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Livres - Page 62

  • Techno-science et retour aux valeurs ancestrales...

    Les éditions L'Æncre, en coopération avec l'Iliade, viennent de rééditer L'Archéofuturisme - Techno-science et retour aux valeurs ancestrales, un des essais majeurs de de Guillaume Faye.

    Figure de la Nouvelle Droite dans les années 70-80, auteur d'essais importants, servis par un style étincelant, comme Le système à tuer les peuples (Copernic, 1981) ou L'Occident comme déclin (Le Labyrinthe, 1984), Guillaume Faye, après dix années d'errance dans les milieux de la radio et du show-business, est revenu au combat idéologique en 1998 avec L'archéofuturisme (L'Æncre, 1998) puis La Colonisation de l'Europe : discours vrai sur l'immigration et l'Islam (L'Æncre, 2000), notamment. Il est décédé le 6 mars 2019.

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    « La querelle entre « traditionalistes » et « modernistes » est devenue stérile. Il ne faut être ni l’un ni l’autre, mais archéofuturiste. » Telle est l’alternative proposée par Guillaume Faye dans cet ouvrage novateur. Dans la droite lignée de Nietzsche et de Giorgio Locchi, ses deux principaux inspirateurs, Guillaume Faye propose ici une nouvelle stratégie pour « l’Interrègne », cette période de transition entre la fin d’un monde et la naissance d’un nouveau. Car si nous sommes à la minuit du monde, selon le mot de Hölderlin, il faudra que le matin nous appartienne quand le soleil se lèvera. À cette fin, l’auteur nous propose de nombreux concepts révolutionnaires et subversifs dans le but d’ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et de construire une vision du monde capable de faire face à la convergence des catastrophes qui frappe aujourd’hui le monde européen. Les valeurs égalitaristes sanctifiées par la modernité perdent pied, mais encore faut-il être capable de proposer de nouvelles valeurs pour les dépasser.

     

     

    « La querelle entre « traditionalistes » et « modernistes » est devenue stérile. Il ne faut être ni l’un ni l’autre, mais archéofuturiste. » Telle est l’alternative proposée par Guillaume Faye dans cet ouvrage novateur. Dans la droite lignée de Nietzsche et de Giorgio Locchi, ses deux principaux inspirateurs, Guillaume Faye propose ici une nouvelle stratégie pour « l’Interrègne », cette période de transition entre la fin d’un monde et la naissance d’un nouveau. Car si nous sommes à la minuit du monde, selon le mot de Hölderlin, il faudra que le matin nous appartienne quand le soleil se lèvera. À cette fin, l’auteur nous propose de nombreux concepts révolutionnaires et subversifs dans le but d’ouvrir de nouvelles pistes de réflexion et de construire une vision du monde capable de faire face à la convergence des catastrophes qui frappe aujourd’hui le monde européen. Les valeurs égalitaristes sanctifiées par la modernité perdent pied, mais encore faut-il être capable de proposer de nouvelles valeurs pour les dépasser.
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  • Manifeste pour briser les chaînes de l'usure...

    Les éditions Culture & Racines viennent de rééditer un essai de Gottfried Feder intitulé Manifeste pour briser les chaînes de l'usure, avec une présentation de Michel Drac. Ingénieur et économiste, Gottfried Feder (1883-1941) a été un des dirigeants du parti national-socialiste allemand et un des concepteurs de son programme économique, avant d'être, dès 1931, progressivement mis sur la touche par Hitler à cause de son anticapitalisme trop radical. Il a également été l'un des théoriciens des cités-jardins.

     

    Feder_Manifeste pour briser les chaînes de l'usure.jpg

    " Gottfried Feder écrivit en 1919 ce livre prophétique parce qu’il voulait alerter l’opinion allemande sur le risque d’hyperinflation. En 1923, lorsque la valeur du mark s’effondra, tout le monde put vérifier qu’il avait eu entièrement raison. Et 1929 aussi devait donner raison à Feder. Il avait démontré la perversité de la mécanique de l’argent-dette… et la Grande Dépression fut l’implosion d’une économie appuyée sur cette mécanique infernale.

    Encore aujourd’hui, on peut apprendre de Feder. A travers une analyse simple mais percutante des rapports de forces à l’intérieur du Capital, il annonçait, il y a près de cent ans, le triomphe futur des acteurs oligopolistiques d’une finance totalement mondialisée et virtualisée, au détriment du capital industriel national. Et il prédisait, déjà, que la montagne de dettes qui naîtrait de ce triomphe menacerait tôt ou tard d’engloutir le monde entier dans une catastrophe économique inouïe.

    Nous y sommes. Et voilà une première raison de publier aujourd’hui une traduction française du « Manifeste pour briser les chaînes de l’usure ». Mais il existe aussi une deuxième raison : ce manifeste constitue un document historique d’une très grande importance. Gottfried Feder était avant tout un militant.

    En janvier 1919, il avait participé à la fondation d’un petit parti politique, en Bavière : le Parti des Ouvriers Allemands. L’organisation vivota quelques temps, jusqu’à ce qu’un orateur exceptionnel en devienne le tribun, un certain Adolf Hitler. La suite est connue. Ce qui l’est moins, c’est l’importance que le « Manifeste pour briser les chaînes de l’usure » eut dans la genèse du national-socialisme.

    Hitler le reconnaît ouvertement dans « Mein Kampf » : l’économie politique du national-socialisme originel est entièrement tirée de l’œuvre de Feder. Souhaitons que cette idée soit à l’avenir reprise par des forces plus pacifiques et respectueuses de la personne humaine. "

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  • D'un musicien l'autre....

    Les éditions de La Nouvelle Librairie viennent de publier, dans leur collection "Du côté de Céline", un essai de Yannick Gomez intitulé D'un musicien l'autre - De Céline à Beethoven. Yannick Gomez est pianiste, compositeur, professeur, titulaire d’un doctorat en interprétation de l’université de Montréal.

     

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    " « Il faut lire Beethoven et écouter Céline. » Tel est le chemin que propose d’emprunter Yannick Gomez, pianiste et compositeur, dans cette étude comparative entre le maître de Bonn et l’ermite de Meudon. À plus d’un siècle d’intervalle, les deux hommes partagent certaines dispositions : une extrême exigence dans le travail, un art total, une écriture affranchie des formes académiques, des traits de caractère – au vu des relations houleuses qu’ils entretiennent avec leurs éditeurs –, une absolue liberté, « condition sine qua non de leur vie et de leur œuvre ». En rapprochant ces génies créateurs, Yannick Gomez signe un petit morceau de raffinement et d’élégance. Un livre pour les âmes portées à la grande musique intérieure.

    « Est-ce trop exagéré d’imaginer que Céline aurait été content à son tour d’apprendre qu’un autre pianiste, amateur de la littérature au sens propre du mot, a voulu partager avec nous son plaisir de le lire, tout en nous communiquant des aperçus de musicien professionnel ? » (Michael Donley) "

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  • Sous le soleil de l'exil...

    Les éditions Perrin viennent de publier un essai biographique de Sébastien Lapaque intitulé Sous le soleil de l'exil - Georges Bernanos au Brésil 1938-1945. Polémiste, essayiste et romancier, Sébastien Lapaque est déjà l'auteur de plusieurs essais consacré à l'auteur de Sous le soleil de Satan, comme Georges Bernanos encore une fois (L'Age d'Homme, 1998) ou Vivre et mourir avec Georges Bernanos (L'Escargot, 2022).

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    " « Si j’entre au ciel, je voudrais que ce fût en qualité de vagabond. »
    En 1938, fatigué des compromissions de l’Église, dégoûté par les accords de Munich, Georges Bernanos quitte la France avec sa femme et ses six enfants. Son but : recréer une France utopique en terre brésilienne. La réalité sera autre. À la place, l’ancien compagnon de route de l’Action française, le polémiste des Grands Cimetières sous la lune, le royaliste capétien, va découvrir au Brésil une forme paradoxale de liberté. Travailleur infatigable, il porte un regard lucide sur l’Europe en proie aux convulsions et prête sa plume à la France libre.
    En 1945, à l’appel de De Gaulle, il finit par quitter sa presque-patrie qui ne cesse, dès lors, d’accompagner ses pensées et ses écrits : « Le plus grand, le plus profond, le plus douloureux désir de mon cœur en ce qui me regarde c’est de vous revoir tous, de revoir votre pays, de reposer dans cette terre où j’ai tant souffert et tant espéré pour la France, d’y attendre la résurrection, comme j’y ai attendu la victoire. »
    Sébastien Lapaque, voyageant sur les traces de l’écrivain, révèle un autre Bernanos, dont l’exil choisi éclaire les contradictions d’un chrétien qui n’aimait guère les tièdes : son monarchisme utopique, son antisémitisme, sa mélancolie parfois joyeuse, son rapport avec de Gaulle, l’« homme prédestiné ». Se révèle une voix puissante en lutte avec les faveurs factices de son époque – il refusera par trois fois la Légion d’honneur et un siège à l’Académie française – et toute forme d’asservissement. Un anticonformisme qui achève de le désigner pour la postérité comme figure tutélaire des hussards. "
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  • Choses vues et choses tues dans l'Education Nationale...

    Les éditions l'Artilleur viennent de publier un témoignage d'Eve Vaguerlant intitulé Un prof ne devrait pas dire ça - Choses vues et tues dans l'Education Nationale.  Agrégée et docteur en lettres modernes, Eve Vaguerlant enseigne dans plusieurs collèges et lycées de la région parisienne depuis une dizaine d’années.

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    " Ce livre est d’abord un témoignage, celui d'une professeur qui exerce dans des établissements "standards".
    Il ne reprend pas les analyses sur la chute du niveau scolaire, mais choisit d’illustrer, à travers des scènes vécues ce qui mine au quotidien le travail des enseignants et notre système scolaire. 
    Eve Vaguerlant évoque de façon concrète les raisons du mal-être des professeurs, par-delà la question de la rémunération  : l’absence de discipline et de sanctions, le mépris  de la part  des directions et des personnels en milieu scolaire, l'entrisme des idéologies et de l'Islam, la pression des parents d’élèves. 
    Elle montre aussi de quelle manière, par idéologie, les professeurs eux-mêmes ont depuis des années œuvré à leur propre déclassement et sont désormais incapables de  réclamer les solutions aux difficultés dont ils se plaignent pourtant chaque jour.

    Ici pas de ton professoral, les anecdotes qui constituent l’essentiel de ce livre  sont narrées de manière presque orale et avec humour, comme lorsque l’auteur les raconte à ses proches, provoquant l’ébahissement chez ses interlocuteurs même les plus avertis. "

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  • L'épuration, une histoire interdite...

    Les éditions du Cerf viennent de publier une enquête historique de Jacques Dallest intitulée L'Épuration, une histoire interdite - Les Miliciens de Haute-Savoie. Magistrat pendant près de 40 ans, Jacques Dallest a été tour à tour juge d'instruction, procureur de la République et procureur général.

     

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    " Été 1944. L'Épuration commence, dans le sillage de la Libération. Une page sombre de l'histoire de France est en train de s'ouvrir. En Haute-Savoie, quatre-vingt-dix-sept miliciens sont arrêtés et jugés. Soixante-seize d'entre eux seront fusillés dans les heures suivantes. Nulle part ailleurs l'Épuration n'aura été si radicale, si sanglante. Avec effroi et minutie, Jacques Dallest en restitue l'horreur et l'ampleur.
    C'est avec l’œil du magistrat, mais aussi de l'enfant du pays, qu'il revient sur les événements troubles de la période et sur le plus grand procès, par le nombre des accusés, jamais ouvert alors. La Milice de Haute-Savoie, police paramilitaire de Vichy, a été l'une des plus actives de France. Mais cette sentence, quoique attendue, était-elle juste ?
    Pour la première fois, un procureur général s'empare du dossier et réalise une étude factuelle, sans parti pris, s'appuyant sur de nombreuses archives et des témoignages inédits.
    Un grand livre d'histoire contemporaine aux fortes résonances actuelles. "

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