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alain de benoist - Page 139

  • Le Monde, Alain de Benoist et la décroissance

    Le journal Le Monde, dans son numéro daté du dimanche 15 novembre 2009, consacrait une page à la progression de l'idée de décroissance dans l'opinion. "La crise relance le thème de la décroissance" indiquait le titre, que complétait le sous-titre "Une partie de la droite , de la gauche et des verts réfléchissent aux voies d'une « autre croissance »".

    Si l'article principal recensait les points de vue des verts et de la gauche sur le sujet, un deuxième article, intitulé "A l'extrême droite, on refuse aussi « les dérives productivistes et mercantiles»" évoquait les positions du Bloc identitaires sur cette question ainsi que le travail de réflexion d'Alain de Benoist, et notamment son livre Demain la décroissance, publié en 2007 chez E/dite.

    Principe : quand on ne peut pas éviter de citer Alain de Benoist, il convient de le ranger dans la catégorie extensible et dévalorisante de l' « extrême droite ».

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    "[...] Penseur de la nouvelle droite, Alain de Benoist écrivait, en 1994 dans sa revue Eléments : "L'écologie signe la fin de l'idéologie du progrès." Elle est "ordonnée au "conservatisme des valeurs", comme à la préservation du milieu naturel". Fin 2008, M. de Benoist consacrait un livre, Demain la décroissance (éd. E/dite, 2007), au sujet. Il expliquait, dans un entretien à Novopress : "La thématique de la décroissance (...) a pour socle le refus de la démesure, le refus d'une évolution qui fait prédominer l'intérêt pour les choses inanimées sur les choses vivantes (...) et qui finit par transformer les êtres humains eux-mêmes en objets. C'est un refus de la marchandisation du monde.""

    (Le Monde du 15 novembre 2009, Abel Mestre et Caroline Monnot)

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  • Une crise, trois leçons !

    L'éditorial de Robert de Herte (alias Alain de Benoist) dans le numéro 133 de la revue Eléments disponible en kiosque ou ici :

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    Une crise, trois leçons
     

    Il y a au moins trois enseignements à tirer de la crise financière mondiale qui s'est ouverte aux États-Unis à l'automne 2008. La première, la plus immédiatement évidente, est un démenti flagrant de la thèse libérale, longuement exposée par Mandeville dans sa Fable des abeilles, selon laquelle les vices privés seraient synonymes de vertu publique: les comportements égoïstes individuels contribueraient à l'avantage collectif, car en cherchant à maximiser leur intérêt individuel, les agents économiques dégageraient une richesse globale dont la société entière finirait par bénéficier. Les intérêts du marchand se confondraient avec les intérêts de tous. La dérégulation de l'économie depuis les années Reagan-Thatcher montre au contraire que la rapacité érigée en loi générale aboutit en réalité à l'enrichissement de quelques-uns et à l'appauvrissement du plus grand nombre. Économie entièrement laissée à elle-même, spéculation effrénée, recherche d'une plus-value instantanée, frénésie de l'endettement, «bulles» explosant en série, revente accélérée des produits titrisés, tout cela n'a eu qu'un seul résultat: une «catastrophe sociale et humaine de première grandeur» (Jacques Julliard).

    La deuxième leçon a trait à la« main invisible» qui, selon les théoriciens libéraux, non seulement permettrait à l'offre et à la demande (solvable) de s'ajuster miraculeusement, mais aussi au capitalisme de triompher naturellement de ses crises, le système du marché étant à la fois autorégulateur et autorégulé. «La crise est la preuve que le marché se régule », est-on allé jusqu'à dire récemment! Le postulat est celui d'une conception normative de la vie sociale reposant sur le laisser-faire intégral et l'auto suffisance d'un marché conçu comme une puissance morale ayant toujours raison. Mais en fait d'autorégulation et de «main invisible », c'est vers la très visible main de l'État que les grandes sociétés d'assurance et les banques menacées de faillite se sont tournées dès que la crise a éclaté. Ce même État dont on prétendait que les interventions en matière économique et financière ne pouvaient que nuire au « libre jeu» de la concurrence, mais dont on était brusquement bien content de pouvoir profiter des largesses. C'est l'État qui est venu au secours des responsables de la crise en injectant des liquidités par milliards dans des circuits en perdition (<< sauvez les banques! ») dont on «socialisait» ainsi les pertes. Après quoi, on peut bien continuer de prétendre que le capitalisme purge de lui-même ses crises périodiques, voire que le libéralisme« n'est pas la cause, mais la solution à la crise du capitalisme mondialisé» (Nicolas Baverez) ! La crise démontre en réalité que la planète financière est incapable de s'autoréguler et que sa capacité de rebond est avant tout due à des injections massives de fonds publics, c'est-à-dire à l'intervention ponctuelle d'une sphère étatique dont les libéraux sont les premiers à souligner que le principe fonctionne à l'inverse de l'action spontanée des marchés.

    Enfin, ce qui est frappant dans la crise actuelle, c'est qu'alors même que tout le monde répète que le capitalisme est cycliquement affecté par des crises, personne (ou peu s'en faut) ne semble jamais capable d'en prévoir aucune. L'économie se prétend pourtant une science, et qui plus est une science dont les principes permettraient d'éliminer le risque et d'assurer une croissance linéaire permanente. Une science exacte «mesure et calcule en vue de prévoir» (Bergson). Pourquoi les économistes du courant dominant ne parviennent-ils jamais à prévoir ni les crises ni à discerner les moyens d'y remédier? Parce que la thèse d'un sujet social réductible à l'Homo œconomicus laisse pour le moins à désirer. La réalité sociale ne se laisse pas mettre en équations, car l'homme n'est ni un agent fondamentalement rationnel cherchant toujours à maximiser son propre intérêt, ni seulement un producteur-consommateur. De ce fait, il est impossible d'isoler un «objet économique pur », distinct des faits humains et sociaux auxquels il est inéluctablement associé. L'économie libérale, néoc1assique, prétend que l'homme est calculable de part en part. La crise actuelle fournit la preuve de l'échec de cette prétention à la «transparence ». L'histoire est en réalité imprévisible. Elle abonde autant en nécessités qu'en hasards, en paradoxes, en incertitudes, en hétérotélies et en aléas.

    Le monde de l'interconnexion universelle, de la liquidité parfaite, permettant une circulation totalement« libre» du capital, n'est qu'un rêve. On n'échappe pas à 1'« opacité» - à commencer par celle des marchés financiers. La mathématisation croissante de la théorie économique à laquelle on assiste depuis vingt ans, surtout dans le domaine du calcul des risques, ne donne à cet égard qu'une apparence de scientificité. La formalisation mathématique fait gagner en élégance à l'économie ce qu'elle lui fait perdre en réalisme. Elle amène surtout à négliger tous les facteurs impossibles à quantifier, à commencer précisément par la notion de risque, qui dépend avant tout du sens que l'on donne aux événements.

    Les causes immédiates de la crise (la pression concurrentielle mondiale née de la globalisation, qui a généralisé le modèle d'un capitalisme basé sur la déflation salariale, le partage de la valeur ajoutée au détriment des salariés, la baisse de la demande et sa stimulation artificielle à travers le crédit, la montée en puissance des marchés financiers et la hausse de l'exigence de rentabilité du capital) ne doivent pas faire illusion. La crise actuelle n'est pas un accident de parcours. Elle n'est pas une crise qui survient à l'intérieur du capitalisme, mais une crise systémique du régime d'accumulation et de suraccumulation, c'est-à-dire du capitalisme lui-même, d'un capitalisme qui ne domine plus seulement formellement, mais bien réellement, la société globale. De ce point de vue, il ne sert à rien de dénoncer les excès, les «dévoiements» ou les dysfonctionnements d'un système qui est lui-même excès de façon intrinsèque. La Forme-Capital est vouée à l'accélération perpétuelle de son propre mouvement, c'est -à-dire à l'aggravation des déséquilibres. L'éternel problème du capitalisme est de trouver toujours à vendre plus à des hommes ayant de moins en moins de moyens d'acheter. Antique malédiction de la chrématistique, c'est-à-dire de l'argent (ta chremata).

    L'idée fondamentale est que le capitalisme voué à lui-même ne peut que s'autodétruire, qu'il ne peut qu'être miné par ses contradictions internes, qui résultent de son idéal d'illimitation par accumulation et donc de sa dynamique propre: le mouvement du capital atteint sa limite lorsqu'il ne parvient plus à faire système, c'est-à-dire lorsque le faire de son monde n'arrive plus à reproduire le monde de son faire. Maigre consolation pour ceux qui préfèrent croire gu'i! serait mieux d'en triompher en le combattant frontalement? Peut-être. Mais c'est aussi l'idée que tout ce qui existe meurt de ce qui l'a fait naître: le système de l'argent périra par l'argent. Il en va de même de tous les systèmes qui engendrent l'aliénation: c'est ce qui les fait vivre à un moment donné gui crée aussi les conditions de leur disparition. L'article de foi qui domine aujourd'hui est que le capitalisme est promis à la vie éternelle. Même si cela ne se mesure pas à l'aune des impatiences individuelles, la vérité est que la démonie de l'avoir, l'économie politique du seul profit, même si elle s'essaie à l'éternisation de son parcours, n'échappera finalement pas à son destin.

    Robert de Herte


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  • Alain de Benoist : la bibliographie !

    Une somme ! Les éditions des Amis d'Alain de Benoist viennent de publier la bibliographie d'Alain de Benoist pour la période 1960-2010.

    Cinquante années de travail intellectuel sont rassemblées dans un fort volume de plus de 400 pages.

    On y trouve tous les livres, les articles, les préfaces, les contributions à des ouvrages collectifs, les entretiens et les textes traduits que ce véritable encyclopédiste qu'est Alain de Benoist a pu publier en France ou à l'étranger.

    On trouve aussi les travaux universitaires, les livres et une sélection des articles qui ont été consacrés, de par le monde, à la Nouvelle Droite ou à sa figure de proue.

    Un travail qui vise à l'exhaustivité !...

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    On peut se procurer l'ouvrage sur le site des Amis d'Alain de Benoist.
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  • Comment peut-on être païen ?

    Les éditions Avatar rééditent Comment peut-on être païen? , un "classique" d'Alain de Benoist qui avait fait date lors de sa publication en 1981, et qui était devenu difficile à trouver ! Le texte de l'époque a été complété par un nouvel avant-propos de l'auteur et par un entretien avec lui sur la question du paganisme.

    alain de benoist

    « Entre le paganisme et le christianisme, quelles sont au fond les différences essentielles ? De nombreux historiens avaient avant moi retracé l’histoire de l’affrontement entre les systèmes religieux de l’Europe ancienne et la religion nouvelle qui, surtout à partir du IVe siècle, s’est peu à peu imposée sur le continent européen. De cet affrontement, quelles étaient véritablement les causes ? Sur quels points précis s’opposaient les façons de croire, les théologies, les conceptions du monde ? Les chrétiens, quant à eux, ont au fil des siècles adopté vis-à-vis du paganisme des attitudes assez contrastées. Après s’être attaquée frontalement au paganisme, qualifié d’“idolâtrie” diabolique, l’Église a réalisé qu’elle parviendrait mieux à ses fins en recourant à plus de souplesse. C’est alors que les évêques et les prêtres, suivant les instructions des papes, se sont employés à “récupérer” des lieux de culte traditionnels en leur affectant une destination nouvelle, à attribuer à des saints légendaires des attributs ou des hauts faits qu’on attribuait auparavant à des héros ou à des dieux, à donner aux pèlerinages qui se pratiquaient depuis la nuit des nuits une signification conforme à l’espérance de salut, à greffer sur l’ancien calendrier liturgique des commémorations ou des solennités d’un genre nouveau. Aujourd’hui encore, l’attitude des chrétiens reste ambivalente. D’un côté, le paganisme est à l’occasion toujours décrié et honni. De l’autre, il ne manque pas de bons esprits pour assurer que le christianisme a repris à son compte, et finalement mieux exprimé que lui, “ce qu’il y avait de meilleur” dans le paganisme. Cette idée que le christianisme européen est peu à peu devenu un “pagano-christianisme” n’est pas entièrement fausse, à condition de bien distinguer la théologie des pratiques populaires, mais elle n’est pas sans contribuer à entretenir l’équivoque. C’est pour dissiper cette équivoque que Comment peut-on être païen ? a été écrit ».
    Alain de Benoist

    Ce livre est disponible ici.

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  • Alain de Benoist et le Figaro magazine

    L'association des Amis d'Alain de Benoist vient d'éditer un recueil des articles de fond publiés par cet auteur dans le Figaro Magazine et son ancêtre le Figaro Dimanche entre 1977 et 1984. La variété et la richesse des thématiques abordées est proprement fascinante !

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    "Louis Pauwels avait conçu Le Figaro Magazine comme une arme culturelle. Le journal s'est donc d'emblée positionné contre les « idéologies à la mode », expression qui désignait alors l'incontestable hégémonie intellectuelle dont bénéficiait, notamment à l'Université, et aussi dans les médias, un certain nombre de courants de pensée classés alors à gauche ou à l'extrême gauche. Ce sont mes articles du Figaro-Dimanche et du Figaro Magazine que j'ai réunis dans ce volume. Soit une centaine de textes échelonnés sur un peu plus de cinq ans. On peut, je crois, tirer de cette aventure quelques leçons très actuelles."
    Alain de Benoist
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  • La France doit quitter l'Afghanistan...

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    La position du philosophe Alain de Benoist sur l'engagement français en Afghanistan :

     

    La France doit quitter l’Afghanistan

     

    Alors que les violences redoublent en Afghanistan à l’approche de l’élection présidentielle prévue pour le 20 août, les opinions publiques européennes semblent se lasser. C’est tout particulièrement vrai en France. En 2008, 55 % des Français déclaraient souhaiter le retrait des troupes d’Afghanistan. Ils sont désormais 68 %, soit plus des deux tiers de la population, à désapprouver la décision de Nicolas Sarkozy d’envoyer de nouvelles troupes à Kaboul. Cette position est même majoritaire (53 %) dans le propre parti du président – les sympathisants du Front national étant les seuls à se singulariser, en étant pratiquement aussi nombreux à approuver la guerre américaine qu’à s’y opposer.

    Lors de la création, le 20 décembre 2001 par le Conseil de Sécurité de l’ONU, de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS), la tâche de l’armée française se bornait à assurer la sécurisation de Kaboul et de ses environs, à lutter contre les narcotrafiquants et à participer à la « reconstruction » du pays, tout en permettant à certaines de ses forces spéciales de participer à des missions ciblées de lutte antiterroriste. Mais très vite, le conflit s’est transformé. Au départ, deux opérations distinctes se juxtaposaient : une opération multinationale sous contrôle européen, celle de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS), et une opération américaine. Cette distinction s’est ensuite effacée. Le tournant a eu lieu en août 2003, lorsque la FIAS est passée sous le commandement de l’OTAN, c’est-à-dire de fait sous l’autorité de Washington, ce qui a eu pour effet d’élargir le mandat de la Force internationale.

    Progressivement, la situation a été de moins en moins maîtrisée. Sur place, la confusion s’est instaurée, du fait d’une absence totale de concertation et de stratégie globale, tant en matière d’objectifs que de moyens. A Paris, alors que Jacques Chirac avait limité la participation des troupes françaises au strict minimum, Nicolas Sarkozy a voulu faire du zèle pour satisfaire ses amis américains. Au sommet de l’OTAN de Bucarest, en avril 2008, l’envoi d’un contigent supplémentaires de 700 soldats a été annoncé. Peu après, la France décidait de réintégrer l’OTAN, que le général de Gaulle avait quitté en 1966.

    Il y a maintenant 12 500 militaires français déployés en Aghanistan et dans la région (un chiffre supérieur à celui des contingents allemand et italien). Ces troupes sont engagées dans de très mauvaises conditions de cohérence opérationnelle, du fait que leurs actions dépendent de l’appui et du renseignement tactique de moyens de la coalition. 26 soldats français ont été tués, dont dix dans une embuscade tendue dans la vallée d’Uzbin le 21 août 2008.

    Le adversaires de la guerre avancent deux raisons : cette guerre n’est pas la nôtre, et elle ne peut pas être gagnée. Alors que le gouvernement répète sans convaincre qu’un désengagement favoriserait le retour d’un régime taliban à Kaboul et la réimplantation d’Al-Qaïda dans une région géopolitique sensible, les Français constatent que les Talibans, expression de l’identité tribale patchoune, la principale ethnie du pays, ne sont pas des exportateurs de violence, et que la France et les Afghans n’ont aucun objet de litige.

    Ils constatent surtout que, sur le terrain, jamais la situation n’a été aussi mauvaise : les forces internationales ont plus perdu d’hommes en juillet dernier qu’en aucun autre mois depuis le début de la guerre. Le président Karmid Zaraï, chef d’un gouvernement faible et corrompu, ne bénéficie que d’une légitimité douteuse et d’un contrôle très réduit de son propre pays (quelques grandes villes et axes stratégiques). Ben Laden n’a toujours pas été capturé. La population afghane vit dans l’insécurité permanente, à la merci des exactions des chefs de guerre, des Talibans, des forces officielle et de militaires américains peu regardants sur le choix de leurs cibles. La vaste majorité des Afghans éprouvent en fait un violent sentiment de rejet vis-à-vis de l’étranger installé sur leur sol. Quant à la lutte contre le narcotrafic, principale source de revenus des Talibans, elle s’est soldée par une augmentation de la production du pavot, qui touche aujourd’hui 195 000 hectares, soit une surface supérieure à celle consacrée en Amérique latine à la culture de la coca.

    Alors que la stratégie américaine vise maintenant à étendre la guerre dans l’ouest du Pakistan, extension qui contient en germe une probable déstabilisation de ce pays, il apparaît chaque jour un peu plus qu’il n’y a pas de solution militaire à ce conflit aux allures de bourbier.

    Au cours de sa visite à Washington en novembre 2007, Nicolas Sarkozy déclarait : « La France restera engagée en Afghanistan aussi longtemps qu’il le faudra, car ce qui est en cause dans ce pays, c’est l’avenir de nos valeurs et celui de l’Alliance atlantique ». Des « valeurs » qui semblent se confondre avec la possible ouverture d’un gazoduc qui, passant par l’Afghanistan, devrait un jour relier la mer Caspienne à la côte pakistanaise de l’océan Indien.

    Alain de Benoist

    (15 août 2009)

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