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alain de benoist - Page 28

  • Confinez-vous avec : ... Le numéro de Nouvelle Ecole sur Ernst Jünger !

    Avec la crise du coronavirus, les maisons d'édition reportent la publication de leurs nouveautés à des jours meilleurs. Cette période sera donc l'occasion de vous signaler, au gré de l'inspiration du moment, des ouvrages, disponibles sur les sites de librairie en ligne (ceux dont l'activité se poursuit...), qui méritent d'être découverts ou "redécouverts".

    On peut trouver sur le site de la revue Éléments, le numéro 48 de la revue Nouvelle Ecole consacré à Ernst Jünger. Fondée en 1968 et publiée tous les ans, Nouvelle Ecole est une revue, richement illustrée, qui propose dans chaque livraison des études en profondeur dans tous les domaines de la connaissance et de l’histoire des idées, de l’archéologie à la biologie, en passant par la sociologie, la littérature, la philosophie ou l’histoire des religions. Chaque numéro comporte un dossier central, auquel s’ajoutent des « Varia » et de nombreuses rubriques et bibliographies. Dirigée par Alain de Benoist, Nouvelle Ecole a pour rédacteur en chef Eric Maulin.

     

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    " La vie de l’auteur d’Orages d’acier et des Falaises de marbre, du Travailleur et d’Eumeswil, des Chasses subtiles et du Traité du Rebelle, s’est étendue sur plus d’un siècle. Dans ce numéro qui lui est entièrement consacré, les meilleurs spécialistes présentent son œuvre, depuis l’époque de la Révolution Conservatrice jusqu’à celle de Soixante-dix s’efface.

    Les principaux textes sont signés par Armin Mohler, François Poncet, Serge Mangin, Friedrich Sieburg, Gerd-Klaus Kaltenbrunner, etc.

    On trouvera aussi dans ce dossier des inédits de Jünger («Le droit spécial du nationalisme») et de son frère, Friedrich Georg Jünger, ainsi qu’une bibliographie exclusive et de nombreux documents. Les personnalités originales d’Ernst Niekisch et de Friedrich Hielscher n’ont pas été oubliées. "

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  • Quand la Terre ne tourne plus !...

    Sixième semaine de confinement, mais Le Plus d’Éléments ne chôme pas. On ne passera pas du jour au lendemain de la nuit à la lumière, le monde d’après se fera attendre, mais il ne ressemblera pas au monde d’avant... Retrouvez ses rédacteurs avec ce rendez-vous hebdomadaire sur TV Libertés. Alain de Benoist et le monde d’après, François Bousquet et la biopolitique, Patrick Lusinchi et le pouvoir du rire. Un confinement tout en réflexion et relaxation !

     

                                    

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  • Confinez-vous avec : ... Vu de droite, d'Alain de Benoist !

    Avec la crise du coronavirus, les maisons d'édition reportent la publication de leurs nouveautés à des jours meilleurs. Cette période sera donc l'occasion de vous signaler, au gré de l'inspiration du moment, des ouvrages, disponibles sur les sites de librairie en ligne (ceux dont l'activité se poursuit...), qui méritent d'être découverts ou "redécouverts".

    On peut trouver sur le site de la revue Éléments, Vu de droite, l'anthologie critique des idées contemporaine publiée en 1978 par Alain de Benoist et réédité voilà quelques années par les éditions du Labyrinthe. Principale figure de la Nouvelle droite française depuis le début des années 70, Alain de Benoist est l'auteur d'une centaine de livres, dont dernièrement, Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017) et Contre le libéralisme (Rocher, 2019). Son anthologie reste un outil, une carte indispensable pour entamer un voyage dans le monde des idées...

     

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    " La parution de Vu de droite, en 1977, a marqué un tournant dans l’histoire des idées contemporaines et imposé la Nouvelle Droite comme le partenaire incontournable d’un débat idéologique jusqu’alors monopolisé par une certaine gauche. Couronné à l’époque par l’Académie Française, salué par des personnalités aussi différentes que François Mitterrand et Louis Pauwels, Jean-Pierre Chevènement et Jean Cau, cet ouvrage monumental était depuis longtemps épuisé. Cette réédition constitue donc un événement très attendu. De l’archéologie à la philosophie, de la pédagogie à l’éthologie, de la biologie à la sociologie, cette véritable encyclopédie critique passe au crible les travaux et les écrits de quelque 140 écrivains, savants, historiens ou philosophes, jetant sur eux un éclairage novateur et, parfois, impitoyable. Cette réédition est précédée d’un important préambule dans lequel, un quart de siècle après, Alain de Benoist met son livre en perspective et montre en quoi les « vues » qui y étaient développées ont trouvé leur confirmation dans l’histoire de la fin du xxe siècle. "

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  • Vers une crise économique d'une ampleur au moins égale à celle de 1929 ?...

    Nous reproduisons ci-dessous un entretien avec Alain de Benoist, cueilli sur Breizh Info, dans lequel il évoque les conséquences possibles de la crise du Coronavirus... Philosophe et essayiste, Alain de Benoist a récemment publié Le moment populiste (Pierre-Guillaume de Roux, 2017), Ce que penser veut dire (Rocher, 2017), Décroissance ou toujours plus ? (Pierre-Guillaume de Roux, 2018) et Contre le libéralisme (Rocher, 2019).

     

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    Alain de Benoist : « Je m’attends à une crise économique qui aura au moins l’ampleur de celle de 1929 »

    BREIZH INFO : Tout d’abord, que vous inspire la direction du gouvernement, qui semble ne pas vraiment savoir où donner de la tête depuis le début de cette pandémie ? Michel Onfray évoque une fin possible de régime en conséquence, y croyez-vous alors que les cotes d’opinion d’Emmanuel Macron et d’Édouard Philippe n’ont jamais été aussi hautes ?

    ALAIN DE BENOIST. Michel Onfray a dit, avec plus de talent que je n’en ai, tout ce qu’il y avait à dire sur la désastreuse gestion de la crise sanitaire actuelle par l’équipe d’Emmanuel Macron. J’avais écrit il y a quelques années que c’est dans le cas d’exception que l’on pourrait prendre la pleine mesure du personnage. On sait maintenant ce qu’il en est. Un homme d’État décide, ordonne, réquisitionne. Macron s’en remet au conseil des « experts » qui, comme d’habitude, ne sont pas d’accord entre eux. Il redécouvre les vertus de la « souveraineté nationale et européenne », mais c’est après avoir multiplié les réformes libérales qui ont favorisé les délocalisations et la dépendance aux importations. Il salue et remercie ceux qui se battent et qui se dévouent, mais nul n’a oublié qu’avant l’arrivée du Covid-19, il s’était refusé à entendre leurs revendications.

    En témoigne l’état lamentable de nos services de santé, à qui l’on a imposé des objectifs de rentabilité à courte vue, et dont on mesure aujourd’hui le délabrement : masques et tests de dépistage manquants, lits supprimés, personnel soignant au bord du collapsus, services hospitaliers saturés. On a voulu inclure dans la logique du marché un secteur qui est par définition hors marché. On a systématiquement affaibli et détruit les services publics. Nous en payons le prix. Et ce n’est qu’un début, car le confinement va encore durer des semaines, sinon des mois. Nous ne sommes pas à la fin du début, et encore moins au début de la fin.

    Je ne crois pas un instant à la montée de la cote de popularité d’Emmanuel Macron. Dans un premier temps, comme il est de règle, tout le monde s’est serré les coudes. Mais quand on en sera arrivé au « jour d’après », et que le moment sera venu de rendre des comptes, le jugement du peuple sera impitoyable. Si, comme je le crois, toute cette affaire débouche sur une crise sociale de première ampleur, le mouvement des Gilets jaunes apparaîtra plus que jamais comme une répétition générale. On voit bien d’ailleurs dès maintenant que c’est pour les classes populaires et les classes moyennes que le confinement est le plus difficile à vivre.

    La figure du Professeur Raoult, qui a émergé récemment, ne vous apparaît-elle pas comme un besoin pour les médias, une fois de plus, de dresser des icônes (d’un côté, l’icône gouvernementale, de l’autre l’icône un peu rebelle ?) à proposer à nos concitoyens. N’est-on pas finalement en plein cœur de la société du spectacle dans cette crise ?

    Le professeur Raoult est apparemment le seul qui ait commencé à obtenir des résultats dans la lutte contre l’épidémie. Au lieu de lui en tenir gré, on l’a présenté comme un rigolo et comme l’« idole des conspirationnistes » ! On annonce maintenant des recherches « plus approfondies » qui ont surtout pour objet de mettre au point un médicament qu’on présentera comme « bien meilleur » que la chloroquine et qui aura surtout pour avantage de coûter (et donc de rapporter) beaucoup plus cher. Société du spectacle ? Nous avons plutôt affaire ici à une guerre des egos et à une querelle de gros sous.

    Il y a un mois, vous nous évoquiez votre scepticisme eu égard à la fermeture des frontières. L’êtes-vous toujours alors que l’intégralité des États ont pris ces mesures ?

    Je suis bien sûr partisan de la fermeture et du contrôle des frontières. J’ai seulement voulu dire qu’il est techniquement presque impossible d’empêcher quiconque d’entrer ou de sortir d’un pays, et qu’une frontière fermée n’est pas une frontière étanche. La preuve en est que le coronavirus fait aujourd’hui des ravages dans tous les pays, y compris ceux qui ont été les premiers à fermer leurs frontières.

    L’Union européenne n’est-elle pas en train de définitivement se suicider du fait de cette crise sans précédent ? Il semblerait en effet que ce soit chacun pour soi désormais…

    Elle ne s’est pas suicidée pour la simple raison qu’elle était déjà morte. L’un des mérites de la crise a seulement été de permettre à tout le monde de voir son cadavre. Devant l’épidémie, les dirigeants de la Commission européenne sont apparus en état de sidération. Ils vont maintenant débloquer de l’argent qu’ils distribueront par « hélicoptère », après avoir fait fonctionner un peu plus la planche à billets. Mais concrètement, rien n’a suivi. Ce n’est pas l’Europe qui est venue au secours de l’Italie, mais la Chine, la Russie et Cuba. Revanche posthume de Fidel Castro !

    Quelles conséquences économiques voyez-vous à l’horizon, dans les mois, années à venir… Le fait que l’on ne puisse plus acheter de l’or, que les États fassent tourner la planche à billets, est-ce que cela devrait nous inquiéter ?

    Je m’attends à une crise économique qui aura au moins l’ampleur de celle de 1929. Elle durera beaucoup plus longtemps que l’épidémie actuelle, fera beaucoup plus de dégâts et tuera beaucoup plus de monde. Si elle se double d’une crise financière planétaire, on assistera à un tsunami : crise économique, et donc sociale, crise financière, crise sanitaire, crise écologique, crise migratoire. J’avais publié en 2011 un livre intitulé Au bord du gouffre. Il me semble que nous y sommes.

    Mais il faut s’attendre aussi à des conséquences politiques et géopolitiques de première grandeur. Le développement de l’épidémie dans un pays comme les États-Unis, dont le système de santé, organisé bien sûr sur le mode libéral, est l’un des moins performants du monde, est appelé à jouer un rôle décisif et mérite d’être suivi de très près (l’épicentre mondial de l’épidémie se trouve aujourd’hui à New York). Les États-Unis risquent de s’en sortir beaucoup plus affaiblis que la Russie et la Chine, qui sont leurs deux seuls rivaux du moment. Encore une fois, nous n’en sommes qu’au commencement.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Yann Vallerie (Breizh Info, 2 avril 2020)

     

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  • Ernst Jünger : le Soldat du Front, le Rebelle, l’Anarque...

    Dans ce nouveau numéro de l'émission de TV Libertés, « Les idées à l’endroit », Alain de Benoist, pour évoquer la pensée et le parcours du combattant, penseur et écrivain allemand Ernst Jünger, reçoit deux spécialistes de sa vie et de son œuvre : Isabelle Grazioli-Rozet, maître de conférences à l’Université de Lyon, et le germaniste François Poncet, traducteur de plusieurs ouvrages de Jünger.

     

                                      

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  • Géopolitique de la BD...

    Le nouveau numéro de la revue Éléments (n°183, avril 2020 - mai 2020) est en kiosque !

    A côté du dossier consacré à la bande-dessinée, on retrouvera l'éditorial d'Alain de Benoist, les rubriques «Cartouches», «Le combat des idées» et «Panorama» , un choix d'articles variés et des entretiens, notamment avec le prix Nobel d'économie Angus Deaton, le philosophe Dany-Robert Dufour, l'historien et analyste militaire Michel Goya, le sinologue François Julien et le contre-cool Pierre Robin, ainsi que les chroniques de Xavier Eman, d'Olivier François, de Laurent Schang, d'Hervé Juvin, de Ludovic Maubreuil, de Fabien Niezgoda, de Bruno Lafourcade, de Guillaume Travers, d'Yves Christen et de Bastien O'Danieli...

    Bonne lecture !

    Vous pouvez commander ce numéro ou vous abonner sur le site de la revue : http://www.revue-elements.com.

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    Au sommaire :

    Éditorial

    Halte à la transparence, par Alain de Benoist

    L’entretien

    Dany-Robert Dufour : « Nous allons vers le chaos » , propos recueillis par Thomas Hennetier

    Cartouches

    Roland Jaccard est mince, le regard d’Olivier François

    Une fin du monde sans importance, par Xavier Eman

    1917, la guerre comme dans un jeu vidéo, par Ludovic Maubreuil

    Carnet géopolitique : Coronavirus, l’extension du contrôle social, par Hervé Juvin

    À la Saint-Crépin, les Français voient leur fin, par Laurent Schang

    Les leçons de Delphes (4/4) : la gestion du commun, par Fabien Niezgoda

    Le rhinocérat, par Bruno Lafourcade

    Économie, par Guillaume Travers

    Bestiaire : une même conscience du corps chez le chien, l’éléphant et l’homme, par Yves Christen

    Sciences, par Bastien O’Danieli

    Le combat des idées

    Le « privilège blanc » à l’épreuve des faits, par François Bousquet

    Angus Deaton, l’agonie de la classe ouvrière blanche, propos recueillis par Guillaume Travers

    Les viols de masse en Grande-Bretagne, par François Bousquet et Thierry Dubois

    La France de Johnny et la France de Marine, par François Bousquet

    Portfolio : Le peuple jaune dans les rues de Paris

    Connaissez-vous la bourgeoisie blanquette de veau ? par François Bousquet

    Vincent Lapierre au cœur de la guérilla médiatique, propos recueillis par David L’Épée

    Xavier Eman, une fin du monde très importante, par Jean Ernice

    Michel Goya, l’avenir de la guerre, propos recueillis par Laurent Schang

    François Jullien, le détour par la Chine, propos recueillis par Claude Chollet

    Le prince et l’idiot, psychologie de l’enfant unique, par Christophe A. Maxime

    Patrick Eudeline et Nicolas Ungemuth : la chanson française ? propos recueillis par Nicolas Gauthier

    Pierre Robin, l’homme qui n’a jamais voulu être cool, propos recueillis par Olivier François

    De l’usage du tatouage dans la société du spectacle, par Marie Chancel

    Dossier

    Géopolitique de la bande dessinée

    François Pernot : les mangas et les comics vont-ils tout écraser ? Propos recueillis par Guillaume Travers

    Monsieur le chien, un provocateur à poil dur, par David L’Épée

    Jean-Christophe Delpierre : l’Umour au temps de Macron, propos recueillis par David L’Épée et Pascal Eysseric

    L’érotisme discret de la bande dessinée franco-belge, par David L’Épée

    Les 19 bandes dessinées préférées d’Éléments, par la rédaction

    Tintinophiles, tintinologues, tintinopathes… , par Fabien Niezgoda

    Olrik, l’interrogatoire secret, un document pour l’histoire, par Jean-Jacques Langendorf

    Panorama

    L’œil de Slobodan Despot

    Reconquête : le grand défi du coronavirus, par Slobodan Despot

    Un païen dans l’Église : l’ours cordé de Saint-Lizier en Ariège, par Bernard Rio

    Séries télé & politique : The Capture, par Pascal Eysseric

    L’anti-manuel de philosophie : la raison suffit-elle à connaître le réel ? par Jean-François Gautier

    L’esprit des lieux : Dresde sous les bombes, par Hélène Meyer

    C’était dans Éléments : lire Rabelais avec Michel Ragon, propos recueillis par Sophie Massalovitch

    Éphémérides

     

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