partie navigable du fleuve. En 1898, au bout de neuf années d’efforts surhumains, les 390 kilomètres de la ligne Matadi-Léopoldville furent achevés, mais 1800 travailleurs noirs et 132 cadres et contremaîtres blancs étaient morts durant les travaux. Rapportées aux effectifs engagés, les pertes des Blancs étaient 10 fois supérieures à celles des Noirs.

    En 1908, le Congo, propriété personnelle du roi Léopold II, fut repris par la Belgique. De 1908 à 1950, les dépenses engagées par Bruxelles dans sa colonie furent de 259 millions de francs-or et durant la même période, le Congo rapporta 24 millions de francs-or à l’Etat belge[1]. La Belgique n’a donc pas bâti sa richesse sur le Congo, même si des Belges y ont fait fortune, et parfois de colossales fortunes, mais ce n’est pas la même chose.

    3) Parmi toutes les puissances coloniales, la Belgique fut la seule à avoir défini un plan cohérent de développement en partant d’une réalité qui était que tout devait être fait à partir du néant. En matière d’éducation, la France et la Grande Bretagne saupoudrèrent leurs colonies d’Afrique sud-saharienne tandis que la Belgique choisit de procéder par étapes et de commencer par bien développer le primaire, puis le secondaire et enfin seulement le supérieur. Mais, pour que ce plan puisse être efficace, il lui fallait une certaine durée. Or, il fut interrompu par une indépendance précipitée et alors qu’il fallait à la Belgique au moins encore deux décennies pour le mener à son terme. Si le roi des Belges doit exprimer des « regrets », c’est donc d’avoir décolonisé trop tôt, trop vite, précipitamment, sous la pression de l’émotionnel … comme aujourd’hui !!!

    Alors, certes, et il serait historiquement mensonger de le nier, il y eut effectivement une période sombre au Congo avec une authentique politique d’exploitation fondée sur le travail forcé dénoncée dès 1899 par Joseph Conrad dans son livre « Au cœur des ténèbres ». Ce fut l’époque de la Fondation de la Couronne à laquelle le roi Léopold attribua environ 1/10° de la superficie de tout le Congo et qui perçut les revenus domaniaux des concessions. Mais ce ne fut qu’une parenthèse de quelques années qui, de plus, ne concerna que le 1/10° de l’immense Congo. A partir de 1908, le Congo rentra en effet dans l’Etat de droit et ses ressources ne servirent plus qu’à sa mise en valeur.

    Voilà pourquoi les « regrets » du roi des Belges qui sont aussi injustifiés qu’injustifiables, sont d’abord et avant tout une véritable insulte à l’Histoire. Mais également une insulte à la mémoire de ceux qui donnèrent leur vie pour combattre les esclavagistes. A la mémoire de ces fonctionnaires et de ces colons qui firent que dans le Congo belge les populations mangeaient à leur faim, étaient soignées et connaissaient la paix… A l’époque, les habitants du Kivu et de l’Ituri n’étaient ainsi pas massacrés comme aujourd’hui par des bandes armées… Une insulte à la mémoire de ceux qui firent que les services publics fonctionnaient, que les  voies de communication créées à partir du néant, tant pour ce qui était de la navigation fluviale, que des voies ferrées, des aérodromes ou des ports étaient entretenues. Quant au réseau routier, il était exceptionnellement dense, des pistes permettant de traverser le pays d’ouest en est et du nord au sud en toutes saisons. Après l’indépendance, ces voies de communication disparurent, littéralement « mangées » par la brousse ou par la forêt.

    Bernard Lugan (Blog de Bernard Lugan, 8 juin 2022)

     

    Notes :

    Pour en savoir plus, voir mon Histoire de l’Afrique des origines à nos jours pages 552-555 et 705-715

    [1] Stengers, J., (1957) « Combien le Congo a- t-il coûté à la Belgique ? » Académie Royale des Sciences Coloniales, T.XI, fasc 1, 1957, 354 pages.

    Lien permanent Catégories : Points de vue 0 commentaire Pin it!
  • Le pays qui n'existe plus...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous le nouveau numéro de la Revue d'Histoire Européenne, dirigée par Laurent Berrafato. Ce trimestre le lecteur trouvera un dossier consacré à l'Algérie française, des articles variés et les rubriques régulières : actualités, interview, expositions, mémoire des lieux, portrait, histoire politique, cinéma, l’autopsie d’une bataille, l’histoire dans l’art,… 

    Il est possible de se procurer la revue en kiosque ou en ligne sur le site de la Librairie du collectionneur.

     

    RHE 11.jpg

    Sommaire :

    L'HISTOIRE EN ACTUALITÉ

    EXPOSITION 
    La réouverture du musée de Cluny

    Photographies de guerre

    MÉMOIRE DES LIEUX
    Belfort, la cité du Lion

    PORTRAIT Armand-Emmanuel du Plessis

    ENTRETIEN 
    Laurent Obertone

    DOSSIER
    Au temps de l'Algérie française (avec des articles de Philippe Lamarque, Paul Villatoux, Rémy Porte, Roger vétillard, Jean-Jacques Jordi, Bernard Lugan, Olivier Frèrejacques)

    CRIMES DE GUERRE OUBLIÉ
    Sicile, juillet 1943

    LA CAMPAGNE ALLEMANDE EN UKRAINE
    Été 1941

    LES ÉTRUSQUES
    Mythes et réalités d'un peuple fondateur

    HISTOIRE POLITIQUE
    Jacques Doriot et le PPF

    AUTOPSIE D'UNE BATAILLE
    La bataille de la Marfée

    UN TABLEAU, UNE HISTOIRE
    Goethe dans la campagne romaine

    L'HISTOIRE AU CINÉMA
    5 films pour un pays qui n'existe plus

    L'ABOMINABLE HISTOIRE DE FRANCE
    Une chronique iconoclaste de notre Histoire

     

     

    Lien permanent Catégories : Revues et journaux 0 commentaire Pin it!